En rentrant du travail ce mercredi soir, la voiture d’Ange est devant la maison. Jean voit Mr Ange sortir de sa maison suivi d’Alice.
– T’as toujours pas récupérer mon fric ? Alors je reprends ma compensation.
– Mercredi soir là , Alice quitte la maison avec encore plus de joie.
Une semaine passe monotonement pour Jean.
Le mardi suivant Alice rentre à minuit.
Elle n’est pas comme d’habitude, Jean le remarque aussitôt. Elle part dans la chambre et elle se met à pleurer. Jean est a l’entrée de la chambre, il lui demande :
– Que se passe-t-il, ma chérie ?
– Rien, rien, ça va passer.
– Mais enfin, tu pleures ? Explique moi, je suis inquiet.
– C’est pas grave, je ne sais plus où j’en suis, je suis dépassée
– Comment cela ?
– Avec tout ce qui c’est passé cette semaine, j’ai honte de te le dire !
Jean s’assoie à coté d’elle sur le lit, il passe Un bras sur ses épaules et l’attire prés de lui. Alice ce blottit contre son mari.
– Parle ? Dit moi ce qui va pas, je suis toujours là pour toi.
Alice est hésitante.
– Bon ? D’accord. Mercredi soir, je suis chez Ange. Tout ce passe formidablement bien, il me baise deux fois en me faisant très bien l’amour et nous avons bien dormi.
Le lendemain je vais faire des courses comme d’habitude.
Une fois de retour Ange vient m’ouvrir la porte. Il m’embrasse à pleine bouche sur le palier et j’entre dans son salon. Là stupeur, il y a trois copains à lui, ils sont noirs. Je veux ressortir, sentant un piège, mais il me dit qu’ils sont venus boire un coup à l’improviste et qu’ils s’en vont de suite.
Est-ce vrai ou pas, je n’en sais rien ! Le piège va-t-il se refermer sur moi ? j’espère que non.
Je ne suis pas très à l’aise, pourtant je suis habillée comme d’habitude quand je sort, sans sous-vêtements, là j’ai l’impression d’être nue devant cette assemblée de mâles en rut.
Il me demande de leur servir à boire à ses copains et de retirer ma robe pour être nue comme à l’accoutumée. Ses copains me reluquent, et allongent les jambes pour que je remonte haut mes jambes pour passer. Ils regardent mes fesses et ma chatte, je m’aperçois, que je commence à mouiller. La situation est très troublante. Ils font des commentaires sur son corps, ma façon de bouger, mes seins, mon cul et ça m’excite énormément. J’ai envie d’être baisée par Ange, mais pas par eux !
Je vais chercher de la glace dans la cuisine, Ange a fermé la porte, est venu derrière moi, m’embrasse dans le cou, j ‘adore ça, il commence à me caresser dans les cheveux, il me lèche le cou, puis une de ses mains m’effleure les bouts des seins, qu’il sait très sensibles, mes mains caressent son membre à travers son pantalon, il bande dur. Je défait sa ceinture, puis fait glisser sa braguette, son sexe jaillit, il ne porte pas de dessous. Ses copains sont à côté, ils ne peuvent pas nous voir et cette situation m’excite encore plus.
Il descend et m’embrasse le dos, il caresse ma grotte d’amour qui est en feu, mon bouton va exploser, il me lèche le cul, me doigte avec deux doigts de son autre main m’astique le clito, en moins de trois minutes, je jouis bruyamment.
Il se lève, m’embrasse, pose une main sur mon épaule, comme il veut que je le suce. Sa verge sortie de son pantalon, il me dit :
– À genoux et suce moi.
J’obéis tout de suite, j’aime comme il me domine. Sa queue est belle, elle est grosse et une grosse veine la parcourt tout le long. Je lui lèche le cou, puis le torse, le bout de ses seins, le nombril, son sexe énorme est au garde-à -vous. Il a les jambes serrées et m’oblige à m’accroupir les jambes ouvertes autour de lui, le dos collé contre l’évier. Il bande à moitié, je le prend délicatement entre mes lèvres. Je lui titille le bout du sexe, il râle, Je prend son sexe en bouche, Je lui astique le membre avec une main pendant que l’autre lui caresse les couilles, Je lui introduit un doigt dans l’anus. Je gonfle mes joues et les relâche pour créer un mouvement d’aspiration. Il gémit et semble apprécier son traitement. Je relâche sa bite pour aller sucer ses couilles. Elles sont grosses, j’aime les faire rouler entre ses lèvres. Je le reprend en bouche et commence à le pomper goulûment. Soudain il m’attrape par les cheveux et se met à me baiser la bouche. Je le laisse utiliser ma bouche.
