Alexia
Le parti fĂ©ministe a crĂ©e une Ă©cole supĂ©rieure après le bac afin de tester de nouvelles mĂ©thodes d’Ă©ducation ou les hommes sont soumis aux femmes.
Alexis a la mauvaise idĂ©e d’avoir une meilleur note que Sophie lors d’un examen. Celle-ci se venge de façon très perverse.
Cette histoire est en fait une « saga » constituée de plusieurs chapitres
Proposée le 30/03/2020 par TALONS1314 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominéPersonnages: FHLieu: InclassableType: Fantasme
Alexis est un jeune garçon qui vient tout juste d’entrer Ă l’Ă©cole supĂ©rieure Jeanne d’Arc qui prĂ©pare un BTS d’un genre très particulier. Il l’a intĂ©grĂ© au mois de dĂ©cembre après avoir du quitter son ancien Ă©tablissement suite au dĂ©cès de ses parents.
Il ignore que ce Ă©tablissement supĂ©rieur privĂ© a Ă©tĂ© crĂ©e par un mouvement fĂ©ministe pour expĂ©rimenter de nouvelles mĂ©thodes d’Ă©ducations ou les garçons sont soumis aux filles.L’examen »JĂ©remy : 2, Ă©gal Ă lui-mĂŞme. David: 4, Jonathan 5…………Emma 11, pourrait mieux faire………….Sophie 18, excellent comme d’habitude, et pour finir Alexis 20, fĂ©licitations jeune homme. » lui dit la professeure de mathĂ©matique.Remplit de fiertĂ© par les fĂ©licitations de sa professeure, Alexis ne vit pas le regard noir que lui lançait une des filles.Après la fin des cours :- « FĂ©licitation » lui dit une superbe blonde accompagnĂ©e de plusieurs camarades fĂ©minines.
– « Merci, c’est très gentil de ta part. »
–  » Je m’appelle Sophie. Tu es vraiment extrĂŞmement fort en mathĂ©matique. Pourrez-tu m’aider Ă rĂ©soudre un problème assez ardu? »
– « Moi c’est Alexis. Je serais ravi de pouvoir t’aider. »
– « Je te remercie.
Voilà les données de mon problème : Je mesure 1,75 m, pèse 61 kg, et fais de la gymnastique et du karaté depuis 12 ans.
Ma question est la suivante : combien de coup de pieds devrais-je te donner dans les couilles avec le bout pointu des superbes bottines vernies que je porte, pour de faire éclater un testicule? »
La jeune fille avait prononcé la phrase lentement en prenant soin de bien de détailler chaque mot.
« Ne rĂ©ponds pas tout de suite. L’essentiel est que tu trouve la solution d’ici le prochain examen. »
Sophie repartit tranquillement après lui avoir fait un clin d’oeil.« Non mais tu as vu ce qui vient de se passer ! Elle est complètement dingue cette fille, je vais aller voir la prof. »
Anthony lui répondit « Mais ça va pas la tète, tu est fou ou quoi. Comment un type qui a eu 20 en mathématique peut être aussi stupide. Je te conseils de ne rien raconter du tout à personne! »
– « Mais tu as entendu, elle m’a menacĂ© de me frapper dans les couilles si j’avais de nouveau une meilleure note qu’elle. Elle n’a pas le droit ! »
– « Lequel, de te menacer ou de te balancer son pieds dans les couilles ? Non mais de quelle planète tu viens. Ici les filles ont tout les droits sur les garçons. Avant que tu n’arrives, Sophie Ă©tait la meilleure Ă©lève de toute la classe. Elle est en colère et a voulu te faire comprendre que si tu avais de nouveau une meilleure note qu’elle, elle allait te castrer. Je te conseils de prendre cette menace au sĂ©rieux. »
– « Mais enfin, je ne vais quand mĂŞme pas rester comme cela sans rien faire ? »
– « Si tu tiens Ă tes couilles, c’est exactement ce qu’il faut faire, fermer ta gueule et faire en sorte qu’elle ait de meilleures notes que toi lors des prochains examens. Je vais meme te dire que tu as une sacrĂ©e chance de ne pas etre en train de te rouler au sol en te tenant les burnes. Ici en gĂ©nĂ©ral les filles frappent d’abord et parlent ensuite, enfin…si elles daignent t’adresser la parole. » »C’est injuste. On ne peut pas la laisser faire! » »Mais tu es vraiment con toi. Tu sais au moins qui est cette fille? » »Bah, je sais juste qu’elle s’appele Sophie. » »Sophie, oui, Sophie LEPESTIER pour etre exact. Et si tout le monde la surnomme Sophie LA PESTE!, c’est qu’il y a une raison figure toi! »
Anthony enchaina :  » Tu n’as pas vu les exemples de punitions qui sont affichĂ©s dans le hall. Tu n’as pas lu l’histoire du pianiste qui a eu la main broyĂ©e d’un coup de talon et les boules Ă©clatĂ©es Ă coup d’escarpins ? Et bien la fille qui lui a fait cela, c’Ă©tait Sophie LEPESTIER!—« Si j’ai vu, mais c’est marquĂ© qu’il l’avait gravement insultĂ©e. »« Gravement insultĂ©e, mon cul oui. Ca c’est la version officielle, mais la vĂ©ritĂ© que tout le monde sait mais que personne ne dira jamais, est complĂ©tement diffĂ©rente. Il venait de gagner le concours de musique, et Sophie qui Ă©tait arrivĂ©e deuxième lui a cassĂ© la main exprĂ©s pour l’évincer. Et comme si ce n’était pas suffisant, il a Ă©tĂ© reconnu coupable d’offence et a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă recevoir 10 coups de pieds dans les couilles en public. C’est Sophie qui lui avait dĂ©jĂ cassĂ© la main, qui a executĂ© la sentence avec ses escarpins les plus pointus. »« Ah, je ne savais pas. Mais lĂ c’est diffĂ©rent. Tu a vu et entendu tout ce qui c’est passĂ©. Tu pourrais me servir de tĂ©moin ! »« Moi, TĂ©moin! Ne compte pas la dessus. Si on m’interroge, je dirais que je n’ai rien vu. Le pianiste aussi avait un tĂ©moin si tu veux savoir. C’est mĂŞme un très bon ami Ă moi. »« Il n’a pas Ă©tĂ© entendu ? »« Oh si, il est restĂ© près d’une heure dans le bureau de la directrice, mais il a confirmĂ© la version des filles. Quand il est ressorti, on aurait dit un cadavre tellement il Ă©tait blanc. Il Ă©tait mort de trouille. Il m’a fallu des semaines pour qu’il me dise ce qui c’était rĂ©ellement passĂ©. »« vas y dit ! »« la directrice a demandĂ© Ă la prof de punition corporelle de venir dans son bureau. C’est elle qui exerce Ă©galement la fonction de bourrele pour les punitions publiques. A la demande de la directrice, elle a expliquĂ© Ă mon pote comment les menteurs Ă©taient punis. »« Et c’est quoi la punition prĂ©vue ? »« On leur piĂ©tine la langue avec des talons aiguilles ! »« Mais c’est ignoble ! Je comprends pourquoi ton pote a eu peur de tĂ©moigner.»« Oui. Comprends tu maintenant la chance que tu as que Sophie se soit juste contentĂ©e de te mettre en garde? Ce n’est pas dans ses habitudes, a mon avis, elle a un faible pour toi. Tu devrais sauter sur l’occasion, surtout qu’elle n’est pas vilaine.»« Oui, c’est vrai qu’elle est pas mal. »« Comment ça « pas mal ». ne dis jamais Ă une fille qu’elle est « pas mal » ou se sera la dernière connerie que tu dira. Ici, les filles sont toutes belles, charmantes, intelligentes, droles… enfin tu comprends ce que je veux dire. »« Oui, je pense. »
« Et mec, je dĂ©conne pas lĂ . C’est sĂ©rieux. Il faut que tu te trouves une maitresse attitrĂ©es, et c’est prĂ©fĂ©rable pour toi que tu lui plaises. Les types qui n’ont pas de protectrice attitrĂ©e finissent mal. »« c’est quoi encore ce truc ? »« Il faut vraiment tout t’expliquer toi. Le règlement permet aux filles de prendre en charge un garçon. Elle devient sa maitresse et lui son esclave. »« Mais je n’ai envie de devenir l’esclave de personne ! »« Cesse de m’interrompre sans arrets et Ă©coutes. Crois moi, il vaut mieux etre l’esclave d’une seule maitresse qu’etre Ă la merci de toutes les filles. Quand un mec a une maitresse, c’est elle qui est chargĂ©e de son Ă©ducation et les autres filles le laissent tranquile. Alors que si il est seul, il est Ă la merci de la première bande de filles qui vont s’amuser avec lui. Il y a des filles qui se sont fait une spĂ©cialitĂ© de faire la chasse aux « cĂ©libataires »Pendant ce temps, Ă l’autre bout de la cour, SOPHIE discute avec ses amies. »Je ne te reconnais pas Sophie. Tu as l’habitude d’exploser les couilles des garçons pour moins que celĂ . Tu ne serais pas en train de te ramollir? » lui dit Sonia en dĂ©signant Alexis qui discutait avec son pote. »Faut-il qu’on te surnomme maintenant « Sophie la magnanime »? rencherie Lydie en riant. »Moi je pense qu’elle a un faible pour lui. Il faut reconnaitre qu’il n’est pas vilain. » reprit Sonia. »Oui c’est vrai qu’il est mignon, il a un petit cotĂ© androgyne avec ses long cheveux blonds. C’est ce qui doit lui plaire! » pouffa BĂ©atrice.Sophie fit semblant de se mettre en colère. « Vous avez finies les filles! Vous n’y etes pas du tout. J’adore toujours autant Ă©clater les couilles des garçons, mais il faut parfois aussi trouver des idĂ©es de punition plus originales. Alexis m’a humiliĂ©e devant toute la classe avec son 20 en mathĂ©matique. Il faut que je trouve une punition plus humiliante pour lui qu’un simple passage Ă tabac. » »Oh, toi tu as une idĂ©e derrière la tete » lui dit Sonia. »Peut-etre, peut-etre » rĂ©pondit Sophie en souriant.
