Charles et Sylvie suite N°3
Suite et fin de cette histoire qui je l’espère aura ravi les lecteurs.
Proposée le 2/04/2017 par alain06 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Brigitte doit retourner chez elle, sa mère n’aime pas qu’elle rentre tard.
Après un baiser et derniers sourires complices elle quitte la maison de son amie.
Sylvie et son père se retrouvent seuls. Se regardant, ils n’ont pas besoin de parler pour se diriger vers l’intérieur de la villa. Ils montent, toujours nus, Charles derrière Sylvie, admirant à nouveau les belles fesses qui ondulent devant ses yeux.
Charles qui ne quitte pas des yeux le cul de sa fille a décidé de la sodomiser, tout au moins d’essayer. Il aperçoit furtivement la petite rosace pendant la montée des marches et sa queue est tendue au maximum. Se retournant sur le palier, Sylvie pose son regard sur la bite dressée. Un large sourire salace apparaît sur son visage.
-C’est mon cul qui te fait bander ainsi ?
-Tu le sais bien. C’est un spectacle magnifique, un spectacle qui donne des idées.
-Ah oui ? Et lesquelles ?
-Tu vas voir.
Se contentant de cette réponse, elle se dirige vers la chambre de son père, Charles sur ses pas.
Elle se jette sur la couche et reste ainsi à plat ventre pendant un instant, laissant admirer ses fesses, puis se retourne pour regarder Charles qui est resté debout, admirant le spectacle. La bite dressée semble encore plus énorme de par la position dominante et elle admire ce chibre qui va la contenter bientôt. Avec un sourire vicieux elle écarte les jambes, replie les genoux, présentant ainsi sa chatte aux yeux de son père. Celui ci fixe la motte dont il peut distinguer nettement l’ouverture des grandes lèvres, montrant ses nymphes luisantes de la mouille qui suinte déjà, puis il s’assoit sur le lit, à coté de Sylvie, à demi adossé contre le montant du lit.
– Mets-toi à quatre pattes, je veux voir ton cul. Je veux voir ta chatte et ton cul en même temps.
Il a parlé d’une voix douce, Sylvie s’exécute. Elle se met à quatre pattes, s’appuyant sur les coudes, le cul superbe tourné vers son père. Celui ci peut contempler les fesses, le tendre abricot formé par les grandes lèvres de son sexe à présent enserrées entre les jambes serrées. La raie culière apparaît bien dessinée, quelques petits poils frisottants oubliés dans la séance d’épilation remontant vers la rosace violette. Il regarde un moment, puis :
-Je veux te voir mieux que ça, allonge les bras sur le lit et écarte un peu les jambes s’il te plait.
Toujours docile, Sylvie fait selon son désir. Allongeant les bras devant elle, elle se retrouve le buste plaqué sur le lit, offrant à Charles ci une vue démentielle sur ses orifices. Il meurt d’envie de la prendre sur le champ, de la sodomiser, mais se contient car il veut que la chose soit non seulement acceptée mais qu’elle en garde un bon souvenir. Il allonge une main qu’il pose sur une fesse, la caressant doucement, appréciant le grain de peau merveilleux. Sylvie ne dit rien, attendant la suite avec impatience. Charles caresse le beau cul des deux mains à présent. Ses mains évitent soigneusement le sexe et le petit orifice qu’il voit palpiter et dont les yeux ne se lassent pas de regarder.
Il commence à entendre les soupirs de satisfaction de Sylvie dont la respiration se fait de plus en plus haletante. De temps en temps elle serre les poings, agite la tête d’un coté puis de l’autre, montrant de plus en plus la montée du désir. Les mains de Charles se font de plus en plus légères, se rapprochant de plus en plus du sexe dont les grandes lèvres laissent passer un filet de mouille.
A chaque fois que les doigts se rapprochent de sa chatte en feu, Sylvie croit qu’il va enfin s’occuper de son sexe mais les doigts s’éloignent une fois de plus. A la fin, rendue folle de désir par ce traitement, elle n’y tient plus.
-Salaud ! Branle-moi ! Caresse-moi la chatte, tu vois comme je coule !
-Tu aimes ma chérie ?
-Tu me rends folle avec tes caresses ! Je sens que je vais jouir toute seule, branle moi ! Défonces moi la chatte ! Je n’en peux plus !
Charles ne dit rien. Ses doigts se rapprochent à présent du petit orifice tant convoité. Les doits effleurent la petite corolle qui palpite de plus en plus fort. Il a l’impression par moments qu’elle pousse comme pour expulser un étron tellement elle est excitée.
-Et là, tu aimes ?
-Oui ! Oh oui ! Continue ! Ah comme tu m’excites ! Tu me rends folle !
Charles a mouillé ses doigts en les portant à sa bouche puis vient poser son majeur sur le petit trou qui palpite, lui imprimant une caresse très légère. Sylvie halète de plus en plus fort sous la caresse.
-Ah que c’est bon ! Ah quel salaud tu fais ! Ah oui continue, ne t’arrête pas ! Ne t’arrête pas je t’en supplie !
Charles est fou de désir sous cette acceptation, il n’en peut plus d’attendre. Il met un deuxième doigt tout en continuant à branler le petit orifice. Sylvie, fait des mouvements de va et vient, s’empalant sur les doigts de son père, montrant son accord.
-Je vais t’enculer ma chérie, es tu d’accord ?
-Oui ! Oui je veux ! Encules moi ! Je veux que tu me pénètres par là aussi.
Charles ouvre le tiroir de la table de nuit, prend un tube de vaseline qu’il avait préparé. Sylvie tourne la tête.
– Que fais-tu ?
-Tu vois bien, je mets de la vaseline, je n’ai pas envie de t’estropier.
Mettant l’orifice du tube à l’entrée de l’anus palpitant, il appuie fortement sur celui ci, introduisant une grande quantité de pommade dans l’orifice.
-Ah c’est froid !
Charles, introduisant à nouveau ses deux doigts dans le trou qui s’ouvre de plus en plus, les fait coulisser en les tournant, enduisant copieusement les parois du conduit. Puis il les ressort.
-A moi maintenant
Et pressant le tube, il en met une grande quantité dans la paume de sa main et s’enduit largement le chibre tendu dans un mouvement de branlette sous le regard trouble de sa fille. Reposant le tube, il montre sa queue luisante de produit à Sylvie.
-Mets toi sur le dos.
Sylvie se retourne et attend. Charles s’approche, lui prend les chevilles et pose les jambes de sa fille sur ses épaules.
-Mets un oreiller sous ta tête, je veux que tu vois bien le dépucelage de ton petit trou.
Il l’aide à bien s’installer puis, s’approchant, il vient poser son gland à l’entrée du petit hublot palpitant.
