Daniel, Consultant – Chapitre 2
VoilĂ six mois que je suis en couple avec Alessia. Pour mon anniversaire, celle-ci m’offre une sĂ©rie de cadeaux, tous plus excitants les uns que les autres. Au passage, je commets un Ă©cart avec Christiane, une collègue de travail.
Proposée le 12/05/2022 par Imagine69 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: InclassableType: Roman
Alessia enserra dĂ©licatement mon sexe en Ă©rection et m’attira avec elle sous la douche. Cela faisait six mois que nous Ă©tions ensemble. L’étĂ© Ă©tait passĂ© et l’hivers prenait ses marques. Nous nous lavâmes mutuellement en nous caressant, nous embrassant, nous taquinant. Peu de temps après notre première fois, l’italienne et moi avions emmĂ©nagĂ© ensemble et vivions le grand amour. Chaque moment avec elle Ă©tait un pur plaisir. Me rĂ©veiller Ă ses cĂ´tĂ©s me procurait un bonheur profond et sincère. Notre vie Ă©tait rythmĂ©e par des moments très diffĂ©rents, de complicitĂ©, d’amitiĂ©, de sĂ©duction, d’amour et de sexe torride. Alessia Ă©tait bien la femme que je m’étais imaginĂ© : vive d’esprit, lĂ©gèrement dominatrice et complètement provocatrice. Elle aimait sĂ©duire et jouer avec le feu : haut transparent dans la rue (sans soutien-gorge, cela va de soi), string apparent au restaurant, mains baladeuses en place publique et fellations Ă peine cachĂ©es. Alessia adorait cette pratique, qu’elle soit agenouillĂ©e, accroupie, penchĂ©e, allongĂ©e sur le ventre ou sur le dos. Elle adorait mener la cadence ou se voir imposer mes dĂ©sirs. Elle adorait me pousser Ă bout puis s’arrĂŞter au bord de l’orgasme avant de me faire l’amour ou finalement me faire jouir dans sa bouche. Elle adorait repousser ses limites ou essayer de nouvelles techniques. Je n’avais jamais autant joui que ces six derniers mois. Je chĂ©rissais tout d’elle, de son corps Ă ses blagues en passant par toutes les banalitĂ©s du quotidien. Alessia Ă©teignit l’eau, me poussa contre le mur et blottit mon sexe dur entre ses fesses et mon ventre. Elle se hissa sur la pointe des pieds et commença Ă se dĂ©hancher en montant et descendant. Mes lèvres se posèrent dans son cou et mes mains soupesèrent ses seins fermes. Elle se pencha en avant, pris appui sur la vitre de la douche et me lança un regard fiĂ©vreux par-dessus l’épaule. Je saisis ma hampe, fit glisser mon gland sur son anus puis dans la fente de son vagin avant de l’y enfoncer Ă moitiĂ©. J’admirais mon amante faire le reste, s’empaler sur moi, coller ses fesses luisantes Ă mon corps brulant, porter une main entre ses cuisses pour masser ses lèvres Ă©cartĂ©es, palper mes bourses rondes, taquiner son clitoris. J’épiais sa petite tâche de naissance sur son postĂ©rieur, ses reins creusĂ©s et ses cheveux trempĂ©s. Je les regroupais Ă l’arrière de sa tĂŞte et cela eu l’effet escomptĂ©. Alessia intensifia d’elle-mĂŞme le rythme et m’encouragea Ă la rejoindre, la complĂ©ter. Mon bassin se mit en marche et nos corps s’entrechoquèrent sensuellement. Mes muscles se raidirent et je relevais ma copine contre moi pour repousser mon orgasme. Je glissais une main entre ses cuisses pour remplacer ses doigts et taquinais son clitoris plus Ă©nergiquement. Elle commençait Ă geindre fĂ©brilement, Ă trembler. J’étais proche de mon objectif quand elle me stoppa et se retira. – Tu n’as pas le droit de me faire autant de bien, murmura-t-elle en se retournant. Elle se colla Ă moi, leva son genou jusqu’à mon flanc et enfonça mon sexe en elle. Je passais un bras sous sa cuisse levĂ©e et l’autre sur sa fesse pour la soutenir. Mon bassin entama des vas et viens qui la firent grimacer. Mon majeur glissa dans le sillon de ses fesses, s’aventura sur son anus :- Mon doigt te dĂ©range ? demandais-je entre deux râles.
– Jamais, rĂ©pondit-elle en se mordant la lèvre. Je savais que des pressions Ă cet endroit l’excitaient. Nous n’avions jamais essayĂ© la sodomie mais ce n’était pas l’envie qui me manquait. Je commençais Ă taquiner son Ĺ“illet quand Alessia posa sa main sur la mienne et m’invita Ă forcer son sphincter. Je la regardais avec de grands yeux, mon sexe se tendit en elle sans cesser de la pĂ©nĂ©trer. Mes phalanges s’enfoncèrent l’une après l’autre dans son anus. En l’espace de cinq secondes, mon amante atteignit un orgasme puissant qui allait signer ma chute. Elle tremblait, criait et chancelait en laissant sa tĂŞte pendre en arrière. Alors que j’étais sur le point de jouir, Alessia se libĂ©ra de mes emprises et s’agenouilla dans la douche, le dos creusĂ©, le regard fĂ©brile : – Sur mon visage, souffla-t-elle.J’hĂ©sitais un instant pour savoir si elle Ă©tait sĂ©rieuse. Je ne lui avais jamais fait ça auparavant. Ses yeux ne mentaient pas, ses intentions Ă©taient claires. Je commençais Ă me masturber rapidement puis passais une main tendre dans ses cheveux. Alessia soutenait mon regard jusqu’à ce que j’atteigne l’orgasme et que des giclĂ©es Ă©paisses de semence viennent s’allonger sur son visage. Je la trouvais sublime et excitante. Une fois terminĂ©, elle essuya mon gland sur ses lèvres dĂ©jĂ souillĂ©es : – Joyeux anniversaire mon amour, dit-elle en lĂ©chant mon frein.
– J’avais complètement oubliĂ© ! C’est un sacrĂ© cadeau… qui mĂ©riterait bien une photo.
