Aventures d’un jour ou plus – Sandrine
Un homme, une femme, un site de rencontre.
Souvent ces histoires ne dure qu’un instant mais dans ce cas, les deux amants vont dĂ©couvrir qu’ils ont surement un bout de chemin Ă faire ensemble.
Voici l’histoire de leur première rencontre au delĂ du contact virtuel.
Proposée le 3/04/2019 par Verdu Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Cela fait maintenant plusieurs semaines que la femme avec qui je suis mariĂ© depuis plus de quinze ans m’a annoncĂ© tout de go qu’elle voulait divorcer et avait quittĂ© le domicile conjugal pour s’installer avec un de ses amants. Il est clair que depuis plusieurs mois voire plusieurs annĂ©es, un malaise s’Ă©tait installĂ© entre nous, mais, je ne pensais pas que nous en serions arrivĂ©s Ă cette extrĂ©mitĂ©. Ce soir-lĂ , seul, je me dĂ©cide Ă m’inscrire sur un de ces nombreux sites de rencontre qui fleurissent sur le rĂ©seau pour voir ce qui allait se passer. Première chose et non des moindre, se dĂ©crire ! Quand on est au dĂ©but de la quarantaine, que l’on est un simple fonctionnaire avec un corps qui n’a rien Ă voir avec les sauveteurs d’Alerte Ă Malibu et le compte en banque loin d’ĂŞtre aussi garni que celui de d’un trader de la City. Comment accrocher pour que les autres aillent au-delĂ de la page d’accueil ? Je dĂ©cide de jouer sur le ton dĂ©calĂ© et pour me dĂ©crire en quelques mots. Je laisse en dessous de ma photo : « Je n’ai ni le profil de Georges Clooney ni celui de Hugh Jackman, mais venez discuter avec moi pour dĂ©couvrir des qualitĂ©s et des dĂ©fauts que vous pourriez aimer ». Je dois ensuite renseigner la partie des loisirs et autres qualitĂ©s et dĂ©fauts que l’on se trouve ou que l’on pense que les autres vous trouvent, encore une Ă©tape pas si facile. Vient enfin le descriptif physique qui prĂŞte moins Ă subjectivitĂ©, Ă moins de mentir volontairement !
Je valide mon profile et je commence Ă explorer le site et les profils divers et variĂ©s qui se prĂ©sente Ă moi. J’Ă©limine les trop jeunes, les trop vieilles, les trop lointaines. Après quelques minutes, je sĂ©lectionne quelques noms dont les centres d’intĂ©rĂŞts et prĂ©occupations me semblent proches des miens et envoie des messages. Comme des bouteilles Ă la mer, ces messages partent mais vont il ĂŞtre reçu ?
Une rĂ©ponse arrive d’une certaine Sandrine, je retourne voir sa description et je constate avec plaisir, qu’elle fait partie des quelques profils que j’avais annotĂ© comme « intĂ©ressants ». Nous commençons Ă discuter afin de mieux nous dĂ©couvrir et surtout cerner nos envies, nos recherches. Nos Ă©changes Ă©pistolaires nous entraĂ®nent tard dans la nuit et nous dĂ©cidons d’un commun accord d’y mettre un terme temporaire pour aller nous coucher car nous devons nous lever le lendemain pour aller au travail mais nous nous promettons de nous retrouver par Ă©cran interposĂ©s le lendemain soir.
Après plusieurs soirĂ©es de discussion et d’Ă©changes, nous convenons d’un rendez-vous pour nous rencontrer autour d’un cafĂ©. Ce sera chez elle, un soir tranquillement.
Je me rends donc lĂ -bas, je me gare devant sa maison et je sors de la voiture avec un peu d’apprĂ©hension. « Que lui dire ? Comment se comporter ? ». Je monte les quelques marches qui conduisent Ă sa porte et je sonne. Je la dĂ©couvre enfin face Ă moi, un peu plus grande que moi, souriante, les yeux brillants.
— Je ne t’attendais pas si vite, je n’ai pas eu le temps de finir de me prĂ©parer. » Elle porte une robe longue et a les cheveux lĂ©gèrement dĂ©coiffĂ©s
— On ne fait que prendre un cafĂ© ! On ne sort pas dans une soirĂ©e mondaine ! Et on sait que le plus important n’est pas l’apparence que nous avons mais ce que nous sommes. Nous en avons longuement discutĂ©.
— Oui ! me dit-elle en riant et en me déposant un baiser sur la joue. Viens entre !
