Daniel, Consultant – Chapitre 3
Deux ans que je suis avec Alessia et que je file le parfait amour. Mais voilĂ que ma curiositĂ© va me mener Ă tĂ©lĂ©charger une application de rencontre et dĂ©couvrir Coraline… dont l’identitĂ© ne restera pas secrète bien longtemps.
Proposée le 14/05/2022 par Imagine69 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: HôtelType: Roman
Cela faisait maintenant deux ans que j’étais avec Alessia. Après mon anniversaire, nous avions continuĂ© d’explorer les plaisirs de la sodomie sans pour autant les privilĂ©gier aux autres. Tout Ă©tait question d’équilibre ! Les vidĂ©os et autres photographies ne cessaient de s’accumuler et certaines Ă©taient partagĂ©es sur des forums ou des sites Ă©rotiques. Bien Ă©videmment, nous cultivions le secret sur notre identitĂ©. Le fait de savoir que d’autres personnes nous regardaient faire l’amour nous excitait. Les commentaires et les idĂ©es venant des internautes nous ravissaient tout autant. Certains couples ou cĂ©libataires nous avaient mĂŞme proposĂ© d’être inclus dans nos moments intimes mais nous l’avions toujours refusĂ©. Peut-ĂŞtre par pudeur ou tout simplement pour garder l’exclusivitĂ© de l’autre. Nous ne cessions de nous redĂ©couvrir au travers de nouvelles pratiques telles que le bondage ou les jeux de rĂ´le. Alessia avait l’esprit tout aussi ouvert que le mien, sinon plus. Pour respecter l’égalitĂ© homme-femme, elle m’avait mĂŞme convaincu d’essayer la sodomie. Après tout, pourquoi fallait-il que cela ne se pratique que dans un sens ! ArmĂ©e d’un gode ceinture elle m’avait dĂ©pucelĂ© avec soin. AlliĂ©e Ă une bonne masturbation, cela s’était rĂ©vĂ©lĂ© redoutable et il ne m’avait fallu que quelques minutes pour jouir. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas par amour ! Pour son anniversaire, je lui avait offert une semaine en amoureux aux Seychelles. Au programme, bronzage plus ou moins nus, sĂ©ances de massage, dĂ©couverte de la culture locale et bien entendu, sexe. Sur la plage de sable blanc, dans la chambre, la piscine, la forĂŞt ou l’avion : tout y passait ! Les internautes avaient autant adorĂ© notre voyage que nous. Notre Ă©chappĂ©e belle au ski l’hivers suivant avait Ă©tĂ© tout autant Ă©rotique : fellation sur les remontĂ©es mĂ©caniques, lĂ©ger exhibitionnisme sur les pistes, amour passionnĂ© au coin du feu et sodomie endiablĂ©e dans le sauna. Tout cela, sans parler du quotidien bien rempli et propice Ă de nouvelles dĂ©couvertes ! CĂ´tĂ© travail, tout fonctionnait pour le mieux. Alessia avait Ă©tĂ© promue, tout comme moi. Ludovic et Luc comptaient toujours parmi mes amis, Christiane aussi. MalgrĂ© ce qu’il s’était passĂ© dans la salle des archives, nous avions continuĂ© de nous parler. Alessia lui avait mĂŞme demandĂ© la marque de son rouge Ă lèvres avant que je n’informe la belle rousse que ma copine Ă©tait au courant de notre Ă©cart. Elle lui avait prĂ©sentĂ© ses excuses, que l’italienne avait acceptĂ©. Depuis, tout Ă©tait clair comme de l’eau de roche. Ludovic et Katia Ă©taient toujours en couple. La lithuanienne avait dĂ©mĂ©nagĂ© chez lui et ils filaient le parfait amour. Ma relation avec elle s’était normalisĂ©e. Elle m’avait confirmĂ© avoir entendu les mots d’Alessia ainsi que les miens dans les toilettes du bar Ă mon anniversaire. Après discussion, nous conclĂ»mes que cela n’avait Ă©tĂ© dit que dans un contexte particulier, un jeu de sĂ©duction. Nous sortions souvent au restaurant ou au cinĂ©ma avec le couple. Nous pratiquions le tennis en double et le sport en salle deux fois par semaine. Alessia savait que les courbes et les habits souvent moulants ou trop amples de la belle blonde Ă©taient de nature Ă attirer mon regard. Elle m’avait mĂŞme dĂ©jĂ confiĂ© qu’elle la trouvait sexy, que si elle Ă©tait lesbienne elle aurait couchĂ© avec. Cela nous avait menĂ© vers une nouvelle phase de discussion sur notre sexualitĂ©. Une phase bien courte car chacun voulant toujours l’exclusivitĂ© de l’autre ou ayant tout simplement peur de froisser l’autre.Quant Ă Luc, le jeune consultant Ă©tait devenu la « lĂ©gende » du groupe. Le mĂ©tier lui avait inculquĂ© stoĂŻcisme et confiance en soi. Grâce Ă son application de rencontre, il multipliait les conquĂŞtes, d’abord fĂ©minines puis aussi masculines. Je lui reconnaissais une bonne dose de courage pour ne pas s’en cacher mais au final, c’était des gens comme lui qui faisaient bouger les lignes. Après tout, nous Ă©tions au XXIe siècle ! D’abord mĂ©fiant Ă l’égard de son application, j’étais par la suite devenu curieux. Curieux de voir comment cela fonctionnait, curieux de savoir si mon profil pouvait intĂ©resser quelqu’un. Dans le plus grand secret, je me retrouvais donc, en ce premier jour d’étĂ©, Ă tĂ©lĂ©charger le logiciel, Ă entrer un faux nom ainsi qu’une photographie sans visage ni signe distinctif. A ma grande surprise, il ne fallut pas beaucoup de temps pour que des femmes ou des hommes me contactent. FlattĂ©, je me prenais au jeu et conversais avec eux sans rĂ©elle intention. Après tout, j’avais vraiment tout ce qu’il me fallait chez moi ! Puis un jour, je vis le profil d’une jeune femme s’afficher. Pas de visage, juste un clichĂ© de trois-quarts, une lingerie fine dans la pĂ©nombre, une suggestion d’érotisme sur un soupçon de sensualitĂ© : – Bonjour belle Ă©trangère, tapais-je en sortant de rĂ©union.
– Bonjour, rĂ©pondit-elle cinq minutes plus tard. DĂ©solĂ©e je suis nouvelle ici, j’apprends.
