Clo et Mathieu
Un couple se retrouve dans un restaurant et vont partager une expérience sexuelle passionnée.
L’histoire est racontée tour à tour par Mathieu et Clo
Proposée le 31/08/2022 par hannibaal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: HôtelType: Roman
CLO (nouvelle érotique)
CHAPITRE 1Nous nous sommes donnés RdV dans un resto un peu chic avec une terrasse vue sur mer que je fréquente souvent. J’ai réservé une table un peu isolée, à l’écart, où nous pourrons nous jouer de nos envies de séduction sans risquer d’être trop observés.
Comme c’est l’été et qu’il fait chaud, j’ai enfilé un pantalon et une veste légère bleus marine et une chemise blanche en flanelle. Manches retroussées sur les avants bras et quelques boutons négligemment ouverts sur mon torse glabre. Toutefois, comme j’adore le soleil, mon teint hâlé et mon bronzage sont mis en valeur par le contraste de ma chemise. Enfin … moi j’aime bien …
Nous devons nous retrouver sur le parking à 20h et, oh ! Miracle ! Tu es à l’heure ! Quand tu te gares, je me presse vers ta voiture pour t’ouvrir élégamment la portière. Et là , je reste bouche bée, le souffle coupé ! Moi qui nous voulais de la séduction, tu as réussi ton premier examen, mention « avion de chasse haut de gamme ». Les yeux exorbités par ta sexytude. Ta tenue met délicieusement en valeur tes courbes et tu es vraiment très belle. Un chemisier crème largement échancré qui offre une vue plongeante sur tes seins magnifiques, à peine couverts par le décolleté de ton soutien-gorge en dentelle rouge. Juste un léger foulard Hermès aux couleurs vives posé négligemment sur tes épaules. Sans doute pour pouvoir voiler discrètement tes formes aux regards indiscrets et trop insistants sans doute. L’impudeur est notre jeu, mais uniquement entre nous.
Une petite jupe courte noire moulante, qui assise dans ta voiture laisse deviner le porte-jarretelles qui accroche tes bas résilles noirs également, complètent ta tenue chaussée d’escarpins assortis à ton chemisier! Une bombe ! Et pas à retardement vu l’effet de tension immédiate que tu me provoques ! … je te tends la main pour t’aider à t’extraire de ta voiture et, un joli jeu de jambes, peu être pas si innocent que cela, me permet d’entrevoir furtivement que ta petite culotte est assortie à ton soutien-gorge. Mais, si tout se passe selon mes espérances, elle sera tôt ou tard mon trophée …
À peine debout, je t’attire contre moi et je te glisse à l’oreille « merci de t’être faite si belle pour moi, tu es vraiment désirable Clo … ». Nos lèvres s’effleurent délicatement dans un sourire complice, avant d’être plus langoureusement insistantes, voire brûlantes lorsque nous nous embrassons fougueusement, nos corps transpirants de désirs rivés l’un à l’autre. Presque à regret de devoir interrompre cette étreinte brûlante, je te guide par la main jusqu’à notre table. Pas mal de regards masculins t’accompagnent dans cette traversée de la salle principale. Je ris intérieurement d’imaginer ces types avoir envie de prendre ma place, et de penser aux remarques acides de leurs compagnes qui vont les assassiner. Mais j’avoue que cela ne me déplaît pas que tu aies ce petit effet sur eux. Réaction de mâle un rien macho …Arrivés à notre table, sur laquelle trône dans un sceau à glace et la bouteille de champagne que j’ai commandée, je t’aide à prendre place et je m’assieds de quart à tes côtés. La table ronde me paraît un peu grande et risque de mettre trop de distance entre nous. Je veux pouvoir me pencher vers toi pour te toucher, t’embrasser et poser ma main sur ta cuisse. J’ai besoin de cette proximité physique de toi. Installés, Nous vidons quelques coupes, devisant gaiement sur des sujets très légers où le sexe est rarement absent au deuxième degré. Nos rires s’emmêlent, nos regards se fondent, nos mains se frôlent, créant cette ambiance incontrôlable d’attirance intellectuelle et physique mutuelle. Le monde qui nous entoure s’efface dans une brume qui nous laisse seuls à seuls avec notre envie si palpables l’un de l’autre.