Tout en rĂ©pondant Ă sa copine, Sophie repensait Ă ce qu’avait dit BĂ©atrice sur le cotĂ© Androgyne d’Alexis.Dans le bureau de la directrice. »Vous avez demandĂ© Ă me voir Mlle Sophie »? »Oui madame la directrice. J’ai une requete Ă vous demandez. J’espère que je ne vous dĂ©range pas? » »Mes meilleures Ă©lèves ne me dĂ©rangent jamais. Vous savez que vous serez toujours la bienvenue dans mon bureau. Que puis-je faire pour vous? » »Merci Mme la directrice. VoilĂ , j’aimerais devenir la tutrice d’un nouvel Ă©lève qui vient tout juste d’arriver au lycĂ©e. Il s’appelle Alexis DUBOIS. » »Mais il n’y a rien de plus simple. Vous savez parfaitement que vous n’avez pas besoin de mon autorisation pour cela. Il suffit de vous faire enregistrer au secretariat. » »C’est que… Il y a autre chose. Ce garçon qui vient juste d’arriver a un comportement tout Ă fait innaceptable et merite une punition exemplaire. » »Ne serait-ce pas celui qui a obtenu un 20 en mathĂ©matique? » lui demanda la directrice d’un air ironique. »Oui, effectivement, mais cela n’a rien de personnel » rĂ©pondit Sophie d’un air faussement indignĂ© en portant la main sur son coeur. « En obtenant un 20, ce garçon a humiliĂ© toutes les filles de l’Ă©cole et bafouĂ© ainsi ses propres fondements. »MalgrĂ© l’hypocrisie Ă©vidente dont faisait preuve Sophie, la directrice savait qu’elle avait raison.
« Et si vous me disiez directement ce que vous avez en tĂŞte Mlle. Car je suppose que vous avez dĂ©jĂ une idĂ©e? »Sophie expliqua en dĂ©tail son plan Ă la directrice qui arborait un large sourire en l’Ă©coutant.
« Je ne mettais dĂ©cidement pas trompĂ©e sur vous Mlle. Votre perversitĂ© n’a d’Ă©gal que votre beautĂ©. Vous aviez dĂ©jĂ la rĂ©putation d’etre une sacrĂ©e garce auprĂ©s des Ă©lèves, maintenant, ils vont savoir que vous etes une vrai salope! »
« Venant de vous madame la directrice, ces compliments me vont droit au coeur. »Lundi matin, premier cours de la semaine.La classe Ă©tait au complet, Ă l’exeption d’Alexis DUBOIS.
Tout le monde attendait la directrice dont l’arrivĂ©e avait Ă©tĂ© annoncĂ©e.
Lorsqu’elle penĂ©tra dans la salle de cours, toutes les filles Ă©taient debout les bras croisĂ©s sur la poitrine, alors que tout les garçons Ă©taient Ă genoux face Ă elles, les mains posĂ©es sur la tete, le dos cambrĂ© et les jambes lĂ©gĂ©rement Ă©cartĂ©es de façon Ă ce que leurs attributs soient aisement accessibles.La directrice Ă©tait suivie d’une fille habillĂ©e comme une gamine de 7 ou 8 ans alors que ce nĂ©tait manifestement pas le cas vu sa taille. Elle baissait les yeux vers ses pieds chaussĂ©s de mary-jane rose bonbon avec un talon de 3 cm de hauteur et un petit noeud assorti sur le dessus. Elle portait une robe ample de la mĂŞme couleur avec un Ă©norme noeud papillon Ă l’arrière. Deux nattes blondes dont les extremitĂ©s Ă©taient Ă©galement munies de noeuds papillons roses, descendaient sur chacune de ses Ă©paules. »Je vous prĂ©sente ALEXIA. C’est la petite soeur d’ALEXIS qui a du quitter prĂ©cipitamment notre Ă©tablissement suite Ă un drame familiale. Mlle SOPHIE s’est spontanĂ©ment proposĂ©e pour devenir la tutrice, je devrais plutĂ´t dire la nouvelle maman d’Alexia. A compter de ce jour, Mlle Sophie sera chargĂ©e d’assurer son Ă©ducation. Je vous demande Ă tous d’accueillir la petite Alexia comme il se doit. »La directrice avait eu bien du mal Ă garder son sĂ©rieux en prononçant son discours. Bien sur, elle savait que personne n’avait cru un seul des mots qu’elle avait prononcĂ©s. MalgrĂ© le remarquable travail de maquillage qu’avait rĂ©alisĂ© Sophie et ses amies, ainsi que les traits effectivement androgynes d’Alexis, tout le monde dans la salle l’avait Ă©videmment reconnu. Ce fut donc une explosion de rire gĂ©nĂ©rale. Ce qui humilia le plus Alexis, c’est que meme les garçons riaient. Il faut dire qu’ils n’en avaient pas souvent l’occasion et pour une fois qu’ils pouvaient se moquer librement de quelqu’un sans risque de reprĂ©sailles, ils ne s’en privaient pas.Sur l’ordre de la directrice, Alexis, ou plutĂ´t maintenant Alexia, quitta l’estrade sous les quolibets et les moqueries pour aller rejoindre Mlle Sophie, sa nouvelle « maman ». Afin de libĂ©rer la place, celle-ci fit deguerpir le garçon qui se trouvait auparavant devant elle en lui assĂ©nant un bon coup de pieds dans les noix.