– Mon portable est Ă cĂ´tĂ© du lavabo, rĂ©torqua-t-elle en levant un sourcil malicieux. Dès le dĂ©but de notre relation, nous avions immortalisĂ© plĂ©thore de moments intimes, de nus presque artistiques et de positions plus ou moins acrobatiques. Nous commencions Ă avoir une sacrĂ©e collection ! Je sortais de la douche puis y revenais avec le portable pour saisir le visage de ma femme dans toute sa splendeur et son indĂ©cence. Alessia n’hĂ©sita pas Ă me reprendre en bouche pour pimenter les clichĂ©s, les rendre encore plus Ă©rotiques. Elle me rendait fou ! L’objectif du tĂ©lĂ©phone braquĂ© sur elle lui faisait toujours de l’effet, comme s’il finissait de la dĂ©vergonder. Je m’accroupissais Ă son niveau, caressais sa joue juteuse et embrassais ses lèvres :- Merci pour ton cadeau mon amour, chuchotais-je en lĂ©chant sa langue.
– Peut-ĂŞtre que ce ne sera pas le dernier, conclut-elle avec un air mystĂ©rieux. Nous finĂ®mes de nous embrasser puis nous rinçâmes avant de nous prĂ©parer pour le travail. Alessia travaillait toujours pour la mĂŞme entreprise. Ma mission de conseil Ă©tait arrivĂ©e Ă son terme et j’en avais enchainĂ© deux autres avant de revenir au cabinet pour peaufiner de nouvelles offres. Ludovic Ă©tait restĂ© un mois de plus chez le client avant de me rejoindre. Il suivait notre relation depuis le dĂ©but et je crois qu’il Ă©prouvait parfois de la jalousie en voyant l’amour que je portais Ă ma copine. Lui Ă©tait cĂ©libataire, mais il avait rĂ©cemment fait la connaissance d’une femme, Katia, qui l’avait approchĂ© pour lui vendre une solution de digitalisation. Il n’arrĂŞtait pas de me parler d’elle, elle qui ne semblait pas insensible Ă son charme. Il me la dĂ©crivait comme Ă©tant « sublime, bandante et intelligente ». Ce qui le faisait fondre, c’était son accent lithuanien et ses seins « entre lesquels tu as envie de t’étouffer ». Il devait la voir hier pour finaliser l’achat de licences. J’avais hâte qu’il me raconte tout ça. Pour le moment, je finissais d’enfiler mon costume en regardant Alessia se maquiller devant le miroir, nue : – Hum, tu pourrais m’attacher avec ta cravate, lança-t-elle en m’épiant dans le reflet.
– Ne me tente pas ou tu vas en subir les consĂ©quences, l’avertissais-je en m’approchant. Je posais une main sur son sein et l’autre sous sa gorge pour guider ses lèvres vers les miennes. Elle passa les siennes sur mon pantalon, comme si elles Ă©taient liĂ©es. Je pressais mon bassin contre son postĂ©rieur et la poussais doucement contre le miroir froid jusqu’à ce que sa poitrine s’y Ă©crase : – Tu ne veux pas faire l’amour Ă ta femme encore une fois ? demanda-t-elle en soufflant.
– Je vais ĂŞtre en retard mais promis je me rattraperai ce soir, rĂ©pondis-je en reculant.
– Au fait, je nous ai rĂ©servĂ© un restaurant. Je t’enverrai l’adresse pour que tu m’y rejoigne directement, ajouta-t-elle en se dĂ©collant de la glace.Je la remerciais et l’embrassais : « Encore une chose… j’ai adoré… ton doigt baladeur ». Je me rapprochais Ă nouveau d’elle, glissais mon majeur entre ses fesses et le posais sur son Ĺ“illet : « Moi aussi, terriblement ». J’avais tellement envie d’elle ! Elle me repoussa : « Bonne journĂ©e mon amour ». J’adorais quand elle me chauffais avant d’arrĂŞter, quand elle repoussait le moment de la dĂ©livrance. Je partais au travail. Depuis que j’étais avec elle, je n’arrivais plus aussi tĂ´t car chaque matin, elle me donnait envie de rester un peu plus chez nous. Tous mes collègues Ă©taient dĂ©jĂ arrivĂ©s et s’installaient en salle de rĂ©union. Je prenais place Ă cĂ´tĂ© de Ludovic dont le sourire Ă©tait sans Ă©quivoque : – Alors cette rĂ©union avec ta belle Katia ? demandais-je Ă voix basse en sortant mon ordinateur.
– Tu ne vas jamais me croire, rĂ©pondit-il avec excitation. On l’a fait hier, c’était magique et je ne suis plus cĂ©libataire ! Je te raconte ça après, ajouta-t-il quand Marc, notre directeur, entra. La rĂ©union commença et mon portable vibra une dizaine de minutes plus tard. Alessia venait de m’envoyer l’adresse du restaurant. J’ouvrais la conversation quand elle m’envoya un clichĂ© de son visage souillĂ© que j’avais pris ce matin : « Encore joyeux anniversaire mon amour ». Mon sexe commença Ă durcir et Ludovic murmura : « Ah mince c’était aujourd’hui ton anniversaire ». Je cachais immĂ©diatement l’écran et il rougit de honte en s’excusant. Il venait de voir un nouvel aspect excitant de ma femme. J’espĂ©rais qu’il n’allait pas hanter ses rĂŞves ou lui donner des envies. Mais je n’y croyais pas moi-mĂŞme ! La rĂ©union se termina et j’envoyais un message Ă Alessia : « Tu es folle, j’étais en pleine rĂ©union ». Elle rĂ©pondit du tac-au-tac : « Quelqu’un a vu ? ». Je jetais un coup d’œil Ă Ludovic : « Possible, mĂŞme certain ». Elle me renvoya la photographie sur laquelle elle avait mon sexe en bouche : « Comme ça ils comprendront quel genre de femme dĂ©vouĂ©e je suis ». Marc me tapa sur l’épaule : « Ben alors Daniel, qu’est-ce que tu regardes ? Elle est mignonne cette demoiselle ». Je cachais Ă nouveau mon portable et me levais : « C’est fou, on n’a plus d’intimitĂ© nulle part de nos jours ». Le quinquagĂ©naire chauve ricana et je sortais, un brin en colère. – Viens on va prendre un cafĂ© avec Christiane et Luc histoire que je vous raconte ma rencontre avec Katia, dit Ludovic sur mes talons. Oh et encore dĂ©solĂ© et joyeux anniversaire Dan ! Je le suivais jusqu’à la terrasse oĂą nous attendaient dĂ©jĂ nos deux collègues. Christiane Ă©tait une jolie rousse qui adorait la photographie et les potins. Luc nous avait rejoint il y a peu et dĂ©couvrait encore le monde du conseil fait de jeune gens ambitieux, parfois requins, et d’histoires Ă dormir debout. Une fois les breuvages servis, Ludovic commença Ă nous compter ses mĂ©saventures de la veille avec Katia. – Je suis arrivĂ© dans leurs locaux et Katia m’attendait Ă la rĂ©ception avec une petite robe moulante et un joli dĂ©colletĂ©, commença-t-il. Nous nous sommes fait la bise et elle m’a accompagnĂ© dans une salle oĂą sa boss nous attendait. Je vous Ă©pargne les dĂ©tails techniques mais on a finalisĂ© l’achat des licences et sa directrice lui a proposĂ© de me faire visiter les locaux. Tout le monde l’écoutait attentivement et j’essayais d’imaginer Ă quoi Katia pouvait ressembler. – Du coup elle m’a fait faire un tour en finissant par une salle de rĂ©union au dernier Ă©tage qui ressemblait davantage Ă un salon qu’autre chose, poursuivit-il. Je lui ai fait la remarque et lĂ , les stores se sont baissĂ©s et elle m’a dit : « C’est parfait pour ce que j’ai envie de te faire ». Elle m’a sautĂ© dessus et on s’est embrassĂ©s sur le canapĂ©. Bien Ă©videmment, j’ai investiguĂ© ce qu’elle avait sous sa robe et rien : ni culotte, ni string, rien ! Je sentais mon Ă©rection renaitre en buvant ses paroles. Christiane rougissait lĂ©gèrement. – J’ai continuĂ© avec ses seins et pareil, rien du tout ! continua Ludovic.