Avant que le repas nous soit servi, j’extrais de ma poche de veste un petit paquet soigneusement emballĂ© que je pose devant toi. Tu me souris en me jetant un regard interrogatif. Et alors que tu allais le dĂ©baller, ma main se pose sur les tiennes pour t’interrompre. Et avec un grand sourire mystĂ©rieusement coquin « tttt ! Pas ici Clo ! Vas aux toilettes et tu comprendras… ». « Qu’as tu encore imaginĂ© sale gosse ? » IntriguĂ©e, tu te lèves malgrĂ© tout sans plus me poser de question et tu disparais dans un dĂ©hanchement totalement provocateur.De retour Ă table, un sourire en te mordillant la lèvre infĂ©rieure, les joues rosies, tu m’embrasses avant de reprendre place. Ton regard se plante dans le mien et presque en riant tu me dis « tu es quand mĂŞme un sacrĂ© coquin Mathieu ! Mais oeuil pour oeuil, dent pour dent … ». Tu ouvres la boĂ®te de laquelle tu extraits du bout des doigts une petite culotte rouge que tu laisses dĂ©libĂ©rĂ©ment tomber au sol entre nous deux. « Ramasse ! » m’ordonnes tu. Alors que je suis penchĂ© au sol, tu tournes tes jambes vers moi que tu ouvres furtivement. « Comme tu peux le constater, oui c’est bien la mienne ! » me provoques tu en me tirant la langue. Je ramasse ton sous vĂŞtement que je glisse nĂ©gligemment dans ma poche de veste. Un grand sourire en coin, je te rĂ©torque « oui ! J’ai vu ! J’ai mon trophĂ©e ».Et alors que le serveur nous apporte le dĂ©but du repas, j’allume mon tĂ©lĂ©phone et je me connecte sur l’application dĂ©diĂ©e pour mettre en route sur vibration lente l’œuf vibrant qui est maintenant en place. Ton repas va ĂŞtre brĂ»lant et pas que dans l’assiette …Chapitre 2″Tu as gagnĂ© une bataille mais tu n’as pas gagnĂ© la guerre mon cher Mathieu… »Tout sourire, tu entames tes premières hostilitĂ©s. J’ai beau m’y attendre, la sensation me surprend malgrĂ© moi. Je sursaute sur ma chaise dans un Ă©clat de rire mixĂ© avec une sensation très agrĂ©able. »Mais c’est gĂ©nial ce truc ! » dis je un peu trop fort. Toi aussi tu pars dans un fou rire devant ma dĂ©sarmante spontanĂ©itĂ©. Ce n’Ă©tait pas le but initial de ta manĹ“uvre lubrique mais toi comme moi savons très bien que derrrière cette connexion rieuse se cache une symbiose parfaite entre nous… sur bien des plans.Tu fais glisser malicieusement tes doigts sur l’Ă©cran de ton tĂ©lĂ©phone en me regardant dans les yeux, un petit sourire satisfait au bord des lèvres. Tu entames le second assaut… je peine Ă retenir un gĂ©missement qui connote ostensiblement le plaisir… Tu inclines la tĂŞte une nouvelle fois satisfait de ton effet.Le serveur arrive alors pour prendre nos commandes et toi tu passes encore au mode supĂ©rieur… Je me tortille sur ma chaise, cela devient vraiment trop bon pour que je puisse me contenir. CachĂ©e derrière mon menu, je te donne un coup de pied dont moi mĂŞme je ne saisis pas vraiment le sens que je souhaite lui donner : je suis partagĂ©e entre le « arrĂŞte ça immĂ©diatement et oui encore « Tu passes ta commande et moi, complètement livrĂ©e Ă tes manoeuvres je suis incapable de rĂ©flĂ©chir Ă ce que je veux manger ! enfin si ! j’ai une idĂ©e bien prĂ©cise mais qui ne figure pas sur ce fichu menu … Quand le serveur demande « et pour madame ce sera ? » je te lance un regard noir et tu rĂ©ponds « la mĂŞme chose pour Madame et on reste au Champagne »tu vas me payer ce que tu m’infliges au centuple Mathieu ! »Tu tournes l’Ă©cran de ton portable vers moi, tu fais glisser ton doigts vers le niveau 3 … D’emblĂ©e je lâche un gĂ©missement non contenu. On commence Ă nous regarder … Sur ton Ă©cran je vois que la divine torture monte crescendo jusqu’Ă 7 !!! Je te lance un regard aussi interloquĂ© que chargĂ© d’excitation. »Tu vois, Blanche Neige, cette application Ă©tait faite pour toi ! » me lances-tu dans un sourire entendu.« Je te prĂ©viens si tu as pris la formule gastro, je vais jouir sans retenue dans le restaurant ! Je dĂ©teste me contenir tu le sais très bien ! » Une nouvelle fois tu exploses de rire en disant que si tu avais su c’est ce que tu aurais fait…Je ne sais plus quoi faire pour dissimuler le plaisir que tu fais monter en moi Ă distance. J’ai beau me tortiller, croiser, dĂ©croiser mes jambes, le supplice est trop bon.Le plat arrive enfin. Tu remplis de nouveau nos verres de champagne. J’essaie tant bien que mal de me concentrer sur mon assiette mais rien n’y fait. Je mouille comme une jolie coquine …