« Ne t’inquietes pas, ta maman va bien s’occuper de toi. Mais tu auras interet Ă etre une petite fille très obĂ©issante » murmura Sophie Ă son oreille sur un ton moqueur.Sophie exultait. Elle avait passĂ© un suberbe week-end avec ses copines Ă prĂ©parer Alexis : l’Ă©piler, l’habiller, le coiffer, le maquiller. Puis lui apprendre Ă marcher avec grace avec ses petits talons, Ă faire la rĂ©vĂ©rence, Ă servir le thĂ©… enfin bref, Ă se comporter comme une petite fille bien Ă©lĂ©vĂ©e.
Mais lĂ aujourdhui, c’Ă©tait l’apothĂ©ose.SUCETTEA la grande surprise de Sophie, Alexis se sembla pas longtemps très gĂ©nĂ© par le fait d’etre dĂ©guisĂ© en petite fille. Il ne manifestait aucun signe de honte en classe, malgrĂ© les quolibets de ces camarades, en particuliers des garçons. Au contraire, il affichait toujours le sourire et semblait très Ă l’aide dans ses costumes de princesse.
Sa maitresse n’avait mĂŞme plus Ă l’habiller. Alexis le faisait seul. De mĂŞme il avait appris Ă se coiffer et Ă se maquiller tout seul comme une grande Ă©galement. Il prenait grand soin de ses affaires qu’il lavait et repassait consencieusement. Il faisait la rĂ©vĂ©rence avec grace devant ses amies et rougissait comme une petite fille lorsqu’elles faisaient des remarques.Ce comportement commençait Ă agacer Sophie. Il n’Ă©tait pas normal. Elle se demandait ce qu’il cachait.
Ses soupçons s’accrurent le jours ou elle lui offrit un costume d’Alice au pays des merveilles. Alexis remercia chaleureusement sa maitresse lorsqu’il ouvrit le paquet, et lui demanda s’il pouvait l’essayait tout de suite. Après s’est prĂ©parĂ©, il Ă©tait revenu dans le salon pour se faire admirer.
Elle l’avait Ă©galement observĂ© plusieurs fois devant un miroir, Ă prendre des positions fĂ©minines, Ă faire des petites moues mutines en tendant les lèvres… »Ce ne serait pas une petite tapette en fait » se demanda-elle.
Dans ce cas, le fait de le travestir n’Ă©tait pas une punition, mais une rĂ©compense au contraire. Le mieux serait alors de le refaire s’habiller en jeune homme. Personne ne trouverait celĂ bizarre. Alexis aurait compris la leçon que sa maitresse lui avait donnĂ©e, et celle-ci, magnanime, aurait levĂ© la punition. »Non,non, pas trop vite » rĂ©flechit Sophie. Alexis est un garçon extremement intelligent. Et si justement il ne jouait pas la comĂ©die pour amener sa maitresse Ă lever la punition.
« Si c’est cela, il va me le payer cher ». Se dit-elle alors.Après avoir longuement rĂ©flĂ©chi, Sophie pris sa dĂ©cision : Alexis continuerait de s’habiller en petite fille. Par-contre, il fallait qu’elle trouve une autre bonne punition Ă lui infliger.
————La directrice accorda avec joie l’entretien que lui avait demandĂ© Sophie. Elle s’amusait beaucoup des idĂ©es perverses que cette Ă©lève lui proposait. »Asseyez-vous mademoiselle, que puis-je faire pour vous? »
« Je me suis dit qu’il serait peut-etre opportun d’accorder de temps en temps des rĂ©compenses aux garçons dont le comportement est exemplaire. »La directrice fronça les sourcils. Une telle proposition venant de Sophie lui semblait très Ă©trange. Connaissant bien son Ă©lève, elle comprit tout de suite qu’elle avait encoree une idĂ©e tordue derrière la tĂŞte.
« Poursuivez, je vous prie. » »Les garçons sont soumis quotidiennent Ă une discipline très rigoureuses et Ă de nombreux chatiments corporels. Je pense qu’il serait judicieux d’accorder une rĂ©compense au Ă©lèves mĂ©ritants afin que les autres suivent leur exemple. » »Et quelle est la rĂ©compense que vous suggerez? » »Je pense qu’Alexis pourrait prodiguer une fellation une fois par mois Ă ceux de ses camarades qui n’ont pas commis d’infractions au rĂ©glement les semaines prĂ©cedentes. »La directrice avait maintenant compris oĂą Sophie voulait en venir. DĂ©cidement son Ă©lève Ă©tait très rancunière. Ridiculiser ce garçon devant tous le monde en le dĂ©guisant en petite fille ne lui suffisait pas. Elle voulait encore l’humilier davantage.
Mme D apprĂ©ciait dĂ©cidemment beaucoup son Ă©lève. L’idĂ©e qu’elle lui proposait Ă©tait Ă la fois perverse et amusante. Elle acquiessa Ă sa demande.————-Alexis Ă©tait assis sur une chaise dans le salon de Sophie, une file de garçons faisait la queue devant lui.
Sa maitresse lui avait expliquĂ© ce qu’elle attendait de lui. A la surprise de cette dernière, il n’avait Ă©mis aucune protestation, aucune plainte. Sophie avait Ă©tĂ© déçue. Elle aurait tellement aimĂ©e qu’il se jette Ă ses pieds, qu’il la supplie de lui Ă©pargner cette humiliation.Sans un mot, Alexis dĂ©fit un Ă un les boutons de la braguette du premier garçon. Il baissa son pantalon et son slip sur les chevilles, et prit immĂ©diatement son sexe dans la bouche. Il se mit Ă le sucer et a le caresser.
Il n’avait jamais fait cela et ses gestes Ă©taient maladroits, mais pourtant très vite la verge du garçon se tendit. L’ardeur avec laquelle je jeune homme pompait le gland remplaçait son inexpĂ©rience. La respiration du garçon devint saccadĂ©e, il fermait les yeux. Au bout de quelques minutes, il se raidit. Alexis arreta ses mouvement de succion en maintenant le bout du gland dans sa bouche. Il l’ouvrit peu après pour que sa maitresse puisse vĂ©rifier qu’il avait bien fait Ă©jaculer son camarade, puis avala. Il Ă©tait pret pour le suivant.
Alexis avala le sperme de douze de ses camarades ce soir lĂ . Il ne dit pas un mots, n’Ă©mit pas une plainte, ne manifesta pas le moindre signe de dĂ©gout. Il savait que son attitude irritait sa maitresse, que celle-ci aurait voulu le voir la supplier devant ses camarades. Il ne voulait pas lui accorder ce plaisir, c’Ă©tait la seule petite « revanche » qu’il pouvait se permettre envers sa maitresse. Que pouvez-elle lui faire, le frapper, l’humilier? Elle le faisait dĂ©jĂ .Sophie bouillait intĂ©rieurement. Elle s’Ă©tait imaginĂ© en train de pincer le nez de son soumis pour l’obliger Ă ouvrir la bouche, et il lui avait gachĂ© son plaisir.
Oh oui elle avait envie de lui faire endurer les pires souffrances, mais comment aurait-elle pu les justifier. Alexis avait executĂ© ses instructions Ă la lettre. Il n’avait pas Ă©mis la moindre protestation, pas fait un seul geste dont elle aurait pu se servir comme pretexte pour le punir.
Dans cette situation, non seulement cette punition n’aurait pas Ă©tĂ© comprise par ses camarades fĂ©minines, mais elle aurait Ă©tĂ© interprĂ©tĂ©e comme un signe de faiblesse de sa part.
Alexis Ă©tait conscient de l’impasse dans lequel il avait mis sa maitresse. Il savait que celle-ci trouverait un moyen de se venger, mais pour l’heure il savourait sa petite victoire.La vengeance de Sophie ne se fit pas attendre. DĂ©s le lendemain soir…CADEAU »Je suis très fiere de toi. Tu as remplis la tache que je t’ai confiĂ©e avec beaucoup de zèle. Pour te remercier, j’ai dĂ©cidĂ© de te faire un cadeau! »
Sa maitresse lui remits alors un paquet.
« Merci, Mlle Sophie, c’est vraiment très gentil et très gĂ©nĂ©reux de votre part. » »Mais non, c’est normal, tu l’as amplement mĂ©ritĂ©!