La porte de la cuisine s’ouvre, ses trois copains, nous regardent et me complimentent quant à mes qualités de suceuse, gênée, je garde les yeux fermés, et me concentre sur ma tâche. Une main s’empare de mon sein droit, j’ouvre les yeux et je vois les trois blacks, nus avec leurs sexes droit et épais comme des bambous. Une autre main s’empare de mon sein gauche, puis je sens une langue venir lui titiller mon clito, et s’engouffrer entre mes lèvres intimes. Ange jouit brusquement enfoncé au fond de ma gorge, j’avale tout son sperme avec plaisir. j’adore le goût de son sperme. Je le rejoint car je jouis sur la langue du black qui s’est allongé par terre.
Je me relève, J’admire ces belles queues. Que faire ? j’en ai envie, mais est-ce raisonnable ? Le corps dit bien oui, mais la tête dit non. Je regarde Ange, il me fait oui de la tête, je lui répond non avec la mienne. Il secoue plusieurs fois sa tête pour me dire un oui autoritaire, j’abdique.
Je me soumet à sa volonté. Pourtant, comme venu d’ailleurs, je m’entend dire :
– On va dans la chambre, on sera mieux, non ?
J’en croit pas mes oreilles, c’est moi qui vient de dire ça !
Les quatre copains la suivent. Je m’assoie sur le lit, prend une queue dans chaque main, je les branle, le troisième vient se poser devant sa bouche, je sort ma langue et lèche ce bout de queue puis, je le gobe et le pompe.
Toute fois, ils ont des queues de longueur normale, mais par contre très large, ça promet.
Comme quoi tous les blacks ne sont pas montés comme des ânes ! Ange me soulève, il me fait mettre à quatre pattes sur le lit, pour être plus disponible. Il met sa langue dans ma grotte et me titille le bouton, je n’ai jamais été offerte à quatre hommes en même temps, rien que de penser à ça, cela me provoque un orgasme très fort, j’ai même du liquide qui s’échappe de mon puits d’amour, j’en tremble de tous ses membres
Ange m’allonge sur le lit, écarte mes cuisses en grand. Il admire ma moule rasée, Ange adore ça.
Cela semble lui plaire. Je suis trempée, il me le fait remarquer. Il me lèche la moule, grignote mon clitoris avec ses dents. Je tiens mes jambes écartées au maximum pour lui ouvrir mon intimité.
Le premier de ses copains s’approche, il bande, debout face à moi, écartée, je lui offre mon sexe à pourfendre. Ange s’écarte et son copain s’approche.
Il s’enfonce doucement, prenant possession de mon puits d’amour. Il agrippe mes seins et commence à me baiser doucement en me regardant les yeux dans les yeux. J’adore ça, je me sens soumise, saillie, disponible, objet. Je deviens une femelle offerte aux mâles. Il accélère pour bien me pistonner, je prend beaucoup de plaisir sous ses coups de boutoir. Il s’allonge sur moi et m’embrasse. Sa langue est intrusive, il prend possession de ma bouche. Je lui rend son baiser. Il continue à me faire l’amour en me labourant mon puits d’amour. Il me fait changer de position. Je me retrouve en levrette, cul offert. Il recommence à me baiser. Un autre vient se poster devant moi, il me demande de le sucer.
L’autre derrière moi commence à me claquer le cul tout en continuant à me prendre.
Il se crispe sur mes fesses chauffées, je sens les contractions de sa queue pendant qu’il remplit mon puits d’amour. Le deuxième enlève sa queue de ma bouche et s’allonge sur le lit, il me demande de venir m’empaler sur lui. Je grimpe sur cette queue très épaisse, mais pas très longue. Je commence un va-et-vient pendant qu’il me caresse la poitrine, le troisième larron derrière nous s’approche, glisse sa langue sur mon anus pour me faire une feuille de rose. Ange est devant moi, lui me demande de lui nettoyer sa bite, alors que je suis en train de me faire baiser et sucer l’anus je m’exécute. Ils me flattent les seins, la chatte et mon cul pendant que je m’applique.
