Avant, j’étais timide…
Jamais je n’aurais cru être capable d’agir ainsi. Et pourtant, ce délicieux Adonis rencontré sur Internet m’a ouvert de nouveaux horizons…
Proposée le 3/12/2017 par Camelia Xiocaled Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
A 28 ans, j’étais une jeune femme plutôt farouche et sans grande expérience. J’avais été mariée onze ans avec le premier homme que j’avais rencontré, et nos caractères et aspirations ayant évolué différemment, nous venions, après plusieurs mois très chaotiques, beaucoup d’incertitudes et de doutes, de prendre l’ultime décision et d’entamer une procédure de divorce. Solitaire, amoureuse du silence, de la nature, préférant observer le monde et garder une grande distance avec la foule et les lieux surpeuplés, je craignais les hommes, préférant les fuir, et surtout je n’avais aucune confiance en moi. Malgré tout, et bien que je n’en fut pas consciente, j’opérais un certain charme sur les mâles. Mais un peu ronde, je me trouvais dix kilos de trop, et trop petite du haut de mon mètre soixante. Cependant, au milieu de tout cela, j’avais un joli sourire, de grand yeux verts, de longs cheveux blonds naturels, brillants et soyeux, de longues mains fines et l’ensemble de mon corps, les hanches larges et la poitrine généreuse était plutôt harmonieux. Nous nous sommes rencontrés sur Internet, j’y passais une grande partie de mes journées et de mes nuits sur le net, mon métier, webdesigner, m’y conduisant naturellement. Nous jouions au même RPG en ligne, et j’étais l’un des joueurs fondateurs, inscrit le premier jour, ainsi que l’un des membres fondateur de la guilde dans laquelle je jouais. Notre premier contact a été un message privé, me demandant des informations pour rentrer dans la guilde. C’est ainsi qu’il arriva parmi nous, un jour de septembre, et que j’en appris plus sur lui.Il avait 28 ans également, célibataire, sportif de haut niveau : il pratiquait l’athlétisme en général et le triathlon en particulier, et les photos qu’il nous montra, mettait remarquablement en valeur sa musculature sèche et bien développée. Le visage en lame de couteau, crane rasé, mince et grand – environ un mètre quatre-vingt cinq. Sur le début, bien que de l’aveu des amies qui jouaient avec nous, il était sexy, il ne m’a pas plu, son crane rasé, notamment, me bloquait. Pas mon type d’homme, en fait. Il habitait a environ 200 kilomètres de chez moi, puisque j’habitais a l’époque Nantes, et lui vivait au Mans. Nous discutions sur le forum du jeu, jouant souvent de jeux de mots idiots, mais c’était général, et sans arrières pensées.Pourtant, un soir, je le vis se connecter sur messagerie instantanée, comme tous les soirs vers la même heure. En général, nous l’utilisions peu, n’ayant pas de conversations d’ordre privé. Mais ce soir-là, je vis clignoter la fenêtre, et curieuse, je cliquais sur la fenêtre pour voir ce qu’il racontait.- Coucou, tu es là ?
– Coucou, oui !
– Ca va toi ?
– Oui et toi ?
– Super merci !S’ensuivit une conversation anodine sur le sport, son entraînement de vélo, ma journée, etc… Je ne vis pas le temps passer, et plusieurs heures plus tard, nous nous quittâmes pour rejoindre Morphée.
Le lendemain, il se reconnecta a la même heure, et nous entretînmes une conversation aussi banale que la veille. Cela dura plusieurs semaines, et plus j’apprenais a le connaître plus il me plaisait, contre toute attente : son amour de la terre et du sport nous étant commun.Un soir de Novembre, la conversation prit un autre tour. Alors que nous parlions simplement, il me proposa d’allumer les webcams. Sur le coup, je refusais. Il était tard, et je ne portais que ma nuisette en soie et un peignoir assorti, et je ne voulais pas qu’il me voit comme cela. Curieux, il voulut savoir pourquoi j’avais refusé, et gênée, je lui expliquait que j’étais en chemise de nuit. Sa réponse ne se fit pas attendre, et un jeu, dangereux, mais excitant, commença ….- En chemise de nuit ? Quel genre ? Tu es plutôt coton et polaire ou satin et décolleté ?