Tu ne l’ouvres pas? »
« Si si, bien sur maitresse. »
Alexis ouvrit le paquet et en sortit un godemichet Ă double bout. L’un prĂ©vu pour s’enfoncer dans le sexe de la femme, et l’autre dans l’anus de son soumis. »Merci Mlle Sophie, c’est magnifique. » »J’Ă©tais certaine que cela allait te plaire. Viens, on va l’essayer tout de suite! »Sophie fit mettre Alexis contre une table, se plaça derrière lui, souleva sa robe et s’enfonça brutalement en lui.Alexis s’Ă©tait jurĂ© de tenir le coup, de rester stoique, mais sa maitresse l’encula si violemment qu’il ne pu s’empĂŞcher de crier. Mue par le plaisir de la vengeance, Sophie lui pistonna l’anus avec fureure durant plus de 10 minutes. Alexis du se mordre le bras pour ne pas crier. Ses yeux Ă©taient remplis de larmes.Sophie fut secouĂ©e par un violent orgasme. « C’Ă©tait trop bon! On va refaire ça tout les soir après tes pipes! »Première vengeance:Alexis suçait maintenant rĂ©guliĂ©rement ses camarades. En enlevant ceux qui avaient Ă©tĂ© privĂ©s de « pipe » par leur maitresse pour diverses raisons, il prodiguait en moyenne une centaine de fellations par mois.
Il devint bien sur très vite un expert en la matière. Il apprit Ă se servir simultanĂ©ment de sa langue, de ses lĂ©vres et de ses doigts. Le double piercing que sa maitresse lui avait fait mettre sur la langue, n’avait fait qu’augmenter encore plus le plaisir qu’il prodigait Ă ses camarades. Alors qu’il s’occupait de leur queue avec sa bouche, il caressait les bourses d’une main, tandis que les doigts de l’autre s’aventuraient dans leur anus…Au bout de quelques mois, il Ă©tait devenu si douĂ© qu’il controllait comme il voulait le plaisir qu’il prodiguait. Il pouvait le faire durer indĂ©finiment, frolant sans cesse la limite de la jouissance, qu’il bloquait d’un petit coup d’ongle ou de dent assassin, avant de reprendre de plus belle. Ou au contraire, il pouvait provoquer une dĂ©charge dans sa bouche en un Ă©clair.
La maitrise qu’il avait acquise lui permit d’assouvir une première petite vengeance envers un de ses camarades.
La plupart des garçons de la classe avaient beaucoup ri de lui à lors de son travestissement. Les moqueries et les quolibets avaient repris de plus belle avec les séances de fellation.
Un garçon sĂ©tait montrĂ© particuliĂ©remen cruel avec lui. Un certain Roger Delarue. C’est notamment lui qui avait trouvĂ© les surnoms avec lesquels on le dĂ©signait alors : « Puputte ou sucette »
Alexis sut immĂ©diatemment comment il allait se venger quand Roger se prĂ©senta devant lui, le sexe dĂ©jĂ sorti. C’Ă©tait la première fois qu’il venait se faire sucer. Il n’avait pas un comportement irrĂ©prochable, et sa maitresse ne lui avait pas encore accordĂ© la faveur de cette rĂ©compense.
Alexis pris simultanĂ©ment d’assault sa verge, ses couilles et son anus. Ce fut une attaque Ă©clair, un « Blitzkrieg ». Surpris pas la rapiditĂ© et la violence de cette attaque, Roger ne pu retenir le jet qui s’Ă©chappa de son sexe. En a peine trente seconde, Alexis lui avait fait cracher son sperme. Ce dernier prĂ©senta sa bouche ouverte aux personnes prĂ©sentes dans la salle et s’assura que tout le monde ai bien vu son contenu avant de l’avaler. Juste après, il dit d’une voix forte, sur un ton moqueur : « DEJA! BON BAH…PERSONNE SUIVANTE ALORS! »
Roger acquis ce jour lĂ une rĂ©putation d’Ă©jaculateur prĂ©coce qui n’allait plus le quitter. Alexis savoura sa petite vengeance en mĂŞme temps que le sperme de son camarade.
Avant de s’occuper du garçon suivant, il vit que Sophie lui adressait un sourire. Ce n’Ă©tait pas le sourire narquois qu’elle affichait d’habitude lorsqu’elle prĂ©parait un mauvais coup. Non, cette fois-ci il Ă©tait sincère. La jeune fille appréçiait Ă sa juste valeur le talent et l’ingĂ©niositĂ© dont il avait fait preuve pour se venger malgrĂ© la situation ou il se trouvait. Elle pensait qu’elle n’aurait pas fait mieux elle-mĂŞme, et ses sentiments Ă l’Ă©gard du jeune homme commençèrent Ă changer.
Peu de temps après, Alexis remercia Anthony, le seul garçon qui avait continuĂ© Ă lui manifester de la symphatie et de la compassion après sa descente aux enfers, en lui prodiguant une vĂ©ritable pipe d’anthologie. Ce jour lĂ , il Ă©tait heureux. Il se sentait tel Edmond DantĂ©s qui après avoir atteint le fond du gouffre, Ă©tait revenu Ă la surface sous les traits du compte de Monte Christo afin de rĂ©compenser ceux qui l’avaient aidĂ©, et punir ceux qui lui avaient fait du mal.LE MINISTRE »Vous avez demandĂ© Ă me voir Mme la directrice? » »Oui, Sophie, asseyez-vous je vous prie. »
J’ai entendu parler des prouesses buccales de votre soumis, et je vais en avoir besoin prochainement. » »Bien sur Madame, vous savez qu’Alexis est Ă votre entière disposition. » »Tout ce que je vais vous dires maintenant est ultra-confidentiel. Vous ne devrez en parler Ă personne, meme pas Ă vos meilleures amies. Quand Ă Alexis, il ne devra savoir que le stricte minimum pour accomplir sa mission. » »Je jure de garder le silence Madame. » »Comme vous le savez certainement, l’Ă©cole Jeanne d’Arc est un Ă©tablissement expĂ©rimental. Les mĂ©thodes Ă©ducatives que nous pronons ne font pas l’unanimitĂ©, et nous avons de nombreux dĂ©tracteurs Ă l’affut du moindre pretexte pour nous nuire. Certains font mĂŞme tout leur possible pour faire fermer notre Ă©tablissement. »
Un frisson d’angoisse parcourut Sophie lorsqu’elle entendit cela.
« Le ministre de l’Ă©ducation a eu vent de certains problèmes au sein de l’Ă©cole et a dĂ©cidĂ© de venir faire une inspection. Je sais de source sure que cet individu est très attirĂ© par les jeunes filles. Je compte sur les talents de votre soumis pour le distraire et lui faire oublier le but de sa visite.
Je compte sur vous pour lui expliquer en dĂ©tail ce que j’attends de lui.
Un dernier dĂ©tail, Alexis a passĂ© l’age de jouer les petites princesses. Une tenue d’Ă©colière avec mini-jupe et talons hauts sera beaucoup plus appropriĂ©e pour sa mission. »———La directrice vit tout de suite le regard lubrique du ministre lorsque la jeune Ă©colière vint leur servir le thĂ© dans son bureau. JuchĂ© sur des talons de 15 cms, Alexis dut bien se pencher en avant pour le servir sur la table basse. Sa mini-jupe se releva et son string apparu juste sous les yeux du politicien.