Je la suis au salon oĂą elle a prĂ©parĂ© un petit plateau avec les tasses et des petits gâteaux. Nous nous asseyons sur le canapĂ© l’un Ă cĂ´tĂ© de l’autre. Sa robe est un peu remontĂ©e et dĂ©voile un peu sa cuisse tandis qu’elle se penche pour servir le cafĂ©, je peux entrevoir une poitrine gĂ©nĂ©reuse. Le tĂ©lĂ©viseur allumĂ© diffuse en fond sonore une Ă©mission de variĂ©tĂ©s.
Assis l’un près de l’autre Ă grignoter ces gâteaux, nous Ă©voquons notre vie passĂ©e, nos loisirs et peu Ă peu, la soirĂ©e avançant, nos cuisses se frĂ´lent. Sa main se pose sur mon genou, je lui souris et je passe mon bras derrière sa nuque et pose ma main sur son Ă©paule. Sa tĂŞte bascule vers moi. Nos lèvres se frĂ´lent puis se soudent et nous Ă©changeons un baiser comme je n’en avais pas eu depuis des mois, voire des annĂ©es. Je sens sa main remonter et masser mon entre jambe. Elle ne peut ignorer ma rĂ©action et se recule en souriant.
— Je te fais de l’effet…
Que puis-je rĂ©pondre ? Bien sĂ»r qu’elle me fait de l’effet, cela fait si longtemps que je n’ai pas Ă©tĂ© aussi proche d’une femme que le contraire aurait Ă©tĂ© Ă©tonnant. Je lui souris en retour et pose ma main sur sa cuisse et la masse doucement. Nous ne parlons pas et reprenons notre baiser. Ma main remonte doucement sur la peau nue et tiède tandis que nos langues dansent de concert. J’arrive Ă la fine barrière de dentelle qui protège son trĂ©sor intime et elle me repousse doucement en me disant :
— Tu es venu pour prendre le café… »
Nous nous rĂ©installons pour pouvoir boire confortablement sans risque de catastrophe mais elle n’empĂŞche pas de lui caresser la cuisse. Quand je finis ma tasse, elle me la prend pour la reposer et m’invite Ă la suivre Ă l’Ă©tage. Dans l’escalier, je fais glisser ma main sur ses fesses et c’est ainsi que nous arrivons devant son lit.
Nous reprenons alors notre baiser et elle m’allonge sur le matelas. Ses doigts agiles dĂ©grafent les boutons de mon pantalon et ses lèvres les miennes pour descendre vers la partie de mon corps qu’elle vient de libĂ©rer. Quelques secondes plus tard, elle referme sa bouche sur mon sexe et je sens sa langue jouer autour de lui. TroublĂ©e par cette caresse et par l’excitation qui me traverse, je ne peux me retenir et explose rapidement dans sa bouche. Lorsqu’elle se relève souriante de son coup, je la regarde d’un air contrit. Elle comprend ma gĂŞne et avant que je ne puisse prononcer un mot.
— Ce n’est rien, c’Ă©tait agrĂ©able ?
— Oui mais et toi ?
— Nous avons toute la soirĂ©e ! Elle vient alors au-dessus de moi et recommence Ă m’embrasser goulument. Nous nous retournons et je me retrouve sur elle. Je la regarde et lui remonte la robe sur le ventre et pose Ă mon tour mes lèvres sur la peau douce de ses cuisses. J’attrape la culotte de dentelle entre mes doigts et la fait lentement descendre le long de ses jambes ce qui me permet enfin de voir le fin duvet blond de sa fĂ©minitĂ©. Je souffle doucement, elle commence Ă me caresser les cheveux en poussant mon visage vers elle. Je goĂ»te alors au nectar qui suinte des parois de sa grotte d’amour et ma langue trouve le petit bouton des plaisirs. J’entends au-dessus de moi ses gĂ©missements et ses mains me plaquent davantage contre elle. Le nez dans son intimitĂ©, je me redresse pour reprendre ma respiration et je la regarde les yeux brillants. Elle me laisse lui ouvrir sa robe et rapidement nous sommes nus l’un cĂ´tĂ© de l’autre reprenant nos esprits.
TournĂ©e vers moi, elle avance le visage pour m’embrasser, je passe ma main dans son dos pour lui caresser le bas des reins et les fesses. Nous nous faisons face et de mon autre main, je lui empaume sa gĂ©nĂ©reuse poitrine. Elle me laisse faire tout en me redonnant de la vigueur entre mes cuisses.
Tandis que je joue avec ses seins et que je commence Ă les sucer, son petit jeu me permet de retrouver l’ardeur de jouter avec elle. Je la tourne sur le dos et elle ne rĂ©siste pas quand je me glisse entre ses cuisses pour profiter de la moiteur et de la douceur de son fourreau. Je commence Ă aller et venir en elle, je la sens frĂ©mir et s’offrir davantage. Elle me serre contre elle. Elle me mordille doucement le lobe de l’oreille et nous nous rejoignons ensemble au sommet du plaisir.