– Plutôt nuisette, en fait. (Je n’osais répondre directement a sa question …)
– Ah mais ça répond pas a ma question ça ! Tu veux savoir ce que moi je porte ?C’est sûrement là que j’aurais du arrêter, mais j’étais curieuse.- mmmh, pourquoi pas ?L’icône webcam clignota, et la requête acceptée automatiquement, afficha une image sur mon écran. La mise au point se fit et je le découvrit, torse nu, en caleçon, nonchalamment installé sur son lit. Il souriait.- Alors ? Qu’en penses-tu ?J’en pensais qu’il était vraiment bien fait de sa personne, mais je ne me voyais pas lui avouer ça.- Pas mal !
– Alors, à ton tour, si tu me laissais voir cette nuisette que je saches dans quel camps tu es ?
– Quel camps ? (j’essayais pathétiquement de gagner du temps)
– oui, si tu es une mémé avant l’âge, si tu es le genre simple et anodin, ou le genre coquine sexy.Je rougissais. La nuisette de soie noire m’arrivait à mi-cuisse et était entièrement brodée de fils de soie blanche, la dentelle qui ornait la poitrine étant également blanche, tout comme le peignoir assorti, blanc, brodé de noir. Je rentrais sans nul doute dans la dernière catégorie, sauf que aucun des deux adjectifs ne pouvait s’attribuer a moi, qui fuyait le sexe, détestait être touchée, et surtout me trouvait affreuse.- Tu es toujours là ? T’es pas obligée si ça te gêne.J’avais laissé un blanc tout en réfléchissant. Je décidais, contre toute attente, de me lancer. Au lieu de répondre, je cliquais sur l’icône webcam. Il accepta la requête, et je me vis apparaître sur l’écran. Aussitôt, il sourit. – Tu es superbe. Je peux te poser une question ?
– Oui, mais je ne te promet pas d’y répondre.
– Tu fais combien de tour de poitrine ?
– A ton avis ? (je rentrais dans son jeu)
– je ne sais pas, je dirais, comme ca, 90C ?
– perdu.
– Ah ! Et tu vas m’aider a deviner ?
– Je ne sais pas, tu veux quoi comme indice ?
– Ben, tu peux me montrer, ça m’aiderait !Bizarrement encore, je m’aperçus que ça me plaisait, et faisant taire ma conscience qui me disait que je sombrais certainement dans la folie, je décidais de lui montrer. Doucement je fis glisser le peignoir, dévoilant mes épaules, et fit glisser lentement les fines bretelles de dentelle. Faisant glisser mes mains sur ma peau, je fis descendre la dentelle du haut de la nuisette, dévoilant ma généreuse poitrine, que je pris a pleine mains pour la placer a son avantage.- mmmh effectivement, c’est plus que du 90C. 95D ?
– Gagné.
– Tu sais que tu me fais un effet terrible ?
– Ah ? (je m’abstins de lui avouer que ça commençait à m’en faire aussi…)Sans répondre il fit pivoter sa webcam, et je vis son caleçon déformé par une bosse de taille respectable. Il passa la main sur son caleçon. La fenêtre se remit a clignoter. – Tu veux que je te montre ?Une bouffée de chaleur m’envahit. Sans aucun doute possible, il me proposait de se mettre nu devant sa webcam. Je ne savais que dire. Je sentais bien que son corps dénudé, le vue de l’effet que je produisais sur lui, faisait monter la chaleur dans mon corps, et surtout je sentais mon entrejambe se mouiller inexorablement. Je sentais déjà le sang battre dans mon clitoris, signe précurseur que je n’allait pas résister très longtemps a l’envie de me caresser. Nouveau clignotement.- Je te montre si tu me montres.Nouvelle bouffée de chaleur.- Ok.Ma réponse qui apparut sur l’écran me sidéra moi-même. Je ne me reconnaissait plus !Posant son portable de coté, il se leva et fit glisser lentement son boxer noir. Son sexe en sortit, érigé et manifestement bien dur, les testicules gonflés, imberbe. Le gland, épais et turgescent, brillait la lumière, il mouillait. De mon côté, je sentis la mouille couler sur ma cuisse. J’étais excitée, et surprise de l’être. Jamais un homme ne m’avait fait cet effet-là.A mon tour, je me levais, posait le portable en équilibre, et entrepris un strip-tease. Je fis glisser mes mains sur mon