Claude me dépucelle
Après m’avoir amené chez elle, Claude passe aux choses sérieuses, elle veut ma grosse queue dans tous ses trous…
Proposée le 1/02/2015 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
LE HAREM DE PATRICK
2ème épisode
Claude me dépucèle.
Ma première expérience sexuelle
Terriblement intimidé, je n’arrive pas à dégager mon regard de sa poitrine. Les deux seins, cerclés par les fines attaches de dentelles rouges, apparaissent dans leur plénitude. Légèrement hâlés, les deux globes de chair, ainsi mis en valeur par ce soutien-gorge spécial qui laisse voir des aréoles très larges et d’une couleur foncée, au centre desquelles les tétons se dressent fièrement. Le spectacle de ses globes mammaires plus que dénudés me laisse sans voix, complètement figé. – Ils te plaisent tant que ça mes nichons, s’exclame Claude d’une voix amusée !… Je suis sûr que tu n’en as jamais vu ! N’est-ce pas ? -Heu non, pas de si près. – Viens embrasser mon minou, m’ordonne Claude. Obéissant, je m’agenouille devant ce merveilleux spectacle. De ces 2 mains elle saisit ses grandes lèvres et les écartent largement, dévoilant l’intérieur de sa chatte à ma vue. Je suis comme hypnotisé . Au bas de mon ventre, ma queue devient plus rigide sous le désir qui se fait de plus en plus insistant. – Lèche-moi !
Claude. D’une main ferme, je plaque son visage contre ma vulve que je maintiens écartée de mon autre main. Il se lance et met sa langue dans les replis vulvaires d’où suinte une abondante rosée à la saveur épicée, il lèche ma longue fente, plonge sa langue le plus loin possible. Je tressaute brusquement en laissant échapper une sorte de gémissement : – Oh oui !… C’est bien mon chéri, enfonce bien ta langue dans mon con !… Huumm… Glissant alors ses mains sous mes fesses, il enfonce ses doigts dans les chairs de ma croupe agitée de secousses dues au plaisir naissant.. Plus il bouge sa langue à l’intérieur de ma chatte, plus celle-ci émet des écoulements de cyprine qui lui emplissent la bouche et qu’il avale goulûment. La tête rejetée en arrière, je pousse des gémissements entrecoupés de râles de plaisir. Ma main droite qui quelques instants plus tôt agrippait sa nuque, est posée sur mon ventre que je griffe spasmodiquement, tandis que la gauche empoigne un sein que je presse fiévreusement, mon bas-ventre n’arrête pas de trembler.. – Oh oui, c’est bon… Je me régale !… Il est doué le gamin, j’avoue à Pierre qui a sortit sa queue et se branle en nous regardant… Il va me faire jouir… Ooohhh… Il s’abreuve avec énormément de plaisir à ma source vaginale, je lui agrippe les cheveux et le repousse loin de mon sexe. – C’est bien, mon chéri, tu es véritablement doué pour ton âge… Tu m’as procuré énormément de plaisir… Tu as presque réussi à me faire jouir… Mais je vais te montrer quelque chose, regarde! Je porte de nouveau mes deux mains à mon sexe luisant pour me saisir des grandes lèvres de ma vulve, je les écarte largement. – Tu vois. Sous mon doigt se trouve mon clitoris ou mon bouton d’amour, comme tu veux. Tu sais ce que c’est ? – Heu oui, j’en ai entendu parler mais je n’en ais jamais vu. Répond Patrick – C’est un endroit extrêmement sensible chez les femmes. C’est de là que partent toutes nos terminaisons sexuelles, comme ton gland chez toi. Il me regarde de plus prêt et voit une excroissance d’un rouge un peu plus vif que les chairs qui l’entoure. – Caresse-le, je lui ordonne. Il approche son index du bourgeon de chair et le frotte doucement, presque timidement, étonné de la dureté de ce dernier et le sent grandir comme un petit pénis. – Tu sens comme il est gros? Caresse-le.. Frotte-le avec ton doigt… Oui, comme ça, je l’encourage, continue !