Au bout d’un moment, incroyable, sa queue recommence à durcir.
Le troisième larron, vient d’arrêter sa feuille de rose il se rapproche de mon petit jardin secret,
j’arrête mon va-et-vient :
– Non ! Ange ? Non pas deux à la fois ! Je suis pas une pute.
– Tu es ma pute ! Vous pouvez la prendre à deux, Allez !
Donc l’autre s’introduit doucement, dans mon anus, centimètre par centimètre. Il se bloque, il a pris entièrement possession de mon petit jardin secret.
Je suis prise par mes trois trous. Je lâche la queue d’Ange pendant que les deux autres ont entrepris un va-et-vient infernal. Je sens leurs queues dans mes deux puits fait pour l’amour, la position est à la fois inconfortable, mais bigrement jouissive. Ils ne me font pas l’amour , ils me baisent. Je sens leurs queues grossir de plus en plus, je suis à la limite d’avoir la respiration coupée, ils accélèrent encore plus le rythme et jouissent l’un après l’autre. Ils se retirent délicatement, me retournent sur le lit, je suis épuisée.
Ange est devant moi au garde-à -vous.
Il me fait me lever, il me positionne face à la vitre, debout, jambes tendues, écartées, cul saillant. Il m’enfile par-derrière. Me voilà  debout, les seins écrasés contre la vitre, dominant la rue avec un homme qui me baise. Il est doux, il va-et-vient délicatement pour me faire jouir. Son gros sexe est rentrer dans mon petit jardin secret qui a l’habitude maintenant.
Mon Ange me susurre des mots doux à l’oreille.
– J’espère que tu es contente, je prends beaucoup de plaisir à te partager. Tu es une très belle femme et j’ai de la chance que tu veuilles bien offrir ton corps, je vois bien que tu aime te donner comme ça.
– Je veux que tu jouisses maintenant.
Nous jouissons en même temps.
Plus tard, après avoir repris notre souffle, après une longue douche je m’allonge sur le lit admirant les quatre hommes debout qui me contemplent.
L’un d’eux dit :
-Tu avais raison elle est docile, avec une belle poitrine.
– C’est une sacrée suceuse en plus ! Renchérit l’autre.
– Ça me redonne envie ? Dit le troisième, qui se rapproche de moi avec un sexe à moitié au garde-à -vous.                                                                                                                                                          – Suce-moi ! Dit-il.
J’obéis tout de suite, j’aime comment ils me dominent. Sa queue est belle, il bande à moitié et je le prends délicatement entre mes lèvres. Je lui titille le gland avec la langue, je remonte jusqu’à son pubis en le léchant puis je reviens vers le gland. Je le fais pénétrer doucement dans ma bouche puis plonge pour que le bout de queue caresse le fond de ma gorge. Je gonfle mes joues et les relâche pour créer un mouvement d’aspiration. Il gémit et semble apprécier mon traitement.
Je pense soudain à toi en train de bosser pendant que je suce une belle bite. Cette idée m’excite encore plus.
Je relâche sa bite pour aller sucer ses couilles. Elles sont grosses et j’aime les faire rouler entre mes lèvres. Je le reprends en bouche et commence à le pomper goulûment.
Le deuxième à repris de la fermeté, et vient se positionner devant ma vulve. Il s’enfonce sans problème, me lime avec vigueur pendant que le troisième s’est approché au garde-à -vous pour que je le prenne en bouche. Ils sont jeunes et pleins de force, ils vont m’épuiser. Je le prends dans ma main et accélère ma masturbation, ils grognent tous les trois de plaisir.
Quand ils sont parti, je fait la remarque à Ange qu’ils n’ont pas mit de préservatifs.
– Mes copains sont clean, et de toute façon tu te fera toujours baiser sans capote !
Maintenant je sais qu’il y aura d’autre fois ?
Puis le vendredi en début d’après midi dans la chambre, il me menotte aux barreaux du lit, je me trouve à quatre pattes nue bien sur ?
Je pouvais voir Ange dans le miroir derrière moi entrain de me sodomiser. Sur la droite un caméscope sur un trépied filme toute la scène. Je ne pouvais protester m’ayant aussi bâillonnée la bouche d’une boule de latex pour ajouter à ma soumission. Pour le site d’internet avait il dit.
