Claire prend mon bélier dans le cul
Après l’avoir dépucelée, Patrick va sodomiser Claire avec son mandrin de compétition…
Proposée le 24/04/2015 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
LE HAREM DE PATRICK
5ème EPISODE
Claire prend ma grosse queue dans le culPatrick veut m’enculerPatrick est venu me rejoindre dans ma chambre et m’explique aussitôt:
Tu as goûté ma queue dans 2 de tes trous, il n’y a plus que ton cul ou ma bite n’est pas rentrée, je vais donc t’enculer, déshabille toi! -Tout en lui obéissant, je me mets à crier; Nonnn…, je ne veux pas!…Mon cul ne pourras jamais accepter ta queue, elle est beaucoup trop grosse!
– Mais avant suce-moi. Vite déshabillé il s’assoit et attend la fellation, j’aperçois sa queue en demi-érection.
– N’ai pas peur, touche la et sent comme elle est douce.
Je pose mes doigts sur sa bite et la caresse, il a raison, sa queue est douce et durcit doucement sous mes caresses. Je lui demande combien elle mesure. Il me répond: – 22cm, et 18 cm de circonférence.
L’énorme gourdin est maintenant tendu vers mon visage. J’ai déjà goûté ce sexe incroyable et ne me dégonfle pas, malgré la peur que cette monstrueuse queue me fasse encore.
Je la lèche, en passant ma langue à la base de sa bite, et remonte tout le long vers son gland turgescent, fais plusieurs aller et retour mais il en veut plus.- Suce là, goûte là, avale là comme tu sais si bien le faire.
J’ouvre ma petite bouche et absorbe son gland, l’extrémité étire mes lèvres et finit par passer, je m’applique à lui faire une belle fellation, et petit à petit prends la mesure de ce gourdin.
Patrick prend de plus en plus de plaisir, ses mains dans mes cheveux, m’encourageant, gémissant, j’ouvre aussi grand que je le peux pour l’accueillir et avale progressivement un peu plus son interminable queue pour son plus grand plaisir.
Son chibre sent le savon, la sueur et le sperme. En même temps, je sens mon vagin qui devient encore plus humide, et sans honte, je plonge mes doigts dans ma moule, mon pouce excitant mon clitoris. Il pousse encore un peu, ma bouche va éclater, mais à la fin le voilà logé au fond de ma gorge. Ma bouche est totalement pleine, ma langue peut à peine remuer pour le caresser.
Chacun de ses mouvements de va et vient me distend les lèvres, sa queue est comme un fer chaud qui me brûle et me déforme, mais une brûlure si douce aussi. Je caresse les couilles sentant son gland pulser dans ma bouche. Il ne cesse de répéter :
-Oui, pompe moi … ma chérie…suce encore, tu me fais du bien !
Il me faut bien 10 minutes et tout mon art pour qu’enfin je sente un frémissement précurseur de son futur plaisir. Sa respiration s’accélère. Il va jouir !
Est-ce que je pourrai supporter la dose qu’il va m’envoyer? Comment avaler son litre de foutre ? Il faut que j’arrache ma bouche de sa queue monstrueuse.
Affolée, je l’entends crier :
– Ça va partir! Et il commence à retirer précipitamment sa bite de ma bouche. Le bout est gros, si gonflé qu’il a du mal à ressortir.
Je sens les pulsations de sa queue me battre les lèvres quand il se recule. Et brusquement, je ne sais pas ce qui m’arrive, mes deux mains attrapent sa queue, j’ouvre grand ma bouche, l’enfonce à fond dans ma gorge au moment où le sperme jaillit, le premier jet m’inonde complètement, je suffoque et ne peux pas tout avaler.
Aussitôt arrive le 2ème jet encore plus copieux, un jus épais et crémeux, les jets se succèdent à un rythme effréné, le foutre remplit ma bouche déjà bien pleine par son membre exceptionnel qui me distend les lèvres et coule sur mon visage, liquide blanchâtre qui s’échappe de mes lèvres, dégouline sur mon menton et goutte sur mes seins.
Maintenant, je commence à goûter son sperme, un peu salé, mais onctueux et agréable. Sous le plaisir je tremble de partout.
Des deux mains, je pompe la queue pour faire monter les dernières gouttes, je tourne encore ma langue autant que possible autour de son boutefeu pour tout lécher jusqu’au bout et ne rien perdre de ce précieux nectar.
Puis, c’est avec regret que je sors la queue de ma bouche, je la couvre encore de baisers avant de la relâcher. Et c’est alors que je jouis. Une jouissance d’une force exceptionnelle. Le cri monte du fond de mes entrailles, des décharges électriques me traversent et je reste figée, mes jets de cyprine jaillissants sans discontinuer et inondant ses jambes et ses pieds.Comme tétanisé quelques secondes Patrick se recule la verge toujours vaillante et m’ordonne.