-Regarde bien, je veux que tu assiste à ton enculage. N’aie pas peur je vais aller lentement.
-Je n’ai pas peur, je veux que tu m’encules. Vas-y papa ! Mets-moi ta bite au fond de mon petit trou.
Charles, tenant sa bite en main, force un peu, dilatant les sphincters. Il se recule, puis s’enfonce à nouveau. Observant le visage de Sylvie, il constate que celle ci n’en perd pas une miette, les yeux dilatés fixée sur le chibre énorme qui va la pénétrer. Poussant un peu plus fort, il entre enfin dans le conduit merdeux, le gland est complètement entré.
Sylvie a poussé un grand cri, Charles s’arrête, la regardant. Ses yeux se sont fermés, une grimace apparaît sur ses lèvres grandes ouvertes.
-Tu as mal ?
-Oui ! Oh oui, attends un peu je t’en prie
-Détends toi et respire fort, tu vas voir ça va aller mieux.
Charles attend un peu puis, doucement il imprime un léger va et vient en attendant que Sylvie se détende. Au bout d’un moment les soupirs de Sylvie ont repris, signe qui encourage Charles.
-Regarde comme tu accepte bien ma bite, tu aimes maintenant ?
-Oui, vas-y papa ! Enfonces toi à fond dans mon cul. C’est bon pour toi ?
-Oui, tu sens comme ma bite coulisse bien ? Attends je vais la rentrer complètement.
Charles s’enfonce le plus loin qu’il peut. Sa bite, enserrée dans le conduit étroit est aux anges. La vaseline fait son effet, lui permettant de coulisser parfaitement dans le trou vierge. Bientôt il bute au fond. Il ressort sa queue presque entièrement puis se renfonce d’un mouvement de plus en plus rapide tout en observant la réaction de Sylvie. Celle ci a les yeux fermés, les narines pincées.
-Ah oui ! Ah comme c’est bon maintenant ! Continue comme ça ! Tu es à a fond là ?
Et ouvrant les yeux elle regarde la bite monstrueuse s’enfoncer et ressortir, enduite de matières innommables. Le membre démesuré bien sur ne rentre pas entièrement. Environ huit à dix centimètres restent dehors empêchant les couilles de venir buter sur les belles fesses de Sylvie.
– Branle-toi ! Caresse-toi le bouton pendant que je t’encule, tu vas voir comme c’est bon.
Sylvie ne se le fait pas répéter. Très vite un murmure de satisfaction sort de se lèvres. Celui ci va en s’amplifiant tandis qu’elle ferme les yeux sur la jouissance qui approche.
-Ah comme c’est bon ! Ah oui ! Ah je sens que je vais jouir bientôt. Ahhhh !
Les murmures se sont transformés en cris et Charles en est heureux car sa bite, fortement comprimée par le cul jusqu’ici vierge est prête à éjaculer dans ce conduit si étroit et si agréable.
-Oui, vas y jouis ma chérie ! Moi aussi je vais venir, je sens que je vais bientôt te remplir le cul ! Viens ! Viens ! Ah ça y est je jouis ! Je jouis ! Tiens ! Tiens prends ! Ahhhh !
Et Charles se répand dans le cul de sa fille qui atteint l’orgasme au même moment.
-Oui ! Oui ! Ah oui, ça y est ! Je jouis moi aussi ! Ah que c’est bon ! Ahhhh !
Les deux amants jouissent en même temps de façon formidable. Charles s’étend sur le corps de sa fille dont le corps est encore secoué par des spasmes.
Les yeux clos, elle récupère, la poitrine se soulevant à un rythme accéléré.
Après un long moment, Sylvie entrouvre enfin les yeux, cernés de mauve.
-Alors, comment tu as trouvé ça ?
Après un moment de silence elle répond :
-C’était bon, vraiment. C’était une découverte, mais je t’avoue que je préfère par devant. Ta bite est trop grosse pour mon petit cul.
-Oui, c’est vrai, mais il fallait essayer, il faut tout essayer, je te l’ai déjà dit. Et puis j’en avais tellement envie.
Disant cela, il se redresse et regardant son sexe toujours enfoncé dans le cul de sa fille, il se retire doucement sous le regard de Sylvie. La bite, considérablement ramollie sort du conduit, imprégnée de parties plus brunes. Enfin elle sort complètement avec un bruit de succion obscène, se balançant légèrement
Leurs yeux rivés sur cette bite souillée, ils rient enfin.
-Bon, je cois qu’elle a besoin d’un peu de toilette, regarde comment tu l’as arrangée !
-Bon, d’accord je vais te la nettoyer.
Tous les deux se dirigent vers la salle de bains et se mettent sous la douche. Charles règle la température de l’eau tandis que Sylvie verse une grande quantité de savon liquide dans une main. Celle ci vient se poser sur le membre qui a beaucoup diminué de volume et commence à le nettoyer. Elle savonne et lave tendrement cette bite qui l’a faite tant jouir. Charles se laisse faire, amusé et repu pour l’instant.
Après s’être longuement savonnés mutuellement, ils retournent dans la chambre. Charles bande à nouveau, émoustillé par la séance de lavage commun. Sylvie est elle aussi excitée par la bite qui oscille de droite à gauche en marchant.
-Tu bandes vraiment tout le temps !
-Seulement quand je suis avec une personne bandante, je te l’ai déjà dit ;
Ils s’allongent sur le grand lit et s’étreignent, s’embrassant passionnément, se caressant. Au bout d’un moment ils se retrouvent allongés tête bèche, Sylvie sur le corps de son père. Commence alors une longue séance de suçage. Sylvie jouit la première sous la langue experte de son père. Reprenant ses esprits, elle s’occupe de téter à nouveau le membre monstrueux qu’elle avait lâché pour jouir de tout son saoul. Celui ci à son tour se libère dans la bouche accueillante, libérant un flot de sperme dont la belle se régale. Elle se retourne pour venir embrasser son père sur la bouche, d’un baiser ou se mêlent salive, sperme et mouille. Se souriant, ils se souhaitent enfin bonne nuit et ne tardent pas à s’endormir, épuisés par toutes ces jouissances .Brigitte, après avoir quitté la maison de son amie, rentre chez elle, pressant le pas car elle et en retard, elle ne voudrait pas que sa mère pose trop de questions du genre : pourquoi es tu en retard, qu’as tu fait ? Surtout elle ne voudrait pas que sa mère l’examine de trop près.
Il est plus de vingt deux heures, à cette heure sa mère est en principe au lit, après un souper rapide.
Elle entre doucement dans la villa. Aucune lumière ne brille au rez de chaussée, ce qui confirme la thèse de la maman au lit.
