Ce soir où je suis devenue une salope
Une fiction où une jeune demoiselle va se transformer en véritable salope.
Proposée le 5/03/2017 par grizsouth Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Je m’appelle Éva et j’ai vingt deux ans. La nature a été clémente avec moi, 1,70m, brune, des yeux bleus qui marquent les esprits et un physique qui plaît aux garçons. J’ai pas mal d’amis avec qui chaque sortie se transforme en fête et je dois dire que je ne m’ennui jamais.Il y a un an, j’ai rompue avec mon petit copain lorsque j’ai appris qu’il ne sortait avec moi que par intérêt. Depuis je suis plus ou moins méfiante. Niveau sexe il n’était pas très actif, nous faisions l’amour mais je peux compter le nombre de fois où nous avons couchés ensemble. J’ai collectionné quelques histoires par ci par là mais sans vraiment y prendre goût. Il faut dire que la plupart du temps j’étais ivre morte. Mais je ne trouvais jamais le plaisir.Ces derniers temps, une nouvelle personne s’est ajoutée à notre cercle d’amis, il s’appelle Marc. Un grand métisse aux yeux vert et crâne rasé. Sa musculature ferait chavirer n’importe quelles filles du groupe. Il a un parfum d’épices qui me rend folle. Mais c’est un ami et pour moi il était hors de question de me faire piéger par ses beaux yeux…… Si seulement ça pouvait être vrai….. Je me prenait à rêver de lui la nuit, de ce que nous ferions tout les deux et chaque nuit les rêves devenaient de plus en plus érotiques voir pornographiques. Par exemple je me voyait prise par lui dans une forêt tropical, ses assauts puissant me faisant perdre la tête. Ou bien lui et moi, faisant l’amour sur une plage…. Bon là c’était plus comique, le sable n’était pas notre meilleur ami. Mais les rêves semblaient si réels que je me surprenais à mouiller comme cela ne m’étais jamais arrivé.
Et lui, un jour, je décidais de sauter le pas, j’allais le voir pour envisager d’aller plus loin. Je voyais bien que je lui plaisais.
– Marc, je sais que ma demande est un peu osée mais ça te dirais un soir de venir prendre un verre à la maison? Ne vois la rien de suspect là dedans hein mais je me suis dis que ça serait sympas.
– Pourquoi pas! Fit il avec joie, excellente idée ! C’est pour quand?
– Hum demain soir, 19h? J’étais prise au dépourvu, je n’avais pas envisagée qu’il dirait oui!
– Ok, demain soir chez toi à 19h.
Quelle idiote! Je n’ai rien préparé !!! Cet après midi là je fît des courses d’urgences, passant par le magasin de lingerie pour prendre des petites choses affriolantes…. Tien de suspect mon œil ! Il provoquait chez moi un désir brûlant, tous ces rêves me rendaient folle, je me voyais faire avec lui toutes ses choses plus cochonnes les unes que les autres.
Le lendemain, 18h, je mettais une dernière touche à ma tenue, un bustier blanc très décolleté, un jean moulant par dessus un string noir que j’avais acheté la veille. 19h! On frappait à ma porte, c’était lui. Il était vêtu sobrement mais avec un classe folle. Il sentait bon le pain d’épice le salaud!!!! Je l’aurai dévoré sur place. Il me complimentait sur ma tenue et me suivit dans la cuisine. Là nous prîmes un apéro et nous discutions de choses et d’autres. Mais son parfum me faisait tourner la tête si bien que je ne tenais plus en place, je sentais un feu en moi qui ne voulait pas s’éteindre et là tout bascula. Je me ruais sur lui pour l’embrasser à pleine bouche. À ma grande surprise il me rendit mon baiser avec une extrême douceur. Ses lèvres, bon sang ses lèvres ! Elle avaient un goût sucré et je ne pouvais que passer furtivement ma langue pour en avoir d’avantage. Bien vite j’enlevais sa chemise pour avoir devant moi une statue de dieu grec…. Mon corps était en feu et voir ça ne faisait qu’attiser les flammes. Je dégraffais son pantalon, j’avais envie de lui, de son corps et cette odeur d’épices me rendait de plus en plus folle. Il enleva mon bustier et caressa mes seins. Mes tétons étaient durs et il les portât à sa bouche les titillant de sa langue. Je plongeais dans l’extase. Je gémissais de plus en plus. Je glissais ma main dans son pantalon et je trouvais l’objet de mon désir. Mon dieu mais qu’est-ce que c’était que cette chose? Elle était énorme ! Aussi large que mon bras, d’une vingtaine de centimètres ! Cette chose, si elle entre en moi va faire un carnage. Mais je m’en fichais je le voulais!Nous étions nus maintenant, et me mettantà genoux commençai à branler ce pieux qui ne cessait de grandir. Du bout de ma langue je titillais le bout de son glang gonflé à bloc, je l’entendais grogner de plaisir. Je léchais ce bonbon, mon dieu qu’il avait bon goût ! Je faisais le tour de ce morceau avec application avant d’enfourner ce pâle dans ma bouche. Elle était si énorme que sa bite n’entrait pas, il n’y avait que le gland.