– Aucun problème, je ne suis pas un aficionado non plus…Bizarrement, le courant passa bien avec Coraline. Aucun doute qu’il s’agissait d’un faux nom, après tout, je m’appelais Etienne ici. Je lui demandais ce qu’elle faisait sur cette plateforme: – HonnĂŞtement, je ne sais pas. Je suis en couple et j’aime mon homme, peut-ĂŞtre une erreur.
– Qui sait ? rĂ©pondis-je. Est-ce que tu es comblĂ©e avec ton homme ?
– Oui, nous faisons l’amour rĂ©gulièrement et je veux qu’il soit le père de mes enfants…
– Mais ? demandais-je Ă tout hasard en regardant autour de moi.
– Je ne sais pas… Je n’ai pas toujours Ă©tait la femme sage que j’ai envie d’être avec le père de mes enfants. Je n’ai pas envie qu’il me voit comme une nympho mais en mĂŞme temps… j’ai des envies, des souvenirs, des besoins.
– Tu n’en as jamais parlĂ© avec lui ? Peut-ĂŞtre qu’il ne le prendrait pas mal, rĂ©pondis-je.
– Assez parlĂ© de moi, rĂ©torqua-t-elle sèchement. Que fais-tu ici ?
– Je ne le sais pas plus que toi. Ma femme est parfaite sur tous les plans. Je pense que je suis lĂ par simple curiositĂ©, je ne sais pas trop.
– IntĂ©ressant ! Nous sommes donc deux Ă ne pas savoir ce qu’on fait lĂ .
– Certainement les deux seuls. Je vais rentrer chez moi. A bientĂ´t Coraline.
– A bientĂ´t Etienne, et bonne soirĂ©e avec ta femme, conclut-elle. Je souriais en regardant mon Ă©cran et Ludovic me toisa : « Encore Alessia qui t’envoie des photographies ? ». Je fermais l’application : « Oui, encore une bĂŞtise ». Je rentrais en fin d’après-midi, pendais ma veste de costume sur le porte-manteau de l’entrĂ©e et rejoignais ma copine qui buvait un verre de vin blanc sur le balcon. Elle Ă©tait sublime avec son teint mâte et sa robe estivale : « Bonjour mon amour, tu as passĂ© une bonne journĂ©e ? ». Elle acquiesça et nous nous embrassâmes passionnĂ©ment. Ma main glissa dans son dĂ©colletĂ© et pĂ©trit son sein : « Le fils des voisins va ĂŞtre jaloux ! ». Je regardais vers la fenĂŞtre en face, Ă la recherche de l’adolescent qui aimait Ă©pier ma femme Ă ses heures perdues : « Il te mate toujours ? Tu veux que j’aille voir ses parents ? ». Alessia rigola et m’assit sur la table, face Ă elle : « Tu sais que j’aime quand tu es protecteur ? Mais je prĂ©fère que tu restes là ». Son sourire s’illumina et ses doigts ouvrirent mĂ©ticuleusement mon pantalon : « Tu es sĂ»re ? ». L’instant d’après, elle prit mon sexe droit en bouche et entama une fellation Ă la vue de tous. C’était la première fois qu’elle le faisait sur le balcon. Voulait-elle ĂŞtre Ă©piĂ©e par le voisin ? Un rapide coup d’œil Ă la fenĂŞtre du voisin me confirma qu’il Ă©tait lĂ , cachĂ© derrière le rideau de sa chambre. PlutĂ´t que de nous cacher, je prenais une gorgĂ©e de vin et baissais le haut de la robe d’Alessia pour dĂ©voiler ses seins. Je les malaxais puis ramenais ses cheveux vers l’arrière, pour que le voyeuriste ne loupe rien de la scène. La brune allait et venait en lubrifiant amplement ma hampe. Elle se retira et lĂ©cha mon sexe dans la longueur en regardant vers la fenĂŞtre : « Il nous regarde ? ». Je confirmais. Elle recula un peu sur sa chaise : « Baise ma bouche et Ă©jacule sur mon visage ». Je la questionnais avec perplexitĂ© : « Baise ma bou… ». Je m’avançais vers elle, resserrais mon Ă©treinte sur ses cheveux et enfonçais mon sexe entre ses lèvres ouvertes. J’adorais ses envies obscènes, son regard de braise plantĂ© dans le mien, ses gloussements incontrĂ´lĂ©s et la bave qui coulait sur son menton. J’enchainais les coups de reins puis me retirais pour la laisser respirer : « Encore ». Je reprenais les pĂ©nĂ©trations qu’elle semblait encaisser avec envie : « Encore ». Mon sexe limait ses lèvres et forçait sa glotte : « Encore ». Je me laissais prendre au jeu et m’aventurais dans sa gorge. Alessia hoqueta. Elle avait du mal Ă me prendre entièrement mais aujourd’hui, elle tenait le coup. Était-ce l’excitation ? Elle s’empala un peu plus, resta immobile puis se retira : « Tu aimes ça ? ». Ma main libre s’empara de mon sexe trempĂ© et le masturba face Ă son visage : « Oui, Ă©jacu… ». Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’une première giclĂ©e de sperme s’étala sur son nez et son front. Je jouissais Ă moitiĂ© sur elle et Ă moitiĂ© dans sa bouche : « Je crois que le père du voisin nous regarde aussi depuis la cuisine ». Mon amante lutta pour ne pas tourner la tĂŞte. Elle avala ma semence : « Tu penses qu’il va nous dire quelque chose ? Du genre : « Pas mal votre femme, est-ce que je peux finir sur elle aussi ? ». Je pouffais, me rhabillais puis m’asseyais en face : « Qu’il ose ! En tout cas, demain, je te prends ici, Ă la vue de tous ». Alessia sourit, le visage souillĂ© et les seins Ă l’air libre. Je ne pus m’empĂŞcher de prendre une photographie d’elle et de son regard de tigresse : « Demain ? ». Elle se leva, fit tomber sa robe sur le sol et vint s’assoir sur la table devant moi, les cuisses Ă©cartĂ©es. Je me mordais la lèvre en contemplant son sexe magnifique. Elle se pencha en arrière et je fondais sur elle pour la lĂ©cher. Sa main se posa derrière ma tĂŞte et des gĂ©missements non dissimulĂ©s s’échappèrent de sa gorge. J’adorais lui faire