« Alors tu aimes ? » me demandes-tu plein de malice. Je te rĂ©ponds du tac au tac que j’adore ça. Tu poursuis ta torture avec « La sauce est divine n’est ce pas ? »
C’est alors que traversĂ©e par une vague de plaisir intense je te rĂ©torque dans un soupir sensuel « pas autant que la mienne » … Tout en disant cela, je te saisis la main que je passe sous la table et que je glisse Ă©hontĂ©ment entre mes cuisses Ă©cartĂ©es. Tes doigts accueillent ma chaleur humide qui te surprend Ă ton tour.Tu te mords la lèvre infĂ©rieure, je peux lire le dĂ©sir dans tes yeux bleus. Tu te rapproches un peu plus de moi, ta chaise est maintenant collĂ©e Ă la mienne. Tu ne peux t’empĂŞcher d’effleurer mon bouton rosĂ© tout en me susurrant Ă l’oreille que tu as envie de moi.De ton autre main, tu balaies ton Ă©cran de portable. Je suis au supplice. Tes doigts et le niveau 4 vont me faire crier… « si tu fais ça je te … » je n’ai pas le temps de finir ma phrase que je suis happĂ©e par une montĂ©e de voluptĂ© incontrĂ´lable. J’ai juste le temps de retirer la main de mon entrejambe avant de me mordre l’intĂ©rieur de la joue pour rĂ©frĂ©ner le retentissement de mon plaisir ! D’un air parfaitement lubrique et provocateur, tu te suces le bout des doigts en me disant que c’est vrai, « effectivement, la sauce est sublime »…Chapitre 3Je ne sais plus quoi faire, je m’agrippe Ă ma chaise, tu me vois commencer Ă onduler du bassin … c’est trop bon te dis je tout fort ! et il ne s’agit en aucun cas du plat dont je n’ai mĂŞme pas prĂŞtĂ© attention au goĂ»t. Je te regarde, je scrute tes yeux, ta bouche, tout ton visage trahit ton excitation … ma main lache la chaise pour se poser sur ton genou que j’agrippe pour tenter de contenir mon plaisir… je rapproche ma bouche de la tienne pour t’embrasser.Les tables alentours nous regardent, je m’en contrefiche. Au contraire, j’adore ça ! Attiser les convoitises ou choquer ! Ne jamais laisser indiffĂ©rent, tu le sais très bien et c’est pourquoi tu n’essaies mĂŞme pas de me convaincre d’ĂŞtre plus « discrète ». Ma langue cherche dĂ©libĂ©rĂ©ment la tienne dans un baiser ultra sensuel et provocateur.Alors comme ça elle est sublime ? Et bien vas y ! Fais moi goĂ»ter ! » Je ne sais pas si c’est de te mettre au dĂ©fi ou si c’est le caractère excitant de la situation et du lieu mais tu saisis mon visage Ă pleine main et me roule une espèce de pelle qui fait rĂ©agir dans toute l’assemblĂ©e … et parcourt tout mon corps de frissons.Tu me toises et sans me quitter les deux tu reviens placer ta main entre mes cuisses. Je fais de mĂŞme et saisis la bosse qui poind Ă ton entrejambe. Une lubrique satisfaction Ă©claire nos deux visages. Tu promènes tes doigts le long de ma fente inondĂ©e, je serre ma main plus fort Ă mon tour… Tu glisses un doigt Ă l’orĂ©e de ma vulve, ton pouce s’aventure autour de mon clito … Mon bassin s’avance sur tes doigts…Tu enlèves ta main, pose ton coude triomphant sur la table et regarde victorieux tes doigts maculĂ©s de mon dĂ©sir. Je saisis alors ta main, l’approche de mes lèvres et prends ton index dans ma bouche. Je te suce de manière très suggestive le doigt en te regardant bien dans les yeux. Tu es tiraillĂ© entre la gĂŞne et l’excitation la plus totale. La deuxième option prend le dessus dans ton pantalon !!! »Ca laisse un goĂ»t plutĂ´t Ă©picĂ© non ? » Tu me regardes avec un dĂ©licieux sourire pour me rĂ©pondre que oui, c’est très Ă©picĂ© … tu te saisis alors de ton portable qui trĂ´ne entre nos deux couverts. Je te regarde avancer ta main vers ton Ă©cran. »Si tu fais ça je ne rĂ©pond plus de rien Mathieu ! »Tu fais glisser ton doigt vers le chiffre 5 … Un gĂ©missement ostensible s’extirpe de ma bouche ! Le couple Ă cĂ´tĂ© de nous , nous dĂ©visage !Qu’Ă cela ne tienne ! Je dĂ©boucle ta ceinture, dĂ©fais ta braguette et plonge ma main directement sous ton boxer. Tu bandes comme un fou ! Tes yeux me disent que tu en as envie, lĂ ici au vu et au su de tous les clients du restaurant. Tu te demandais depuis un moment jusqu’oĂą pouvait aller ma tendance exhibitionniste … Tu en as maintenant la rĂ©ponse !Je commence Ă te caresser le sexe doucement, tandis que les vibrations de l’oeuf me mènent irrĂ©presciblement de plus en plus près de l’orgasme que je sens poindre en moi.