… Il appuie alors un peu plus son index sur le clito gonflé, déclenchant aussitôt un gémissement . – Oh oui, tu me fais du bien… Hummm, c’est agréable… Oohh oui… C’est bien mon chéri…. Se penchant sur le sexe féminin qui palpite au bout de son index, il le remplace par sa langue, léchant mon clitoris, qui sous ses attouchements semble encore doubler de volume. Immédiatement, je tressaute brusquement en émettant un brusque râle de plaisir. – Oh, Patriiiiick !… Que fais-tu ?… Oohh… Ahhh… Ahhh… Oh oui !… Ahhh… Oui !… Oh oui ! Aaahhh !…Je jooouuuiiissss!!!!! Chaque effleurement de sa langue sur le bouton dardé déclenche un véritable sursaut de mon bas-ventre qui l’oblige chaque fois à ressaisir le clitoris entre mes lèvres. Pour pouvoir poursuivre sa caresse sans continuellement rechercher l’étonnant petit bouton de chair, il me ceinture de ses bras, ses mains sur mon postérieur. M’ immobilisant en écartant le plus possible mes fesses. Je ne peux plus me soustraire à sa langue. Je n’arrête plus de gémir doucement, il s’acharne sur mon bouton d’amour, le flagellant de sa langue, il me regarde me malaxant les seins à pleine main, les pressant fortement ou pinçant les bouts entre mes doigts. – Oooouaahhh ! C’est trop bon ! Non, Patrick, arrête !… Je t’en prie !… Patrick, je n’en peux plus !… Ooouuaah… Comme prise de convulsions, je m’agite soudain avec une telle intensité qu’il me serre de toutes ses forces pour me maintenir sous sa langue. – Oouaahhh… Oui ! Oh oui !…. Encore !… Ouuiii…Je repars encore!… Il lèche mon clito avec encore plus d’ardeur. Mon corps extraordinairement arqué, j’ hurle mon plaisir. – Rroouuaaaahhh !… Aaaahhhhhh…. Soudain, comme un ressort brisé, je m’immobilise, la respiration haletante, un sourire béat sur ses lèvres, le visage comme transfiguré, fixant le plafond d’un regard perdu. Mes seins gonflés par le plaisir portent des traces de griffures, tant ils ont été malaxés pendant tout le temps de la montée de ma jouissance. Un liquide luisant s’écoule lentement de ma vulve d’où émerge le clitoris tuméfié, telle une source souterraine jaillissant des profondeurs du sexe féminin. Il goûte à cette liqueur intime, lape d’une langue gourmande ce nectar aphrodisiaque que je libère avec abondance. Je ne réagis plus à ses lapements, il se gave du jus vaginal à la saveur acidulée. Reprenant conscience je pose une main sur sa tête et le tire en arrière par les cheveux. – Arrête, je murmure d’une voix alanguie… A ton tour, viens me prendre !… Je veux sentir ta grosse bite me défoncer !… Viens me baiser !… Je le tire par les cheveux, le forçant à se coucher sur mon corps vautré sur le canapé, les cuisses grandes ouvertes sur ma chatte offerte. Immédiatement, je sens la chaleur se son gland. Dans le mouvement, sa verge c’est naturellement positionnée en face de ma chatte et s’enfonce dans la vulve béante. Je le saisis aux hanches afin de l’attirer plus profondément en moi. – Oh oui !… Baise-moi!… Défonce-moi avec ta grosse queue !…Puis m’adressant à pierre, je lui précise :
– Putain qu’il est gros! Il est monté comme un mulet ce gamin… Il me défonce le vagin.!. je n’aurais jamais cru pouvoir accepter un engin pareil dans ma chatte! T’as vu son chibre, on dirait l’avant bras d’une jeune fille, sa bite est aussi grosse que mon poignet!