– Ils Ă©taient comment ? demanda Luc, visiblement captivĂ© par l’histoire.
– Ils Ă©taient ronds et fermes avec de petites aurĂ©oles dures, dĂ©tailla Ludovic. Vraiment parfaits ! Du coup on continue et puis elle se met entre mes cuisses et me fait une des meilleures fellations de ma vie. Le genre de fellation qui en dit long sur la femme et son degrĂ© d’excitation. La voyant très engagĂ©e, je lui demande si elle peut me faire une branlette espagnole.
– Quel gougeât ! intervint Christiane. Tu m’étonnes que t’étais cĂ©libataire !
– Oui et bien tu ne crois pas si bien dire parce qu’elle n’a pas hĂ©sitĂ© Ă caller ma queue entre ses seins pour me la faire ! rĂ©torqua-t-il. Bref, elle fait monter l’excitation et je l’arrĂŞte avant qu’il ne soit trop tard. Je l’allonge sur le canapĂ©, lui enlève le reste de sa robe, la lèche et la doigte.
– Elle Ă©tait comment sa…, commença Luc avant de se pincer les lèvres.
– Vous ĂŞtes incorrigibles les hommes, lâcha Christiane en roulant les yeux.
– Elle Ă©tait toute aussi parfaite que sa poitrine ! rĂ©pond Ludovic en ignorant le commentaire de la rousse. Imberbe, lèvres fines et lĂ©gèrement rosĂ©es… un dĂ©lice ! Je remonte, on s’embrasse et je la pĂ©nètre. On fait l’amour fougueusement pendant quelques minutes puis elle me supplie de la prendre en levrette mais de ne pas finir en elle car elle ne prend pas la pilule. Elle se retourne, on commence et je peux vous dire que quand tu as un cul aussi bombĂ© que le sien face Ă toi, tu ne dures pas longtemps. Du coup je me suis retirĂ© et j’ai fini dessus.
– Et tu ne l’a pas faite jouir ? lui demandais-je en le taquinant.
– Non… mais elle m’a dit qu’elle avait adorĂ©, qu’elle voulait qu’on se revoit en dehors du boulot.
– Vous avez un truc avec le fait d’éjaculer sur les femmes, lâcha Christiane un brin irritĂ©e.
– Tu as des choses Ă confesser ? la tannais-je sans attendre de rĂ©ponse.
– Peut-ĂŞtre un petit quelque chose qui s’est passĂ© avec quelqu’un du bureau la semaine dernière, commença-t-elle en souriant. Mais je ne vous dirai pas qui c’est !
– Oh, pourquoi ? se plaignit Luc qui commençait Ă ĂŞtre avide de potins lui aussi.
– Parce qu’il est marié… et que ça ne vous regarde pas ! rĂ©torqua Christiane.
– Allez, dis-nous en un peu plus, l’encourageais-je d’une voix apaisĂ©e. Elle hĂ©sita, se mordilla la lèvre infĂ©rieure maquillĂ©e de rouge puis bu une gorgĂ©e de cafĂ© :- Je travaillais tard le soir, les locaux Ă©taient vides. Ce fameux Monsieur vient s’assoir sur le bureau et papote avec moi. Nous nous Ă©tions dĂ©jĂ envoyĂ© quelques messages… plutĂ´t chauds. Les minutes passent, la tension monte et il me dit que j’ai de jolies lèvres. Avant que je ne percute, il sort son sexe et le fourre dans ma bouche. Je rĂ©agis et le suce avant qu’il ne m’allonge sur le bureau et me lèche tout l’entrejambe. Avec toute la courtoisie d’un pervers comme lui, il me prend directement par derrière sans y aller par quatre chemins…
– Par derrière ? Tu aimes la sodomie, toi ? demanda Luc interloquĂ©.
– Ben oui et alors ? rĂ©torqua-t-elle. Bref il y va un peu comme un rustre et je me caresse parce que je suis quand mĂŞme excitĂ©e par la situation et le lieu. J’arrive Ă finir en limitant les dĂ©cibels et lĂ , Monsieur se retire et me lâche tout ce qu’il a sur mon haut Ă 100 euros que je venais d’acheter. Je lui ai bien sĂ»r dit le fond de ma pensĂ©e et il est parti en ricanant.
– Ouai, pas sympa ! commentais-je en ne pouvant m’empĂŞcher de l’imaginer ainsi.
– Tu peux parler ! ricana Ludovic en me tapotant l’épaule avant de se taire.