« Voilà une écolière très charmante! » dit-il la voie enrouée
« N’est-ce pas? Nous donnons une grande importance Ă l’Ă©ducation de nos jeunes Ă©lèves ».Le tĂ©lephone de la directrice sonna »M le ministre, je suis vraiment dĂ©solĂ©e. Une urgence. J’en ai pour 15 minutes, 20 maximum. Alexia va vous tenir compagnie durant mon absence.La directrice quitta le bureau aussitĂ´t, laissant le ministre seul avec la jeune fille. »Ainsi donc, tu t’appeles Alexia? » »Oui M le ministre, mais ici tout le monde me surnomme sucette! »
Le ministre faillit s’Ă©trangler. « Joli surnom, et peu banal. »Alexis prit un air ingĂ©nu « On me l’a donnĂ© parce que je suis très douĂ©e pour sucer les garçons. C’est toujours moi qui ait les meilleurs notes aux cours de fellation. » »Ah…, parce-que vous avez des cours de fellation? » »Oui, la directrice dit que c’est très important pour une secretaire de bien savoir sucer son patron. C’est une matière qui a un gros coefficient. Il me avoir une bonne note pour rattraper mon retard dans les autres matières. C’est pour cela que je m’entraine le plus souvent possible. »Le ministre Ă©tait rouge comme une pivoine. Une bosse apparut dans son pantalon. »M le ministre, je voudrais vous demande un petit service. Ne le prenez pas mal, mais je n’ai encore jamais tailler de pipe Ă un homme de votre âge. Cela me ferait une bonne expĂ©rience. Est-ce que je peux? » dit Alexis en faisant passer sa langue sur ces lèvres.Entendre les mots « tailler une pipe » sortir de la bouche innocente de cette jeune fille fit tomber les dernières rĂ©sistance du ministre. « vas-y ma petite. »Alexis se mits aussitĂ´t Ă genoux sur le tapis devant le fauteuil ou l’homme Ă©tait assis. D’une main experte, elle fit sortir son membre et l’emboucha. »
L’homme politique garda les yeux fermĂ©s durant la fellation. Seul un râle de plaisirs s’Ă©chappait de sa bouche. Jamais personne ne lui avait donnĂ© autant de plaisirs, pas mĂŞme une des nombreuses prostituĂ©e auxquelles il avait souvent recours. Alexis avait vraiment une bouche en or.
Il mettait tout son talent en oeuvre pour procurer le maximum de plaisirs Ă l’hote de la directrice. Celle-ci l’observait sur les Ă©crans video des camĂ©ras qui avaient Ă©tĂ© mises en place auparavant.
Après l’avoir amenĂ© au bord de la jouissance plusieurs fois de suite comme il en avait le secret, Alexis mit fin Ă la sĂ©ance d’un dernier coup de langue. Le ministre se raidit, ses mains s’accrochèrent aux dossiers du fauteuils, il ouvrit la bouche en mĂŞme temps que les yeux lorsque son sperme si longtemps contenu dans ses couilles gicla au fond de la gorge de l’Ă©colière. La demoiselle l’avala avec un regard plein de gourmandise, puis lui nettoya le gland avec la langue. Elle remit ensuite sa braguette en place et Ă©tait en train de lui reverser une tasse de thè lorsque la directrice rĂ©apparut dans le bureau, l’air essouflĂ©e comme si elle venait de courir.
« Je suis dĂ©solĂ©e. Vous savez ce que c’est, le personnel est incapable de se dĂ©brouiller seul. J’espère ne pas vous avoir fait trop attendre. » »Non, non. J’ai discutĂ© avec votre charmante Ă©lève. J’ai appris beaucoup de choses interessantes » »Il me semble que vous aviez un certains nombres de points Ă voir au sujet du fonctionnement de l’Ă©cole, » lui demanda Mme D. »Rien de bien grave, rassurez-vous. Cela peut attendre. Et cela me fera une occasion de revenir dans votre Ă©tablissement. » »Vous ĂŞtes ici chez vous, M le ministre. Revenez quand vous voulez. Vous serez toujours accueilli Ă Bo.. Ă bras ouvert! »
La directrice s’amusa de son lapsus, elle avait failli dire à « bouche ouverte ».———Après le dĂ©part du ministre, la directrice reçut Sophie et Alexis dans son bureau. »Je tiens Ă vous faire part de ma plus grande satisfaction. La prestation de votre soumis a Ă©tĂ© fantastique! »
Bien que se soit Alexis qui ai fait le plus gros du travail, la directrice ne pouvait se pemettre de le fĂ©liciter directement. »Merci Mme la directrice, mais tout le mĂ©rite en revient Ă Alexis. »Mme D fut surprise de la rĂ©action de Sophie. D’habitude, s’octroyez les mĂ©rites de son soumis ne l’a dĂ©rangeait pas. »Elle reprit : « FĂ©licitation Ă©galement pour sa tenue. Le maquillage est Ă©quilibrĂ©, sĂ©duisant sans etre vulgaire, la coiffure Ă©lĂ©gante, les vetements parfaitement ajustĂ©s…Vous avez fait un excellent travail mademoiselle. » »LĂ encore Mme la directrice, c’est Alexis qu’il faut fĂ©liciter » rĂ©pondit Sophie.
« C’est lui qui a choisi sa tenue. Et cela fait longtemps qu’il se coiffe et se maquille lui-mĂŞme. » »A bon… et bien alors fĂ©licitations jeune homme »
La directrice ne savait pas ce qui la surpenait le plus: qu’Alexis se maquille, ce coiffe et s’habille seul, ou que Sophie le reconnaisse.
Alexis ne dit pas un mot durant toute la durĂ©e de l’entretien. C’Ă©tait dĂ©jĂ un privilège d’y avoir assister, d’habitude les garçons Ă©taient renvoyĂ©s Ă leurs taches aussitĂ´t qu’on n’avait plus besoin d’eux.
Il eut ainsi tout le loisirs d’observer le comportement de sa maitresse. Lui aussi avait remarquĂ© que son attitude envers lui Ă©tait en train de changer. »Mlle SOPHIE, Alexis. J’aurais encore besoin prochainement de vos services. »———-Est-ce parce-que l’Ă©cole se trouvait en rĂ©gion Parisienne assez proche du ministère, toujours est-il que le ministre y rendit plusieurs visites de « courtoisie » dans les mois suivants. Il demandait toujours des nouvelles de la jeune Ă©colière qui lui avait servi le thĂ©, et la directrice trouvait toujours une excuse pour le laisser seul en sa compagnie. »M le ministre. Je profite de votre prĂ©sence pour vous demander une petite faveur. Je suis toujours Ă la recherche d’endroits pour envoyer les Ă©lèves de l’Ă©cole en stage et me suis dit qu’avec vos relations, vous pourriez surement nous en trouver. »La directrice senti qu’elle avait attirĂ©e l’attention du ministre et continua : »J’ai Ă©galement pensĂ© qu’il y aurait peut-etre mĂŞme la possibilitĂ© d’effectuer un stage au sein de votre ministère. Je sais que la petite Alexia en rève. Ce ne serait pas long, juste un mois. »Quand il entendit prononcer le nom d’Alexia, le ministre dĂ©glutit. »Vous m’avez toujours si bien accueilli dans votre Ă©tablissement que je ne puis vraiment pas vous refuser cette petite faveur. »Alexis partit donc en stage dans le ministère de l’education. Il/elle fut affectĂ© dans le secretariat personnel du ministre. Pour ne pas Ă©veiller de soupçon, sa tenue Ă©tait beaucoup plus sage, tout en restant très au gout du ministre. Celui-ci s’arrangeait pour passer quelques moments seuls avec sa stagiaire Ă chaque fois qu’il le pouvait.
Avant qu’il ne parte en stage, la directrice avait confiĂ© Ă Alexis un Ă©quipement digne d’un espion : mini camĂ©ras, micro intĂ©grĂ©s…. et lui avait expliquĂ© comment s’en servir. « Une vrai james bond girl » lui avait-elle dit en plaisantant.