Elle me garde quelques minutes sur elle pour profiter pleinement de l’instant que nous venons de partager puis elle se tourne et je me colle contre son dos et ses fesses et nous nous endormons.
Un besoin pressant me rĂ©veille au milieu de la nuit, je la devine nue dans la pĂ©nombre et lorsque je me rallonge Ă ses cĂ´tĂ©s, je ne peux rĂ©sister Ă l’envie de la caresser. Je passe ma main sur son ventre et remonte sur sa poitrine. Je l’entends soupirer et je sens ses jambes s’Ă©carter comme une invitation pour que j’aille explorer cette partie de son corps. Je rĂ©ponds Ă son invitation muette et lorsque mes doigts glissent entrent les replis encore bien humides de son sexe, elle se rĂ©veille complètement et sans un mot attrape mon vĂ®t entre ses doigts pour le faire durcir. ArrivĂ©e Ă ses fins, elle vient se mettre sur moi et si tout Ă l’heure c’est moi qui l’avait pĂ©nĂ©trĂ©e, cette fois ci, c’est elle qui s’empale les yeux mi-clos et commence une danse langoureuse sur mon ventre. Je profite de sa position pour jouer avec ses seins qui remuent devant mon visage et une nouvelle fois, nous jouissons ensemble. Elle s’affaisse sur moi et je lui câline le dos et les fesses. Sa langue explore ma bouche avant de nous replonger dans le sommeil.
Une odeur de cafĂ© me chatouille les narines, je me retourne et dĂ©couvre l’heure. Je me lève ne catastrophe en enfilant mon caleçon dans le mĂŞme mouvement. « Je suis Ă la bourre ! »
Je descends et dĂ©couvre Sandrine me tournant le dos face Ă son Ă©vier. Je m’approche d’elle et je la prends par les hanches pour l’embrasser dans le cou. Elle se retourne et pose ses bras sur mes Ă©paules en soudant ses lèvres aux miennes. Elle sort de la douche, ses longs cheveux blonds laisse des traces sur les Ă©paules de son t-shirt.
— Pourquoi ne m’as-tu pas rĂ©veillĂ© ?
— Tu Ă©tais si serein endormi qui je n’ai pas voulu le faire.
— Je vais être en retard, en plus il faut que je repasse chez moi pour me changer…
Elle me coupe la parole en reposant ses lèvres sur les miennes et se colle encore plus contre moi ce qui bien Ă©videment me fait rĂ©agir. En descendant mes mains plus bas, je peux constater qu’elle n’a pas remis de culotte et je masse ses fesses.
— Tu vas être encore plus en retard ! Me dit-elle en me souriant mais en continuant à me troubler.
— Le café est prêt si tu en veux.
DĂ©cidant d’ĂŞtre raisonnable, je me dĂ©tache d’elle et je prends le bol de cafĂ© qu’elle me propose.
— Si tu veux prendre une douche, je t’ai sorti une serviette.
— Merci.
Je me rends dans la salle de bain et alors que je suis dans la cabine, je la vois entrer pour finir de se prĂ©parer. Un peu gĂŞnĂ©, je m’enveloppe dans la serviette pour sortir. Elle rigole, il est vrai qu’avec la nuit que nous venons de passer, je n’ai plus grand-chose Ă lui cacher.
Je lui propose de la déposer à la gare où elle doit prendre son train pour se rendre à son travail. Nous nous quittons en nous promettant de nous revoir après un long baiser, ce qui ne manquera pas de se reproduire rapidement.
Je prends le chemin de la maison pour enfiler des vĂŞtements propres avant de filer au travail. Je dirai que j’ai eu un problème de voiture pour expliquer mon retard qui ne sera pas si terrible que cela finalement. Les pĂ©riodes de vacances ont cela de bon, il y a moins de monde sur la route.
Pendant tout le trajet, je vois mon téléphone clignoter, des messages arrivent en cascade de la part de Sandrine. Je me retiens de lui répondre tout en conduisant.
Enfin arrivĂ©, je les lis et fais des rĂ©ponses. Je lui propose de passer la prendre le soir Ă son bureau pour une soirĂ©e romantique dans un petit restaurant que je connais au bord d’un lac en lisière de forĂŞt. Je reçois son accord enthousiaste Ă la pause dĂ©jeuner et quelques heures plus tard, j’attends qu’elle me rejoigne dans la voiture.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
Aventures d’un jour ou plus – Thomas
Aventures d’un jour ou plus – HĂ©lène
Rencontre par internet, Sandrine
Le jour oĂą…
Le jour oĂą…(3)