Elle avale un yaourt en vitesse, puis monte l’escalier, heureuse d’aller se coucher. Jetant un coup d’œil vers la chambre de sa mère en haut de l’escalier, elle voit un rai de lumière sous la porte de celle ci. Il lui semble également entendre des bruits. Hésitante, elle se dirige vers celle ci. Arrivée devant la porte, elle s’arrête. Elle entend distinctement des soupirs, des halètements qui la laisse bouche bée. Elle colle son oreille contre la porte et elle entend sans équivoque aucune des sons qui ne laissent aucun doute à son esprit : sa mère est en train de jouir, tout au moins elle en est pas loin. Les halètements s’accélèrent, s’amplifient. Clouée au sol par la découverte, elle ne bouge plus, collant encore plus son oreille contre la porte.
-Ahhhhh ! Ahhhhh ! Ahhhh. Ah que c’est bon. ! Ouiiii. ! Ouiiiiiii !
Brigitte ne peut se tromper, ce sont bien des cris de jouissance, et des cris de jouissance intense.
Les gémissements diminuent après avoir un haut, jusqu’à s’arrêter enfin. Quelques secondes après, elle entend sa mère se lever, puis le bruit de l’eau se fait entendre dans la salle de bains attenante, sans doute le bruit de l’eau dans le bidet.
Rapidement, penseuse, Brigitte se dirige vers sa chambre, prenant garde à ne pas faire de bruit. Se couchant, elle ne peut croire ce qu’elle a entendu. Comme toutes les filles, comme tous les enfants en fait, on ne peut croire que ses parents sont comme nous, qu’ils jouissent comme nous et elle est profondément perturbée, et surtout très excitée. Elle s’aperçoit en portant sa main à sa motte que celle ci est trempée. Machinalement elle commence un doux mouvement de bas en haut, ouvrant en grand le compas de ses jambes, imaginant la chatte de sa mère. Des soupirs ne tardent pas à sortir de ses lèvres qui vont en s’amplifiant. Une intense jouissance la surprend, elle se mord les lèvres tout le temps que celle ci dure. Elle va faire une toilette rapide, se lavant la chatte dans le bidet, tout en réfléchissant à ce qu’elle vient de découvrir. Elle est certaine que sa mère était seule, elle se serait rendu compte si un homme (ou une femme) se trouvait dans la chambre de sa mère. Donc elle se branlait. Cette découverte lui ouvre des perspectives nouvelles et elle s’endort en souriant.
Le lendemain elle se lève, en robe de chambre elle se dirige vers la cuisine. Sa mère est en train de déjeuner. Brigitte se dirige vers elle, l’embrasse en lui disant bonjour.
-Bonjour, comment vas tu ? As-tu bien dormi ? Je ne t’ai pas entendu rentrer.
Brigitte la regarde, la trouve très belle, encore plus que d’habitude.
-Oui, je suis rentrée vers dix heures, tu devais dormir je pense.
Sa mère la regarde, les yeux interrogateurs, puis :
-Certainement, je ne me sentais pas bien hier soir. Bon, je suis en retard, je me dépêche.
Et elle s’en va, suivie des yeux par Brigitte. Son regard s’attarde sur les fesses bien en vue sous le pyjama d’homme qu’elle affectionne. Celles ci sont bien en relief, comprimées par le short léger.
Elle prend son déjeuner tout en repensant à ce qu’elle a découvert et souhaite une bonne journée à sa mère qui part au travail.
Arrivée au lycée, elle embrasse Sylvie qui est déjà arrivée. La matinée se déroule comme dans un rêve, plongée dans ses pensées.
Midi arrive et les élèves sortent. Un bras se glisse sous le sien, c’est Sylvie qui lui demande :
-Que t’arrive-t-il ? Je t’ai observée toute la matinée, tu étais ailleurs.
-Tu t’en es aperçue ?
-Ben oui, c’est la soirée d’hier qui te perturbe à ce point ? Tu regrettes ?
-Bien sur que non, c’était super. Non il y a autre chose.
Et tout en mangeant un sandwich au bistrot tranquille ou elles vont lorsqu’elles veulent être seules, Brigitte lui raconte tout.
Sylvie écoute, les yeux brillants. A la fin, elle lui dit :
-Et alors ? Ta mère est jeune, elle a envie de jouir, comme nous. Tu es tombée par hasard sur une séance de masturbation qui ne doit pas être la première, ni la dernière. Et puis elle doit être frustrée, elle vit seule, le sexe doit lui manquer non ?
-C’est bien ce que je pensais. Mais quand même ça fait drôle d’entendre sa mère se branler.
-Ta mère est une femme comme les autres, elle a le droit elle aussi à la jouissance. Mais dis moi, l’as tu déjà vue avec un homme ?
-Non…, non, maintenant que tu m’y fais penser, jamais.
-Alors elle doit être en manque d’affection. Bon n’y pense plus.
Brigitte au contraire ne peut s’empêcher d’y penser. Elle se promet bien de surveiller celle ci, car ce qu’elle a entendu l’a émoustillée et elle meurt d’envie de jouer les voyeuses à nouveau.
La journée se passe lentement, les deux copines se séparent de bonne heure. Brigitte rentre chez elle et fait ses devoirs. Sa mère rentre vers dix neuf heures, prend une douche et prépare le dîner en compagnie de sa fille. Elles devisent de tout et de rien puis, la table desservie, il est vingt et une heures. Brigitte demande :
-Que fais tu ce soir ? Tu regardes la télé ?
-Non, je ne suis pas trop en forme, je crois que je vais aller me coucher, lire un peu et puis dodo.
-Bon, ben moi aussi, je me sens fatiguée, je crois que je vais m’endormir de suite.
Brigitte embrasse sa mère et monte dans sa chambre. Rapidement elle revêt un long tee shirt, sa tenue préférée quand elle est seule. Elle éteint la lumière, s’allonge sur le lit et attend, repensant à la scène découverte hier soir. Ses pensées se font de plus en plus cochonnes et instinctivement ses mains se posent sur son bas ventre. Relevant les jambes, largement écartées elle commence une masturbation qui ne tarde pas à l’amener vers une jouissance qui la laisse pantelante. Fatiguée, elle s’endort très vite.
Le lendemain, samedi est une journée sans lycée. Brigitte se lève, prend son petit déjeuner en compagnie de sa mère.
-Tu travailles aujourd’hui maman ?
-Non ma chérie, aujourd’hui pour une fois je me repose. Il paraît qu’il va faire beau, je vais me faire bronzer. Et toi que fais-tu aujourd’hui ?
-Rien de spécial, je fais mes devoirs, et ensuite je pense que je vais faire pareil que toi : bronzing. A propos j’ai invité Sylvie, elle doit venir en fin de matinée pour comparer nos devoirs, ça ne te dérange pas si je l’invite à déjeuner ? Elle est toute seule ce midi.
-Pas du tout, tu as très bien fait.