Je dois me plier à tous ses caprices en m’humiliant. Son sexe m’envahissait entièrement, me pilonnant sans ménagement. Je sentais ses grosses mains sur mes hanches et fesses pétrissant mon corps afin de mieux me défoncer. La grosseur de son sexe est proportionnelle à son imposante musculature, et tel un robot il me baisait. Il arrêta et s’approcha de moi, promenant ses mains sur mon corps. Il s’assit au bord du lit, et prit mes seins dans ses mains, jouant avec.
– J’aime te regarder te faire baiser ma salope, et maintenant savoir que tu aimes cela ça m’excite encore plus. J’ai plusieurs connaissances qui attendent leurs tours rêvant de te sauter depuis des années, l’après midi va être longue.
Il me banda les yeux.
– Comme ça tu ne sauras même pas qui t’a baisé, ma chère salope.
Le salaud il avait sûrement invité ses potes. J’entendis la porte s’ouvrir, et la voix de mon Ange invitant ses invités à entrer .
– Allez y, elle est à vous, mettait des masques afin de garder l’anonymat sur le film, et ne parlait pas qu’elle ne reconnaisse pas votre voix.
Une première main se posa sur moi, une puis deux, puis d’autres, et plus encore. Je ne pouvais les compter. Ils me caressaient, me palpaient. Un premier sexe se frotta contre mon visage m’attirant à travers les barreaux de pied du lit. Mon bâillon fut retirer et tout de suite remplacer par un bâton de chair. Il coulissa vite doucement puis vite, pendant que une autre main s’était emparée d’un de mes seins, le triturant, malaxant. Un autre s’était glissé en dessous en me suçant l’autre sein.
Un autre homme s’était placé derrière moi. Il venait de placer son sexe entre mes deux fesses et faisait coulisser son membre. Un autre me palpait les fesses.
L’homme qui me tétait le sein se glissa entièrement sous moi, et enfonçant son sexe en moi. Il me pilonna coulissant son sexe rapidement dans ma chatte, alors que les autres continuaient de jouer avec le reste de mon corps. Combien étaient ils ? quatre où peut être cinq ? Qui étaient ils ? Amis, Collègues, Familles, inconnus ? J’étais leur jouet pour l’après midi, entièrement vulnérable, soumise, juste bonne à épancher leurs désirs. Une poupée de chair, qui aimait sentir ses membres en elle, sur elle, ses mains parcourir son corps. L’homme derrière moi entrant son sexe dans mon anus, doucement et profondément. J’étais prise en sandwich, avec en plus une queue dans ma bouche, et un autre sur le coté qui se masturbait dans mes cheveux. Un dernier homme de l’autre coté me palpait les seins tout en enfonçant sa langue dans mon oreille. Il chuchota…
– MMMMM ! Donne toi à fond ma chère voisine.
Un voisin ? Il avait invité un voisin, qui participait à ma déchéance !
Les autres continuaient, à me besogner, Ange devait sûrement être un deux, je ne pouvais pas l’imaginer simplement spectateur, ou était il ? Que faisait il ?
Un premier joui dans fesses, sortit son membre de mon anus, il fut vite remplacé par celui qui se branlait dans mes cheveux. Moins gros mais tout aussi actif, il me sodomisa à son tour, tel un animal. Le voisin continuait à me lécher l’oreille, je le soupçonnais de vouloir me prendre en dernier. Celui qui était dans ma bouche, agrippa mes oreilles et gicla enfin son sperme dans ma bouche. Prisonnières de ses mains, je suis forcé d’avaler sa jouissance. Le nez dans ses poils pubien son sperme descend dans mon œsophage.
– Allez ma salope bouge toi, remue ton cul de cochonne ! Me dit Ange.
Il était donc celui du dessous qui me baisait. Il faisait preuve d’un acharnement démoniaque, me baisant rapidement ou lentement en alternance. Le voisin avait pris la place vacante, entrant son membre dans ma bouche.
