Belle et chaude Claudine
Comme ma patronne de notre sociĂ©tĂ© d’assurances-vie veut que je me fasse coupet les cheveux, j’ai l’Ă©norme chance de rencontrer Clausine, une des femmes les plus belles que j’aie jamais rencontrĂ©es. Entre elle et moi, le courant passe…
Proposée le 10/05/2021 par Bruno Pouperque Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Personne ne pensait que le Brexit que Boris Johnson avait dĂ©cidĂ© aurait un impact important sur notre entreprise d’assurance-vie et que, personnellement, j’ai eu le grand plaisir de baiser une des femmes les plus chaudes que j’aie jamais rencontrĂ©es…
Notre directrice commerciale Wivine Voguelaire nous avait rassurĂ©s: nos clients Ă©taient de plus de vingt nationalitĂ©s diffĂ©rentes. Les Britanniques reprĂ©sentaient moins de 10%. Le chiffre d’affaires de notre entreprise pourrait baisser un peu au cours des premières annĂ©es suivantes, mais mĂŞme cela n’Ă©tait pas certain. Les licenciements ne tomberaient certainement pas chez Matrix Life Insurance, Voguelaire en Ă©tait convaincue.Elle a eu raison. Il n’y a eu aucun licenciement. Ce qu’elle n’avait pas prĂ©vu ou voulu nous dire, c’est que nous avons soudain eu beaucoup plus de travail Ă cause du Brexit.Soudain, de nombreux clients britanniques ont voulu quitter MLI. Ils voulaient rĂ©cupĂ©rer le plus tĂ´t possible les montants qu’ils avaient dĂ©jĂ payĂ©s pour leur assurance-vie. Ce n’Ă©tait pas si simple. Cela impliquait beaucoup de calculs, une montagne de paperasse, des coups de tĂ©lĂ©phone et des courriels Ă toutes sortes de banques tout le temps.En tant qu’actuaire et spĂ©cialiste financier, j’Ă©tais au cĹ“ur de la bataille. J’Ă©tais submergĂ© de travail, un travail difficile et ingrat. J’ai Ă peine eu le temps de manger convenablement pendant la journĂ©e, comme je ne pouvais consacrer que peu de temps Ă autre chose qu’Ă ces fichiers de sortie de clients britanniques.C’est durant cette pĂ©riode mouvementĂ©e que j’ai fait la connaissance de Claudine, la belle et chaude Claudine. Cela s’est produit d’une manière très Ă©trange. Le fait que je l’ai rencontrĂ©e est une autre preuve que la coĂŻncidence joue un très grand rĂ´le dans la vie.Il Ă©tait particulièrement important pour notre patronne que son personnel de direction soit soignĂ© et prĂ©sente bien, tirĂ© Ă quatre Ă©pingles. Nous devions porter un costume, avec une chemise et une cravate. J’ai beaucoup de cheveux fort drus sur la tĂŞte et j’ai l’impression qu’ils poussent plus vite que ceux des autres hommes. Quand j’Ă©tais encore Ă l’ULB, mon ami Jacques qui Ă©tudiait la mĂ©decine m’a affirmĂ© que cela avait Ă voir avec ma grosse bite. Je pensais qu’il voulait se moquer de moi, mais ce n’Ă©tait pas le cas. Selon lui, la croissance de mes cheveux et les dimensions extraordinaires de mon pĂ©nis Ă©taient dues Ă un certain dĂ©sĂ©quilibre hormonal. Je produirais, dit-il, un excès de testostĂ©rone et de kĂ©ratine. Par consĂ©quent…Normalement, mes cheveux Ă©taient coupĂ©s toutes les trois semaines environ. C’Ă©tait nĂ©cessaire pour les garder propres et en une bonne coupe. Le coiffeur auquel j’allais toujours s’appelait Alberto. Il n’avait qu’un petit salon de coiffure dans la Rue Rogier Ă Schaerbeek. Alberto connaissait mes cheveux et en les coupant, il en prenait grand soin. MĂŞme s’il Ă©tait peut-ĂŞtre moins cher que les coiffeurs plus “tendance”, j’Ă©tais extrĂŞmement satisfait des services d’Alberto.Maintenant, avec toute cette affaire du Brexit et le travail redondant qu’elle m’avait apportĂ©e, je