Le serveur arrive pour ramasser nos assiettes. Nous ne prêtons même pas attention à sa venue, trop absorbés que nous sommes par nos jeux lubriques.
Il nous demande si nous prendrons un dessert et lĂ d’emblĂ©e je lui rĂ©pond sur un ton malgrĂ© moi Ă peine aimable que « sĂ»rement pas »Tu enchaines en demandant l’addition. « Je crois que lĂ nous sommes d’accord sur un point » te dis je appuyant davantage le va et vient de ma main sur ton sexe bandĂ©. Je remonte dĂ©licatement mes doigts sur la couronne de ton gland, tu te tends encore davantage. Quant Ă moi je chaloupe hostensiblement sur ma chaise, mes reins entament une chorĂ©graphie des plus sensuelles. Quand le serveur revient avec la note, tu t’empresses de lui jeter ce qu’il faut de billets pour rĂ©gler en lui prĂ©cisant de garder la monnaie.Nos yeux parlent pour nous, pour nos corps qui brulent de dĂ©sir l’un pour l’autre… Sans rĂ©flĂ©chir, je me lève et tu m’emboites le pas, le zip de ton pantalon Ă peine remontĂ© convenablement sur ton entrejambe qui laisse s’exprimer sans Ă©quivoque ton Ă©rection. Je me retourne, t’attrape par la main et te tire contre moi en te passant la main aux fesses devant tout le monde … Un « dĂ©pĂŞche toi j’ai envie de toi » sort de ma bouche sans aucune discrĂ©tion Ă l’Ă©gard des clients du restaurant. Nous traversons le corridor qui mène Ă la rĂ©ception comme deux gamins pris en « flagrant dĂ©sir », sans se soucier de ceux que nous croisons ni de l’image que nous pouvons bien donner.Chapitre 4Sans rĂ©flĂ©chir, ma main ouvre la première porte qu’elle trouve sur sa droite. Je m’engouffre dans la pièce sombre, t’attire Ă©nergiquement vers moi et te plaque contre le mur tout en tournant le verrou de la porte. Tu es tout Ă moi maintenant… Je reprends mes hostilitĂ©s oĂą je les avais laissĂ©es et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire tu te retrouves le pantalon et le boxer sur les genoux. Je me redresse pour t’embrasser langoureusement. Ma langue valsant avec la tienne dans une fusion incandescante tout autant qu’indescente. Nos yeux commencent Ă s’habituer Ă l’environnement qui nous entoure et le fin rai de lumière qui passe sous la porte nous laisse entrevoir que nous sommes dans une pièce de stockage de tables et de chaises du restaurant. J’attrape ton portable que tu tiens un peu plus fĂ©brilement maintenant que tu as compris que j’allais me venger. »Et bien soit Mathieu… Tu veux me voir jouir, et bien tu vas me voir jouir ». Je fais glisser mes doigts sur l’Ă©cran et fait passer l’application directement du niveau 5 Ă 7 ! Tu n’en crois pas tes yeux, je vacille presque instantanĂ©ment, me laisse tomber sur le rebord d’une table, la tĂŞte rejetĂ©e en arrière et le souffle syncopĂ©. Toute Ă ma jouissance, tu te rapproches de moi, dĂ©fais un Ă un les boutons de mon chemisier que tu fais glisser sur mes Ă©paules puis tu plonges ta bouche sur mes seins. Tu les embrasses, les presses, me pince les tĂ©tons tout en Ă©tant absorbĂ© par la mĂ©lopĂ©e sensuelle qui sort de ma bouche, gage de mon plaisir.Je n’y tiens plus, une vague de chaleur explosive monte du fond de mes intimes entrailles, ma main sert ton sexe de plus en plus fort dans un va et vient frĂ©nĂ©tique mais je sais que c’est trop tard… La jouissance est lĂ , trop proche pour ĂŞtre contenue. Ta main redescend entre mes cuisses d’oĂą ruissellent les stigmates de mon plaisir. Tu me veux chienne assoiffĂ©e de plaisir; me voilĂ tigresse les jambes accrochĂ©es Ă ton bassin, les dents plantĂ©es dans ton trapèze pour retenir le cri infernal de ma jouissance.Tu m’embrasses Ă pleine