des cunnilingus, redĂ©couvrir son intimitĂ©, gouter Ă son excitation. Je taquinais son clitoris, faisais quelques allers retours dans sa fente humide. Au bout de quelques minutes, elle m’invita Ă la prendre sur la table, ce que je fis, sans vergogne, avant qu’elle ne vienne me chevaucher sur la chaise, devant nos spectateurs. Elle atteignit l’orgasme. Son visage souillĂ© luisait au soleil et ses lèvres se posèrent sur les miennes : « Maintenant, imagine-moi dans la cuisine du voisin, nue… ». Elle me raconta sa fiction Ă©rotique dans les moindres dĂ©tails. Son bassin se dĂ©hanchait, mon sexe se contractait en l’imaginant faire plaisir Ă l’homme puis se faire prendre. Ses phrases finirent par se raccourcir. La tension monta : « Tu nous regarde depuis le balcon. Il me besogne vigoureusement, comme une salope. Je le supplie de ne pas jouir en moi. Que c’est trop risquĂ©. Mais il s’en fiche. Il accĂ©lère, me donne une fessĂ©e, me dit que je suis Ă lui. Je sens sa semence jaillir dans mon intimitĂ©. Je le supplie maintenant de me remplir devant toi… Ah ». J’éjaculais en elle et me dĂ©lectais de son rire espiègle : « Hum, on dirait que ça t’excite ! ». Je ne pouvais pas me l’avouer. Nous Ă©changeâmes un rire, un baiser puis rentrâmes prendre une douche. Le lendemain, je partais au travail, ouvrais l’application et voyais un message de Coraline : « Bonjour Etienne, tu as passĂ© une bonne soirĂ©e ? ». Je rĂ©pondais en sentant mon rythme cardiaque s’accĂ©lĂ©rer : « Très bonne, on a fait l’amour sur le balcon devant les voisins ». Moins de trente secondes plus tard, elle me rĂ©pondait : « Ah bon ? Comment ça ? ». Elle Ă©tait avide de dĂ©tails. IntĂ©ressant ! Je prenais le temps de lui raconter la première phase, celle de la fellation : « Ta femme a l’air superbe… et très dĂ©vergondĂ©e ! Ca ne te dĂ©range pas de lui faire ça ? Je veux dire, ça ne va pas nuire Ă l’équilibre de votre couple ou Ă la façon dont tu la perçois ? ». Je rĂ©pondais : « Absolument pas ! Je la trouve toujours magnifique, encore plus quand elle s’assume. Attends, je te raconte la suite ». A nouveau, je tapotais sur mon clavier et dĂ©taillais notre partie de jambes en l’air : « Hum elle est joueuse. Tu m’émoustilles avec tes histoires. Je reviens. ». Je souriais en regardant mon portable. Qu’allait faire cette Coraline ? La rĂ©ponse arriva une dizaine de minutes plus tard : « De retour ». J’écrivais : « Je peux savoir ce que tu faisais ? ». Elle me rĂ©pondit : « Ce que les femmes font quand elles sont excitĂ©es et au bureau. Tu t’es dĂ©jĂ masturbĂ© au travail ? ». Je confirmais : « Plus d’une fois, oui ». Marc, mon directeur, passa derrière moi et je fis mine de travailler avant de reprendre mon tĂ©lĂ©phone : « A quoi tu penses quand tu te masturbes ? A ta femme ? ». Je rĂ©flĂ©chissais puis pianotais : « En grande partie, mais pas que ! A mon tour de te poser des questions. Est-ce que tu es attirĂ©e par d’autres hommes que le tien ? ». Les minutes passèrent puis un message s’afficha : « Je repense souvent Ă un de mes ex mais que pour le sexe. Sinon, il y a bien un ami de mon homme qui m’excite Ă©normĂ©ment mais il est en couple. PS : je ne suis pas lesbienne mais sa copine est aussi une bombe ». Je rĂ©flĂ©chissais un instant : – Qu’est ce qui te manque de ton ex ? Je veux dire, d’un point de vue sexe ?
– Monsieur est curieux, rĂ©pondit-t-elle avec un smiley.
– C’est une grande qualitĂ©, rĂ©torquais-je avec un clin d’œil.
– Si on ne parle que de sexe (et pas d’amour), j’aime beaucoup de choses, de choses sauvages, commença-t-elle. Selon mon homme, je suis une très bonne fellatrice. Avant lui, j’avalais mais tu sais… j’essaye de garder une bonne rĂ©putation. Comme toutes les femmes, j’aime les cunnilingus bien faits, les petites attentions. J’ai un lĂ©ger penchant pour la soumission. Pour ce qui est de la sodomie, je n’ai jamais essayĂ©, je ne sais pas quoi en penser. Et maintenant, grâce Ă toi, j’ai envie de me faire prendre devant mes voisins. Merci beaucoup Etienne !
– Je t’en prie, Ă©crivais-je en rigolant. Par ton homme ou un simple inconnu ? la questionnais-je.
– Tu veux dire un inconnu rencontrĂ© sur une application de rencontre ? demanda-t-elle.Je sentais mon Ă©rection s’amplifier dans mon costume. Coraline commençait Ă me chauffer. – Par exemple, oui ! rĂ©pondais-je avec un sourire.
– Hum… il faudrait que j’en sache plus sur lui avant, sur comment il est bâtit, sur ce qu’il aime…
– Dans ce cas, ce ne serait plus vraiment un inconnu, rĂ©torquais-je en rigolant.
– Tu as de la rĂ©partie ! dit-elle. J’ai un voyage d’affaire dans les Alpes dans deux semaines. Pas vraiment de voisins Ă l’horizon, mais peut-ĂŞtre un inconnu. Mon cĹ“ur s’emballait. C’était la première fois qu’une personne sous-entendait de passer Ă la vitesse supĂ©rieure sur cette application. Mes doigts s’activèrent machinalement : – Est-ce une invitation ? demandais-je en sentant ma respiration s’accĂ©lĂ©rer.
– Juste un partage d’information, rĂ©pondit-elle avec un clin d’œil.
Je regardais mon emploi du temps dans deux semaines, réfléchissais puis tapotais :
– Ça tombe bien, moi aussi j’ai prĂ©vu un voyage dans les Alpes Ă ce moment-lĂ .