ne pouvais pas aller chez Alberto après trois semaines. Je me suis dit que ça n’était pas grave. Je pensais que mes cheveux pourraient pousser un peu plus longtemps.Cela n’a pas Ă©tĂ© au grĂ© de ma patronne. Comme presque tous les lundis, elle Ă©tait assise Ă califourchon sur mes genoux dans le sous-sol des archives pour me monter et se faire baiser comme ça. Quand elle Ă©tait venue en haletant et soupirant, elle m’a regardĂ© avec un regard Ă©trange sur le visage. »Tu es sale, » m’a-t-elle dit. “Il me semble que tu ne prends plus soin de toi-mĂŞme. Je pense aussi que ta bite sentait bizarre cette fois. Tu te laves toujours rĂ©gulièrement?”C’Ă©tait vraiment offensant, ai-je pensĂ©. Avant de pouvoir rĂ©pondre Ă ce qu’elle avait dit, elle m’a dĂ©rangĂ© les cheveux avec ses mains et a dit en riant:“Bien sĂ»r, je ne voulais pas dire ça. Seulement, tes cheveux… Ils sont vraiment trop longs, c’est pourquoi tu as l’air dĂ©sordonnĂ© et quelque peu nĂ©gligĂ©. Va les faire couper tout de suite. » »
Tout de suite? » ai-je demandĂ©. »Oui, tout de suite. Prends juste une heure de libre. Il y a un salon de coiffure tout près d’ici pour dames et messieurs. De temps en temps, j’y vais. Jusqu’Ă prĂ©sent, je n’ai jamais eu Ă me plaindre de leurs services. Vas-y maintenant. »Le salon de coiffeur auquel ma directrice m’a envoyĂ© s’appelait “HairWellness”. C’Ă©tait près du rond-point Robert Schuman. Quand j’y Ă©tais arrivĂ©, j’ai eu de la chance: il y avait peu de clients. Une rĂ©ceptionniste m’a conduit Ă son bureau. Avant que quiconque puisse faire quoi que ce soit sur mes cheveux, elle devait prĂ©parer un dossier client avec mes coordonnĂ©es personnelles. Cela a pris environ cinq minutes. Après cela, la rĂ©ceptionniste m’a invitĂ© Ă la suivre. Dans une pièce sĂ©parĂ©e du salon, j’ai dĂ» me faire laver les cheveux avant que quelqu’un les coupe.Claudine Proume m’a lavĂ© les cheveux, mais Ă ce moment-lĂ , je ne savais pas que c’Ă©tait son nom. En fait, au dĂ©but, ma tĂŞte en arrière dans un lavabo, j’ai fait peu attention Ă elle. Je pouvais voir qu’elle Ă©tait une belle jeune femme, bien que le tablier bleu foncĂ© informe qu’elle portait pour laver les cheveux des clients la rendait tout sauf Ă©lĂ©gante.L’inĂ©vitable s’est produit. Quand quelqu’un s’occupe de mes cheveux, j’ai toujours des pensĂ©es libidineuses. Ce ne fut pas diffĂ©rent cette fois lorsque les doigts de Claudine traversaient mes cheveux pendant le lavage. Soudain, ce fut Ă nouveau le mouvement instinctif: mon pĂ©nis s’est levĂ© et s’est dessinĂ© dans mon pantalon. Je n’ai pas trouvĂ© ça ennuyeux. C’est juste ma nature. Pourtant, j’ai mis une jambe sur l’autre pour Ă©viter que mon Ă©rection ne se montre trop.Ensuite, un jeune homme du nom de Vito m’a coupĂ© les cheveux. Il l’a bien fait, bien que quand j’ai regardĂ© le rĂ©sultat dans le miroir, j’ai trouvĂ© qu’il avait rasĂ© les cĂ´tĂ©s plutĂ´t chauves.Je ne pensais plus Ă la fille qui m’avait lavĂ© les cheveux. Mais malheureusement, ou devrais-je dire “heureusement”, Claudine avait vu ce qui s’était passĂ© avec mon braquemart.Ce lundi, comme chaque semaine, j’avais baisĂ© ma patronne. Ensuite, je m’étais fait couper les cheveux Ă sa demande. Vendredi, juste après mon retour du travail, j’ai reçu un selfie de Claudine sur mon tĂ©lĂ©phone. Elle Ă©tait allongĂ©e sur un lit sur cette photo. Elle n’Ă©tait pas complètement nue, car elle portait une petite culotte transparente qui montrait vaguement sa chatte. Ses seins Ă©taient nus, et leur courbe fort belle.