corps, remontant la soie sur mes cuisses, de plus en plus haut, je me déhanchait suavement, me penchant en avant, lui donnant une vue imprenable sur ma poitrine ou mon sexe. Il bandait, et commença à se masturber doucement. Manifestement, bien que je me trouvais bien peu sexy, je l’étais plus que je pensais. Je décidais de continuer le jeu, et fit glisser en appuyant mes deux mains bien a plat sur ma peau, la nuisette jusqu’à mes chevilles. Il put alors me découvrir entièrement nue. Je fit glisser mes mains sur ma peau, remontant sur mes cuisses, effleurant mon bas-ventre, intégralement épilé, et revint a mes seins. Les pointes en étaient dures, presque douloureuses, et je les saisis entre le pouce et l’index, les faisant rouler entre mes doigts. La vue de sa main coulissant sur sa hampe, l’expression de son visage, ses yeux brillants, je sentais l’excitation devenir de plus en plus palpable. Je m’aperçut que j’aimais le jeu. La fenêtre clignota a nouveau, il pianotait d’une main.- Tu es super belle. J’adore tes formes, ton corps, tu as des seins superbes et te voir les toucher me rend fou, j’adorerais les caresser, les sucer, sentir les pointes dans ma bouche, t’exciter, te faire mouiller….Je fermais les yeux, et continuais à faire courir mes doigts sur mes seins. Ils étaient de plus en plus tendus, et je mis l’index dans ma bouche, le suçant doucement puis le frottant énergiquement sur la pointe de mes seins.. Quand je rouvris les yeux, je le vis en train de se masturber à un rythme beaucoup plus soutenu, et la fenêtre clignotait a nouveau.- Tu m’excites, ça me rend fou. Caresses-toi, je suis sur que tu mouilles et que tu as autant envie que moi.C’était vrai. J’avais toujours rêvé d’exciter un homme comme ça, et soudain j’eus envie de l’exciter encore plus. J’écartais largement les jambes face a la webcam, lui offrant la vue sur mon sexe lisse. Puis je fis glisser un doigt sur mon sexe, le fit pénétrer, puis remonter, couvert de mouille, sur mon clitoris. Prenant garde a lui offrir la meilleure vue possible, je décalottais la chose, et entrepris de la branler. C’ était chaud, mouillé, doux et tellement excitant, le spectacle de la webcam, l’homme excité, son sexe gonflé, sa main effectuant de rapides va-et-vient, tout cela me rendait folle.D’une main, je me mit a pianoter.- mmmhm tu m’excites. Tu vois comme je mouille ? J’ai jamais mouillé comme ca.
J’ai très envie de toi. J’ai très envie de ton sexe et que tu me prennes. J’ai envie de tes mains sur mes seins, de ton pénis bien dur qui glisserait le long de mon ventre, effleurerait mes lèvres, coulisserait dans mon sexe détrempé. Tu pourrais me faire jouir si facilement…
– Je voudrais te voir jouir. Je voudrais jouir pour toi.Je le vis accélérer les mouvements.- Vas-y ma belle, je vais jouir pour toi et je veux que tu viennes avec moi.J’abandonnais le clavier, et les yeux rivés sur l’écran, je recommençais a me caresser la poitrine d’une main et le clitoris de l’autre. Je sentais la jouissance monter, et je ne retenais plus mes gestes, les sensations étaient exquises, je sentais mon sexe trempé, j’avais terriblement envie du membre que je voyais a l’écran, et bien que je sache que j’allais avoir un orgasme, j’aurais aimé que ce soit lui qui me l’offre, son sexe tendu dans le mien, et jouir en sentant son sperme m’envahir. Au moment précis où j’accélérais mes mouvements, je le vis partir en long jets, et je fermais les yeux, la main entre mes cuisses, m’abandonnant à la sensation, les reins en feu, grande ouverte, je me masturbais furieusement, et je sentis la jouissance monter, inexorable. J’eus un orgasme violent, perdant le contrôle, je poussais un long cri.Reprenant mes esprit, je vis la fenêtre clignoter. Il souriait a la webcam.- On m’a jamais fait ça, tu es belle quand tu prends du plaisir. J’ai eu un orgasme monumental.Je revins au clavier.- J’aurais voulu que tu jouisses en moi.