Brigitte remonte, et se met à son travail. Sylvie arrive vers onze heures. Brigitte va lui ouvrir la porte dès le coup de sonnette. Les deux amies s’embrassent, toujours heureuses de se retrouver. Puis, après les paroles habituelles de bienvenue :
-Ou est ta mère ? Je voudrai lui dire bonjour.
-A la piscine. Viens, je t’accompagne.
Les deux amies se dirigent vers la piscine, bien cachée des regards derrière une haie de lauriers roses. Arrivées près de celle ci, elles voient Nadine, allongée sur un transat, son corps de jeune fille brillant de crème solaire. Celle ci s’est mise à son aise, les petits seins durs dressés malgré la position, un très léger slip cachant son pubis. D’instinct, les deux amies s’arrêtent, admirant le spectacle. Il semble que Nadine dort et les deux files admirent son corps superbe sans rien dire pendant quelques instants. Sylvie murmure enfin :
-Qu’elle est belle ! Comme j’aimerai avoir son corps lorsque j’aurais son age !
-Attends, elle n’a pas un age canonique quand même !
-Excuse moi, ce n’est pas ce que je voulais dire, mais avoue qu’elle a un corps superbe !
-Là oui, je suis d’accord avec toi. Viens laissons la dormir, tu lui diras bonjour tout à l’heure.
Et sans faire de bruit les deux amies se dirigent vers la villa. Ensemble elles revoient leurs devoirs puis, vers midi elles décident de descendre.
-Mettons nous en maillot de bains, il fait trop beau.
Elles se déshabillent, chacune lorgnant le corps de l’autre. D’un commun accord, elles décident de rester sages et, après avoir enfilé chacune leur maillot deux pièces, elles descendent l’escalier.
Passant près de la cuisine, elles entendent du bruit. Il s’agit de Nadine en train de préparer le déjeuner.
-Viens, tu vas dire bonjour à ma mère.
Joyeuses elles entrent dans la cuisine et s’arrêtent sur le seuil, surprises. Nadine leur tourne le dos, en train de préparer le déjeuner mais dans la même tenue qu’elle portait à la piscine, c’est à dire rien en haut et peu en bas. En effet, ce qu’elles
supposaient être un slip mini est en fait un string et la ficelle disparaît complètement entre deux fesses bien galbées. Nadine s’est retournée en entendant les filles arriver et leur surprise la fait sourire.
-Bonjour les filles.
Et elle s’approche de Sylvie qui se dirige vers elle. Elles s’embrassent puis :
-J’espère que je ne vous choque pas, il fait si chaud que je n’ai pas eu le courage de me rhabiller.
C’est Sylvie qui réagit la première, émoustillée par la vue de ce beau corps qu’elle peut admirer tout près d’elle à présent :
-Oh non ! Pas du tout, on est un peu surprises seulement. Mais c’est vrai qu’il fait chaud !
Elle jette un coup d’œil à Brigitte qui a rosi, puis :
-Est ce que je peux me mettre dans la même tenue ? C’est si agréable de pouvoir se mettre à l’aise.
Nadine regarde quelques secondes Sylvie qui lui fait face et finit par répondre :
-Bien sur, je t’en prie, ne te gêne pas.
Sylvie, portant ses mains derrière son dos, détache prestement l’attache du soutien gorge et, le passant par dessus la tête, elle le retire et le pose sur la chaise la plus proche. Regardant Nadine, elle demande ingénument :
-Je me sens mieux. Bon, dites moi ce que je dois faire pour vous aider.
Nadine qui regardait la poitrine de Sylvie d’un air intéressé semble revenir à elle.
-Très bien, vous pouvez mettre la table, j’ai presque terminé, j’ai fait un repas léger.
Ensemble les deux amies commencent à installer la table sous une tonnelle ombragée. Brigitte dit à son amie :
-Toi tu es gonflée, se déshabiller comme ça !
-Pourquoi ? Tu as vu ta mère comme elle est à l’aise ? Fais pareil ! C’est ta mère, elle t’a déjà vue à poil non ?
Brigitte ne répond pas. Sylvie, passant derrière elle pose ses mains sur l’attache du soutien gorge et demande :
-Tu ne vas passer pour une dinde aux yeux de ta mère tout de même ! Bon, je l’enlève oui ou non ?
Le ton autoritaire de Sylvie la surprend, elle ne dit rien. Elle sent les mains qui défont doucement l’attache, se laisse faire. Encouragée par son silence, Sylvie détache l’agrafe et descend les épaulettes, mettant la poitrine opulente à l’air. Arrachant le léger vêtement, Sylvie le jette sur la première chaise puis :
-Bon, viens, on continue de mettre la table.
Et elle se dirige vers la cuisine, tournant le dos à Brigitte. Celle ci suit son amie, toute contrite de se montrer à moitié nue devant sa mère.
Sylvie rentre dans la cuisine et remarque le coup d’œil appuyé de Nadine sur sa poitrine. Instinctivement elle bombe le torse, tandis qu’elle même ne se gène pas
d’admirer la belle poitrine qui se trouve en face d’elle. S’approchant de Nadine elle demande :
– Que reste-t-il à faire ?
Nadine, le regard toujours posé sur les seins de Sylvie ne répond pas de suite. Enfin elle dit :
-Tu as une poitrine superbe pour ton age.
Sylvie, émoustillée la regarde sans répondre, bombant le torse. Il semble que Nadine ne puisse plus détacher les yeux des sa poitrine. Une onde de désir envahit Sylvie. Il lui semble que ses bouts dardent sous le regard appuyé. Mettant ses mains en coupole sous ses seins, elle dit :
-En effet, je les aime bien.
Emoustillée elle ne peut s’empêcher d’ajouter.
-Mais ils ne sont pas un peu gros ?
Nadine qui a toujours les yeux fixés sur la belle poitrine ne répond pas de suite puis :
-Ce n’est pas le volume qui compte, mais la forme et …la fermeté.
Sylvie a nettement senti une différence dans la voix. Ses derniers mots ont été prononcés d’une voix tendue, rauque.
Sylvie met ses mains sous ses seins, les remonte, les soupesant. Hésitant à peine, elle demande :
-Vous croyez qu’ils sont assez fermes ?
C’est une invite grossière mais spontanée.
Nadine et Sylvie ont les yeux dans les yeux. Un silence s’installe entre les deux. Sylvie voit bien que Nadine meurt d’envie de les toucher, ça se voit dans sa respiration soudain courte, dans sa poitrine qui se soulève à toute vitesse comme si elle avait couru.
Sylvie est dans un état indescriptible. Elle se rapproche de Nadine, tous ses sens espérant que les mains de la femme vont venir se poser sur sa poitrine.
C’est le moment que choisit Brigitte pour entrer dans la pièce. Instinctivement Nadine se recule et tourne les yeux vers sa fille.