– Et je suis sûr que ça te plait, ma salope ! S’écrit Pierre, se branlant de plus belle. Je veux voir son énorme bite te pénétrer. Oui , profites-en. Va-y Patrick !… Bourre là cette salope ! Elle aime les jeunes queues comme la tienne bien que c’est la première fois qu’elle est confrontée à un tel calibre. Son Excitation est à son comble et il accélère le va-et-vient dans mon vagin remplit de sa bite. C’est une vraie fournaise autour de sa queue. Sous ses coups de boutoir qui me labourent le vagin, je ne tarde pas à crier mon plaisir l’encourageant à me pistonner dans un langage particulièrement cru. – Ouf, ça y est, ma chatte a pris la dimension de ton énorme queue. Je lance mes jambes de part et d’autre de ses hanches le ceinturant de mes cuisses, mettant mes bras autour de son cou, nos sexes intimement emboités. – Oui !… Baise-moi à fond !… Défonce-moi !… Ooohhh… Oui… Oouuiiii !… Oh Patrick, ta bite est si dure, si grosse, si longue! Ohhh! Sous mon poids il doit s’appuyer des deux mains au canapé mais sentant ses pieds glisser sur le tapis sur lequel reposait tout le poids de nos deux corps enlacés, il essaie de retrouver son équilibre en se redressant dans un effort désespéré, il me soulève enlacée comme une folle à lui, se retrouvant soudain debout. Fermement calé sur ses pieds, il s’empresse de glisser ses deux mains sous mes fesses afin de me maintenir, je m’accroche désespérément à lui pour ne pas tomber, m’empalant profondément sur sa verge dressée il me perfore écrasant mon utérus. -Oh mon Dieu, putain, tu me déchires avec ta bite de cheval, Patrick!
Solidement agrippée à lui, je m’ agite vivement sur ce pal, tout en râlant de plaisir dans son cou où j’ai niché mon visage. – Oh oui !… C’est terrible. Je sens son gros bout jusqu’au fond de mon ventre, il perfore mon utérus, je suis complètement dilatée par son monstrueux chibre!… Pour mieux me tenir, il crochète ses doigts dans mes fesses charnues. Les doigts de sa main droite s’incrustent dans la profonde raie des fesses écartelée par la position. – Ooohhh oui !… C’est trop bon !… Continue !… Patrick ,Tu es un magnifique étalon et tu baises comme un dieu. Et quelle puissance ! Ta bite est incroyable, d’une grosseur et d’une longueur à faire peur aux jeunes filles!
Je m’immobilise soudain et pousse un véritable hurlement, profondément empalée sur son dard je jouis en émettant d’incompréhensibles borborygmes, broyant avec mes muscles intimes sa verge et son gland hypersensible. C’est comme si mon sexe tout entier presse sa queue pour en extraire son jus intime, comme si je voulais le traire. Incapable de résister à cette voluptueuse sensation, il s’abandonne alors à la jouissance et lâche sa semence, emplissant copieusement le vagin dans lequel sa bite est enfoncée. Du fait de la pression des muscles vaginaux autour de son gland, chaque éjaculation lui procure une jouissance extrême qui lui arrache des grognements de plaisir ; grognements qui font écho à mes feulements. Il n’arrête pas de jouir, sa queue n’en finissant plus de cracher sa liqueur séminale.