– Si tu as envie on peut se voir. Ce week-end, je suis libre.C’était folie. Nous étions mercredi, je me dit que je pourrais toujours changer d’avis, quand l’excitation retombée, et la honte m’envahissant, je n’oserais plus le regarder en face. – D’accord. Où et quand ?
– A Angers, il y a un petit hôtel très sympa. Vendredi soir à 20h. Tu en penses quoi ?
– D’accord.
– Je te donne l’adresse demain.
– D’accord.
– Ca va ? Tu as l’air groggy.
– Non, je suis fatiguée.
– A demain alors, va te reposer un peu.
– A demain. Bonne nuit !La conversation s’arrêta là. J’étais effectivement groggy, je ne me reconnaissais pas. J’avais eu un orgasme devant une webcam, avait accepté un rendez-vous pour ce qui ne serait selon toute probabilité qu’une histoire sans lendemain. J’ignorais encore si j’allais le faire. La nuit portant conseil, je décidais d’aller me coucher.
Le lendemain, à la même heure, il était là. J’étais partagée entre l’envie de renouveler l’expérience, la honte, et la curiosité. Je n’avais pas encore décidé de ce que j’allais faire le week-end. Là aussi j’oscillais entre envie et trouille. La fenêtre de conversation ne mit pas longtemps a clignoter … j’avais cette fois prévu et donc revêtu l’une de mes plus jolies nuisettes de satin, couleur marron glacé avec des incrustations brodées couleur chocolat. Elle avait un profond décolleté retenu par des lacets également chocolat. J’avais mis la matinée a profit afin de me mettre en valeur : gommage, épilation complète, soin, manucure, etc …La conversation commença sur un ton badin, mais cela ne dura pas longtemps. Nous revînmes vite sur nos échanges de la veille, leur simple évocation provoquant un émoi certain de part et d’autre. Très vite, il m’avoua que je l’avais hanté depuis, et qu’il avait hâte d’être au week-end. Innocemment, il me transmis l’adresse, puis me proposa le vendredi soir, 20h … sans réfléchir, j’acceptais, j’en avais envie finalement. Pourquoi se priver après tout …. Il lança sa webcam. Une bouffée de chaleur m’envahit. A mon tour je lançais la mienne, et nous nous découvrîmes a nouveau. Il était torse nu, ses muscles saillaient, luisants, son sourire étincelant lancé a l’oeil unique de sa camera, il me fit un clin d’œil. Je n’arrivais pas a le quitter du regard. – Elle est jolie cette nuisette ….
– Elle te plaît ?
– Beaucoup. Mais beaucoup moins que ce qu’elle cache … Tu joues les coquines ou tu as quelque chose dessous ?
– Allez, devine ! Tu as une chance sur deux !
– Je paries sur rien !
– possible ….