bouche avant de te saisir de ton portable pour balayer cette diabolique application de ton Ă©cran, fier du divin piège dans lequel tu m’as fait tomber avec le plus plaisant des consentements. « Attend mathieu, ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça ! c’est donnant donnant ! J’ai joui ! Ă ton tour de jouir » Tu souris mais me connaissant bien , tu sais que je prĂ©pare quelque chose … Je glisse mes doigts entre mes cuisses pour en extraire le joujou satanique qui m’a fait si dĂ©licieusement vaciller. Tu me regardes incrĂ©dule enlever ma jupe, m’approcher de toi et te faire prendre place Ă ton tour sur le bord de la table.Je t’enlève ton tĂ©lĂ©phone des mains et le cale dans une de mes jarretelles. « Lara croft y mets des armes, moi j’y mets ta petite mort » te lancĂ©-je en souriant. Je me rapproche de toi, dĂ©boutonne ta chemise tout en laissant vagabonder les lèvres et ma langue sur ton torse dĂ©licieux. Tu me connais bien et tu sais que la descente de ma bouche vers ton sexe ne laisse pas de doute. Je te veux dans ma bouche.A genoux devant toi, je prĂ©pare mon office, caressant tes hanches, tes fesses, embrassant ton pubis tout en effleurant ton sexe du bout des doigts. Tu attends et espère avec envie et dĂ©lectation mon coup de grâce qui ne tarde pas Ă venir. Mes lèvres douces et chaudes t’absorbent langoureusement tandis que mes mains caressent ta tige incandescante. Je dĂ©guste ton sexe, le branle Ă l’envi, dĂ©sireuse de te rendre au centuple le plaisir daibolique que tu m’as infligĂ©e. Tu soupires d’aise, tu te cambres,tu ne peux t’empĂŞcher de passer ta main dans mes cheveux et de venir la placer derrière ma nuque pour accompagner tes mouvements de bassin. Ton irrumation me rend chienne, je veux te faire subir le mĂŞme sort que moi.Au moment oĂą tu commences Ă vĂ©ritablement prendre ton pied, j’enlève mes mains de ton sexe, le stimulant uniquement de ma bouche, de mes lèvres et de ma langue. Tu adores ça, quand je te laisse gĂ©rer la cadence ! Tu as juste le temps de percevoir la lumière de ton Ă©cran de tĂ©lĂ©phone quand tu ressens les vibrations de l’oeuf que je promène sur l’arrière de tes testicules et sur ton pĂ©rinĂ©e. Tu pousses un râle de plaisir qui me ravit et m’excite comme une folle. Je sens tes cuisses se tĂ©taniser, tu empoignes mes cheveux et jette dans un soupire d’extase les mots qui me font vriller : »Clo, tu es vraiment la plus divine des salopes ! »Je poursuis mes incantations labiales autour de ton gland qui glisse tout chaud sur ma langue humide et tandis que ma main droite te branle de plus en plus fort ,de la main gauche je continue Ă jouer avec l’oeuf vibrant. Ton bassin ondule de plus en plus, tes fesses se contractent, je sens ton sexe qui commence Ă ĂŞtre pris de spasmes dans ma bouche. Alors dans un geste quasi impeceptible, je lache ton sexe pour passer directement au niveau 7 sur ton Ă©cran de tĂ©lĂ©phone.Tu pousses un râle de plaisir expiatoire divin pour mes oreilles, tu places alors tes deux mains sur ma tĂŞte, une derrière ma nuque, l’autre sur le haut de mon crâne et tu me baises la bouche profondĂ©ment. L’oeuf vibrant, mes mains et ma langue font le reste.
Ton sexe se contracte et jaillit alors au fond de ma gorge ton divin nectar que j’avale avec dĂ©lice et gourmandise. Tu me sens dĂ©glutir, le sexe encore lovĂ© contre ma langue. Tu reposes alors tes mains sur le bord de la table pour te retenir, ton souffe encore coupĂ© par le plaisir qui vient de te submerger.Je me relève, viens me placer Ă califourchon sur toi avant de saisir ton visage dans mes mains pour t’embrasser.