Ses giclées n’en finissent plus. je n’en reviens pas des décharges copieuses qui m’emplissent le vagin. Comment peut -il avoir une réserve de sperme aussi incroyable ? Il se retrouve soudain à court de munitions. Dans la fournaise de mon sexe, sa verge, lâchant ses dernières salves cesse alors ses bordées. Le corps tétanisé, je demeure immobile, le cœur battant à cent à l’heure et la respiration saccadée. Je desserre l’emprise de mes cuisses autour de ses hanches pour reposer mes pieds à terre. On restent alors ainsi enlacés, liés l’un à l’autre par nos sexes intimement emboités, reprenant lentement nos esprits. Je sens mon volcanique partenaire se désunir de ma chatte, sa verge toujours aussi rigide. Je m’exclame à l’intention de Pierre qui n’a pu résister à la scène et à cracher sa semence. – Putain, qu’est-ce qu’il m’a mi… J’en ai plein les cuisses !… C’est pas une bite qu’il a ce gamin, c’est une vrai lance à incendie !… Il m’a rempli à ras bord la chatte de son foutre…Et regarde il bande toujours!… – Ben mon cochon. Tu en avais une sacrée réserve !… C’est toujours comme ça quand tu jouis ? Tes décharges sont toujours aussi abondantes ? Beau travail et ta bite est toujours disponible et dure comme un roc! Il se met à bégayer une réponse approximative. – Tu n’as jamais baisé de filles ?… – Euh, non! – Je suis la première, je m’exclame, un puceau, et quel diamant brut!…. Il va falloir que tu rentres maintenant. Tes parents vont s’inquiéter… Comme il va remettre son slip, je l’en empêche :
– Attends ! Tu ne peux retourner chez toi comme ça ! La bite toute sale!. Je m’agenouille devant lui et saisis sa verge encore de bonne dimension entre deux doigts, et l’aspire entre mes lèvres pour la sucer consciencieusement. Cependant à mesure que la sensuelle fellation se prolonge, il sent son plaisir revenir au niveau de sa verge et de ses couilles. Ne pouvant demeurer plus longtemps sans réagir, il lance son bas-ventre en avant, au-devant de cette affolante bouche qui lui a apportée un tel plaisir. . Même si l’excitation première l’a abandonnée et si son sexe n’a plus la rigidité du début, le va-et-vient des lèvres moelleuses et humides le long de sa verge lui procure un certain plaisir. Mais en un rien de temps, son chibre reprend sa raideur ferrugineuse et le sentant de nouveau d’attaque je le suce et de le branle pendant une dizaine de minutes. Vu les 2 précédentes joutes sexuelles lui ayant vidées les burnes, je ne sais pas ce que je vais obtenir. Comprenant aux mouvements saccadés et aux gémissements qu’il pousse, qu’il approche de l’orgasme libérateur, j’accélère alors ma voluptueuse fellation. Il sent qu’il ne va pas pouvoir retenir sa jouissance plus longtemps et crie dans un dernier sursaut… -Je viens !… Aaarrhhh… Aaaahhhh…. Son corps se tétanise de la nuque aux pieds. Pressentant l’imminence de l’éjaculation, j’ai refermé mes lèvres autour de la collerette du gland, ne gardant en bouche que le bourgeon de chair, que je flatte de la langue. Aussi lorsque le premier jet de sperme onctueux me frappe le palais je ne suis pas surprise. Vivement je bloque ma déglutition afin de garder en bouche cette semence tant désirée. Un second jet aussi copieux que le premier jaillit du gland soubresautant, et un troisième puis un quatrième. Le sperme encore fluide s’agglutine au fond de mon gosier. Décidément Patrick a des réserves importantes. Je fais des efforts pour ne pas avaler immédiatement ce nectar qui m’emplit les joues. Les jaillissements suivants perdent enfin de leur force s’écoulant mollement du gland assagi, ils engluent néanmoins ma langue. Je recrache son gland et avale avec volupté son nectar puis m’écrie: -C’est pas possible, c’est un véritable étalon et ses couilles sont inépuisables, j’en avais plein la bouche! Je le reprends en bouche pour soi-disant ne rien laisser perdre et nettoyer à fond sa bite.
Le désir d’éprouver une nouvelle érection le submerge à nouveau, mais ses 2 éjaculations + celle du ciné l’ont complètement vidé et ses efforts restent désespérément vains, sa queue n’en peut plus. – Voilà, tu es propre… Tu peux te rhabiller et vite rentrer chez toi. Une fois qu’il est rhabillé, toujours entièrement nue, je lui prends le bras et le raccompagne jusqu’à l’ascenseur privatif et l’embrasse à pleine bouche. A l’intérieur de sa bouche ma langue exécute un extraordinaire ballet, s’agitant en tous sens et avec une telle ardeur que je sens qu’il rebande à nouveau. Je le repousse avec tendresse :
– C’est pas vrai, tu bandes encore comme un taureau! 0h que c’est beau la jeunesse. Dommage, il est tard. Tu m’as énormément procuré de plaisir. C’était merveilleux. Tu peux revenir quand tu veux, je serais heureuse de sentir encore ta monstrueuse queue dans ma chatte. Je t’ai mis mon numéro de téléphone. Appelle avant de venir afin d’être sûr que nous soyons là… © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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