– ah, mais il faut que tu me montres si j’ai gagné mon pari ou pas …Adressant un sourire espiègle à la caméra, je me levais et fit glisser lentement le bas de la nuisette sur ma hanche, lui dévoilant ma peau fine et presque blanche. Je le vis sourire et vis sa main glisser de sa hanche ou elle reposait nonchalamment vers son entrejambe, dont la bosse était perceptible, même sur l’image sans qualité de la webcam.Debout, les jambes jointes, dos tourné a la camera, mais sans quitter l’écran des yeux, par dessus mon épaule, je fis remonter la nuisette sur mes fesses, dévoilant leur peau sans défaut, lisse et tendue. Doucement, je me mis a danser pour lui, tout d’abord de subtils mouvements du bassin, mettant en valeur mes hanches larges et mes fesses rondes … puis d’un mouvement souple, je fis face à la caméra, j’avais dans le mouvement relâché le tissu.Il se caressait a travers le tissu, ses yeux brillaient de convoitise et il se mordait les lèvres. La lueur de son regard ne trompait pas, pas plus que l’émotion visible contenu dans son boxer – plus pour très longtemps a priori …. J’entrepris de le chauffer encore.Face à la caméra, je portais un doigt a mes lèvres que je léchais langoureusement, puis tout en me déhanchant, j’écartais les jambes petit a petit, et me penchais en avant sensuellement, donnant une vue plongeante sur ma poitrine généreuse. Les lacets, lâches, se détendirent dans le mouvement, et les fines bretelles glissèrent subrepticement, dévoilant la peau diaphane de la naissance de la gorge. Mes seins, tendus a en faire mal sous le tissu qui se relâchait au rythme du balancement que leur imposait ma danse lascive, apparurent progressivement dans la découpe de la nuisette, laissant voir des tétons tendus, écarlates, aux pointes érigées et dures. A l’instant ou mes seins apparurent à l’image, il souleva ses fesses, ôta son boxer, puis fit glisser ses doigts sur sa verge tendue. Il entama de lents va-et-vient , caressant toute la hampe, s’attardant sur le gland …. la vue de cet homme se caressant sans pudeur, finit de me mettre en transe, et me redressant, tout en ondulant mon corps langoureusement, je laissais les bretelles de ma nuisette tomber sur mes bras. Mes doigts, humidifiés de ma salive, glissèrent sur mes cuisses, puis sous la nuisette, que je remontait largement, exposant sans pudeur à la vue mon sexe imberbe, les lèvres écartées, les cuisses luisantes de mon humidité, le clitoris gonflé …. Je le vis accélérer ses mouvements sur son vit tendu, une expression d’intense concentration sur son visage. Nous nous observions avec avidité, nos situations de voyeurs nous excitant autant l’un que l’autre. Tendant la main vers ma table de nuit, j’ouvris le tiroir dans lequel le rangeais mes jouets personnels réservés a un usage intime … personne ne savait que j’avais ces petits accessoires, mais bizarrement, lui, cela ne me gênait pas qu’il le sache. Je saisis mon gode en latex réaliste d’un air gourmand. Je le vis écarquiller les yeux, puis sourire largement et continuer les caresses sur son sexe. Il bandait fort, son sexe de taille tout à fait normale au repos, était cependant d’un diamètre tout à fait respectable sous l’effet de l’excitation. Imaginer ce sexe bien dur coulisser entre mes lèvres me fit mouiller encore davantage. Avec lenteur, je portais mon jouet à ma bouche, le suçait, le léchait, tout en regardant la webcam bien en face. Je le vis fermer les yeux un court instant, puis revenir a l’image, le regard fiévreux. Son sexe semblait grossir encore, et je sentis l’humidité se transformer en liquide et s’écouler entre mes jambes écartées. Sans plus attendre, je portais une main a ma poitrine, saisis un téton dur, le pinçait, tout en faisant glisser le gode entre mes jambes, puis effleurer mes lèvres et glisser dans mon sexe détrempé. Le passage sur mon clitoris gonflé, puis la sensation de pénétration alors que je désirais l’homme, inaccessible, qui se branlait vigoureusement sur mon écran, me mit en transe et je jouis dans un long cri libérateur. Je le vis ralentir, tenter de faire durer son plaisir. J’avais envie de le voir jouir, je décidais donc de changer de position …Tournant le dos a la