– Mets-toi à quatre pattes!
J’obéis et ferme les yeux de peur et étonnée sens sa langue qui caresse mon petit trou.
Putain… la sensation de la langue de Patrick, tourbillonnant autour de mon trou du cul est incroyable.
Il continue la préparation de ma corolle et maintenant je sens aussi ses doigts dans ma chatte humide et grande ouverte.
Je dois avoir au moins 3 doigts dans ma chatte qu’il enfonce plus profondément à l’intérieur tandis que sa langue continue à titiller mon anus. Je râle de plaisir.
-Aaaah…ouiiiiii, vas-y, explore ma chatte… Je sens un nouvel orgasme poindre à travers mon corps, provoqué par la langue de Patrick fouillant et léchant mon cul et ses 4 doigts remuant dans ma chatte.
Il arrête ses caresses et prenant son phénoménal pieu en main il le présente entre mes fesses trempées frottant son gland dur dans la raie culiaire.
Cette fois je sens la tête dure de son gland s’immobiliser devant ma corolle et je sais que je vais déguster. Je serre les dents et j’essaye de détendre les muscles de mon sphincter.
– Oh mon Dieu, Patrick, je ne suis pas sûre que je puisse absorber tout ton monstre de queue! J’ai l’impression que tu vas me déchirer le cul!
– Prête Claire? demande Patrick en toute confiance tout en lubrifiant abondamment sa bite et mon petit trou, essayant de faire pénétrer la tête de sa queue.
– Ohh, nonnn…!
– Claire, ton cul est si serré que mon gland arrive à peine à s’y engager et que ma teub plie sous l’effort!
Sa bite et tendue au maximum, il la frotte plusieurs fois contre ma rosace ridée puis la maintient contre l’anus avec une main.
Son gland appuie de plus en plus fort sur ma rosette et par un mouvement de peur, ma main attrape sa formidable queue essayant de l’empêcher de pénétrer, je serre mon cul face à l’intrus, m’opposant à l’intromission de ce monstre à l’intérieur de mes intestins.
Il me prend par les hanches, pousse et réussit à pénétrer mon anus de quelques millimètres, m’arrachant alors le cri le plus puissant que je n’avais jamais poussé. La douleur me traverse tout le corps dans une décharge monstrueuse
ooooooooouah !! Tu es trop gros arrête !!! Il pousse encore plus fort.Copieusement lubrifié par ses coups de langue, mon anus cède d’un coup à la pression phénoménale du gland volumineux et je sens mon sphincter qui s’ouvre et lentement avale la tête énorme.
Je respire profondément quand je sens la grosse ogive épaisse glisser en moi. La douleur est encore plus violente que quand il m’a dépuceler. -Aaaaaaaaaaaaaah !!! Mon Dieu que ça fait maaaaaal, noooooooon !!!
Je hurle et pleure tandis qu’il me pénètre de plus en plus profondément. Soudain il cesse la pénétration et ne bouge plus.
Je reprends mon souffle.
– Putain tu me casses le cul avec ton bélier !!!Arrête j’ai trop mal !!
Il donne soudain un violent coup de reins. – Wouaaaaaaaah!! ..ooooooooooh !!! noooooooooooon !!!
Le mandrin est enfoncé à moitié et il commence un très lent va et vient, sa bite ressort et ce renfonce toujours un peu plus, à chaque poussée il gagne 2 a 3 cm.
– Tu es bien serrée et je vais te pilonner a mort, tu vas jouir comme une chienne !!!
Lentement il ramone mon cul dilaté par sa queue gigantesque, ses couilles pendent entre mes fesses. Ses mains se placent de part et d’autre et saisissent la partie charnue de chacun de mes globes. Il les écarte doucement. Il s’arrête, ressort et me demande en lubrifiant de nouveau copieusement sa bite : ¬ – Ca va ? Je ne te fais pas trop mal ? ¬ Je n’ose pas lui dire la vérité.
– Non… mais va doucement… …
Mes mains appuyées contre la tête de lit, les fesses écartelées par les mains puissantes de Patrick, je suis sa prisonnière. Il me pénètre inexorablement.
Son énorme gland ouvrant le chemin à sa formidable queue, il entre de plus en plus en moi. Je suis en train de subir le pire des supplices, celui du pal. Je serre les dents quand il me renfile son monstre mais je ne peux le supporter.