– Quoi ? enchaina Christiane au quart de tour. Balance Daniel ! Moi j’ai tout racontĂ© ! J’hĂ©sitais en pensant Ă Alessia. Voudrait-elle que je divulgue notre vie intime ? Je pensais que oui et leur racontais donc nos Ă©bats sous la douche en m’arrĂŞtant avant la conclusion. J’hĂ©sitais encore une fois, regardais autour de nous puis sortais mon portable et leur montrais la première photographie que m’a copine m’avait envoyĂ©. Ils dĂ©glutirent tous simultanĂ©ment :- Woah, pas mal ! lança Luc la bouche ouverte.
– Et c’est elle qui me l’a demandĂ©, ajoutais-je pour ne pas paraĂ®tre pervers.
– Elle est très mignonne ta copine, commenta Christiane avant de glisser son doigt sur l’écran. Oh, pas mal foutu toi aussi ! Je ne savais pas que tu t’épilais, dit-elle en soulevant un sourcil.Je tournais l’écran vers moi et voyais qu’elle avait changĂ© la photographie pour celle sur laquelle Alessia me suçait. Je retournais malgrĂ© tout l’image vers elle, avec un soupçon de fiertĂ© : – Je prends soin de moi, rĂ©pondis-je en la laissant se rincer l’œil et se lĂ©cher les lèvres.
– Bon, c’est recevable quand c’est une femme qui le demande ! conclut Christiane. Nous finĂ®mes notre cafĂ© puis remontâmes travailler. J’avais tellement hâte de retrouver Alessia que je n’arrĂŞtais pas de consulter mon portable. Allais-je lui avouer que j’avais montrĂ© les clichĂ©s Ă mes amis ? Après tout, elle ne les connaissait pas physiquement et eux non plus car je tenais Ă garder mes deux vies bien sĂ©parĂ©es. La journĂ©e passa et je sentais que Christiane me regardait avec insistance et intĂ©rĂŞt. J’espĂ©rais ne pas avoir fait de bĂŞtise. Sur les coups de dix-sept heures, elle rĂ©pondit Ă son tĂ©lĂ©phone, prit son ordinateur et partit pour trouver une salle. Dix minutes plus tard, elle m’envoya un message : « Je suis en rĂ©union, est-ce que tu peux me ramener le dossier X-010 des archives ? ». Je regardais Ludovic qui Ă©tait penchĂ© sur son Ă©cran puis dĂ©cidais de partir au sous-sol tout seul. Je dĂ©ambulais dans les couloirs blancs puis entrais dans la salle des archives. J’allumais la lumière et m’avançais quand la porte se referma derrière moi. Christiane se tenait lĂ , en sous-vĂŞtements, le regard en feu. – Christiane, qu’est-ce que… commençais-je avant qu’elle ne m’intime le silence. Elle s’avança vers moi et dĂ©fit son soutien-gorge qu’elle laissa tomber en rĂ©vĂ©lant sa jolie poitrine. Mon sang se glaça, j’étais paralysĂ©. Elle se blottit contre moi, Ă©crasa sa poitrine nue contre mon torse. – Ta photographie m’a fait beaucoup d’effet ce matin, susurra-t-elle en posant sa main sur mon pantalon pour pĂ©trir mon sexe. Moi aussi je veux t’offrir un cadeau d’anniversaire.
– Christiane, non… rĂ©pondis-je en repoussant sa main qui revint immĂ©diatement.
– Laisse-toi faire Daniel ! Tu pourras me la mettre ou tu voudras, Ă©jaculer sur chaque partie de mon corps, poursuivit-elle langoureusement en palpant mon sexe dur. Tu aimes ça, non ?
– J’aime ma copine, Christiane… dis-je en cherchant plus de force pour la repousser.
– Alors pourquoi est-ce que tu bandes ? me demanda-t-elle. Ça peut rester notre petit secret…
– Je n’ai pas besoin d’une maitresse… c’est absurde !
Elle déposa un baiser sur mes lèvres sans que je ne parvienne à l’esquiver. Elle me testait.
– Dans ce cas-lĂ , tu n’auras pas de mal Ă me repousser, conclut-elle en s’agenouillant lentement. Ses doigts commencèrent Ă dĂ©faire ma ceinture et mon pantalon sans que je ne l’en empĂŞche. J’étais pĂ©trifiĂ© et quelque part, excitĂ©. MalgrĂ© ses gestes lents, il ne fallut Ă Christiane qu’une poignĂ©e de secondes pour extirper mon sexe droit de mon boxer. Un sourire espiègle se dessina sur son visage : – Pas mal du tout, souffla-t-elle en m’analysant de plusieurs angles. Elle me regarda dans les yeux, ouvrit ses lèvres rouges, s’approcha de moi. Je devais rĂ©agir vite ! – Chris… soufflais-je alors que mon sexe s’enfonçait dans sa bouche humide et douillette. La rousse gĂ©mit en fermant les paupières comme si elle me dĂ©gustait. Elle recula en taquinant mon gland avec sa langue puis revint en creusant ses joues. Mes muscles se contractèrent. C’était bon mais l’image d’Alessia me rattrapa. Je repoussais ma fellatrice et esquivais sa tentative pour revenir : – Je suis dĂ©solĂ© Christiane, mais je ne peux pas, tranchais-je. Je remontais mon pantalon et partais de la salle en la laissant quasiment nue, Ă genoux sur le sol. Je fermais les yeux et serrais les dents. Je m’en voulais terriblement pour cet instant de faiblesse ! Je remontais Ă l’étage, faisais mon sac, saluais Ludovic et partais Ă la va-vite du bureau pour ne pas recroiser la jeune femme. Je marchais dans la rue puis m’installais dans un parc en attendant l’heure du diner avec Alessia. Fallait-il lui avouer ? Je regardais nos photographies sur mon tĂ©lĂ©phone. Quel imbĂ©cile j’étais ! Une heure plus tard, je me remettais en route et la retrouvais devant le restaurant. Elle Ă©tait magnifique avec sa petite robe noire Ă©vasĂ©e, ses talons hauts et ses yeux bien maquillĂ©s. Elle releva lĂ©gèrement le bas de son habit pour me montrer qu’elle portait un porte-jarretelles : – Hum, madame est d’humeur coquine ce soir ! lâchais-je en l’embrassant fougueusement.
– Je dirais plutĂ´t… salope, rĂ©pondit-elle en glissant un morceau de tissu dans ma poche. J’hĂ©sitais Ă garder ma petite culotte, et puis finalement…
– Tu as fait le bon choix, la coupais-je avec un baiser. Il faut que je te dise quelque chose Alessia.