Une troisième fois, du sperme se répandit sur moi. Le troisième homme ayant à nouveau giclé dans mes fesses. IL ne restait plus que Ange et le voisin. Ce dernier libéra ma bouche et se plaça derrière moi. Son sexe m’envahit la petite porte de derrière pendant qu’Ange continuait à me limer. Les deux hommes me baisaient comme des bêtes sous les paroles injurieuses d’Ange. L’un était le deuxième homme de ma vie, l’autre était un voisin inconnu, et ils me partageaient pour mon plus grand plaisir. Quand je sentis leurs spermes ce rependre dans mes deux puits d’amour, je fut terrassée par un formidable orgasme.
Puis il me détacha, je m’écroulais sur le lit sans avoir l’esprit d’enlever le bandeau de mes yeux ; le silence régnait dans la chambre quand je suis revenue à moi, plus de caméra et plus personne.
– Tu as dû être blessée dans ton amour propre, ma chérie ?
– Avant oui, mais après, j’étais juste une femme qui se faisait prendre par des hommes. Mais ensuite, je me suis posée beaucoup de questions, mais nous en reparlerons … à la fin de mon histoire.
– J’en ai parlé avec Ange et il m’a rappelé qu’il m’avait prévenue qu’il allait me pervertir et que ce après midi, c’était seulement un avant goût. Alors, il m’a allongée à plat ventre sur la table de la salle à manger et il m’a sodomisée longtemps et j’ai encore jouis.
En fin de l’après midi il me tend une jupe.
– Voici la tenue dans lesquels j’aimerai te voir ce soir.
Je vais donc dans sa salle de bain me maquiller et me changer. Je me retrouve vêtue d’une mini jupe noire fendue sur le coté, un haut rouge totalement transparent. Et évidement des bas, un porte-jarretelles. Habillée ainsi je suis hyper sexy. Je mets mes escarpins rouges à talons aiguilles, un imperméable rouge fermé et je m’apprêtes à partir. Mais je ne vois pas Ange dans la maison ?
Mon téléphone sonne, c’est Ange:
– Viens me rejoindre a notre bar habituel, je suis avec des amis !
– Si tu veux mais … Je porte ce que tu m’as offert…
– Raison de plus, allez arrives ! Et il raccroche.
Dans le bar, je le trouve dans un coin derrière un paravent en compagnie de deux hommes d’au moins soixante ans. Je remarque tout de suite qu’ils ont un peu bu. Un cocktail m’attend déjà sur la table ronde en face d’Ange.
Il fait les présentations.
– Allez, bois vite, j’ai commandé une bouteille de champagne.
A peine mon verre avalé que, déjà , une coupe de champagne est devant moi.
– Tu n’as pas chaud, enlève ton imper. Aller santé !
J’attends de finir mon verre pour me mettre à l’aise. Mais déjà il me relance pour l’imper tout en me réservant une coupe. Je l’enlève donc.
Les deux hommes ouvrent de grands yeux me voyant dans cette tenue. Leur regard s’est fixé sur ma poitrine visible seulement du haut transparent rouge .
– Allez, avale ton verre que je te le remplisse. Tu as vu tu fais de l’effet à mes potes. Ils te déshabillent du regard !
– Ça me gène qu’ils me matent comme ça, je vais remettre mon imper. Que je lui réponds.
Je sens l’alcool qui commence à me faire de l’effet et je commence à comprendre qu’ils veulent me saouler. Mais il est un peu tard, j’ai déjà bu au moins six verres depuis le milieu de l’après-midi. Il faut que je reste vigilante !
– Vous avez vu, elle sait se mettre en valeur ma nouvelle copine ! Pour trente ans, elle bien foutue !
– Vous pouvez vous permettre de vous habiller ainsi, avec corps que vous avez. Vous êtes très belle, Alice. Me dit un de ses amis.
– Merci.
– Et le bas vous portez quoi ? Faites nous rêver !
Ange répond immédiatement :
– Elle porte des bas et un porte-jarretelles. Vous voulez voir ?
Les deux hommes rapprochent leur chaise de moi. Ange, lui, m’écarte doucement les cuisses avec un pied et me caresse mon entrecuisse.
– C’est osé de sortir comme ça toute seule dans les rues la nuit. Vous n’avez pas peur de vous faire violer ? Vous êtes une belle allumeuse !
Étant de plus en plus saoule, je ne remarque pas que j’ai beau boire, mon verre et toujours plein.
– Ce n’était pas prévu que je passe ici.