– Aaaaahhhhh…..ouuuuhhhh….Non… non… arrête… Tu es trop gros! Ta bite est trop dure et me fait trop mal… ! Je le sens glisser entre mes fesses. Il pousse toujours. Je ne vois pas où il en est dans mon enculage. Je tourne la tête et constate dans la glace non sans une certaine crainte que le sexe monumental de Patrick est à peine engagé dans mon fondement.
Je crie quand il appuie encore plus fort et que progressivement son énorme queue s’introduit dans mes boyaux. Je sens son gland défricher un chemin dans mon trou le plus serré au fur et à mesure de la progression de cette gigantesque bite.
La douleur est inconcevable et j’ai l’impression que mon anus va se déchirer. Il s’immobilise enfin, la douleur diminue lentement.
Je n’en reviens pas que mon cul est absorbé le monstrueux phallus de Patrick, si dur et si imposant. Il pousse toujours doucement, enfiché qu’il est dans mon cul. Enfilant les derniers centimètres les plus épais de sa longue verge enfoncée au plus profond de mes entrailles, il s’immobilise à nouveau afin que je m’habitue au monstre à l’intérieur de mon rectum :
— Ca va toujours ? ¬ Ça te plait? ¬
Au bout de quelques minutes, je sens ses couilles contre ma chatte. Il est complètement entré dans mon cul le salaud ! Malgré la durée et la lenteur du processus, j’ai toujours intensément mal et je ne veux qu’une chose: qu’il retire son immense bélier de mon pauvre anus.
Je pleure toujours et le supplie d’arrêter, mais il tente plutôt de me rassurer. Il est entré entièrement en moi !!! Je n’aurais pas imaginé que je me ferais sodomiser un jour.
Je me fais enculer en levrette par un sexe démesuré. Je sens son énorme bite au plus profond de moi et je commence seulement à ressentir un certain plaisir. – Ooooh…nonnnn… ouiiiii….. Ta queue est enfoncée jusqu’aux couilles dans mon cul…
Je commence à bouger mon cul, avançant doucement pour faire sortir son mandrin puissant puis reculant aussitôt pour me ré-empaler. J’avance et recule m’empalant toute seule sur cette barre de fer en prenant soin de ne pas la laisser s’échapper.
-Je … Ouaiiiis…mais putain que t’es gros…Vas-y, maintenant défonce moi le cul ! – Tu verras, ça va passer… c’est normal que tu aies mal… laisse-moi faire, tu es si bonne…
Je sens qu’il retire sa queue sur au moins 15 cm et d’un formidable coup de rein, il se renfonce d’une seule poussée dans mon anus !
C’est comme un manche de pioche qu’il enfonce dans mon cul. Je manque de m’évanouir sous la douleur. Ma rosette va éclater !
Mais non ! Je reçois la totalité de sa grosse et longue bite dans mes boyaux et pire…. j’adore !
– Aaaah…ouiiiii….baise….baise….mon cul… mon salaud… – Oh putain tu m’éclates le cul avec ta grosse queue, t’arrête pas putain oh oui!Il ne me ramone plus maintenant, il me pilonne carrément, comme un fou, ses coups de boutoir sont d’une violence telle qu’ils me font avancer de 20 cm à chaque fois, il s’est relevé sur ses jambes et il accélère son rythme me tirant avec ses mains pour que je ne puisse fuir son monstre et je commence vraiment à sentir ce que c’est que de se faire enculer par une bite hors norme.
Il emboutit mon trou du cul, pénétrant profondément à chaque poussée.
– Ooohhh, Oui Claire, prends ma grosse bite dans ton cul, salope ! Haaan ! T’as un putain de trou du cul hyper serré et t’es brûlante du fion!Quel plaisir. Un nouvel orgasme secoue mon corps et je sens mon anneau se contracter, je n’en reviens pas de la sensation d’être sodomiser par un tel organe, mon cul se contracte à plusieurs reprises.
Je jouis d’une façon irréelle inondant de longs jets de cyprine la totalité du lit et tombe presque en syncope. Ma chatte mouille tellement qu’une grosse tâche macule le lit.
Il commence alors une course endiablée entre ma chatte et mon cul avec son gros nœud avant de limer inlassablement mon derrière. Après cinq minutes de folie, je deviens une poupée inarticulée complètement en son pouvoir et mon cul est en feu.
Sa bite est comme un énorme piston de forge continuant sa course solitaire, m’éperonnant, s’introduisant de nouveau, me retenant par les hanches pour ne pas que je m’écroule. Et je me paye encore un autre orgasme et ma chatte éjecte encore son jus. Pour pouvoir résister à ses violentes poussées mes deux mains serrent à mort la tête de lit.