– Ca attendra ! rĂ©pondit-elle m’attirant vers un bar Ă cĂ´tĂ© du restaurant oĂą nous devions diner.L’intĂ©rieur Ă©tait sombre, je ne comprenais pas ce que nous faisions lĂ . Soudain, les lumières s’allumèrent et une foule scanda « Joyeux anniversaire ! ». Je rougissais instantanĂ©ment et questionnais Alessia du regard. Elle sourit puis m’embrassa avant de m’inviter Ă saluer les personnes, principalement mes collègues de bureau, mais aussi quelques amis de l’universitĂ© et mon meilleur ami d’enfance, Tristan. Mes lèvres se pincèrent en voyant Christiane, un peu hĂ©sitante, voir honteuse. Je la saluais comme si de rien n’était puis serrais la main de mon directeur qui Ă©tait Ă cĂ´tĂ©, de Luc et de Ludovic. A cĂ´tĂ© de ce dernier, se trouvait Katia. Elle Ă©tait en effet très charmante et sa robe couleur saumon sans bretelles offrait une superbe vue sur sa poitrine. Elle me tendit sa main douce que je serrais en la remerciant d’être venue. Quelque chose dans son regard Ă©tait Ă©lectrisant et je ne pus m’empĂŞcher d’imaginer mon sexe entre ses seins. Je saluais le reste des convives et serrais Tristan contre moi : « Tu as une copine gĂ©niale Daniel ! Elle a tout gĂ©rĂ© de A Ă Z avec Ludovic ». Je m’en voulais de l’avoir trompĂ©e ainsi. Je m’approchais d’elle et l’embrassais en la remerciant. Tout le monde se servit un verre en se mĂ©langeant aux autres clients du bar. La fĂŞte et la musique commencèrent !Alessia se dĂ©hancha contre moi en me chauffant sous le regard intĂ©ressĂ© de certains de mes collègues, dont Luc. Je repensais aux photographies et Ă©treignais ma copine : – Les images de ce matin… Luc, Ludovic et mon boss les ont vu, murmurais-je Ă son oreille.
– Hum ça en fait du monde ! rĂ©pondit-elle. Tu es sĂ»r que ce n’est pas toi qui leur a montrĂ© ? Je ne savais pas quoi rĂ©pondre car elle n’avait pas tort. Elle m’embrassa sensuellement puis m’emmena danser avec Katia et Ludovic. Les deux femmes se trĂ©moussaient l’une contre l’autre entre nous deux puis Alessia les fit changer de place et je me retrouvais avec la belle blonde qui se mouvait contre moi. Ma copine me regardait avec des yeux de braise et quand elle guida les mains de mon ami sur ses hanches, j’en fis de mĂŞme avec la lithuanienne qui colla un peu plus ses fesses Ă mon sexe dur. A quoi jouaient-elles ? Ludovic jeta un coup d’œil dans ma direction et haussa les Ă©paules. Alessia lâcha son cavalier et partit en direction de Luc. Je me dĂ©tachais de Katia, qui rejoignit son copain. Seul, je jetais un coup d’œil dans la foule. Je vis Christiane de dos, entre les cuisses de Marc, assis sur une chaise haute, qui avait les mains sur ses reins. Je compris que c’était lui l’homme mariĂ© et pervers avec qui elle s’était envoyĂ©e en l’air. Je partais voir Tristan en Ă©piant Alessia qui dansait entre Luc et un inconnu : – Elle est très… jolie ta copine, tu n’as pas peur pour elle ? me demanda mon ami d’enfance.
– Je lui fais confiance, rĂ©pondis-je en croisant le regard fiĂ©vreux et aiguisĂ© de l’italienne.
– Oui, enfin, ça m’étonnerait que les deux mecs n’aient pas une grosse Ă©rection lĂ , lâcha-t-il. Il avait raison et d’une certaine façon, cela m’excitait d’avoir une femme aussi sĂ©duisante. Quand l’étranger commença Ă remonter le bas de sa robe, je me levais et traversais la foule Ă la vitesse de l’éclair : « N’y pense mĂŞme pas ! ». L’homme me regarda et me demanda qui j’étais. Je le saisis par le col de son t-shirt et le dĂ©gageais : « Je suis son mec ! ». Alessia me toisa, me prit par la main et me fit traverser le bar jusqu’à m’attirer dans une cabine des toilettes pour femmes. LĂ , elle me poussa contre le mur en bois et m’embrassa fougueusement : « DĂ©solĂ©e, mais tu m’excites quand tu dĂ©fends ce qui t’appartient ». En moins de cinq secondes elle ouvrit mon pantalon, libĂ©ra mon sexe et s’accroupit. Une trace de rouge Ă lèvre attira mon attention sur ma hampe mais Alessia ne sembla pas la voir. Elle enfonça mon sexe dans sa bouche et me procura une fellation intense et baveuse. Elle Ă©tait sublime et n’avait rien Ă envier Ă Christiane : « Je vais dĂ©fendre mon territoire plus souvent ! ». Elle sourit, me suça de plus belle puis me dit : « Viens on retourne faire la fĂŞte ». Elle se releva et allait ouvrir la porte quand je la rattrapais et la plaquais Ă mon tour contre le mur : « Tu ne vas pas t’échapper comme ça Madame Je-ne-met-pas-de-culotte-et-je-suce-mon-mec-dans-les-toilettes ». Elle sourit et je relevais le bas de sa robe pour dĂ©voiler son pubis nu et son porte-jarretelles : « C’est un peu long comme nom. Tu as autre chose d’aussi long ? ». Nous Ă©changeâmes un rire et je la portais contre la paroi avant de la pĂ©nĂ©trer et de la faire crier de plaisir : « Assez long pour toi ? ». Elle se mordit la lèvre en grimaçant : « Oui, plus long que ceux qui se sont frottĂ© Ă moi toute la soirĂ©e ». Je m’arrĂŞtais et la regardais avec jalousie et excitation : « Est-ce qu’ils bandaient les deux mecs avec qui tu dansais ? ». Sans hĂ©siter, elle rĂ©pondit : « Comme des taureaux ! ». Elle me rendait fou et elle le savait bien ! Je lui assĂ©nais des coups de reins torrides qui la firent crier Ă nouveau : « Et toi… tu bandais en dansant avec Katia ? ». Moi aussi j’avais envie de la taquiner : « Comme jamais ! ». Elle mordit ma lèvre et je la pĂ©nĂ©trais encore une dizaine de fois avant de la faire redescendre. J’eus Ă peine le temps de remettre mon caleçon, qu’Alessia ouvrit la porte pour partir. J’allais la sermonner quand elle s’arrĂŞta net : « Ah salut Katia, je ne savais pas que tu Ă©tais lĂ . Très jolie robe ! ». Je me pinçais les lèvres. M’avait-elle entendu ? J’attendais un instant, refaisais mon pantalon puis sortais. Alessia avait disparu. Katia Ă©tait penchĂ©e devant le lavabo, sa robe rentrait lĂ©gèrement dans le sillon de ses fesses rondes. Nous Ă©changeâmes un sourire de malaise avant que je ne sorte des toilettes. Je pris une grande inspiration et retournais voir Alessia qui discutait avec Marc et Christiane. Mon rythme cardiaque s’emballa et je la rejoignais pour m’assurer de ce qui allait ĂŞtre dit :- Ah, voilĂ le boss de la soirĂ©e, dit Marc avec ses petits yeux plissĂ©s.