– Attend, me dit-il, je vais tester quelque chose. Ce qu’il fît me surpris tellement que ne pouvais plus bouger. Il m’avais saisi la tête avec ses main et enfonçait son dard jusque dans ma gorge. Il me baisait la bouche allant de plus en plus vite. Il se dégagea, je toussais, bavais mais comme poussée par une faim dévorante je retournais au charbon lui offrant une gorge profonde qu’il aimait. À cet instant je me sentais comme une pute, sans limites, accro au sexe.
– Prend moi putain! Baise moi! Voilà, j’étais devenue une vraie salope! Implorant pour qu’on me baise…. Mon désir m’aveuglait et là, dans ma cuisine, je me mettais à quatre pattes pour qu’il me prenne comme une chienne. Il positionna son pieux et entra en douceur faisant de lents va et vient. J’eu une sensation de douleur tant son sexe était énorme mais la douleur s’estompa vite laissant place à un plaisir inconnu. Mes gémissements devenaient plus bruyant et lui prenait plus d’assurance.
– Plus vite, baise moi plus vite! Les gémissements laissèrent place à des hurlements. Il me tronchait si bien que je ne réfléchissais plus. Il allait de plus en plus loin en moi. Il me mis sur le dos me prenant chaque cheville, écartant mes jambe et me pistonna avec force.
– Tu aimes ça hein? Salope! Tu es ma pute!
– Oui continue, mon dieu c’est bon! Ouiiiiii je suis ta PUUUUUUUTE. Il venait de me faire avoir un orgasme ce con! Allonge toi sur le dos c’est moi qui vais te baiser maintenant. Lui dis-je. Je le chevauchais de face m’empalant sur sa queue. Doucement d’abord, puis de plus en plus vite je montais et redescendait sur son piston. Il saisi mes seins et les pressait tout le temps où je le baisais puis d’un coups il me mis un claque sur les fesses m’ordonnant d’aller plus vite, ce que je fît. Après quelque minutes il passa ses bras sous mes jambes et me souleva du sol et me baisa debout, je m’agrippais à lui, hurlant de plaisir sous ses assauts. Il me baisa ainsi de longues minutes m’arrachant deux autres orgasmes.
Il me reposa, me mis à quatre patte pour me prendre en levrette sauf qu’il n’appuyait pas sur l’entrée de ma chatte….
– Qu’est-ce que tu fais? Non non pas par là ! Mais trop tard, il venais de rentrer dans mon cul l’offrant ainsi ma première sodomie. Ça brûlait mais il allait doucement, si bien que je commençais à apprécier cette nouveauté. Il alla de plus en plus vite, me donnant des claques sur les fesses. Il appuya sur mon bassin, m’obligeant à me cambrer, saisi mes cheveux dans une main, tira dessus comme si c’était des rênes et me baisa encore plus fort.
– Oui, oui, encore, c’est trop bon putain putain putain! Defonce moi le cul!!!! C’est trop bon dans le cul!
Oh oui c’était encore meilleur dans le cul ! J’adorais visiblement la sodomie. J’étais devenue une vrais salope, esclave du sexe.
– Je vais jouir!!!!! Hurla t-il.
– Viens, viens dans ma bouche, je veux te boire!!! Je veux goûter à ton sperme!
Je me mis à genoux, ouvrant servilement la bouche pour recueillir son divin fluide qui arriva en jet puissant, m’inondant le visage et la bouche. Le goût ne me dérangeait pas, j’avoue même avoir aimé ! J’avalais sa semence et fatigué je m’affalais sur le sol. Cette nuit là il dormi chez moi, ce soir là j’étais devenue une salope et j’aimais cette idée et je ne voulais pas m’arrêter là je voulais aller plus loin.
À suivre…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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