-Ah bien, toi aussi tu t’es mise à l’aise, tant mieux.
Brigitte sent une tension dans la voix et elle reste sans bouger, interdite, observant sa mère et sa meilleure amie cote à cote.
C’est Nadine qui rompt le silence pesant qui commençait à s’installer.
-Bon, et bien je crois que tout est prêt. A table les petites, j’apporte l’entrée.
Et tournant sur elle même elle expose une fois de plus aux deux filles ses fesses magnifiques. Sylvie prend les couverts et sort, croisant Brigitte qui est toujours dans l’entrée, cherchant à comprendre ce qui se passe.
Le repas se passe de façon agréable. Empruntée tout d’abord, Brigitte s’est petit à petit laissée entraînée par la bonne humeur de sa mère et de Sylvie. La première
bouteille de rosé est vite vidée, remplacée par une autre, toute aussi fraîche et surtout tout aussi traître, comme toutes les bouteilles de rosé de Provence, boisson qui se boit comme du petit lait comme on dit par ici, mais qui laisse des traces. Traces qui deviennent de plus en plus évidentes au fur et à mesure que le repas se termine. Elles pouffent sans arrêt, leurs seins tressautant sous les regards des unes et des autres. Elles s’examinent à présent sans aucune gène ni hypocrisie quelconque.
Sylvie surtout ne peut s’empêcher de reporter son regard sur la poitrine de Nadine et il lui semble bien que celle-ci en fait autant, même si c’est fait d’une façon plus discrète.
Enfin, Nadine, plus guillerette que jamais donne le signal :
-Les enfants, je crois que je vais aller m’allonger un peu. Laissez la table comme ça, on la débarrassera plus tard. A moins que vous soyez courageuses mais moi je ne me sens pas de ranger maintenant.
Se levant, elle se dirige vers la piscine, suivie des yeux par Sylvie et Brigitte. Dès que les belles fesses de Nadine se sont évanouies derrière la barrière de lauriers, les deux amies se regardent, les yeux brillants.
-Tu m’avais caché que ta mère était comme ça !
-Je ne t’ai rien caché, c’est la première fois que je la vois ainsi !
Sylvie est excitée au maximum. Tout le temps du repas, elle n’a eu de cesse de regarder et d’admirer la poitrine de Nadine, placée juste à sa droite. De même elle a pu admirer la cambrure de ses reins et la vue de ses fesses de profil. Ces même fesses qu’elle vient à nouveau d’admirer, rehaussées par la démarche magnifique l’ont mise dans un état indescriptible. Posant sa main gauche sur la cuisse de son amie, elle lui dit :
-Regarde comme je suis excitée.
Et joignant le geste à la parole, elle ouvre le compas de ses jambes, montrant à Brigitte l’intérieur se son slip.
Celui ci comporte une tache humide qui ne laisse aucun doute sur son émoi.
– Que t’arrive-t-il ?
-Je ne sais pas, ta mère m’excite, tu ne peux pas savoir.
Brigitte fait les yeux ronds sous cette déclaration. Mais elle aussi est excitée.
-Tu te rends compte de ce que tu dis ?
-Et alors ? Tu as vu comment elle se comporte ? D’abord sa tenue et puis toutes ces plaisanteries pendant le repas. Après ce que tu m’as raconté quand tu l’a entendue s’envoyer en l’air l’autre soir il y a de quoi être excitée non ?
Brigitte ne dit rien mais il est clair qu’elle aussi est troublée.
-Oui, d’accord mais c’est ma mère tout de même.
-Et alors ? Et toi que fais tu avec mon père ?
Brigitte ne trouve rien à répondre.
-Viens, on va la rejoindre.
Et se levant, elle tend la main à Brigitte qui la saisit et se lève également. Du moins elle essaye car, titubante, elle se raccroche à l’épaule de son amie.
– Que t’arrive-t-il ?
-Je …, je ne sais pas, je crois bien que j’ai bu trop de vin, la tête me tourne.
En effet, elle a toutes les peines du monde à se tenir debout, agrippée à Sylvie.
-Je crois que je vais aller m’allonger sur mon lit, ça ne va pas fort.
-Bon, je crois que tu as raison, je t’accompagne car je ne crois pas que tu vas y arriver toute seule.
Et l’une tenant l’autre, elles montent péniblement l’escalier. Arrivées dans sa chambre, Brigitte s’écroule à plat ventre sur son lit. Sylvie attend debout, indécise, puis :
-Ecoute, je vais te laisser, je redescends. Viens nous rejoindre quand tu iras mieux.
Brigitte ne répond pas, Sylvie tourne les talons et referme doucement la porte derrière elle.
Arrivée à la piscine, elle s’arrête un instant devant le spectacle de Nadine, allongée à plat ventre sur le transat, semblant dormir, la tête tournée de l’autre coté. Le spectacle est magnifique et elle sent à nouveau une excitation incontrôlable l’envahir. Doucement elle se rapproche et s’installe sur le transat à coté d’elle, en s’efforçant de ne pas faire de bruit, tout en continuant à la regarder.
Nadine se retourne et voyant Sylvie seule demande :
-Ou est Brigitte ?
Sylvie pouffe nerveusement et dit :
-Je crois qu’elle a un peu forcé sur le rosé. Il a fallu que je l’accompagne dans sa chambre. A cette heure ci elle doit dormir.
Nadine sourit, puis son regard s’attardant sur le corps de Sylvie.
-Je t’ai déjà dit que tu avais un corps magnifique pour ton age ?
-J’ai seize ans passés quand même !
-C’est vrai, tu es une femme, une femme avec une poitrine superbe !
Sylvie, à demi allongée sur les coudes, rosit de bonheur et regarde ses seins qui dardent superbement, malgré la position. Voulant renvoyer le compliment, elle dit :
-Vous aussi vous avez une très belle poitrine.
-Tu trouves ? Oui, peut être, mais ils sont petits.
Disant cela, elle se tourne pour se mettre sur le dos et,regardant ses seins:
-Regarde, les tiens sont beaucoup plus gros que les miens.
Comme Nadine avait défait le cordon qui tenait son string, elle se retrouve nue et L’entre jambes rasé n’a pas échappé au regard brillant de Sylvie. Son visage est devenu rouge d’excitation à cette vue, les pointes de ses seins sont érigés au maximum sous le regard inquisiteur de Nadine.
Sylvie qui respire de plus en plus difficilement ne peut s’empêcher de dire :
-Plus petits mais sans doute plus durs, c’est toujours ce qu’on dit.
-Fais voir.
La réaction de Nadine a été instinctive. Elle empaume le sein droit de Sylvie, faisant comme un mouvement de rotation.
-Ils sont très durs au contraire, aussi durs que les miens. Tiens regarde.