caméra, j’écartais les jambes, impudique, de façon a ce qu’il ait la meilleure vue. Puis je fis glisser le gode plus en arrière, le posant a l’entrée de mon cul … d’un regard a mon écran, je vis qu’il ne tiendrait pas longtemps. Poussant plus avant, je m’enculais de mon gode, et instantanément, le même plaisir me submergea, intense. Je n’avais jamais pratiqué la sodomie « en vrai » et l’épisode que je vivais m’en donnait très envie. Il ne résista au spectacle que je lui offrais : bouche ouverte, jambes écartées, un godemichet entre les fesses, la main sur mon téton, je le vis partir en longs jets puissants, la jouissance peinte sur son visage acheva de m’exciter complètement, et je jouis également, lâchant un long jet de cyprine. Je criais.Nous restâmes pantelants tous les deux pendant quelques minutes, nous observant nous remettre de nos émotions. Cependant, bien que j’avais joui plus puissamment que jamais, c’était d’être pénétrée par un homme dont j’avais besoin, et la frustration était palpable. Je le lui dit, et il me répondit ressentir la même chose. Nous continuâmes a discuter de tout et de rien, mais surtout de sexe, puis souhaitant être déjà au lendemain, nous allâmes tous deux prendre une bonne douche, avant d’aller nous reposer … Mes rêves ne seraient peuplés que d’érotisme. Le lendemain, c’est fiévreuse que je m’éveillais vers midi. L’excitation contenue des deux soirées précédentes me rendait fébrile. Je savais que je ne le verrais pas sur le net ce jour-là car, il avait un entraînement. Nous nous étions donné rendez-vous dans un hôtel à 20h, le premier arrivé prenant possession de la chambre.Je préparais mes affaires, tenues, sous-vêtements, quelques surprises pour lui, des bougies et des préservatifs, de l’huile de massage. Puis je filais dans la salle d’eau, et pris une douche chaude. Je sentais ma peau palpiter sous mes doigts. Il m’avait excité, et je ne pensais qu’a lui. Je voulais qu’il me prenne, qu’il me fasse jouir et crier. Je voulais être désirable, j’entrepris donc shampoing, soin, puis gommage, rasage intégral, gel douche. Tout en me lavant soigneusement, je sentis mon corps vibrer alors que je lavais délicatement mon intimité. L’intégralité de mon sexe était trempée, tendue, érigée, en manque. J’hésitais, puis accentuais la caresse, adossée au mur, je fermais les yeux, me mordis les lèvres, tête renversée. Le plaisir m’inonda en quelques secondes, et j’eus un violent orgasme, qui m’arracha de petits cris de plaisir. Cependant, loin de me sentir contentée, mon corps appelait plus violemment le sexe de l’homme. Je sortis de la douche, m’essuyais, me passais de la crème, puis me fis un joli brushing, et enfin une manucure. J’assortis mon vernis et mon maquillage à mon ensemble prévu pour le soir : une jupe blanche plissée au dessus du genou, des bottes blanches à talons hauts, un corsage rouge cintré boutonné, qui sous ses apparences sage, pouvait tout à fait offrir un décolleté affriolant en qui dévoilant l’entre-sein et en offrant une vue plongeante sur ma poitrine. Je sortis mon ensemble de sous-vêtements dentelle rouge et blanche, avec des lacets sur les cotés et dans le dos. Des bas chair compléteraient l’ensemble. Je consacrais l’après-midi à la rédaction de passages du roman que j’écrivais : quoi de mieux que la frustration, l’excitation contenue, le désir, l’envie, pour écrire les scènes d’amour ? Le temps passa plus vite que je l’avais escompté, et il fut bientôt l’heure de partir. Quittant mon peignoir de soie que j’avais gardé tout l’après-midi, je décidais d’aller plus loin que j’avais prévu. Ouvrant mon tiroir, je sortis l’un de mes jouets préférés, mon plug Rosebud dont la pierre décorative rouge rubis se mariait a la perfection avec ma tenue. Je le glissais à sa place, déclenchant des frissons de plaisir. Je ne l’avais jamais utilisé pendant que je faisais l’amour, et j’avais envie d’essayer. J’enfilais le reste de ma tenue, glissement des étoffes, crissement du nylon, puis partais.En route, je lui envoyais un texto, je savais qu’il devait être sur le départ aussi, pour lui dire combien j’avais hâte. Il me répondit qu’il était parti aussi et qu’il avait tout autant hâte. Cependant j’avais