« La loi du talion Mathieu ! Mais quel dĂ©lice de s’affronter tous les deux »Je redescends Ă peine sur terre après l’orgasme satanique que tu viens de me dĂ©clencher que, dĂ©jĂ tu m’enjambes pour te positionner Ă califourchon sur mes cuisses. Nouvelle jonction de nos bouches qui se dĂ©vorent, de nos sexes qui s’attirent comme des aimants, de tes seins durcis par le plaisir qui plantent leurs tĂ©tons dressĂ©s contre mon torse Ă©lectrisĂ©. Attirance brĂ»lante de nos corps, si peu rassasiĂ©s l’un de l’autre, qu’une houle impĂ©tueuse agite nos bassins dans un nouvel affrontement de nos sexes. MĂ©lange de fluides, incandescence des sens, dĂ©cuplement du dĂ©sir.- Viens Clo, j’ai retenu une chambre pour la nuit … tu veux ?
– tu as l’intention d’aller dormir Mathieu ? (Un petit sourire ironique au coin des lèvres) parce que sinon je suis sĂ»re que mon coup de cĹ“ur n’aura pas envie de dormir … lui !
– tu crois qu’avec toi je peux avoir envie de dormir ma dĂ©licieuse petite catin !
– prouve le moi alors …
Enflammé par ta provocation, je te soulève par les fesses et guidant mon sexe tendu, je t’empale sur moi. Tes profondeurs intimes pulsent sur mon membre et me brûlent. Nos bouches se déchaînent, se mordent, s’aspirent, en même temps que nos doigts se crispent sauvagement sur nos flancs.
-Ça te va comme preuve chérie ?
-salaud ! Tu vas me faire disjoncter…
-viens vite, on va dans la chambre …Impatients l’un comme l’autre, nous ré enfilons les quelques vêtements requis par la décence, ceux inutiles à la main et nous nous précipitons main dans la main. Notre traversée de salle fait une nouvelle fois sensation. Ton chemisier largement ouvert, ma chemise même pas enfilée dans mon pantalon, nos bouches rougies de se dévorer et nos cheveux complètement défaits ne laissent aucun doute sur ce que nous venons de faire ni sur nos intentions. Cela nous fait rire avec complicité sous le regard noir du maitre d’hôtel …L’ascenseur. Le bouton arrêt entre deux étages le temps d’une nouvelle embrassade sauvage et d’une exploration impatiente de nos zones les plus érogènes. Tant pis pour celui qui est derrière la camera de surveillance, il va se sentir un peu seul dans son pantalon à mater l’étalage le plus indécent de nos parties intimes.
Le couloir. Presque en courant …
La porte de la chambre. Ma fĂ©brilitĂ© qui n’empĂŞche de l’ouvrir correctement, toi penchĂ©e sur mon dos, la main rivĂ©e sur ma queue par l’ouverture de ma braguette.La porte enfin ouverte. PrĂ©cipitation dans le noir. Plaquage au mur. Jambe passĂ©e sur ma hanche. Arrachage fĂ©brile de vĂŞtements. EmpalĂ©e sur moi, debouts contre le mur, tes jambes nouĂ©es autour de ma taille, tout devient fou. Coups de reins sauvages. Cris. GĂ©missements. Griffures. Morsures. Plus rien n’existe. Plus rien ne peut nous arrĂŞter. Nos tĂŞtes rejetĂ©es Ă l’arrière. Nos regards fous. Les corps arqueboutĂ©s. Nos esprits disjonctĂ©s. Danse orientale de ton bassin. Pulsions de ton antre. Ma queue prisonnière. Le point de non retour dĂ©passĂ©. Cris : « ooooh ouiiiii !!! Ooooh ouiiii !!! Plus foooort !! » « Ooooooh ptn ! Ma petite salope ! » « viiiiiiite !!! Viens viiiiite !!! Viiiiide toi !!! PitiĂ© !!! … » Corps tĂ©tanisĂ©s. Sperme jaillissant. Spasmes vaginaux. Tsunami de plaisir. Regards rĂ©vulsĂ©s. Orgasmes dĂ©vastateurs …Un champ de bataille avec un lit parfaitement fait ! Description pour le moins antinomique de la chambre d’hĂ´tel ! Des vĂŞtements jonchent le sol, balancĂ©s en urgence dans la frĂ©nĂ©sie de nos Ă©bats, le cadre accrochĂ© dans l’entrĂ©e est complètement de travers, seule la lumière de l’entrĂ©e nous Ă©claire.Une jambe encore enlacĂ©e autour de ton bassin, je passe ma main dans tes cheveux en t’embrassant doucement du bout des lèvres. Nous dĂ©serrons notre Ă©treinte et constatons les dĂ©gâts dans un Ă©clat