Et bombant le torse, elle attend que Sylvie lui rende la pareille. Celle ci, comme dans un rêve s’assoit également en face de Nadine et pose une main tremblante sur un sein dur.
La jeune fille respire de plus en plus fort, sa main ne bouge pas, comme si elle avait peur de rompre le charme.
Nadine pose sa main gauche sur la main de Sylvie, la pressant, l’encourageant à la caresser. Son autre main se pose à nouveau sur le sein lourd de Sylvie et le caresse savamment, en douceur, effleurant le bout bandé au maximum. Enfin elle lâche la main qui se trouvait posé sur celle de la jeune fille et caresse à présent les seins merveilleux.
Sylvie ferme les yeux, aux anges. La scène dure quelques minutes, le corps de la jeune fille s’arc boute et se rapproche insensiblement de Nadine. Celle ci est folle de désir. Elle n’a pas connu d’aventure féminine depuis des années et elle n’en peut plus. Doucement, elle dit :
-Allonge toi ma chérie.
Comme dans un rêve, Sylvie s’allonge sur le dos.
Nadine se lève, rapproche son transat, le collant contre celui de Sylvie, allongée, regardant faire celle qui, elle le sait, va lui procurer un bonheur qu’elle est sure, elle n’a jamais connu.
Nadine se met à genoux sur son transat, face à Sylvie. La jeune fille pose son regard sur le sexe épilé, dont les grandes lèvres proéminentes sont clairement dessinées, séparées par un sillon profond.
Nadine a elle aussi la respiration courte.
-Enlèves ton slip, tu veux ?
C’est plus un ordre, bien qu’exprimé avec douceur et Sylvie, passant les pouces de chaque coté de son slip, relève les fesses et se débarrasse du léger vêtement qui atterrit par terre. Elle allonge à nouveau ses jambes, légèrement entrouvertes, exposant elle aussi sa motte rasée aux yeux ravis de Nadine.
-Alors toi aussi tu t’épiles !
Une main légère, bien qu’impatiente, se pose sur le pubis en relief de Sylvie qui, instinctivement, ouvre un peu plus ses jambes. Les doigts descendent dans le doux vallon et, butant sur l’entre jambes, pèse un peu. Sylvie écarte alors ses jambes complètement, redressant la jambe gauche. Les doigts alors continuent de descendre, un doigt venant même titiller la petite rosace.
Un roucoulement léger s’élève à présent, sortant de la gorge de la jeune fille, super excitée par la douceur de la caresse. Ses grandes lèvres se sont ouvertes sous l’intense plaisir. Une mouille abondante témoigne de l’excitation de Sylvie.
Nadine, remontant le long de cet endroit merveilleux sent la dureté du bouton bandé. Elle n’y tient plus. Elle aussi est follement excitée. Toujours à genoux, les jambes écartées, elle sent un jus abondant sourdre de sa chatte en chaleur. Sa raison lui dit qu’elles ne peuvent aller plus loin en restant ici.
Abandonnant le sexe qui se tend vers la caresse, elle dit, sous le regard désappointé de Sylvie :
-Viens, lève toi et enroule une serviette autour de ce joli corps, on va aller dans ma chambre.
Et montrant l’exemple elle se lève, enroulant sa serviette autour d’elle comme un paréo. Sylvie, les joues rouges, le visage défait par le plaisir se lève comme une somnambule et en fait autant.
Sans un mot, mais avec un regard complice qui en dit long sur leur désir commun, elles entrent dans la villa et montent l’escalier.
Arrivées dans la chambre de Nadine, elles se débarrassent de leur serviette. Nadine tend la main à Sylvie qui la prend et se laisse entraîner vers le grand lit.
A peine allongées, Nadine attire vers elle Sylvie et elles s’enlacent, les lèvres aussitôt soudées en un profond baiser. Les mains caressent, tâtent, explorent le corps de l’autre.
Très vite, chacune a la main posée sur le sexe de l’autre, le caressant de bas en haut, le médius s’enfonçant dans la chatte béante et abondamment mouillée. Les soupirs montent, le désir est tout proche. Nadine dit :
-Viens sur moi ma chérie, je veux boire ta mouille, je veux que tu me remplisses la bouche de ton jus, je veux te bouffer la chatte, ta chatte de petite salope.
Elle s’allonge, aussitôt recouverte par le corps de Sylvie. Nadine voit venir se coller à ses lèvres une chatte qui s’ouvre sous l’effet de l’ouverture démesurée des jambes. Elle admire d’abord, se retenant de venir coller sa bouche sur ce sexe dégoulinant. Les petites lèvres sont un petit peu plus foncées, pendantes légèrement et luisantes de jus dont elle va se régaler. Elle attire cette moule superbe en posant les mains sur les belles fesses rebondies de la salope qui attend avec impatience que la langue vienne se poser sur son sexe affamé.
– Vas-y ! Mange-moi la chatte ! Bouffe-moi ! J’ai trop envie !
Nadine enfin pose une langue longue et douce sur cette chatte et un grognement de satisfaction se fait entendre.
-Ah oui ! Ah oui ! Comme tu le fais bien ! Continue ! Continue je t’en prie ! N’arrête pas ! N’arrête pas ! Ah oui, ah oui je sens que je vais jouir ! Ahhhhh !
Et, collant violemment sa chatte contre le visage de Nadine, elle jouit en criant sous le plaisir intense. Il semble que la jouissance ne va jamais s’arrêter. Nadine qui continue sa savante caresse alimente la jouissance et elle continue de se répandre dans la bouche qui se régale de cette semence.
Nadine, super excitée, continue de sucer ce sexe qui semble ne jamais être rassasié. Enfin, à moitié étouffée par la chatte collée à sa bouche, elle se dégage,
difficilement, avant d’être complètement asphyxiée. Sylvie se calme alors lentement, la tête posée sur les cuisses de Nadine, tentant de reprendre son souffle.
Nadine, qui n’a pas joui se sent frustrée. Elle laisse Sylvie retrouver son souffle, puis, insensiblement elle fait le pont tout en écartant ses jambes au maximum. Sylvie, reprenant un peu ses esprits, réalise que, prise de frénésie sexuelle, elle a complètement délaissé la chatte qui, largement entrouverte par le désir ardent, exhale un parfum de femme en chaleur qui ne trompe pas. Cette chatte complètement imberbe est impressionnante. Jusqu’alors elle n’a vu que la moule de Brigitte, entourée de poils. La vue de ce sexe nu comme un sexe de bébé, l’aspect abricot mis en valeur par les grosses lèvres très proéminentes la met à nouveau dans un état indescriptible. Elle sent qu’à nouveau sa chatte se liquéfie, que son jus se répand dans la bouche qui l’a tant fait jouir. Elle l’embrasse, son geste aussitôt récompensé par une ruade de Nadine qui marque ainsi son contentement.