– Enfin, tu t’es vite montré comme ça ! Oui ou non ?
– Euh, oui.
Ange accélère le mouvement de son pied ce qui m’excite au plus au point.
Les deux vieux ont, maintenant, collé leur chaise à la mienne. Ils me font passer les bras délicatement derrière mon dossier pour me les bloquer.
– Qu’est-ce que vous faites ?
– Simple précaution, mais comme t’es un belle petite salope tu va te laisser faire, hein ?
Ils sortent, sans difficulté, mes seins et les triturent sur mon haut transparent.
– Non, arrêtez, laissez….. Ai-je tenté de dire avant qu’une langue pénètre ma bouche et me roule de longues pelles.
– Ça te plaît comme situation, ma petite cochonne. Allez je prends quelques photos souvenir.
J’ai juste le temps de dire non que déjà l’autre langue se fourre dans ma bouche. Sous l’emprise de l’alcool je subis avec une certaine jouissance.
– Allez on va chez toi Ange, je pense qu’elle est prête pour qu’on la tringle cette allumeuse. T’es prête Alice ?
– Si vous voulez. Je lui réponds d’une voix hésitante.
– Tu mouilles et t’as les tétons en feu. T’es prête à te faire défoncer ma belle !
Ils se lèvent tous les trois et m’aident à marcher une fois l’imper remit mais ouvert. Ange n’habitent pas loin du bar alors nous y allons à pied.
Arrivés dans la maison, nous nous asseyons dans le canapé. Un des vieux se met derrière le canapé, et s’occupe de mes seins. Il glisse ses mains sous mon haut. Ensuite m’ôtent mon haut et ma jupe puis m’attachent sur une chaise, les bras dans dos pour faire ressortir la poitrine au maximum et les jambes écartées.
Ça sonne à la porte et deux autres hommes rentrent.
– Vous avez commencé sans nous. C’est une belle femme que tu as ramenée, Ange !
Ils m’avaient titillée toute la soirée et avec l’alcool je me laissais faire mais maintenant l’effet s’estompe et je reprends mes esprits. Mais il est trop tard !
Une langue a trouvé mon clitoris et joue avec, mes seins sont torturés et tétés. Je cherche les deux autres hommes, je ne tarde pas à les trouver. Ils me tirent les cheveux en arrière pour que j’aie la bouche à la hauteur de leur sexe. Ils la forcent, au début avec une bite, puis rapidement avec deux.
Au bout d’une bonne demi-heure, ils me laissent pour boire un coup.
– Détache moi, mon amour je ferai ce que vous voulez !
– Mais tu va faire ce qu’on veut !
Je me retrouve vite avec une sorte de poire d’étouffement dans la bouche.
– On te détache, mais on te rattache. Ah, ah, ah !
Ils me ligotent les bras très haut dans le dos, me cale sur le canapé et deux hommes m’écartent les jambes à cent quatre vingt degrés. Mes lèvres s’écartent et le plus vieux me broute carrément la chatte en m’enfonçant un doigt dans l’anus. Mes tétons sont toujours martyrisés. Ensuite ils décident de me mettre debout et avec mes escarpins je suis à leur hauteur pour me pénétrer par devant et par derrière.
Jusqu’au petit matin ça a duré. Je ne te raconte pas, car j’en suis incapable, qui m’a fait quoi et comment mais je suis certaine qu’ils m’ont tous baisée et enculée chacun leur tour et que tous ont éjaculé dans ma bouche et dans mon cul. Ils m’ont fait jouir plusieurs fois, quatre où cinq fois.
J’ai vu Ange faire quelques photos et quelques petits films avec son téléphone.
– Ça ta plut ? Me demande un vieux en me pinçant un téton jusqu’à temps que je fasse un signe positif avec la tête.
Puis tous les amis d’Ange partent alors il me libère.
– T’as bien joui, hein ma petite Alice. Vas te laver. Ce que je fais au plus profond de moi.
J’étais pleine et couverte de sperme. Je me suis endormis sur la balancelle nue. Je ne me suis réveillée que vers midi.
– J’en suis tout retourné ! Donc tu t’es fait baiser quatre inconnu et on ne sait pas qui es le voisin mystérieux ?
– Oui, mais attend la suite …
– Quoi ! Encore ?
La suite demain soir même heure
Sam Botte