– La hasard fait bien les choses, rĂ©pondit-elle en souriant. A toute fin utile, voici les informations.Elle me donna les dates de son voyage et le nom de son hĂ´tel. Dans quoi m’embarquais-je ? Les jours suivants, nous continuâmes de flirter, de partager nos expĂ©riences et envies : lieux publics, rĂ´les, gadgets, lingerie, vidĂ©os, pratiques, positions. Était-ce le fait de parler Ă une Ă©trangère via un Ă©cran qui ne me faisait pas Ă©prouver de remord ? J’avais prĂ©venu Alessia que je serai en dĂ©placement pendant deux jours. Elle ne m’avait pas posĂ© de question. En attendant le jour fatidique, la vie continuait son cours et nos parties de jambes en l’air s’accumulaient. Était-ce l’idĂ©e de faire l’amour Ă une autre qui m’excitait tant ? Le jour avant mon dĂ©part, nous retrouvâmes Ludovic et Katia pour une partie de tennis. J’aimais voir ma femme avec son haut moulant, ses longues jambes et son string qui dĂ©passait de son short. Quand nous changeâmes les Ă©quipes et que je me retrouvais avec la lithuanienne, la vue Ă©tait tout aussi ravissante. Plus petite qu’Alessia, son polo collait parfaitement Ă sa poitrine ferme et plus imposante. La jupe qu’elle portait laissait deviner les prĂ©misses de ses rondeurs. Au dĂ©tour d’un smash, sa petite culotte blanche, lĂ©gèrement remontĂ©e entre ses fesses, s’offrit Ă mon regard. Sur le chemin du retour, je m’attaquais Ă l’italienne pendant qu’elle conduisait. Je l’embrassais dans le cou, palpais ses seins et malaxais son sexe au travers de son sous-vĂŞtement. Elle s’arrĂŞta sur le bas-cĂ´tĂ© et nous fĂ®mes l’amour Ă l’avant, Ă l’extĂ©rieur puis Ă l’arrière de l’habitacle. Le reste de la soirĂ©e fut plus sage et reposant. Le lendemain matin, après un ultime baiser, je prenais la voiture en direction des Alpes. Mon cĹ“ur battait la chamade, mes muscles Ă©taient fĂ©briles. Après tout, peut-ĂŞtre que rien n’allait se passer. Mon tĂ©lĂ©phone vibra au bout d’une heure : « Bonjour bel inconnu. Si tu es en route, sache qu’à l’aire de repos avant la sortie de l’autoroute, il y a un trou entre deux cabines, dans les toilettes des femmes ». Je m’arrĂŞtais sur le bas-cĂ´tĂ© et attendais qu’elle explicite sa pensĂ©e : « J’aimerais voir comment tu es bâti, avant de potentiellement aller plus loin. Si tu es d’accord, j’aimerais ensuite que tu me laisses partir et que tu attendes mon message de confirmation avant de me rejoindre ». Je rigolais tout seul : « SacrĂ© processus, je suis partant ! ».Quarante minutes plus tard, je m’arrĂŞtais Ă ladite aire de repos oĂą plusieurs vĂ©hicules Ă©taient garĂ©s. Lequel Ă©tait le sien ? J’éteignais le moteur, sortais de ma voiture. Mon rythme cardiaque s’accĂ©lĂ©ra et mes jambes manquèrent de se dĂ©rober sous mon poids. Je regardais les alentours, puis entrais dans les toilettes des femmes. Trois cabines s’offraient Ă moi et celle du milieu Ă©tait utilisĂ©e. Je savais que Coraline Ă©tait derrière la porte. Je brĂ»lais d’envie de la voir. Nous n’avions jamais Ă©tĂ© aussi proches l’un de l’autre. A quoi pouvait-elle ressembler ? Je me dirigeais vers celle de droite. Aucun trou. Je changeais pour celle de gauche et remarquais un scotch collĂ© contre la parois. Je fermais la porte, prenais une grande inspiration. J’hĂ©sitais, mais la curiositĂ© l’emporta. Je sortais mon sexe, qui n’en menait pas large, enlevais le film qui recouvrait un trou circulaire. Lentement, je glissais mon intimitĂ© dans le trou, ainsi que mes bourses. J’étais collĂ© Ă la parois blanche. Que se disait-elle de moi ? Les secondes passèrent puis des doigts soulevèrent dĂ©licatement mon membre Ă l’horizontal. Une douce chaleur enroba mon gland dĂ©calottĂ©, une chaleur qui s’étendit Ă ma hampe. Je comprenais rapidement que Coraline Ă©tait passĂ©e Ă l’étape supĂ©rieure et mon Ă©rection prit de l’ampleur. Elle Ă©tait douce, presque timide. Pourquoi ne ressentais-je aucun remord ? Était-ce parce que je ne la voyais pas vraiment ? Que j’avais du mal Ă le croire ? Je brĂ»lais d’envie de dĂ©couvrir son visage, d’échanger un regard avec elle. Je sentais sa langue effectuer des mouvements circulaires autour de mon gland avant de le coller Ă l’intĂ©rieur de sa joue. Une chose Ă©tait sĂ»r, c’est qu’elle savait y faire ! Et si ce n’était pas une « elle » mais un « il » ? L’idĂ©e de me faire sucer par un homme me traversa l’esprit. Je n’étais pas homosexuel, mais du moment que le plaisir Ă©tait lĂ pour nous deux, je n’avais pas d’a priori. La bouche accĂ©lĂ©ra la cadence et la main Ă©tala le surplus de bave jusqu’à mon pubis. Que c’était bon ! Soudain, chaleur se rĂ©pandit Ă l’ensemble de mon mât. Je rĂŞvais ou elle me faisait une gorge profonde ? Non je ne rĂŞvais pas ! Elle exĂ©cuta le mouvements Ă plusieurs reprises et je pu entendre les bruits gutturaux s’échapper de l’autre cĂ´tĂ©. Au moment oĂą je me disais que je n’allais pas durer longtemps, j’entendis Coraline embrasser mon sexe une dernière fois puis se lever et sortir de la cabine. J’avais envie d’ouvrir la porte, de la voir. Je retirais mon sexe trempĂ© du trou, remettais mon pantalon. Ma main se posa sur la poignĂ©e puis se retira : j’allais jouer le jeu. Je m’installais contre le mur et ouvrais l’application : « Je rejoins complètement ton homme sur le fait que tu es une très bonne fellatrice. J’espère ne pas t’avoir déçu ». Les minutes passèrent. Une demi-heure plus tard, mon portable vibra : « Viens vite, je t’attends chambre 402. Prends-moi sans prĂ©servatif mais n’éjacule pas dans mon sexe ». Ni une ni deux, je sortais des toilettes et croisais une vieille dame qui entrait : « DĂ©solĂ©, mauvaise porte ». Je montais dans ma voiture et filais vers l’hĂ´tel. Je ressentais l’excitation d’un adolescent avant sa première fois. Une trentaine de minutes plus tard, j’arrivais sur le parking de l’hĂ´tel quatre Ă©toiles. J’entrais dans le hall, me dirigeais vers la rĂ©ception : – Bonjour, une femme m’attend Ă la chambre 402, a-t-elle laissĂ© une clĂ© ? demandais-je.