-Ah enfin ! Ah oui, bouffe la ma chatte ! Bouffe la ma chérie ! Ah j’en avais tant envie ! Ah oui, continue !
Et Sylvie, mettant son tout nouveau talent de suceuse s’applique à faire jouir celle qui lui a révélé la vraie jouissance d’être sucée par une femme experte.
Le jus abondant et très fort, une odeur de femme mure lui monte à la tête et elle sent qu’elle même ne va pas tarder à jouir, mais elle arrive à concentrer toute son attention à bien faire, ce qui ne tarde pas à montrer son effet.
-Ah ! Ah comme c’est bon ! Ah il y a si longtemps ! Vas y ! Vas y ! Je viens ! Je viens ! Ah oui, tiens ! Tiens ! Tiens salope ! Ahhhhhh !
Et Nadine jouit en criant encore plus fort que Sylvie quelques minutes avant. Sylvie continue ses caresses tout le temps que dure la jouissance, s’arrêtant enfin lorsque les cris, puis les gémissements ont complètement cessé.
Lorsqu’enfin, Nadine se détend, libérant les fesses de Sylvie qu’elle étreignait très fort, Sylvie se soulève, libérant le corps repu, et d’une reptation se retrouve la tête et la bouche en face de Nadine.
Celle ci l’attire à elle, souriante, les yeux à demi fermés par la jouissance dont elle digère encore les derniers instants.
Un baiser profond les unit. Se libérant, Nadine écarte le visage de Sylvie et la regardant en souriant largement elle lui dit :
-Super, tu m’as sucée comme je ne l’ai pas été depuis longtemps. Et pour toi c’était comment ?
-Démentiel ! Super !
Nadine apprécie le compliment, puis :
-Tu as déjà fait l’amour avec une femme ?
Sylvie hésite à peine.
-Oui, mais une seule fois.
Nadine sait qui est la personne. Mutine, elle en profite pour aller plus loin.
-Je la connais ?
A la façon dont Nadine la regarde, Sylvie devine qu’elle sait. Nadine ajoute doucement:
-Je sais avec qui, mais j’aimerai que tu me le dises.
Sylvie se redresse, regarde Nadine, toute rouge. Les deux femmes se regardent puis, Sylvie demande :
-Comment tu sais ?
-Par accident, vous avez tellement joui que vous ne vous rendiez plus compte de rien. Les cris m’ont alertée, et je me suis tout de suite rendu compte que ce n’était pas grave, que c’était des cris de jouissance.
Le sourire vicieux de Nadine pendant tout le temps de sa tirade montre à Sylvie tout le bien qu’elle pense des rapports entre copines et Sylvie se détend.
-Et tu…, tu nous a espionnées ?
-Non, je n’en ai pas eu l’occasion. Mais si j’avais pu, oui, je l’aurai fait.
Et cela dit avec un large sourire. Sylvie pense soudain aux révélations de Brigitte, sur les cris entendus l’autre soir. Elle décide de jouer le jeu, de tout lui révéler. Elle lui raconte et c’est au tour de Nadine de piquer son petit fard.
-Ah la petite vicieuse. Je ne m’en suis pas rendu compte.
-Tout comme nous.
-Et comment a t’elle réagi ?
-Bien, un peu choquée de voir que sa mère était une femme comme une autre, elle était très excitée, crois moi !
-Tiens tiens, et moi qui la croyait un peu coincée. Il est vrai que j’avais commencé à réviser ce jugement lorsque je vous ai surprises toutes les deux.
Et elle éclate de rire. Mais Sylvie enhardie, demande :
-Et ça t’arrive souvent de jouir toute seule, de heu…
-De me masturber ? C’est ça que tu veux dire ? Non, en fait vois tu, j’avais un peu mis mes sens en sommeil. Et puis c’est le fait d’entendre vos ébats qui m’a réveillée.
Sylvie, de plus en plus excitée veut enfoncer le clou.
-Et comment fais-tu ?
-Je vois que tu es une sacrée vicieuse. Je me branle avec mes doigts, tout simplement, je fais travailler mes souvenirs, mes fantasmes, et ça vient, voilà. Contente ?
Et Nadine applique un baiser appuyé sur les lèvres de Sylvie. Sa main descend, se pose sur la chatte, la découvre une fois de plus trempée.
-C’est ce que je t’ai dit qui t’excite ainsi ? Tu coules comme une fontaine !
-J’ai encore envie oui, j’ai presque joui en te bouffant la chatte, on dirait une chatte de bébé.
Nadine lui raconte l’épilation électrique.
-Mais toi ? Tu t’es rasée il y a pas longtemps, tes poils repoussent à peine. Mais à première vue tu en as beaucoup, tout au moins il en a sur une grande surface.
-Et Brigitte comment est elle ? Elle jouit autant que toi ? Je veux dire, elle aime vraiment faire l’amour ?
Les confidences continuent et bientôt toutes les deux n’ont plus de secret l’une pour l’autre. A part pour ce qui est des hommes. Sylvie n’ose pas parler de Charles, appréhendant la réaction.
Durant ces confidences, L’excitation des deux femmes s’est accentuée. Elles se touchent la chatte, se caressent sans gène sous les yeux de l’autre. A la fin, Nadine lui dit :
-Attends, ne bouge pas.
Elle se lève et revient avec un coffret. Elle le pose sur le lit entre elles, un sourire canaille au coin de la bouche. Après un dernier regard, elle l’ouvre, découvrant aux yeux de Sylvie toute une panoplie d’olisbos.
Nadine les sort un par un. Il y en a de toutes les tailles et de toutes les formes. Son attention est attirée par un, très long et fait de telle sorte qu’il ressemble à deux sexes d’hommes attachés par leur base. Elle le prend entre ses doigts. L’engin fait bien cinquante centimètres de longueur, avec un côté assez gros, tandis que l’autre est nettement plus fin, plus effilé.
-On appelle cet instrument un dong. Tu as bien choisi. C’est ce qu’il nous faut en ce moment.
Les deux femelles sont à ce moment assises toutes les deux en tailleur, face à face.
Nadine, tout en regardant Sylvie dans les yeux de son air le plus vicieux ouvre la bouche, introduit la reproduction d’une bite de bon diamètre et le faisant coulisser entre ses lèvres d’un air très pute, le lubrifie. Elle regarde ensuite son travail, retourne l’instrument et fait de même avec l’autre coté. Enfin, après un dernier coup d’œil, elle dit à Sylvie :
– Allonge-toi un peu. Oui comme ça appuie toi sur les coudes et ouvre bien ta chatte ma chérie.
Sylvie, se mettant comme Nadine lui dit, ouvre largement les jambes, son sexe béant, les grandes lèvres largement ouvertes, les petites lèvres luisantes de mouille également.