une longueur d’avance et arrivais avant lui. Je récupérais donc la clef de la chambre, puis allais préparer ma mise en scène : bougies allumées, lit ouvert, ambiance feutrée. Je mis de la musique en sourdine, parfumais la pièce de mon parfum. Puis j’envoyais un texto à nouveau pour lui donner le n° de la chambre. Il me répondit qu’il arrivait.Impatiente, je sentais mon excitation monter de plus en plus, et je savais qu’avant qu’il arrive, mon string serait trempé. Je commençais à faire les cents pas dans la chambre, sentant mon plug bouger à chaque pas, et cela m’excitait encore plus. Je mouillais et mes seins étaient plus tendus que jamais, pointant dessous le tissu du soutien-gorge et du chemisier. Je trépignais. Les secondes semblaient s’égrener avec la lenteur d’un coucou suisse.Soudain, j’entendis deux coups à la porte. Mon cœur manqua un battement, alors que j’allais lui ouvrir. Il était devant moi. Aussi plein de charme que sur les photos ou sur mon écran d’ordinateur, il paraissait tendu. Je ne pu m’empêcher de lui sourire, à son tour, il sourit, ne semblant pas savoir quelle attitude adopter. Après un salut timide, je l’invitais a entrer dans la chambre. Il portait un jean moulant noir, avec un tee-shirt a manches longues moulant bleu, et une veste en cuir noire. Ses yeux noisettes brillaient. Nous échangeâmes quelques mots maladroits, il semblait peiner à ne pas garder les yeux fixés sur mon décolleté..Comme il semblait bloqué, je décidais de faire le premier pas, et m’avançais vers lui. Toute l’excitation contenue depuis soixante-douze heures menaçait d’exploser à chaque instant, et le plug n’aidait pas. Mais je voulais une soirée inoubliable, et au prix d’un effort colossal je retins la sensation. J’étais devant lui. Je tendis la main, touchait son visage lisse… Il ferma les yeux, puis les rouvrit, me sourit… prenant mon visage dans ses mains, il m’embrassa. Ses lèvres étaient fines mais pleines, chaudes, humides, douces. Je me sentais liquéfiée. J’avais envie de lui avec une telle violence que c’était presque douloureux. Il recula un peu, me regarda, je vis combien ma tenue lui plaisait a son expression…Je le débarrassais de sa veste, en profitant pour caresser les muscles durs et bien dessinés : pectoraux, épaules, biceps… Il était sec, musclé, ferme. Je pris sa veste puis me retournais pour la poser sur une chaise. Il était juste derrière moi, le souffle court. Il posa ses mains sur mes hanches, je fermais les yeux, le laissant explorer avec ses mains ce qu’il avait déjà dégusté des yeux. Ses mains remontaient le long de mes hanches, emportant la jupe légère qui remonta, dévoilant le porte jarretelle. Sa respiration s’accéléra. Remontant doucement, il défit un a un tous les boutons du chemisier, dévoilant le soutien-gorge qui me faisait la poitrine aussi affriolante. Il toucha ma peau du bout des doigts, l’effleurant. Je m’abandonnais à ses suaves caresses. Il m’affolait les sens. Il fit glisser ses main dans mon dos, fit descendre le chemiser puis dégrafa le soutien-gorge, qui tomba sur le sol dans un bruit mou. Il se colla a moi, prit mes seins dans ses mains. Nous ne pûmes retenir un gémissement de plaisir (de désir ?) de concert. Il se serra encore, je sentais son érection contre la naissance de mes fesses. Il fit glisser ses mains plus bas, relevant la jupe jusqu’à mes hanches. Chacun de ses doigts sur ma peau déclenchait en moi des frissons de plaisir. Je gardais les yeux fermés, le laissant continuer son affolante exploration. Ses doigts remontèrent le long de mon ventre, effleurant, glissant, il remonta jusqu’à mes seins, les caressant, les effleurant, prenant leurs points érigées tantôt avec douceur, tantôt les pinçant légèrement ; sa langue caressait la pointe de mon épaule.. Il me lâcha, je me retournais, lui enlevait son tee-shirt. Sa peau lisse, brûlante, colla à la mienne quand il plaqua son corps parfait sur le mien. Un grognement de désir lui échappa, à nouveau, il posa ses lèvres sur les miennes, m’embrassa fiévreusement. Il glissa sa main sur ma nuque, plaqua ses lèvres plus violemment sur les miennes. A mon tour, je le dévorais, l’embrassant, léchant ses lèvres, caressant son visage, me