Comme m’avait avertit ma mère, je découvre l’incroyable endurance de Patrick. Je m’attends à chaque instant à ce qu’il explose en moi, mais il tient le coup le salaud ! Je m’écrie:
– Salopard, t’es une vraie bête de sexe, qu’une énorme queue sur pattes ! Enfonce ta bite gigantesque dans mon cul…ooohhh putain …oui j’aime ça, c’est bon…c’est si bonnnnnnnn, oooh bourre moi comme une bonne pute que je suis! Il me sodomise comme un diable, incroyable j’aime ça, je deviens folle, il accélère, les coups de boutoirs sont profonds, il se retire puis replonge d’un seul coup au fond du trou, il cogne dur, ses grosses boules frappent mon pubis et la force de sa pénétration me pousse par saccades vers l’avant.
Quelques instants plus tard, je sens qu’il retire sa formidable queue. Avec un énorme bruit de succion sa verge n’est plus dans mon cul qui reste grand ouvert et je ressens un immense vide… Il s’assoit sur une chaise et m’ordonne. – Mets-toi dos à moi et assis toi sur ma bite. Je mets mes cuisses de chaque coté de lui, il attrape sa queue et la positionne à l’entrée de mon cul encore béant. Il attrape mes fesses et introduit sans aucun effort son énorme bélier dans mon rectum complètement dilaté.
Il me dit de mettre mes mains sur ses épaules et mes pieds sur ses cuisses et lui pose ses mains sous mes fesses et me contraint à monter et descendre lentement sur son phallus palpitant et en complète érection.
Je me vois en salope nympho en train de se faire enculer par une bite géante. Je rassemble les forces qui me restent pour monter et descendre sur cet axe en acier et je sens de nouveau mes chairs internes malmenées par son monstre de pénis. Soudain il met ses mains sous mes cuisses et se lève, je suis suspendue à sa bite enfoncée jusqu’à la garde dans mon cul, il me fait monter et descendre sur son pal de chair de ses bras puissants pendant de longues minutes.
Je l’implore:
– Donne moi ton foutre chéri…lâche toute ta sauce dans mon cul…gicle dans mes entrailles que je sente ta semence brûlante…
Je sens sa queue gonfler et se raidir dans mes intestins dilatés à l’extrême.
Cinq fabuleux jets de sperme giclent profondément à l’intérieur de mon rectum, avec une telle force qu’il remplit mes entrailles de son sperme.
Mon cul compresse au maximum sa merveilleuse bite.
– Aahhhh… ouiiiii…je te sens bien….ouii… donne-moi tout….huuuummm que c’est bon… encore…. ouiiiii… continue…Je peux sentir son sperme qui m’inonde et sous la pression d’un nouveau coup de queue s’écoule le long de sa bite quand il me soulève et qui coule même sur ses couilles qui continuent d’envoyer la sauce.
Il continu malgré tout à me défoncer encore de nombreuses minutes.
Il murmure des mots incompréhensibles quand lentement il me repose à terre. Je sors son boutefeu de mon cul et le bouchon ayant sauté une incroyable quantité de sperme s’écoule lentement sur mes cuisses et coule le long de mes jambes. Mon cul en feu est trempé par son jus et reste grand ouvert, c’est le roi des baiseurs. – Oh putain…qu’est que tu m’as mis ! C’était…c’était…irréel, formidable, incroyable… j’aime ta bite géante! Je prends son bel engin dans ma main qui comme à son habitude est toujours dressé, raide comme un piquet et le lèche dans tous les recoins pour déguster le sperme qui reste dessus et je suce mes doigts comme une gourgandine. Je le regarde dans les yeux et lui avoue :
– Et bien voila, tu l’as fait… je l’ai fait… tu m’as enculé… et crois moi je vais m’en souvenir longtemps, je vais plus pouvoir m’asseoir au moins pendant un jour. Ta grosse bite m’a éclaté le fion! Mon Mr. Pénis.- J’aime baiser ton petit cul, il est vraiment très serré! dit-il avec un grand sourire.
Je lui rétorque :
– J’ai eu un peu peur mais je la voulais cette bite! Je pense qu’a partir de maintenant, mon cul aura autant besoin d’attention que ma chatte… tu es maintenant l’unique baiseur attitré de ma mère et de sa fille.
Et derechef je remets son énorme organe toujours raide dans ma chatte pour un nouvel épisode.Commentaire de PatrickComme je vous l’ai raconté au début de cette histoire, j’ai maintenant plus de 40 ans, 2 ans après notre 1ère rencontre Claire et sa mère sont tombées enceintes à quelques mois d’intervalles et ont décidées d’élever leurs deux filles dans la même maison, 2 ans plus tard Claire et moi avons eu un fils.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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