L’homme me toisa avec un petit sourire en coin puis saisit un badge et le posa sur le comptoir.
– Elle est jolie ? me hasardais-je en comprenant qu’il savait Ă quel type de client il avait affaire.
– Très jolie, confirma-t-il. L’ascenseur est juste Ă droite. Bon sĂ©jour. Je le remerciais puis montais dans l’ascenseur, direction le quatrième Ă©tage. ArrivĂ© devant la porte, un sentiment de panique m’immobilisa. Qu’es-tu en train de faire Daniel ? Que vas-tu dĂ©couvrir Ă l’intĂ©rieur ? Fais demi-tour tant qu’il est encore temps ! Le badge passa et un bip confirma l’ouverture de la porte. J’entrais dans la chambre, plongĂ©e dans la quasi pĂ©nombre. Mes yeux s’habituèrent progressivement et je la vis, en tout cas, une partie d’elle. Coraline Ă©tait penchĂ©e en avant sur le lit, les fesses tendues et le haut du corps recouvert par la couverture. Elle voulait encore maintenir l’anonymat ! Je me rapprochais discrètement, contemplais ses pieds, posĂ©s sur le sol, emprisonnĂ©s dans des talons aiguilles. Elle avait de belles jambes et un sublime postĂ©rieur. Elle portait une sorte de body, mais sans aucun tissu. Il Ă©tait uniquement formĂ© de fils qui s’entrecroisaient et reliaient des anneaux couleur or. Deux ficelles partaient d’une boucle, situĂ©e entre ses reins, jusqu’entre ses jambes. Je me positionnais derrière elle, effleurais ses fesses en la faisant tressaillir puis Ă©cartais les deux fils pour rĂ©vĂ©ler ses parties intimes. Mon regard scruta ensuite le reste de la chambre. Elle avait positionnĂ© un tĂ©lĂ©phone sur un trĂ©pied pour nous filmer de trois-quarts. La vidĂ©o avait dĂ©jĂ dĂ©butĂ©. Je commençais Ă beaucoup apprĂ©cier ses initiatives ! Je me dĂ©shabillais en prenant mon temps et en contemplant les formes de mon amante. Une fois nu, je me rapprochais d’elle et calais mon sexe dur dans le sillon de ses fesses. Je massais son dos puis ramenais ses bras pliĂ©s sur le lit vers l’arrière. A l’aide de ma cravate, je liais ses poignets sans qu’elle ne rĂ©agisse. Son penchant pour la soumission allait ĂŞtre comblĂ© ! Je reculais un peu puis m’accroupissais derrière elle pour observer son entrejambe : Ĺ“illet serrĂ© et lèvres vaginales luisantes Ă souhait. J’écartais bien les deux ficelles puis plongeais ma langue dans la fente. Un gĂ©missement pudique s’éleva sous la couverture. Le goĂ»t de son intimitĂ© Ă©tait plaisant. Je dĂ©couvrais son clitoris gonflĂ© et le lĂ©chais sensuellement. J’ouvrais les portes de son sexe avec mes doigts puis en investiguais chaque recoin avant de revenir vers sa zone Ă©rogène. Je n’en revenais pas ! J’étais en train de tromper Alessia. Mes mains remontèrent vers les siennes et s’agrippèrent mutuellement, presque amoureusement. Je la dĂ©gustais de longues minutes, prenais quelques pauses, Ă©coutais ses complaintes Ă©touffĂ©es, embrassais ses fesses puis m’aventurais vers son anus. Après un coup de langue test et aucune rĂ©primande, je l’hydratais et le pĂ©nĂ©trais doucement. Coraline semblait ne pas dĂ©tester cette sensation, ce qui Ă©tait un bon point. Je me relevais. J’avais envie de la masturber, mais le besoin de lui faire l’amour Ă©tait plus fort. Un regard vers le tĂ©lĂ©phone me confirma que la vidĂ©o tournait toujours. Je saisissais mon sexe, frottais mon gland Ă son clitoris avant de le prĂ©senter Ă l’entrĂ©e de son orifice. Nous Ă©tions au point de non-retour. GuidĂ© par mes dĂ©sirs, j’enfonçais lentement mon membre en elle. Ses mains liĂ©es se crispèrent et ses doigts se plantèrent dans ses magnifiques fesses. Son vagin se dilata et mon pubis se retrouva vite collĂ© Ă elle. Sachant que mon amante n’était pas lĂ pour faire l’amour, j’entamais les hostilitĂ©s avec des coups de reins francs. Elle cria sous la couverture. Coraline avait ce qu’elle voulait : se faire sauter sauvagement par un Ă©tranger. De mon cĂ´tĂ©, je vivais une nouvelle expĂ©rience. Certes guère mieux que celle avec Alessia, mais juste diffĂ©rente. Je prenais appui sur son corps et m’y donnais Ă cĹ“ur joie, telle une machine se nourrissant des gĂ©missements de la jeune femme. Afin de tenir, je me retirais et posais les genoux complètement Ă©cartĂ©s de mon amante sur le lit. Je me baissais Ă nouveau, dĂ©gustais son intimitĂ© ruisselante et son anus avec entrain. Je me relevais et la pĂ©nĂ©trais ardemment pendant cinq minutes. Je m’agrippais Ă ses cuisses repliĂ©es et tambourinais ses fesses comme un dĂ©ment. Coraline ne cessait de s’égosiller sous le linge de lit. Son homme ne serait pas fier d’elle ! Il Ă©tait temps de la faire jouir comme jamais. Mon pouce se posa sur son anus et força son sphincter. En moins de dix secondes, elle atteignit l’orgasme.