-C’est bien ! Bon dieu que tu es bien ouverte ! Il va rentrer tout seul.
Et Nadine introduit la partie la plus grosse du dong. L’autre partie pend, produisant un effet parfaitement obscène que Nadine ne peut s’empêcher d’admirer.
-Regarde comme c’est beau ! On dirait que tu as une bite.
Sylvie regarde elle aussi. L’effet est saisissant. La partie qui sort paraît tellement naturelle qu’elle se met presque à jouir, Nadine lui ayant introduit en faisant des aller retour qui l’ont excitée au maximum.
-Je crois…, je crois que je vais jouir. Tu ne peux pas savoir comment je suis excitée.
-Attends ma chérie. Attends, tu vas voir comme ça va être bon. Prends le dans ta main, oui comme ça. Imagine que tu es un homme et que tu vas baiser une salope.
Et Nadine, se mettant en face et dans la même position que Sylvie sur les coudes, approche sa chatte du dong. L’olisbos est à présent à l’orée de la chatte ouverte mais, comme peut le constater Sylvie, bien moins bien ouverte qu’elle même. Le sexe de Nadine semble assez étroit, mais néanmoins largement lubrifié comme en atteste la coulée de mouille qui lui coule dans la raie des fesses. Elle continue à s’approcher, Sylvie relève un peu l’imitation du sexe d’homme.
-Oui, comme ça. Je vais m’empaler sur cette bite.
Leurs sexes se rapprochent encore et le dong disparait peu à peu. A la fin, Nadine qui halète lui dit :
-Oui, ça y est il est au fond de moi. Et toi ?
-Moi aussi, je le sens au fond de ma chatte.
Il reste environ un bout de vingt centimètres du dong qui apparait entre leurs sexes
-Alors recule un peu, de dix centimètres environ.
Sylvie s’exécute. Les deux filles halètent. Leur regard est trouble. Sylvie se retient pour ne pas jouir. Cette expérience la met dans un état incroyable.
Nadine étreint la partie visible et d’un mouvement d’abord doux, puis en accélérant elle entre l’appareil une fois dans le vagin de l’une puis de l’autre. L’effet est formidable. Sylvie se met tout de suite à crier.
-Ah oui ! Mon dieu que c’est bon ! Ah oui ! Bon dieu oui, je jouis ! Je jouis. Et, toujours appuyée sur ses coudes et le regard fixé sur les deux chattes en folie, elle jouit en criant de plus en plus. Ses cris parviennent au paroxysme tandis que les mouvements de la main de Nadine s’accélèrent. La jouissance ne s’arrête pas, bien au contraire, elle redouble d’intensité. A son tour Nadine jouit, joignant ses cris à ceux de Sylvie. Ses mouvements diminuent de vigueur. Sylvie repousse la main de Nadine et à son tour elle imprime des mouvements de va et vient de plus en plus violents. Nadine elle aussi qui avait déjà joui et retrouvait ses esprits se remet à jouir de plus belle et ses cris deviennent de plus en plus forts.
Elles jouissent ainsi un nombre incalculable de fois. Enfin épuisées, elles s’arrêtent, s’allongeant sur le dos, le dong toujours fiché dans leur chatte. Le tableau est d’une obscénité rare pour un spectateur.
Pour une spectatrice surtout. Le vacarme produit par les deux femelles en rut a fini par sortir Brigitte de sa léthargie. La bouche pâteuse elle se demande d’abord ce qui se passe. Elle se lève et se dirige vers ou proviennent les cris. Elle comprend vite, bien avant d’arriver, ce qui se passe. Elle se plie en deux, regarde à travers le trou de serrure et aperçoit sa mère et Sylvie en pleine action. D’abord interdite, elle sent une onde de désir l’envahir toute entière. Le spectacle est d’une intensité rare. Les idées encore embrouillées, sa main vient se poser sur sa motte au moment ou les femelles, ivres de jouissance s’écroulent sur le dos, les yeux clos.
Elle reste longtemps ainsi, se tripotant la chatte trempée. Sa mouille descend le long de ses cuisses. Au bout d’un moment elle a la tête qui tourne, épuisée.
Elle retourne dans sa chambre, s’allonge sur le lit et s’endort comme une masse.
Nadine et Sylvie s’arrêtent, épuisées elles aussi par les jouissances répétées. Sylvie se relève, Nadine en fait autant, vient se pelotonner contre elle. Elle demande :
-Alors heureuse ma chérie ?
-Oh oui, je ne m’attendais pas à ça, même si je l’espérais fortement.
-De faire l’amour avec moi, c’est ça que tu veux dire ?
-Oui, mais j’avais peur que ça ne marche pas.
-Pourquoi donc ?
-Et bien on en parlait l’autre jour avec Brigitte, on ne t’a jamais vue avec un homme.
-Tout simplement parce que je n’aime pas les hommes, je préfère les femmes.
-Mais tu as été mariée, la preuve Brigitte.
-Oui, mais c’était une erreur, c’était pour faire comme tout le monde. J’ai divorcé très vite.
-Mais pourtant tu as aimé le…, heu le gode, et puis tu en as toute une collection.
-Bien sur, mais avec ça, je me fais jouir comme je veux, quand je veux. Un homme a ses exigences. Tous ceux que j’ai rencontrés étaient des rustres, ne pensant qu’à leur jouissance, je m’en suis très vite fatiguée. Une femme est douce, prévenante. Voilà, tu sais tout.
-Mais il y a quand même des hommes qui sont prévenants non ?
-Je n’en ai pas trouvé, il faut dire que j’ai peu cherché, je te l’ai dit les dernières années ont été entièrement consacrées au travail et à l’éducation de Brigitte. Et puis j’ai un sexe de lesbienne. Regarde comme il est étroit.
En effet le sexe de Nadine est beaucoup moins ouvert que le sien, Sylvie l’avait déjà remarqué.
Elles décident toutes deux d’aller prendre une douche.
La chambre de Nadine a sa propre douche, immense. Elles se laissent caresser un long moment par l’eau tiède qui leur fait le plus grand bien. Elles se savonnent mutuellement, s’attardant sur les endroits sensibles, les yeux brillants de désir.EpilogueLes deux copines continuèrent de se faire plaisir entre elles, Sylvie ne se priva pas non plus de passer régulièrement des soirées torrides avec Nadine. Dans ces moments là Brigitte allait passer ses soirées avec Charles. Les deux salopes se racontaient ensuite ce qu’elles avaient fait avec leur partenaire respectif, ce qui les excitait un maximum.
Nadine aimait beaucoup entendre ce que Sylvie et Brigitte faisaient, cela l’excitait beaucoup aussi.
Jamais Nadine ne voulut rencontrer le père de Sylvie, préférant comme elle leur dit la compagnie des femmes.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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