Sa mission Ă©tait simple, enfin en thĂ©orie. Il devait gagner la confiance du ministre ( ce qui Ă©tait dĂ©jĂ en bonne voie) afin de lui tendre un piège. Leurs jeux coquins devaient aller de plus en plus loin. Il ne devait pas seulement sucer le ministre ou se faire sodomiser par lui, mais il fallait faire en sorte qu’on ait l’impression que ce dernier le viol sous les yeux des camĂ©ras cachĂ©es. DĂ©s qu’ils Ă©taient seuls, Alexis agitaient ses petites fesses sous le nez du ministre puis partait Ă quelques mètres. Ils tournait autour du bureau comme dans une partie de loup. « Attrape moi si tu peux..; »
Au fils des jours, Alexis devenait de plus en plus provocateur: Il faisait semblant de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps de le fuire et de refuser ses avances. « Non, messieur, s’il vous plait, je suis encore vierge » lui disait-il avec une moue mutine sur la bouche.
Il prenait un air de dĂ©gout quand le ministre lui donnait son sexe Ă sucer, et couinnait en pleurant comme une vierge effarouchĂ©e lorsqu’il lui prenait l’anus.
Le ministre Ă©tait ravi de l’attitude de sa stagiaire. Plus les jours passaient, et plus elle lui donnait la sensation de rĂ©aliser son fantasme le plus inavouable : celui de violer une jeune fille sans dĂ©fence. ———–« Viens par lĂ petite » dit un sexagenaire chauves et bedonnant Ă une jeune fille blonde.
« Monsieur, non, s’il vous plait. Je ne veux pas! »
Tenant en main son sexe qu’il avait dĂ©jĂ sorti de son pantalon, l’homme rĂ©pondit « Si tu veux valider ton stage, il faut que tu soit très gentille avec moi! » L’homme libidineux faisait doucement le tour du bureau.
La jeune fille se tenait derrière, l’air effrayĂ©e.
« Je vous en supplie Monsieur, non! »
L’homme la bloqua contre l’angle du mur.
« Allez, à genoux, dépeches toi! »
Les yeux de la demoiselle se remplirent de larmes.
« S’il vous plait, je ne veux pas! »
Insensible Ă ses plaintes, l’homme la força Ă se baisser. Lorsque le visage de la jeune fille arriva devant son sex, il le frotta contre sa joue. Ouvres la bouche, tout de suite ». Elle secoua la tĂŞte, il lui pinça le nez.
Une expression de dĂ©gout Ă©manait du visage de la jeune fille. Contrainte et forcĂ©e, elle desserra les levres. L’homme introduisit son sexe aussitĂ´t et se mit Ă le remuer furieusement. La pauve fille s’Ă©tranglait, on avait le sentiment qu’elle allait finir Ă©touffĂ©e. Quand l’homme ressorti enfin son membre, elle se mit Ă tousser en cherchant sa respiration.
« Ce n’est pas fini! » Il l’a fit se lever et la retourna brutalement, la plaqua contre son bureau et souleva sa jupe. La pauvre Ă©tait manifestement sous le choc après ce qu’elle avait subie, et semblait dans un Ă©tat second.
L’homme adipeux la pĂ©nĂ©tra brutalement par derrière.
Elle poussa un grand cri.
L’homme soufflait comme un boeuf pendant qu’il s’agittait entre ses fesses. Elle poussait des gĂ©missements plaintifs en pleurant.
L’homme poussa un râle en se raidissant. Peu-après il recula et remis son pantalon, laissant la jeune fille en pleure sur le bureau.La directrice arreta le visionnage du film que lui avait remis Alexis Ă son retour de stage.
Elle avait beau savoir que la jeune fille sur l’Ă©cran Ă©tait en fait un garçon, elle avait eu du mal Ă garder son sang froid en regardant ces images. C’Ă©tait le cas Ă©galement de Mme SMITH, sa plus proche collaboratrice, qui avait vu le film en mĂŞme temps qu’elle.
« Quel ordure, si seulement je pouvais aller lui éclater les couilles » dit cette dernière en vrillant rageusement le talon de sa botte sur le sol.
« Patience, cela viendra. Peut-etre plus tĂ´t que vous ne le pensez. »Bien que farouchement fĂ©minite, la directrice Ă©tait touchĂ© par les souffrances extrèmes qu’avait endurĂ©es Alexis. Elle s’Ă©tait mise Ă rĂ©element apprĂ©cier ce jeune homme. Il Ă©tait intelligent, courageux, astucieux, loyal et surtout, ne se plaignait jamais. « Ce garçon n’est vraiment pas comme les autres » dit-elle Ă Mme SMITH. Elle le fit entrer dans son bureau »Je vous fĂ©licite pour le courage dont vous avez fait preuve lors des sĂ©vices que ce type vous a fait endurer. J’ai vu que vous avez Ă©normĂ©ment souffert, allez voir l’infirmière et prenez quelques jours de repos, vous les avez bien mĂ©ritĂ©s! » dit la directrice Ă Alexis sur un ton sincèrement dĂ©solĂ©.
« Mais je n’ai absolumment rien senti madame » lui rĂ©pondit Alexis en souriant.
La directrice était stupéfaite. » Mais je viens juste de voir les images. Ce salaud vous a violé sauvagement! »
« Quel mal aurait-il pu me faire avec sa petite saucisse? » dit-il alors en remuant le petit doigt.
Le visage de la directrice s’Ă©claircit. « Vous voulez dires que vous avez… SIMULEZ? »
« Oui, bien sur, durant tout le long. Vous vouliez que cela est l’air vrai, n’est-ce pas? »
Mme D caressa doucement le visage d’Alexis du dos de la main et lui dit: « Bravo ma Fille, c’Ă©tait parfait ».
Elle vit alors des larmes apparaitre au coin des yeux dujeune homme, pourtant si joyeux quelques secondes auparavant.
« Que se passe-t’il, il y a un problème? »
« Non, madame… c’est juste que vous m’avez appelez « MA FILLE »…. J’aurais tellement voulu en etre une… Si vous le permettez, j’aimerais me retirer.La directrice vit immĂ©diatement qu’Alexis ne feignait pas. Elle Ă©tait rĂ©ellement touchĂ©e par les soufrances qu’il avait endurĂ©s sans se plaindre, et par ses efforts pour ressembler Ă ue vrai femme. Elle s’en encquit auprès de Mme SMITH. « il faut faire quelque-chose pour ce garçon, il a bien mĂ©ritĂ© sa place parmi nous. »Chagrin d’amourEn la croisant dans le couloir, Mme D constata que Sophie, pourtant d’habitude si enjouĂ©e, avait ce jour lĂ l’air bien triste.
« Mlle Sophie, qu’est-ce qui passe? » »Rien Mme la directrice, tout va bien. » »Ne me racontez pas d’histoires. Je vous connais bien, et vous savez que je vous apprĂ©cie beaucoup. Je vois bien quelque-chose ne va pas. » »C’est Alexis… » » Ne me dites-pas qu’il a fait quelque-chose de mal! Il a rendu un Ă©norme service Ă la cause des femmes et cela m’ennuierais beaucoup de devoir le punir. C’est un brave garçon, et je tiens Ă vous dires que vous y etes pour beaucoup. » »Merci madame. Il ne s’agit pas du tout de cela. Je ne suis pas en train d’imaginer un nouveau moyen de l’humilier.
Je vois bien maintenant que c’est un chic garçon, mais je m’en suis rendue compte trop tard. J’ai Ă©tĂ© très injuste avec lui, très sĂ©vère, souvent mĂ©chante et cruelle. »
Sophie avait maintenu la tĂŞte baissĂ©e en disant tout cela.Mme D lui releva le menton : « Vous mademoiselle, vous ĂŞtes tombĂ©e amoureuse! Mais c’est merveilleux, il n’y a rien de plus beau que l’amour! » »Oui, si il est partagĂ©. » »Qu’est-ce qui vous fait croire qu’il ne partage pas les mĂŞmes sentiments que vous? » »Après tout ce que je lui ai fait subir? Il doit me hair Ă mort! Je ne peux pas lui en vouloir d’ailleurs, je ferais de mĂŞme Ă sa place…. Et puis, de toute façon, il doit etre devenu homo… Par ma faute en plus! » »Je suis certaine qu’Alexis n’est pas homosexuel. Pour ce qui est du reste, sachez que la haine et l’amour se rejoignent souvent. Ne desespĂ©rez pas. » »Soyez franche avec moi, Madame. Si vous deviez me dĂ©crire, que diriez vous de moi?