Je me retirais, me positionnais sur le cĂ´tĂ© pour laisser la camĂ©ra immortaliser la scène puis masturbais frĂ©nĂ©tiquement son clitoris. Coraline Ă©jacula copieusement sur la moquette en criant. Son corps convulsait de plaisir, ses mains se tortillaient sans parvenir Ă se libĂ©rer. Elle Ă©tait exquise ! A peine l’orgasme terminĂ©, je la retournais sur le matelas, sans dĂ©voiler son visage mais en dĂ©couvrant sa poitrine gĂ©nĂ©reuse, dur et ronde, autour de laquelle passaient les ficelles de sa lingerie. Je contemplais son ventre plat et son pubis imberbe vers lequel je fondais. Une fois de plus, je lui procurais un cunnilingus torride et avalais sa cyprine chaude. Mon amante ondulait son bassin, les jambes pleinement Ă©cartĂ©es. Elle adorait mon Ĺ“uvre et je n’en Ă©tait pas peu fier ! Je me relevais, plantais mon sexe en elle et la besognais en supportant ses jambes avec mes bras. Sa poitrine montait et descendait avec sa respiration haletante, rebondissait Ă chacun de mes coups de reins. Coraline râlait longuement sous le tissu. Cela devait faire longtemps qu’elle ne s’était pas faite prendre de la sorte ! Je rapprochais ses jambes de son torse en testant sa flexibilitĂ©, puis cajolais virilement ses seins. Ils Ă©taient vraiment parfaits pour une branlette espagnole ! Voyant qu’elle voulait passer ses mains liĂ©es vers l’avant, je me retirais et elle les ramena vers le creux de ses genoux. J’enfonçais mon sexe en elle, me retirais, le plantais Ă nouveau, l’enlevais, tapotais son clitoris puis l’engouffrais dans son trou bĂ©ant pour le limer encore un peu plus. J’étais brĂ»lant, mon cĹ“ur battait la chamade et ma peau Ă©tait trempĂ©e de sueur. La sentant Ă nouveau proche de l’orgasme, je me retirais et posais mon gland sur son Ĺ“illet en le pressant doucement. En parallèle je malaxais son clitoris et faisais progressivement monter son plaisir. Les muscles de mon amante Ă©taient parcourus de spasmes. Elle m’excitait terriblement ! Mon gland força son sphincter naturellement et poursuivit son chemin sur quelques centimètres avant de se faire compresser par le muscle. Coraline atteignait un orgasme encore plus puissant que le prĂ©cĂ©dent et sa cyprine atterrit sur mon pubis. Elle tremblait et jouissait sans aucune timiditĂ©. Elle allait signer ma fin ! Je me retirais de son anus dĂ©sormais dĂ©pucelĂ© puis finissais de passer ses mains liĂ©es Ă l’avant de son corps. Je m’installais Ă califourchon sur elle et collais mon sexe entre ses seins. Je me masturbais avec sa poitrine gĂ©nĂ©reuse, les tapotais avec mon membre. J’étirais ensuite ses bras au-dessus de sa tĂŞte, plaquais ses mains sur le lit. La couverture remonta un peu plus pour dĂ©couvrir une mèche blonde ainsi que des lèvres pulpeuses et ouvertes. Sans y aller par quatre chemins, j’introduisais mon gland dans sa bouche et Coraline entama des vas et viens envieux et amples. Elle en voulait ! Prenant appui sur mes genoux Ă©cartĂ©s et sur ses mains liĂ©es, j’entamais Ă mon tour des oscillations qui complĂ©tèrent les siennes. La jeune femme Ă©tait insatiable et elle me prit une nouvelle fois dans sa gorge. Elle ne sourcillait pas, en redemandait toujours plus. Sans m’en rendre compte, mes coups de reins devinrent plus autoritaires. Mes bourses frappaient son menton, de la bave coulait de ses joues et son cou grossissait rapidement. Je relevais la tĂŞte vers le plafond, m’abandonnais totalement jusqu’à atteindre l’orgasme. Mon pubis collĂ© Ă son nez, j’éjaculais au plus profond de ses entrailles et la sentais dĂ©glutir avec difficultĂ©. Quel gougeât je faisais ! Je me retirais, emportais avec moi de longs filets de baves qui coulèrent sur son visage. La jeune femme respirait bruyamment, tentait de retrouver ses esprits. Je descendais Ă son niveau, contemplais le bas de son visage souillĂ©. Sans mot dire, je l’embrassais une première fois. Ses mains liĂ©es vinrent se poser derrière ma tĂŞte et nos lèvres se retrouvèrent avant que nos langues ne se dĂ©couvrent et n’entament une valse tendre. C’était bizarre d’embrasser une autre femme que la sienne, d’en avoir mĂŞme un frisson. Elle ramena ses mains vers le bord de la couverture et l’enleva doucement. Son visage se dĂ©voila : – Katia ? m’exclamais-je le souffle coupĂ©.
– Daniel ? rĂ©torqua-t-elle les yeux grand ouverts.
– Mais… mais… Qu’est-ce que… balbutiais-je sans trouver les mots, en reculant.
– Je… ce n’est pas possible, lâcha-t-elle en se redressant, apeurĂ©e. Libère-moi ! Je m’exĂ©cutais et dĂ©liais ses poignets en tremblant. Mon Ă©rection retomba. Elle essuya ses lèvres, partit Ă©teindre la vidĂ©o et prendre son portable. Nous nous fĂ®mes face, plus gĂŞnĂ©s que jamais. – Ludovic ne doit jamais l’apprendre, lâcha-t-elle en cachant ses parties intimes pudiquement.
– Je suis d’accord… Katia, confirmais-je en faisant de mĂŞme avec mon sexe.
– J’ai besoin d’être seule, dit-elle en partant dans la salle de bain et fermant la porte.J’expirais puis inspirais profondĂ©ment. J’enfilais mon boxer et m’affalais sur un siège en cogitant. Comment cela pouvait ĂŞtre possible ? Katia Ă©tait Coraline. Je ne comprenais pas. Elle Ă©tait pourtant si douce, si pudique. Bien sĂ»r elle avait fait le premier pas vers Ludovic, mais quand mĂŞme. Je repassais nos messages sur l’application. Elle n’était dĂ©cidĂ©ment pas celle que je croyais. Et l’ami de son homme qui l’excitait et qui Ă©tait en couple, Ă©tait-ce moi ? Quelle galère ! Le bruit de la douche raisonna depuis la salle de bain pendant une bonne dizaine de minutes. Puis plus rien. La porte s’ouvrit, et Katia sortit, enroulĂ©e dans une serviette, les cheveux mouillĂ©s. Elle s’assit sur le lit. – Je suis perdue, souffla-t-elle au bout d’un moment. Je ne sais pas quoi faire.
