Chap 1: avant le voyage (intro soft)
Je m’appelle Emilie, j’ai 19 ans et je suis inscrite Ă l’universitĂ© depuis 2 ans. Je dois me prĂ©parer pour un voyage universitaire en Espagne avec mes amis et mes camarades. Je sais que le but de ce voyage est de travailler mais je ne suis qu’une petite nymphomane après tout..
Proposée le 21/03/2021 par MaitresseEmilie Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Roman
Profil: Emilie, 19 ans, brune aux yeux verts, 1m65, style grunge, nymphomane, fait des Ă©tudes de commerce.Aujourd’hui c’est dimanche.
Dernier jour pour me préparer.
Il fait beau temps dehors mais je n’ai pas le temps de me prĂ©lasser, je dois finir de boucler ma valise pour demain.
Ma mère ne cesse de m’interrompre dans mes prĂ©paratifs avec d’interminables questions.
« As-tu pris un pique nique pour le trajet? », « N’oublies pas tes cours, tu dois bosser, pas te la couler douce tu le sais? »Je levais les yeux au ciel.
Comme si j’allais gâcher un superbe voyage en Espagne en ayant tout le temps le nez dans les cahiers…
Je fit un bref mouvement de la main pour lui faire comprendre de sortir de ma chambre puis Je sortais de ma valise une feuille un peu froissĂ©e. Une To do list.C’Ă©tait tout ce que je prĂ©voyais de faire pendant ces deux mois.
Comme une drogue, mes envies torrides ne cessaient de traverser mon esprit. J’ai vu un psy pour ça, cela n’a rien donnĂ©. Enfin j’ai plutĂ´t ignorĂ© ses conseils.
Comment ça jeter mon sex toy?
Comment ça arrêter de mater du porno?
Comment ça arrêter mes pratiques BDSM?
Cela faisait partie de ma vie et notamment de ma vie professionnelle.
J’Ă©tais maĂ®tresse BDSM d’abord pour arrondir mes fins de mois puis j’y ai pris goĂ»t et j’ai dĂ©cidĂ© de prolonger mon contrat car ce mĂ©tier satisfaisait la plupart mes envies.Mais assez parlĂ© de moi.Après avoir fini de ranger, je dĂ©cidais d’appeler en visio Clara, une de mes 3 amis.
Clara Ă©tait grande, blonde aux yeux bleus, un visage d’ange.
On s’etait rencontrĂ© au dĂ©but de la fac, quand on s’Ă©taient toutes les deux trompĂ©es de classe!Deux sonneries suffirent Ă Clara pour dĂ©crocher, en coup de vent.
J’entendais sa voix mais je ne la voyait pas Ă travers la camĂ©ra.-« Clara! Je te vois pas! »Sa tĂŞte apparut.- » Excuse j’ai pas terminĂ© ma valise. »Elle sortit d’un sac un ensemble de sous-vĂŞtements osĂ©s.
Je savais qu’elle non plus n’allait pas rĂ©viser pendant tout le sĂ©jour…
Un sourire en coin, je me risquais Ă poser cette question.- » Toujours in love de notre prof d’histoire? »Elle esquissait un rire narquois.- » Tu vas voir, je te parie qu’on aura couchĂ© ensemble avant la fin du premier mois… »Elle referma sa valise en prenant soin de placer ses petites culottes au fond de la poche centrale.Apres une petite heure, nous racrochames, impatientes de nous retrouver avec les autres près du bus scolaire demain.Après manger, je fis un dernier check-up avant de me mettre dans mon lit.
Dans ma valise se dissimulaient menottes, vibro masseur, preservatifs… Bref tout le nĂ©cessaire pour passer de bonnes vacances.Le lendemain, mon rĂ©veil sonnait Ă 6h00 tapantes.J’avais eu du mal Ă m’endormir. J’avais hâte de partir de chez moi, prendre un bon bol d’air frais pour Ă©vincer le stress des Ă©tudes.Mes parents devaient m’amener en voiture, alors ils profitèrent de ce moment pour me faire quelques dernières remontrances.
Mon père, grand cœur sensible malgré lui, lacha une petite larme au moment de me déposer sur le parking.
Après un au revoir d’au moins 5 minutes, ils me lâchaient enfin.Je pris ma valise et parti rejoindre Clara, Tom et Marie.Tom Ă©tait mon meilleur ami.
On Ă©taient toujours prĂ©sents pour les blagues de cul, mais on prenait aussi soin l’un l’autre dans les moments compliquĂ©s.Et Marie… eh bien je ne sais pas comment elle fait pour rester dans notre groupe!
Elle est mĂ©tisse, a des cheveux magnifiques et a des yeux en amande. C’est la fille la plus pudique que je connaisse…
C’est pour ça qu’avec Tom on en profite pour la faire chier avec nos blagues!A part ça elle est vraiment de bon conseil, une vraie mère poule… C’est pour ça qu’on l’aime.Bref, on a parlĂ© pendant une vingtaine de minutes avant que le bus arrive.
Les portes se sont ouvertes.
C’est lĂ que j’ai aperçue un putain d’apollon descendre rapidement les marches.
Il était super bronzé et je distinguais un léger accent espagnol très séduisant.
Son t-shirt rouge signifiait qu’il faisait partie des moniteurs.Nos regards se sont croisĂ©s, il m’a sourit, puis est parti aider les autres Ă mettre les valises dans la soute.Tom me tapa doucement l’Ă©paule. »-Tu commences dĂ©jĂ ? »
– » Y’a marquĂ© moniteur dans ma to do list… »
Il pouffa.
-« T’as une to do list!? »
Son rire Ă©tait communicatif alors on se mit Ă rire tous les deux.
Soudain, deux mains se posèrent sur mes épaules.
Sans me retourner, je levais la tĂŞte pour apercevoir mon moniteur.
Il prit la parole, son accent m’excitait Ă©normĂ©ment mais je ne le montrais pas.- « Alors c’est toi qui glousse comme ça? »Je posais la carte de l’innocence, je sais que beaucoup d’hommes aiment ce petit jeu.
Je me retournais doucement et le regarda, les yeux doux.- » Excusez moi… On savait pas qu’on Ă©tait trop bruyants. »
Je pu apercevoir une rangĂ©e d’abdos Ă travers son t-shirt, ce qui ne me laissa pas indiffĂ©rente.
Il nous chuchota. »-Je m’appelle Pablo. »Il repartit dans le sens opposĂ© au notre, en me lançant un regard en coin.Une fois les valises dans la soute, les Ă©lèves montèrent un par un et Pablo les comptaient.
L’entrĂ©e du bus Ă©tait assez Ă©troite, surtout avec nos sacs Ă dos et Pablo qui prenait une place assez consĂ©quente.
Arrivé mon tour, Pablo cocha ma case sur son carnet.
-Emilie… Bon Ă savoir…
Je m’apprĂŞtais Ă monter les marches quand il se colla doucement Ă moi.
Alors je le poussais lĂ©gèrement, en touchant son torse, en lui lançant un sourire aguicheur qu’il me rendis.On pouvait choisir la place que l’on voulait alors on dĂ©cidait de se mettre tout au fond, Ă la place de 5.
On n’avait pas de petites tables repliables mais on s’en fichait, on voulait juste ĂŞtre ensemble, tous les quatre.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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