« Tout d’abord que vous etes très jolie. Sinon Ă part cela, je dirais que vous ĂŞtes, mĂ©chante, cruelle, vicieuse, perverse, maligne, capricieuse, mauvaise perdante et… Je crois que ce n’est dĂ©jĂ pas mal. »
« Merci madame, vous me remontez beaucoup le moral. »
« Mais vous ne voyez pas que je vous taquine? »
« Oui, peut-etre, mais au fond tout ce que vous venez de dire est vrai. Comment un garçon pourait tomber amoureux de moi? »
« Oh, vous savez, la psychologie masculine est beaucoup plus complexe qu’elle n’y parait. Pour beaucoup d’hommes, vous ĂŞtes la femme parfaite, et je ne m’Ă©tonnerais pas que ce soit le cas pour Alexis. »
« Vous continuez à me taquiner Madame. »
« Absolumment pas, je vous le promets. Gardez confiance. Et puis chassez moi ces mauvaises pensĂ©es et redevenez la petite PESTE que j’apprĂ©cie tant! »Suite Ă la diffusion « fortuite » du film ou on le voit violer une jeune stagiaire, le ministre de l’Ă©ducation est mis en examen. Un Ă©norme scandale Ă©clate. Le parti fĂ©ministe remporte les Ă©lections haut la main et propĂ©dagogie expĂ©rimentĂ©e dans l’Ă©cole Jeanne d’Arc va etre Ă©tendue au pays entier.REMISE DES DIPLOMES:L’annĂ©e scolaire est terminĂ©e et chacun se presse dans la salle des fetes pour assister Ă la remises des diplĂ´mes des Ă©lèves de 2eme annĂ©e. L’Ă©vĂ©nement revet un caractère d’autant plus particulier que l’Ă©cole ayant ouvert ses portes depuis seulement 2 ans, il s’agit de la première promotion terminant ses Ă©tudes.Tous les Ă©lèves et professeurs de l’Ă©tablissement, quelle que soit leur annĂ©e, sont rĂ©umis dans la salle. Comme il se doit, les garçons sont assis Ă mĂŞme le sol et servent de reposoir pour les pieds de leur maitresses respectives, qui elles sont confortablement installĂ©es dans des fauteuils moelleux. Les professeures donnent Ă©galement l’exemple en tenant en laisse leur mari.Après avoir rĂ©clamer le silence, la directrice prit la parole :
« MESDAMES MESDEMOISELLES et messieurs. C’est avec une grande Ă©motion que je prends la parole ce soir…
Après un long discours, les rĂ©sultats furent proclamĂ©s. Chaque laurĂ©ate fut appelĂ©e dans le sens inverse du classement et monta sur l’estrade pour recevoir son diplĂ´me. Les applaudissements, d’abords timides, montèrent crecesdo au fur et Ă mesure que l’on grimpait dans le classement, et finirent en standing ovation pour les premiers. Enfin, il faut plutĂ´t dire premières, car pas un seul garçon ne figurait dans le top ten.La directrice attendit que les d’applaudissement cessent pour reprendre la parole « Avant de clore cette cĂ©rĂ©monie et de passer au bal, j’aimerais rĂ©compenser 2 Ă©lèves de première annĂ©e qui ont eu un comportement particuliĂ©rement exemplaire. Je demande aux deux personnes suivantes de bien vouloir venir me rejoindre sur la scene : »Tout les Ă©lèves retinrent leur souffle en attendant les noms des Ă©lues. » Mlle SOPHIE LEPESTIER, et Alexis DUBOIS »Alexis crut avoir mal compris et resta tĂ©tanisĂ©. Sophie fut obligĂ©e de le secouer et du pratiquement le tirer par la main jusqu’Ă l’estrade. »Mlle LEPESTIER. De toutes les Ă©lèves ici prĂ©sentes, vous etes certainement celle qui a le lieux compris comment devait etre traitĂ© les membres du sexe masculins. Votre cruautĂ©, votre perversitĂ© et votre imagination sans pareils, ont permis des rappels Ă l’ordre dont toute la gente fĂ©minine a profitĂ©. Vous etes un exemple Ă suivre pour chacune de vos camarades. »Mme D calma de la main la salle qui avait dĂ©clenchĂ© un tonnerre d’applaudissements. »Ce n’est pas tout. Il y a maintenant 7 mois, vous avez pris sous votre aile un jeune garçon arrogant, prĂ©tentieux, et regarder ce que vous avez rĂ©ussi Ă en faire » dit-elle en dĂ©signant Alexis.
« Pour tout cela, j’ai le plaisir de vous decerner la mĂ©daille d’honneur de l’Ă©cole. Toute mes fĂ©licitations Mlle. Vous etes la première Ă qui elle est dĂ©cernĂ©e. »Mme D s’adressa ensuite Ă Alexis : »Comme je viens de le dire, il y a quelques mois vous Ă©tiez un jeune homme arrogant et prĂ©tentieux. Grace Ă la prise en main de Mlle SOPHIE, vous voici une toute personne. Mais tout le talent de votre maitresse n’aurait pas Ă©tĂ© suffisant si vous n’aviez pas vous-meme fait preuve d’un courage et d’une abnĂ©gation hors du commun. MalgrĂ© les quolibets et les moqueries, vous avez su rester digne et n’avez jamais baissĂ© les bras. »La directrice marqua une courte pause. »J’ai la rĂ©putation d’etre une femme dure, implacable, impitoyable, et j’en suis fière. Par contre, je ne suis pas une ingrate!
Je sais à quel point vous avez contribué à la cause féminine, ainsi que tout les effort que vous avez fait pour ressembler à une vrai femme. Pour tout cela, je vous félicite et vous remercie sincérement.
Jeune homme, c’est la dernière fois que je vous appelle sous le nom d’Alexis. Par votre comportement et vos actes, vous avez largement mĂ©ritĂ© d’etre considĂ©rĂ© comme une femme. »A compter de ce jour, vous etes officiellement ALEXIA DUBOIS.Après avoir laissĂ© Ă toutes le temps de prendre la mesure de ses paroles, Mme D demanda Ă Alexia de poser un genoux au sol et de lever la main droite.
« Jurer-vous de proner avec fierté la supériorité féminine? »
Je le jure.
« Jurez-vous de punir sans faiblesse vos soumis?
Je le jure.S’adressant maintenant Ă l’ensemble de la salle.
« Mlles…, Alexia est dĂ©sormais l’une des votres. Je vous demande de l’accueillir sous un tonnerre d’applaudissements! »C’est une vĂ©ritable standing ovation que reçue Alexia de la part de ses nouvelles camarades. Il est vrai que depuis le temps qu’Alexis Ă©tait travesti sans se plaindre, beaucoup de filles l’avaient peu Ă peu pris en sympathie.Mme D reprit : « Quand Ă vous messieurs, il me semble inutile de vous rappeler ce que cela signifie. A compter de cet instant, Mlle Alexia est une de vos maitresse et pourra se comporter comme telle. »Les garçons qui s’Ă©taient copieusement moquĂ©s d’Alexis baissaient les yeux. Il leur semblait dĂ©jĂ sentir le prix de sa vengeance dans leur bas-ventre. »Mlle ALEXIA, souhaitez-vous d’ores et dĂ©jĂ prendre un soumis sous votre coupe? »
« Oui Mme la directrice, Roger Delarue. »
« M Delarue. Venez vous agenouiller devant votre nouvelle maitresse! »
Roger Delarue s’avança tĂŞte baissĂ©e et vint s’agenouiller devant Alexia.
« Leches! » lui dit-elle séchement en désignant un de ses escarpins.