– On peut partir, laisser tout ça derrière nous, suggĂ©rais-je avec un regard compatissant.
– Je ne pourrais pas faire comme si de rien n’était, Daniel. Je ne sais pas quoi penser de tout ça… j’ai pris beaucoup de plaisir Ă t’écrire et… j’ai jouis comme jamais auparavant, ajouta-t-elle. Je m’en veux, je ne me reconnais pas, je…
– Katia, tu n’as pas Ă t’en vouloir, la rĂ©confortais-je en m’asseyant Ă cĂ´tĂ© d’elle sur le lit.
– Mais j’ai trompĂ© Ludovic et pas avec n’importe qui, poursuivit-elle. J’ai besoin de rĂ©flĂ©chir.
– Bien, je vais prendre une douche. Je suis lĂ pour toi Katia, tu n’es pas seule. Elle opina du chef et j’allais dans la salle de bain. Dans quoi m’étais-je fourrĂ© ? Je me regardais dans le miroir, moi non plus je ne me reconnaissais pas. Je me dĂ©shabillais, prenais une douche fraiche pour reprendre mes esprits, me sĂ©chais et enfilais mon boxer. Je rejoignais la chambre. Katia se tenait debout. Elle avait troquĂ© sa lingerie par une robe moulante, assez courte et plutĂ´t très dĂ©colletĂ©e : « DĂ©solĂ©e, je n’avais rien prĂ©vu d’autre pour m’habiller… ». Sans rĂ©flĂ©chir, je rĂ©pondais : « Tu es sublime ». Elle rougit : « Je me disais que peut-ĂŞtre on pourrait diner… Je meurs de faim ». J’acquiesçais, un peu perplexe puis enfilais chemise, costume et chaussures : « Est-ce que tu veux ta cravate ? ». J’échangeais un long regard avec Katia, puis soudainement nous pouffâmes. Était-ce par complicitĂ© ou nervositĂ© ? Nous nous jaugeâmes du regard. Pourquoi avais-je envie de l’embrasser ? – On… devrait y aller, dit-elle avec un sourire timide.J’acquiesçais et elle ouvrit la marche. Mes yeux dĂ©taillèrent sa jolie chute de reins. Nous sortĂ®mes de la chambre et entrâmes dans l’ascenseur. Les Ă©tages dĂ©filèrent et nous ne nous quittâmes pas du regard. Elle Ă©tait très sensuelle, voir un peu malicieuse. La porte s’ouvrit : « Après toi, Coraline ». Elle rigola : « Merci Etienne ». Nous marchâmes vers le restaurant de l’hĂ´tel. L’homme de la rĂ©ception s’occupait maintenant du service. Une lueur espiègle traversa ses pupilles. Il nous installa Ă une table donnant sur le somptueux paysage. Face Ă moi, Katia Ă©tait silencieuse, fĂ©brile : « Alors comme ça tu n’avais jamais jouis comme ça auparavant ? ». Ses joues s’empourprèrent et ses doigts tripotèrent les couverts : « Etais-je la seule ? ». J’hĂ©sitais, dĂ©sarçonnĂ© : « Tu ne l’étais pas ». Le serveur nous apporta les menus, que nous consultâmes en silence. L’homme revint, prit notre commande et repartit. – Pour tout te dire, commençais-je, j’ai mĂŞme… adorĂ©. Tes messages, ton examen Ă l’aire de repos, ta lingerie, ton corps nu, ton expĂ©rience… que je ne soupçonnais pas.
– Est-ce que tu en garderas un souvenir ? me demanda-t-elle, flattĂ©e par mes compliments.
– Ne faudrait-il pas ? rĂ©torquais-je doucement. Je peux essayer d’oublier si tu le souhaites…
– Non… trancha-t-elle. Je veux dire… j’ai hĂ©sitĂ© Ă supprimer les vidĂ©os …
– « Les » vidĂ©os ? la coupais-je. Je pensais qu’il n’y en avait qu’une. Elle mordilla sa lèvre, regarda aux alentours puis ouvrit son portable, pianota et me le donna. Mes yeux scrutèrent l’écran sur lequel je voyais mon sexe, passĂ© au travers de la paroi dans l’aire de repos, puis son visage s’approcher et sa bouche faire son Ĺ“uvre. Je la trouvais terriblement excitante et photogĂ©nique. Mon Ă©rection revint de plus belle en voyant la passion qu’elle mettait dans la fellation. Quand la vidĂ©o se termina, je redonnais le portable Ă la jeune femme pas peu fière. – Tu es vraiment douĂ©e et…, commençais-je en sentant une vague de chaleur me submerger.
– J’ai adorĂ© moi aussi. J’ai adorĂ© ton sexe et j’ai adorĂ© le sucer. J’ai adorĂ© l’anonymat, ĂŞtre attachĂ©e et utilisĂ©e. J’ai adorĂ© tes caresses, ta langue. J’ai adorĂ© te sentir en moi, la vigueur avec laquelle tu m’as prise et… j’ai adorĂ© la fin, conclut-elle. Un pied nu se colla Ă mon mollet puis remonta lentement ma jambe. Katia souriait fiĂ©vreusement. J’écartais les cuisses et la laissais accĂ©der Ă mon sexe dur qu’elle pressa doucement sous la table. Le serveur arriva avec les plats et les verres de vin. La lithuanienne ne se retira pas. Nous trinquâmes : « A nous ». Son pied se contracta sous l’effet de ses mots : « A nous ». Nous bĂ»mes et commençâmes Ă diner : « Est-ce que c’était moi, l’ami de ton homme qui t’excite ? ». Elle hĂ©sita, puis opine du chef : « Et du coup tu trouves qu’Alessia est aussi une bombe ? ». Elle rigola : « Mais j’ai dit que je n’étais pas lesbienne ! A ton anniversaire, quand tu lui as dit que je t’avais fait bandĂ© en me trĂ©moussant contre toi… je savais que tu ne mentais pas, j’avais senti ton sexe contre mes fesses et ça a rĂ©veillĂ© en moi une certaine excitation qui n’est jamais vraiment partie ». Je buvais une gorgĂ©e de vin : « Je me souviens de ta robe, de ton joli dĂ©colletĂ© et de ton dĂ©hancher… comment ne pas bander ? ». Katia sourit : « Je ne savais pas que ça te ferait cet effet-là ». Je riais Ă son mensonge puis contemplais sa poitrine. Je jetais un coup d’œil autour de nous, repoussais un peu son pied et me levais au-dessus de la table : « Je peux ? ». Ne sachant pas Ă quoi s’attendre, elle hĂ©sita puis opina du chef. Ma main s’avança vers elle, plongea dĂ©licatement dans son dĂ©colletĂ© et caressa son sein rond, ferme et nu. Je sentais son cĹ“ur battre, sa respiration s’arrĂŞter. Je la plotais un instant puis ramenais le tissu de sa robe de chaque cĂ´tĂ© de ses seins pour dĂ©voiler ses tĂ©tons durs. Je me rasseyais et ramenais son pied sur mon sexe. Katia me questionna du regard : « J’aime avoir une jolie vue quand je dĂ®ne ». Nous ne parlâmes plus, nous contentâmes de nous lorgner envieusement. Quand le serveur vint reprendre les plats, Katia ne broncha pas. Je dĂ©cidais de jouer un peu : – Que pensez-vous de mon amante ? demandais-je Ă l’homme qui la regarda succinctement.