Ce selfie m’a impressionnĂ©. Quand elle portait son tablier dans le salon de coiffure, je n’avais pas pu le voir: Claudine Ă©tait simplement une toute belle jeune femme, de mon âge, ou peut-ĂŞtre un peu plus jeune. C’Ă©tait presque Ă me couper le souffle de regarder sa photo et de voir Ă quel point elle Ă©tait belle.Et ce selfie, je l’ai aussi interprĂ©tĂ© comme une invitation. J’ai regardĂ© Ă nouveau sa photo et ma bite a presque sautĂ© Ă travers mon slip. Je n’ai plus attendu et je l’ai appelĂ©e. Elle semblait timide au tĂ©lĂ©phone. Elle a dit peu, et elle a parlĂ© très doucement. Je lui ai posĂ© quelques questions, mais Ă tout ce que j’ai dit, elle a rĂ©pondu “oui” ou “non”.Cela ne m’a pas pris une minute pour comprendre qu’elle ne pouvait pas parler librement. Je ne savais pas qui Ă©tait avec elle, mais il Ă©tait clair qu’elle ne pouvait pas me dire ce qu’elle voulait. J’ai donc mis fin Ă la conversation.
TĂ´t le lendemain matin, vers huit heures, elle m’a appelĂ©. J’Ă©tais toujours dans mon lit, mais j’ai immĂ©diatement reconnu sa voix et je me suis soudain rĂ©veillĂ©.Claudine s’est excusĂ©e de ne pas avoir pu me parler la veille au soir. Ses parents et sa sĹ“ur aĂ®nĂ©e Ă©taient alors avec elle. Maintenant, elle m’appelait du bus qui la menait Ă son travail dans le quartier europĂ©en.
Je lui ai demandĂ©: »Que veux-tu vraiment dire avec ton selfie? » »J’aimerais un rendez-vous avec toi en privĂ©, si cela ne te dĂ©range pas. » »Alors quoi? »Au dĂ©but, elle a hĂ©sitĂ© un peu. Elle a ensuite dit: »Nous devrons attendre et voir ce qui se passe, du moins si cela ne te dĂ©range pas qu’on se voie en privĂ©. »Je n’avais absolument rien contre cela, et je l’ai dit. Elle semblait soulagĂ©e en l’entendant. »Il n’est pas possible de te recevoir chez moi. » a dit Claudine. »Je comprends, » ai-je rĂ©pondu. « Si tu veux, tu peux venir chez moi. Dois-je te donner mon adresse? » »Non, ce n’est pas nĂ©cessaire. Je la trouverai sur ta fiche d’information. Ce soir, ça te va? Ou prĂ©fères-tu demain? Je ne dois pas travailler le dimanche et le lundi.”Nous avons pris rendez-vous pour le soir mĂŞme. Vers neuf heures, Claudine viendrait me voir. J’ai nettoyĂ© mon appartement “à la française” et j’ai attendu avec impatience neuf heures. Curieux de savoir comment ça allait marcher avec Claudine, je l’Ă©tais aussi.Cela s’est bien passĂ©, mais pas sans heurts. Ă€ neuf heures prĂ©cises, Claudine Ă©tait Ă ma porte et une demi-heure plus tard, nous Ă©tions allongĂ©s sur mon lit, tout nus. Elle Ă©tait très intĂ©ressĂ©e par ma bite. Il n’y avait jamais eu une femme ou une fille qui ait jouĂ© avec ma queue aussi intensĂ©ment qu’elle. Claudine ne pouvait pas en avoir assez de la regarder, de la toucher de ses doigts, de la renifler, de retirer constamment mon prĂ©puce en arrière pour libĂ©rer mon gland…Pendant ce temps, je caressais ses seins et l’embrassais oĂą je pouvais. Ce fut rarement sur