« Suffit maintenant! En position! »
« Saches Roger, que les filles aussi ont des dĂ©fauts. Le plus grand est surement celui d’etre très rancunières! »
Le coup de pied qu’elle lui dĂ©cocha dans les couilles l’envoya rouler sur le sol.Satisfaite du dĂ©roulement de la soirĂ©e, Mme D tendit ensuite le micro Ă Sophie. » Je voudrais vous adresser Ă toutes mes plus sincères remerciements. Je suis extrement touchĂ©e par l’honneur que vous m’avez fait. »
Sophie s’adressa ensuite Ă Alexia d’une voix Ă©tranglĂ©e, pleine d’Ă©motion. Mme D qui se trouvait pres-d’elle, pu mĂŞme voir les larmes qui lui montaient aux yeux.
« Alexia… Je sais que je n’ai pas Ă©tĂ© très gentille avec toi, c’est le moins qu’on puisse dire… On peut meme dire que j’ai Ă©tĂ© une vrai salope… » Sophie avait du mal Ă articuler.
« Je voulais juste que tu saches que ta prĂ©sence va me manquer. Je comprendrais que tu refuses, mais j’espère que tu accepteras d’etre mon amie. »Sophie fut incapable d’en dire davantage. Mme D lui reprit le micro qu’elle tendit maintenant Ă Alexia. »Ce soir est le plus beau de ma vie. Vous m’avez fait un immense honneur en m’acceptant comme une des votres. Je ne pourrais jamais assez vous remercier. »Après un temps d’attente, Alexia s’adressa Ă son ancienne maitresse :
« Sophie, je ne veux pas de ton amitié »!Un vent glacial parcouru la salle. Alexia posa de nouveau un genoux Ă terre. »Sophie, je suis tombĂ©e amoureuse de toi dès le premier jour ou tu m’as adressĂ© la parole. Je ne regrette pas un seul des instants que j’ai passĂ©s en ta compagnie.
Acceptes-tu de m’Ă©pouser? »Sophie fondi dans ses bras en pleurant. Toute la salle Ă©tait en dĂ©lire. MĂŞme Mme SMITH avait une petite larme Ă l’oeil.Mme D s’adressa de nouveau Ă Alexia :  » Il y a t’il encore quelque-chose que l’on pourrait faire pour vous? »
« J’ai bien une idĂ©e, mais je pense que ce serait ni faisable, ni très digne d’une jeune femme. »
Alexia se pencha vers la directrice et lui dit Ă l’oreille : « j’aimerais descendre dans la salle et assĂ©ner un bon coup de pieds dans les couilles Ă chacun des hommes prĂ©sents! »Mme D se mit Ă rire et lui rĂ©pondit de la mĂŞme façon :  » effectivement cela ne serait pas très convenable, mais surtout irrĂ©alisable. Je vous rappelle qu’il y a environ 250 paires de couilles dans cette salle… Par contre, vous me donnez une idĂ©e. »Reprenant le micro, la directrice s’adressa Ă la salle.
« Pour cloturer en beautĂ© ce spectacle et feter le futur mariage d’Alexia et de Sophie, je vous demande Ă toutes un……. BALLBUSTING GENERAL! »Hurlements de joie des filles, bientĂ´t suivi d’hurlements de douleurs des garçons. Toutes s’Ă©taient mises en devoir d’appliquer la demande de la directrice. MĂŞme les professeures frappaient Ă coeur joie l’entrejambe de leur mari, qui ne faisaient pourtant pas parti de l’Ă©cole, sous le pretexte qu’elles devaient donner l’exemple Ă leurs Ă©lèves. Certains garçons en couple depuis longtemps essayèrent bien d’amadouer leurs maitresses en jouant sur la corde sensible: « Mais chĂ©ri, on s’est mariĂ© il y a 3 semaines » qui se vit rĂ©pondre un « j’espères que tu ne t’es pas mariĂ© avec moi pour Ă©viter les coups de pieds dans les couilles?… Non…, je prĂ©fère. Alors qu’est-ce que tu attends pour Ă©carter les cuisses? » ou alors un  » tu m’avais pourtant dit que tu m’aimais! » auquel la jeune fille rĂ©pondit par « Mais oui je t’aime mon chou, mais j’aime encore plus t’Ă©clater les burnes! »Mme D s’adressa aux couples d’amoureuses : « Avez-vous dĂ©jĂ vu un spectacle aussi beau? »
« Non madame, c’est mieux que le plus magnifique des feux d’artifice ».Alexis et Sophie eurent ensuite envie de fuire le tumulte, et sortirent dans le parc main dans la main.
« Je pense que Roger Delarue a du souci à se faire. »
« Je le pense aussi… Surtout que je compte sur toi pour m’aider Ă le punir. »
Sophie sourit. « Ce sera avec un grand plaisir ma chérie. »
« Le pauvre, ma rancune et ta cruauté réunies contre lui. Il commence presque à me faire de la peine. » se moqua Alexia.
Sophie prĂ©cisa : « Mais Ă une condition, que tu m’apprennes Ă sucer. »Les deux amantes s’embrassèrent »Tu sais » lui dit Sophie, « Au dĂ©but, quand j’ai constatĂ© que cela ne semblait pas te dĂ©ranger d’etre habillĂ© en fille, je me suis demandĂ© si tu jouais la comĂ©die ou si tu Ă©tais une tapette. »
« Ah oui, et alors? » lui demanda Alexia intriguée.
« Maintenant j’ai la rĂ©ponse. Tu n’Ă©tait dĂ©jĂ qu’une petite tafiole! »
« Quand je pense que c’est une petite salope comme toi qui me dit ça, ça me fait mal ou je pense! »
Sophie repris un ton plus sĂ©rieux. « C’est vrai que je suis qu’une salope, cruelle et perverse comme tout le monde le dit? » lui demanda-t’elle en esperant interieurement qu’Alexia la contredirait.
« Dire le contraire serait un mensonge. En fait, moi qui te connais bien, je peux dire que tu es pire encore… Mais surtout ne changes pas. C’est comme cela que je t’aime!’
Sophie l’enlaça amoureusement. « Espèce de petite maso vicieuse! »
« Petite garce adorĂ©e » lui rĂ©pondit Alexia Ă l’oreille.
« Ne crois pas que le fait que je t’Ă©pouse va m’empĂŞcher de continuer Ă casser ton joli petit cul! » lui dit-elle sur un ton mutin.
« Mais j’espère bien. Pourquoi crois-tu que je t’ai demandĂ© en mariage? » lui rĂ©pondit Alexia en souriant.
« Attention, si tu me cherches, tu va me trouver! Prépares toi à souffrir! »
« Si c’est sous tes talons, je suis prete Ă souffrir toute ma vie. »FINEpilogueMaintenant considĂ©rĂ©e comme une vrai femme, Alexia changea complĂ©tement de look. S’en Ă©tait fini des tenues de petites filles ou d’adolescentes. C’est vĂ©tue de tailleurs et chaussĂ©e de talons aiguilles qu’elle passa sa dernière annĂ©e Ă l’Ă©cole. Elle se coupa Ă©galement les cheveux afin de former un carrĂ© inversĂ© d’allure plus stricte, et se laissa pousser les ongles.
Elle et Sophie continuĂ©rent leurs Ă©tudes ensembles, et devinrent enseignantes. Toutes les deux suivirent Ă©galement la formation de « Bourelle », leur permettant d’appliquer les punitions particuliĂ©rement cruelles prĂ©vues pour les fautes les plus graves.
L’ancienne directrice ne les avait pas oubliĂ©es, et leur proposa un poste dans une des nouvelles Ă©cole de la BONNE SM qui avaient fleuries sur tout le territoire, suite Ă la prise de pouvoir du partie fĂ©ministe. Sophie devint professeur de mathĂ©matique. Quand Ă Alexia, elle fut chargĂ©e d’enseigner aux futures jeunes maitresses l’art du dressage et bien sur celui de la fellation. Si cette histoire vous a plus, je suis en train d’imaginer une suite dans un cycle intitulĂ© « LA BONNE SM » © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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