– C’est vraiment une grande surprise, je ne m’y attendais pas ! rĂ©pliquais-je en souriant.
– Il faudrait qu’on recrute ta copine… elle a Ă©tĂ© parfaite, ajouta-t-il en la toisant.
– Il nous a beaucoup parlĂ© de toi, lança Christiane avec un regard froid qui se voulait chaleureux.
– Ah bon ? J’espère en bien quand mĂŞme, rĂ©torqua-t-elle en se blottissant contre moi. Nous discutâmes un instant puis allâmes nous Ă©clipser quand Alessia posa une dernière question : « Au fait, il est très joli ton rouge Ă lèvres Christiane. Il me semble l’avoir dĂ©jĂ vu quelque part. C’est quelle marque ? ». Mon sang ne fit qu’un tour et je vis ma collègue perdre ses moyens : « Euh… je ne sais plus… je pourrais te la donner ». L’italienne opina du chef. Nous retournâmes danser Ă quelques pas malgrĂ© mes jambes chancelantes : « Elle est mignonne ta collègue… mais lui il a l’air sacrĂ©ment pervers ». Je reprenais une inspiration : « C’est comme ça que tu m’as appelĂ© la première fois, non ? ». Elle rigola, se retourna face Ă lui, posa sa tĂŞte sur mon Ă©paule et guida mes mains sous ses seins : « Je te rassure, je ne le laisserais pas faire ce que tu m’as fait ce soir-là ». Nous continuâmes de nous dĂ©hancher puis Alessia partit au bar pour reprendre un verre. J’allais voir Ludovic qui se reposait Ă cĂ´tĂ© de Katia. La blonde et moi Ă©changeâmes un regard timide. Je dĂ©briefais mon ami Ă propos de Christiane et Marc puis nous discutâmes un peu boulot. Ne voyant pas ma copine revenir, je partais au bar et la surprenais en train de s’égosiller avec le barman : un type grand, barbu et viril. Je m’approchais par derrière et Ă©treignais ma femme: – Ah, monsieur est lĂ ! Je vous sers quoi ? me demanda l’homme.
– Une pinte de blonde s’il-vous-plait, rĂ©pondis-je en me collant Ă ma copine.
– Seulement en Ă©change de votre brune, rĂ©torqua-t-il en rigolant, je plaisante ! Tenez ! Belle rĂ©partie, mais pas sĂ»r qu’il plaisantait ! Je trinquais avec Alessia, buvais une gorgĂ©e et l’embrassais par-dessus son Ă©paule. Elle passa une main derrière ma tĂŞte et me fit un baiser lent et sensuel qui dĂ» mettre le pantalon du barman Ă rude Ă©preuve. Je poussais un peu plus ma copine contre le meuble, guidais son talon droit sur le repose pied et glissais ma main Ă l’intĂ©rieur de sa cuisse. L’italienne se laissa faire et mes doigts atteignirent rapidement son intimitĂ© encore humide Ă l’abri des regards. Je malaxais son clitoris secrètement et elle guida mon autre main dans son dĂ©colletĂ©. J’enfonçais deux doigts dans son sexe, la caressais de l’intĂ©rieur et palpais son sein nu sous sa robe. – Très excitants les tourtereaux ! lança le barman. On peut savoir ce qu’il se passe sous le bar ?
– Monsieur est en train de doigter sa brune, rĂ©pondit Alessia en lui souriant sans gĂŞne.
– Monsieur est un homme chanceux, rĂ©torqua-t-il en me faisant un clin d’œil.
– Ça t’excite que je te masturbe devant lui ? demandais-je Ă Alessia qui acquiesça. Chef ! Le barbu revint vers nous et je baissais la bretelle de la robe de ma copine pour dĂ©voiler son sein. En parallèle, je pressais lĂ©gèrement son clitoris et la faisais gĂ©mir. J’étais terriblement excitĂ© de la dĂ©voiler ainsi et encore plus par le fait qu’elle se laisse faire : « Très joli sein ! Je vous offre la bière ». Alessia retira lentement mes doigts de son sexe puis remit sa bretelle avant de saluer l’homme et de m’attirer derrière elle. Elle prit un sac en chemin et m’emmena dehors, Ă l’écart des fumeurs. L’air Ă©tait vivifiant.- Je confirme, tu es un gros pervers ! dit-elle en rigolant. J’ai un dernier cadeau pour toi.
– Alessia, il ne faut pas ! C’est beaucoup trop, rĂ©pondis-je avec gĂŞne. Elle me tendit le sac et je pris ce qui Ă©tait Ă l’intĂ©rieur. La forme ressemblait Ă une bouteille ou un parfum. Je l’ouvrais lentement puis dĂ©couvrais un tube de lubrifiant : – On n’a pas besoin de ça gĂ©nĂ©ralement, si ? commentais-je en fronçant les sourcils. Elle reprit le flacon et le rangea dans le sac derrière elle. Elle se blottit contre moi, guida mes mains sous sa robe, sur ses fesses nues, et posa les siennes sur mes Ă©paules en me fixant dans les yeux : – Peut-ĂŞtre… pour… , commença-t-elle en se rapprochant de mes lèvres. Pensant comprendre, j’aventurais mon majeur sur son anus. Elle sourit avec envie tandis que je dĂ©couvrais la plateforme mĂ©tallique d’un plug anal. Mon excitation monta en flèche : – Depuis quand ? lui demandais-je poursuivant mon exploration.