plaquant contre lui plus fort encore. Je fis descendre mes main sur son torse musclé, caressant ses abdominaux parfaits, puis posais mes doigts sur sa ceinture…Il souris à nouveau, d’un geste, sans me lâcher, il ôta ses chaussures et s’écarta légèrement pour que je puisse défaire sa ceinture et déboutonner son jean. Ce que je fis avec empressement, effleurant par la même occasion son sexe tendu. Il rejeta la tête en arrière, se mordit les lèvres, ferma les yeux. Je poussais plus avant, faisant choir son jean, puis son boxer, et sans attendre, je pris son vit, déjà décalotté et luisant, entre mes doigts, et commença a le caresser. J’étais restée à genoux, et le regard qu’il baissa soudain sur moi était sans équivoque, il mourrait d’envie que je le prenne en bouche. Je ne le fis pas attendre, et engouffrait son jouet dans ma bouche. Elle était chaude et sucrée, dure, les bourses bien pleines : sa frustration était aussi palpable que la mienne, et nous avions autant envie de sexe l’un que l’autre. Je léchais son gland, puis sa hampe : une main posée délicatement sur mes cheveux, il me regardais, les yeux brillants, la bouche entre-ouverte : l’incarnation même du plaisir, et du désir. Je le lâchais, puis me redressais et m’assis sur le lit. Il se pencha, pris mes tétons en bouche, les mordilla, fit glisser sa langue sur mes seins, puis descendit a ma taille. Dézippant ma jupe, je soulevais les hanches pour qu’il l’enleva. Il ôta aussi mes bottes puis mes bas. Il ne restait plus que mon string, et j’étais tendue, brûlante de désir, abandonnée. Se penchant à nouveau, il me lécha, taquinant ma peau de la point de sa langue. Je me laissais aller, profitant de la sensation d’intense volupté. Je sentis ses mains écarter lentement mes cuisses, je n’ouvris pas les yeux, je le laissais faire. Son pouce descendit sur mon sexe, écarta à travers le tissu les lèvres, appuya sur mon clitoris. Je ne pus retenir un cri, autant de surprise que de plaisir. Cela acheva de l’exciter : il pris la ceinture du string, le fit glisser, l’ôta. Chacun de mes mouvements de hanches me provoquait une avalanche de sensations, toutes plus fortes les unes que les autres : du plaisir provoqué par mon rosebud, à ses lèvres brûlantes, ses doigts, son sexe qui m’effleurait… J’ouvris grand les cuisses, pressée qu’il me prenne. Il plaqua sa bouche sur la mienne, glissa ses doigts dans mon intimité dégoulinante, puis entrepris une descente… Et c’est là qu’il le sentis, je le sentis sourire, il se redressa, me regarda, sans cesser ses caresses. Allongée sur le lit, je m’offrais a lui. Il vint à coté de moi, puis m’enfourcha, rapprocha son sexe de ma bouche, légèrement à cheval sur ma poitrine. Je pris de nouveau son sexe en bouche, puis glissait mes mains entre mes cuisses tandis qu’il prenait mes seins a pleines mains. Ce fut instantané : je jouis, pompant sa verge plus fort. Il gémissais de concert. Finalement, il se retira, puis vint rapidement entre mes cuisses. Je me redressais, saisis un préservatif sur la table de nuit, l’ouvris en lui jetant des coups d’œils en coin. Prenant l’objet, je le posais sur son sexe, le fis coulisser jusqu’à la base, l’embrassais, puis me laissais retomber en arrière. Il ne lui fallut que quelques secondes pour glisser son gland entre mes lèvres détrempées. J’ouvris les yeux, le regardais bien en face, tandis qu’il avançait lentement, profitant de la sensation. Mon rosebud le comprimait légèrement, je voyais qu’il aimait ce que nous faisions. Puis d’un coup, il s’enfonça profondément, commença a pilonner, avide, chacun de ses coups de butoir me provoquait un océan de sensations complètement folles, des frissons, des sueurs froides. J’eus un nouvel orgasme particulièrement violent, criais, réclamais encore, et cela eut raison de lui : il éjacula dans un cri de victoire, nous unîmes nos orgasmes, puis nous effondrâmes, épuisés, cote a cote. Sitôt le préservatif jeté, il entrepris de me caresser, puis de me lécher chaque centimètre carré de ma peau. C’était divin, et c’était la première fois de la soirée mais pas la dernière…. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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