sa bouche, car elle voulait voir comment mon pĂ©nis rĂ©agissait quand elle jouait avec. J’ai Ă©tĂ© patient et j’ai laissĂ© Claudine suivre son propre cours. J’ai essayĂ© de gâter son corps et de la prĂ©parer pour enfin la baiser. De temps en temps, je descendais entre ses jambes avec mes doigts et la palpais dans sa craque pour savoir si elle avait dĂ©jĂ assez mouillĂ©. Claudine en raffolait. Elle accueillait ma main, en Ă©cartant ses jambes de sorte qu’il devenait facile pour moi de la palper entre ses lèvres.Cela a durĂ© et durĂ©. Ma bite Ă©tait raide et droite comme un mât depuis pendant près d’une demi-heure. Entre-temps, j’Ă©tais devenu tellement excitĂ© que je ne voulais plus attendre pour baiser Claudine. J’ai senti encore une fois entre ses jambes. Maintenant, elle Ă©tait trempĂ©e, prĂŞte Ă ĂŞtre baisĂ©e. Je l’ai attrapĂ©e par les Ă©paules et l’ai tournĂ©e sur le dos avec l’intention de monter sur elle. »Enfin! Pourquoi as-tu attendu si longtemps?” m’a-t-elle demandĂ© en haletant. “S’il te plait remplis-moi! Je suis prĂŞte. »J’ai trouvĂ© magnifique qu’elle dise ça. Rarement avais-je entendu une fille parler avec tant de dĂ©sir et d’impatience d’être baisĂ©e…Nous nous sommes passionnĂ©ment aimĂ©s ce soir-lĂ . Claudine raffolait de sentir ma grosse bite bouger dans sa foufoune. “Pousse, pousse plus fort!” me rĂ©pĂ©tait-elle. “Pousse-la plus profondĂ©ment en moi! Ah, que tu me fais du bien! Baise-moi, baise-moi, fais-moi jouir!”Cela n’a pas durĂ© longtemps avant que Claudine jouisse. Elle a hurlĂ© au moment oĂą elle est venue. Moi, j’ai pris mon pied aussi, seulement une demi-minute après elle. J’ai lâchĂ© mon foutre profondĂ©ment dans son trou de baise, plus profondĂ©ment que jamais avec une autre fille. Je me suis Ă©tonnĂ© que Claudine n’ait pas eu le moindre problème pour accommoder ma queue surdimensionnĂ©e dans sa chatte.Après cette première fois, le mĂŞme soir nous avons baisĂ© encore deux fois. Pour Claudine, mĂŞme trois fois ne suffisait pas. Si j’en avais eu la capacitĂ© physique, elle aurait voulu que je la baise encore et encore… Mais après trois fois, j’étais crevĂ©, j’avais mal au dos et ma bite me donnait l’impression d’être faite d’un caoutchouc tout mou.
Ce samedi soir, Claudine et moi nous sommes tendrement embrassĂ©s en disant au revoir, et nous nous sommes donnĂ© rendez-vous pour le samedi soir de la semaine après…Malheureusement, je n’ai plus jamais revu Claudine. Elle ne s’Ă©tait pas tue sur la merveilleuse soirĂ©e de baise que nous avions passĂ©e. Une collègue jalouse en avait parlĂ© Ă leur employeur. Celui-ci a virĂ© Claudine sur-le-champ pour avoir « sĂ©duit » et eu des rapports avec un client. Le mĂŞme soir, en pleurant, elle avait pris le train Ă la Gare du Midi et s’Ă©tait rendue chez ses parents Ă Yvoir dans la province de Namur…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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