– Ce matin, rĂ©pondit-elle. Je crois que je suis prĂŞte… en tout cas j’en meurs d’envie.
– Je crois qu’il se fait tard, on devrait rentrer, lui proposais-je avec impatience. Elle acquiesça et nous nous embrassâmes fougueusement avant de prendre le sac et de rentrer dans le bar. Nous saluâmes les invitĂ©s qui n’étaient pas encore partis en prĂ©textant ĂŞtre fatiguĂ©s. Ludovic me lança un regard entendu et Katia, un sourire intimidĂ©. CollĂ©s l’un Ă l’autre, Alessia et moi rentrâmes au pas de course chez nous. A peine la porte de notre appartement fermĂ©e, l’italienne me plaqua contre le mur, m’embrassa et me dĂ©shabilla. Elle ne me laissa pas en faire de mĂŞme pour elle. Une fois en caleçon, elle me poussa sur le canapĂ©, posa le tube de lubrifiant sur la table du salon et me donna son portable : « Au cas ou tu veuilles prendre des photos ». ImmĂ©diatement, je braquais l’objectif sur elle et elle m’offrit un sublime strip-tease tout en conservant ses bas et son porte-jarretelles : « Je t’ai dĂ©jĂ dit que tu avais un corps magnifique ? ». Elle vint s’allonger sur moi de manière fĂ©line et lĂ©cha mes lèvres : « Je me souviens uniquement que tu m’as dit que j’avais un « cul parfait » pour notre première fois ». Je souriais, passais une main sur sa fesse gauche et lui donnait une petite tape : « Et je maintiens ! ». Nous nous embrassâmes longuement en nous caressant et nous frottant l’un Ă l’autre.Les lèvres de mon amante descendirent sur mon torse et mon ventre creusĂ© de dĂ©sir. Elle se redressa, retira mon caleçon, Ă©carta mes cuisses en grand, saliva dans les paumes de ses mains et me masturba doucement. Son regard brĂ»lant me toisait et je pris un clichĂ© d’elle. Je revis Christiane me faire une fellation dans la salle des archives et ne pus m’empĂŞcher d’interrompre ma copine : « Alessia, il faut que je te dise quelque chose… ». Ses mouvements s’arrĂŞtèrent et je lui racontais le fil de ma journĂ©e jusqu’à mon Ă©cart avec ma collègue. L’italienne Ă©tait stoĂŻque, elle me laissait parler. Je ne remarquais pas que ses mains avaient repris leurs vas et viens doucement. Je partageais avec elle mon instant de faiblesse, tentais tant bien que mal de lui expliquer Ă quel point j’avais Ă©tĂ© paralysĂ© : – … elle a fait deux allers-retours et je l’ai repoussĂ©e avant de partir, conclus-je fĂ©brilement.
– Merci de me l’avoir dit, rĂ©pondit Alessia d’une voix douce. J’avais remarquĂ© son rouge Ă lèvre sur ton sexe et je comprends pourquoi tu ne l’avais pas nettoyĂ© plus tĂ´t.
– Tu… tu ne m’en veux pas ? lui demandais-je un peu abasourdi, le cĹ“ur battant.
– Si, je t’en veux Ă©normĂ©ment, rĂ©pondit-elle sur un ton qui se voulait froid mais qui sonnait faux. Je m’attendais Ă la voir se lever et partir mais au lieu de ça, elle se pencha et enfonça mon sexe jusqu’à sa glotte. Je soufflais, ne comprenais pas ce qu’il se passait dans la tĂŞte de mon amante qui montait et descendait lascivement. Elle se retira et me regarda en lĂ©chant mon gland :- Ne t’avises plus de mettre ta queue dans une autre bouche que la mienne, murmura-t-elle. J’acquiesçais puis posais une main dans ses cheveux pour l’encourager Ă poursuivre. Alessia ne rĂ©sista pas et reprit sa fellation lente, profonde et humide. Elle Ă©tait magnifique et terriblement excitante : – Si ça peut te rassurer, tu es bien meilleure que Christiane, lâchais-je sans rĂ©flĂ©chir.
– Tu as de la chance que je t’aime et que ce soit ton anniversaire, rĂ©torqua Alessia. Un sourire trahit son Ă©tat d’esprit et je me redressais pour venir l’embrasser : – Je rĂŞve ou tu rigoles ? lui demandais-je avant qu’elle ne me repousse sur le canapĂ©.
– Tu rĂŞves ! Je suis vraiment Ă©nervĂ©e… dit-elle avant de reprendre sa fellation, plus intensĂ©ment.
– Ah ! Tu es sacrĂ©ment entreprenante pour quelqu’un d’énervĂ© ! confiais-je en entendant sa glotte se faire presser. Tu ne serais pas un peu excitĂ©e par le fait qu’une autre femme ait fait une fellation Ă ton homme ? ajoutais-je avec une pointe de malice.