de rire simultanĂ©. »Bon et bien c’Ă©tait vraiment une situation d’urgence ! Il fallait bien ça pour Ă©teindre l’incendie que tu as allumĂ© ce soir ! te dis-je en me dirigeant vers la salle de bain. Tu me regardes malicieusement avant de me rĂ©pondre que les vrais incendies sont souvent dĂ©multipliĂ©s par des dĂ©parts de feux inoppinĂ©s. « En revanche moi, je vais circonscrire cet incendie lĂ sous la douche mais je n’exclus pas de te circlure Ă mon tour ! » Un clin d’oeil suffisemment Ă©loquent pour que tu m’enboites le pas.Ma peau accueille l’eau chaude avec dĂ©lice mais c’est avec encore plus de plaisir qu’elle retrouve le contact de ta peau sur la mienne. Tu viens te lover contre mon dos, tu te serres doucement contre moi, tes mains sur mes Ă©paules, ta bouche dans mon cou tu alternes les baisers doux et les mordillements qui me mettent inĂ©vitablement dans tous mes Ă©tats… Je passe mes mains sous tes coudes pour t’attirer encore plus contre moi, j’ai toujours ce profond dĂ©sir de te possĂ©der et de me donner pleinement Ă toi… L’eau ruisselle sur nos corps qui sont si collĂ©s qu’ils n’en forment presque plus qu’un.Tes mains quittent mes Ă©paules pour venir caresser la galbe de mes seins. ImmĂ©diatement et malgrĂ© l’eau chaude qui nous enveloppe mes tĂ©tons se mettent Ă durcir sous tes doigts. J’agrippe tes fesses, je me cambre alors et je m’arc-boute contre ton sexe qui est au garde Ă vous. Je le cale entre mes fesses et tandis que tu continues Ă jouer avec mes seins je commence Ă chalouper sur ton sceptre. Tu me mords le cou avant de me dire « fais attention Clo, je ne rĂ©ponds plus de rien si tu continues comme ça »Je saisis une de tes mains que je viens placer directement sur ma chatte. Je laisse ma main disposĂ©e sur la tienne et je commence Ă me caresser avec tes doigts. Je suis littĂ©ralement trempĂ©e, non pas par l’eau de la douche mais par mon dĂ©sir que tu me prennes lĂ maintenant. Tu dĂ©croches le pommeau de la douche que tu viens placer entre mon sexe et nos deux mains. « ArrĂŞte Mathieu, si tu fais ça je ne peux plus m’occuper de toi ! » Tu me mords une nouvelle fois avant de me dire « en effet, lĂ c’est moi qui vais m’occuper de toi et tant pis pour l’environnement et le gâchis d’eau potable »La pression du jet sur mon clito ne tarde pas Ă me faire monter en pression moi aussi. Tu sens mon bassin chalouper contre le tien, caressant au passage ton sexe toujours coincĂ© entre mes fesses. BercĂ© et guidĂ© par la mĂ©lodie de mes soupirs extatiques, tu joues une partition parfaite : tu ralentis la pression du jet au moment oĂą je suis prĂŞte Ă venir ! Tu me fais languir, tu sais que j’adore et que ça dĂ©cuple mes sensations !Cette sensation est tellement unique : Ă mi chemin entre la satisfaction et la frustration ! Quand le plaosir est si proche que c’en est presque intolĂ©rable de ne pas se laisser emporter par l’orgasme ! mais si intense de savoir qu’il n’en sera que plus fort ! »Mathieu, je t’en prie, prend moi fort ! maintenant ! » Ce n’est mĂŞme pas une demande, c’est une vraie supplique que je t’adresse. je suis au supplice, je n’en peux plus, je te veux en moi, au plus profond de mon intimitĂ© ».Tu raccroches le pommeau de douche Ă sa place, nous laissant alors une nouvelle fois nous faire envelopper par cette ondĂ©e chaude et dĂ©lassante. Je pose mes mains sur la paroi de la douche, tu places ton gland Ă l’orĂ©e de ma vulve ruisselante de dĂ©sir et tu commences Ă vouloir me pĂ©nĂ©trer … « Non pas comme ça » dis-je en me cambrant davantage devant ton sexe Ă©rigĂ©. J’Ă´te une main du mur et en me contorsionnant quelque peu, je viens placer ton gland Ă l’entrĂ©e de mon petit trou … « C’est lĂ que je te veux Mathieu ! »« C’est lĂ que je te veux Mathieu ! »