– Qu’est-ce que tu en dis des bĂŞtises, dit-elle. Lèche-moi et tais-toi !Elle se releva et s’allongea sur moi Ă l’envers, en m’offrant son intimitĂ© luisante qui tĂ©moignait de son excitation. J’enserrais son corps, posais mes mains sur ses fesses Ă©cartĂ©es et m’attaquais Ă ton intimitĂ© avec envie. Ma langue taquinait son clitoris gonflĂ© et mon regard lorgnait la plateforme mĂ©tallique qui masquait son Ĺ“illet. J’adorais combler son sexe parfait, sentir les tressaillements de son corps et entendre son souffle se raccourcir. Dans le cas d’un soixante-neuf, j’adorais aussi sentir sa bouche et ses mains accĂ©lĂ©rer la cadence. La tension monta et nous repoussâmes tous deux nos limites dans un esprit de compĂ©tition et de concupiscence. Au bord de l’orgasme, Alessia stoppa tout et se releva. Je la rattrapais immĂ©diatement, l’allongeais sur le canapĂ©, me positionnais entre ses cuisses et la pĂ©nĂ©trais intensĂ©ment : « Ah ! ». Je contemplais ses grimaces, son regard intense et son corps quasiment nu : « C’est toi que j’aime Alessia, personne d’autre ». Ses doigts s’enfoncèrent dans mon dos et mes fesses, ses complaintes s’amplifièrent et mon bassin l’accompagna dans son orgasme. Je rĂ©duisais la cadence pour ne pas jouir. Mon sexe se retira du sien, mes lèvres vinrent suçoter ses tĂ©tons durs puis son ventre. Je me retrouvais rapidement entre ses cuisses, Ă lĂ©cher son intimitĂ© brulante et trempĂ©e : « Tu es dĂ©licieuse ». Sa main se posa sur ma tĂŞte et elle saisit son portable pour prendre quelques clichĂ©s de moi, de nous. Je me redressais et elle me tendit l’appareil. Je pris des photographies aĂ©riennes d’elle, de son corps nu qui rĂ©cupĂ©rait, de mes doigts caressant ses lèvres vaginales luisantes ou masturbant mon sexe droit au-dessus de son bas ventre. Son pied se posa sur mon torse et me poussa en arrière. Assis Ă l’autre extrĂ©mitĂ© du canapĂ©, j’immortalisais ma copine dans toute sa splendeur et sa sensualitĂ©. Elle se masturba puis releva son bassin afin que l’objectif capture son plug. Elle se retourna ensuite et se positionna Ă quatre pattes sur l’assise, creusant son dos, Ă©cartant une fesse. J’étais subjuguĂ© par le spectacle.Son visage se colla au canapĂ© tandis que son fessier culminait devant moi. Elle ne bougeait plus, attendait que j’entre en piste. Je caressais ses mollets sous ses bas puis remontais ses cuisses et allongeais mon pouce dans la fente de son vagin. Je malaxais son clitoris, prenais une photo. Je refermais ensuite mes doigts sur la plateforme mĂ©tallique de son plug et le retirais doucement. Un bruit de succion s’échappa, accompagnĂ© d’un gĂ©missement. Une fois de plus, je prenais une photo puis mettais le portable et le plug de cĂ´tĂ©. Je me penchais en avant puis, sans passer par quatre chemins, enfonçais ma langue dans son anus pour l’hydrater de bave. Son sphincter se contracta une fois, puis s’accoutuma Ă mes caresses buccales. Je reculais, reprenais mon tĂ©lĂ©phone et capturais mon pouce qui se posait sur son Ĺ“illet, avant de s’y enfoncer. Alessia gĂ©mit de plaisir, m’encouragea Ă continuer : « Tu aimes mon amour ? ». Elle souffla : « Oui, j’ai envie de ton sexe ». Je retirais dĂ©licatement mon doigt, ouvrais le tube de lubrifiant et Ă©talais le liquide sur son anus et sur mon sexe. Je me redressais, mettais le tĂ©lĂ©phone en mode « CamĂ©ra » et posais mon gland sur son orifice. Lentement, je pressais son sphincter qui ne tarda pas Ă me laisser passer : « Oui ! ». Un râle simultanĂ© s’échappa de nos bouches. Je sentais les muscles de la belle brune tenter de se raidir autour de mon sexe qui s’enfonçait irrĂ©mĂ©diablement en elle. Alessia Ă©carta un peu les cuisses et caressa son clitoris : « Tu as mal ? ». Elle rĂ©pondit par la nĂ©gative et recula un peu plus son bassin vers le mien. Le lubrifiant Ă©tait vraiment une bonne idĂ©e. J’entamais de lents allers retours en caressant les fesses et le dos de ma bien aimĂ©e. La vue Ă©tait sublime, la sensation, inĂ©galable. Au moment oĂą nos corps se touchèrent, mes muscles se contractèrent et l’orgasme me saisit par surprise. J’agrippais le porte-jarretelles de l’italienne et Ă©jaculais puissamment en elle sans bouger ni pouvoir me retenir. En parallèle, Alessia avait accĂ©lĂ©rĂ© la cadence de ses caresses et les sensations de mon plaisir la firent jouir Ă son tour. Jouir et mouiller, abondamment. Je sentais sa cyprine couler sur mes jambes et le canapĂ©. Son corps tressautait et ses complaintes s’accumulaient pudiquement. J’étais ravi qu’on partage le mĂŞme bonheur ensemble : « On dirait que tu aimes bien me sodomiser ». Je restais profondĂ©ment ancrĂ© en elle : « Je trouvais qu’on manquait de lubrifiant… et on dirait que tu aimes bien toi aussi ». Nous Ă©changeâmes un rire, reprĂ®mes nos esprits un instant. Alessia me demanda ensuite le portable et le posa contre l’accoudoir face Ă elle. Elle non plus ne voulait pas s’arrĂŞter lĂ ! Nous Ă©changeâmes un regard complice dans l’écran du tĂ©lĂ©phone, elle au premier plan et moi au second. J’agrippais ses hanches et nos bassins se remirent en marche progressivement. Tous les lubrifiants et toute notre prĂ©paration nous permirent d’accĂ©lĂ©rer la cadence sans provoquer de douleur. EchaudĂ©e par la camĂ©ra, elle n’hĂ©sitait pas Ă m’encourager, m’en demander plus. Elle se redressa lĂ©gèrement sur ses coudes tandis que je m’accroupissais au-dessus de son postĂ©rieur pour la prendre plus sauvagement. Au bout de quelques minutes, elle m’invita Ă m’allonger derrière elle. Sans me retirer, je m’exĂ©cutais et elle me suivait avec une bonne coordination. Une fois sur le dos, Alessia s’appuya avec ses mains sur mon torse et dicta la cadence en s’empalant sur moi. Face Ă la camĂ©ra, les cuisses Ă©cartĂ©es, je l’imaginais contempler mon mât aller et venir dans son anus. Elle gĂ©missait longuement et taquinait son clitoris. J’étreignais ses hanches pour la supporter et remontais mon bassin de temps Ă autre, par rĂ©flexe ou par envie : « Continue… fais-moi jouir Daniel ». Nos bassins se synchronisèrent et s’entrechoquèrent plus rapidement. Ayant dĂ©jĂ jouit, le second orgasme mettait un peu plus de temps Ă venir et je commençais Ă m’inquiĂ©ter pour le bien de ma copine : « Ne t’arrĂŞte pas ». Mon sexe pilonnait son anus et Alessia fut la première Ă jouir. Je la suivais de prĂŞt et finissais une nouvelle fois en elle dans un opĂ©ra de cris. FĂ©brile, l’italienne fit quelques mouvements lents puis se retira et s’allongea sur moi, haletante : « Joyeux anniversaire mon amour ».© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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