Ton injonction joue sur moi comme un coup de fouet. Les lobes de tes fesses tendues comme une offrande vers mon sexe dressé décuplent mon envie de te posséder une nouvelle fois. Penché sur ton dos, je mordille ton épaule tout en guidant ma queue vers l’entrée de ta porte secrète. « Je vais faire le plus doucement possible Clo ! Guide moi et arrête moi si je te fais mal ! …. ». « Ouiiii viens ! Enfonce toi en moi ! Investi moi ! Viens ! J’en ai tellement envie … ».Lentement mon gland pousse sur cette barrière que tu ouvres pour me laisser passer. Une fois introduit, je marque une légère pause pour ne pas te forcer trop brutalement. De toi même, tu pousses tes hanches vers moi. « Vieeeeeeens … !!! » et mon sceptre s’enfonce en toi. Sensation voluptueuse de tes profondeurs qui se referment sur moi jusqu’à ce que mon bassin vienne au contact de tes fesses. « Ooooooh ptn de bordel ! J’avais tellement envie de te posséder comme ça Clo ! J’ai envie de jouir ! »Je ne sais plus si c’est le contact physique ou mon extrême envie mentale de toi et de te conduire à la jouissance, qui me rends aussi fou.
Je me penche pour glisser un bras sous toi et je te caresse alternativement tes seins et ta petite chatte qui dégouline de ta mouille. Tu animes ton bassin d’une légère houle et ma queue commence de lents vas et viens en toi …« Viens plus fort Mathieu ! Viens plus profond ! Défonce moi ! Ensauvage toi ! Gicle ton jus dans mon cul ! Vide tes couilles ! Encules moi fort ! »
« Tiens tu sens ma bite qui te perfore ma petite pute ! Tu la veux bien profonde dans ton cul de petite salope ! Tu aimes ça que je t’encule hein ! »
Nos cris sont de plus en plus stridents tant le plaisir nous assaille. Je m’accroche d’une main Ă ta hanche et de l’autre j’empoigne tes cheveux. Je te pistonne de plus en plus fort et de plus en plus vite. Mon ventre claque contre ton cul et mes couilles contre ta chatte trempĂ©e.Mes coups de rein sont de plus en plus sauvages ! Je sens ta rondelle se refermer sur ma bite. « Tu n’es qu’une chienne ! Un trou dans lequel je vide ma bite esclave ! Dis moi merci de t’accorder ça salope ! Tu mĂ©rites une correction pour ton insolence ! »
Tout en continuant à te déboîter le cul je t’assene de violentes claques sur tes fesses qui ne tardent pas à rougir. Tu cries de plus en plus fort « Ouiiiiii ! Maître ! Merciiii de me déboîter !! Merci de faire de moi votre esclave !!! Je suis votre récipient à foutre !! Inondez moi !!! Merci de faire de moi votre petite pute !! »« Je suis votre chienne lubrique en chaleur !! Je mérite que vous me corrigiez pour mon insolence !! Laissez moi vous faire jouir !!! Faites moi mal je vous en supplie Maitre !! Montrez moi que vous m’aimez !! »
Je redouble mes coups de rein agrippé à tes cheveux sans plus de précaution. Tu me rends totalement fou et sauvage. J’ai une envie folle de te sentir jouir sous moi, de jouir en toi …Lorsque je suis prêt à exploser, je m’enfonce au plus profond et je me penche de nouveau sur ton dos. Ma main se glisse entre tes cuisses pour mener une sarabande infernale sur ton clito complètement érigé. Tu ne retiens plus ton fluide qui s’écoule abondant de ta chatte brûlante. Tes cris redoublent.
« Ouiiii ma soumise ! Je vais vous inonder de mon jus !! Vos seins, votre chatte et votre cul m’appartiennent !! Et je les aime !!! Vous m’appartenez !!! Et je vous aime ma soumise !! Ouiii je vous aime !!! »Corps en furie dévastés par l’orgasme qui nous transcende. Mon jus se vide en toi. Tes cuisses se serrent pour bloquer mes doigts sur ton clito. Nos cris ne s’arrêtent plus. Ton bassin vibre sur 220 volts. Ta jouissance te met en transe. La mienne me tétanise. Plus rien n’existe que nos esprits survoltés par le plaisir et que nos corps emboîtés dans l’extase suprême© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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