– Elle est ravissante. Monsieur a de la chance, rĂ©pondit-il en souriant. DĂ©sirez-vous un dessert ?
– Non merci, rĂ©pliqua la blonde. Je ne peux plus rien mettre dans ma bouche ce soir… Ă part le sexe de Monsieur.
– Excellent choix, commenta le serveur. Si vous souhaitez prendre l’air, sachez que nous avons un très joli jardin avec… très peu de monde. Katia le remercia d’un signe de la tĂŞte. J’étais Ă©patĂ© par son comportement, excitĂ© par ses envies. Elle retira son pied de mon entrejambe et se rechaussa : « Ça te dit une petite balade ? ». Sans attendre, je me levais et lui tendais ma main. Elle la saisit en souriant et nous traversâmes le restaurant au pas de course pour sortir par une baie vitrĂ©e. Nous marchâmes quelques mètres dans le jardin avant que je ne la plaque contre le premier arbre venu. Nos lèvres et nos langues se retrouvèrent dans un baiser fougueux et Ă©rotique : « J’ai envie de toi ! ». Je remontais sa cuisse contre ma hanche et la caressais avant d’entamer ma descente. Je dĂ©nudais complètement ses seins et suçotais ses tĂ©tons durs avant de m’accroupir et relever le bas de sa robe jusqu’à ses reins : « Très bon choix de sous-vĂŞtement ». Elle ne portait tout bonnement rien depuis le dĂ©but. Je m’attaquais Ă son intimitĂ© et lĂ©chais docilement son clitoris : « J’adore ton sexe ! J’ai toujours eu envie de te lĂ©cher ! ». Katia gĂ©missait, sa main passa derrière ma tĂŞte pour m’encourager : « J’ai toujours eu envie que tu le fasses ». Je caressais l’intĂ©rieur de sa cuisse puis enfonçais mon majeur dans son intimitĂ© chaude pour complĂ©ter mon cunnilingus. Quelques pĂ©nĂ©trations plus tard, la blonde souffla : « Tu ne veux pas… doigter… ». Elle ne termina pas sa phrase, peut-ĂŞtre par honte, mais je compris le message. Je retirais mes phalanges lubrifiĂ©es de son vagin puis les enfonçais prĂ©cautionneusement dans son anus : « Oui ! ». Ma main libre vint palper son sein dĂ©couvert et la cyprine de mon amante coula abondamment dans ma bouche : « Tu vas me faire jouir, remonte ». A contre cĹ“ur, je stoppais mon Ĺ“uvre et me relevais : « Il y a un salon de jardin lĂ -bas, on y va ? ». Je jetais un coup d’œil aux fauteuils d’extĂ©rieur puis portais mon amante et l’y emmenais : « Assieds-toi ». Je prenais place sur le canapĂ©. PenchĂ©e sur moi, Katia m’embrassa et mes mains remontèrent vers ses fesses nues : « Je veux mon dessert ». Je suçotais sa lèvre : « Est-ce que je peux l’immortaliser ». Elle opina et je sortais mon portable. Elle s’agenouilla sur le gazon et je lançais la vidĂ©o. Ses doigts ouvrirent mon pantalon et en extirpèrent mon sexe gonflĂ©. Le regard pointĂ© vers l’objectif, elle commença Ă gober mes bourses, lĂ©cher ma hampe et embrasser mon gland : « Très gros dessert ». Elle sourit puis initia une fellation cadencĂ©e : « Tu suces vraiment bien tu sais ? ». Elle gĂ©mit de plaisir en me prenant profondĂ©ment et me faisant grogner. Je rassemblais ses cheveux Ă l’arrière de sa tĂŞte et suivais ses mouvements. Elle se redressa pour respirer et taquiner mon gland avec sa langue : « J’adore ta queue ». Et moi, j’adorais son indĂ©cence exposĂ©e au grand jour, face camĂ©ra. Elle poursuivit jusqu’à me prendre en gorge. La copine de mon meilleur ami me dĂ©vorait comme personne. Elle poursuivit quelques instants sans faillir : « Tu sais Ă quoi j’ai pensĂ© la première fois ou je t’ai vu dans ta robe ? ». Elle hocha de la tĂŞte mais semblait impatiente de connaitre la rĂ©ponse : « J’ai pensĂ© Ă mon sexe entre ses jolis seins ». Elle se redressa en souriant : « C’est pas bien de penser à ça… ». Elle laissa couler un filer de bave sur sa poitrine puis blottit mon sexe entre ses rondeurs et commença Ă monter et descendre : « Comme ça ? ». J’acquiesçais en filmant la scène de plusieurs angles. Elle Ă©tait terriblement excitante et mon sexe ne cessait de se contracter : « Viens ! ». Elle remonta sur moi en une poignĂ©e de secondes et s’empala sur mon sexe : « Madame est pressĂ©e ? ». Ses dents emprisonnèrent ma lèvres et elle gĂ©mit en me chevauchant: « Oui ! Baise-moi encore ! ». J’adorais son obscĂ©nitĂ©. Elle se redressa, me laissa admirer sa poitrine. Elle guida mon doigt vers son anus et j’introduisais deux phalanges qui la firent dĂ©coller. Son bassin s’agita frĂ©nĂ©tiquement contre le mien et elle atteignit les cieux : « Oui ! Oui ! ». Sa cyprine coula sur mes bourses. Je nous relevais et continuais les pĂ©nĂ©trations debout, en utilisant mes muscles pour la faire aller et venir contre moi : « Tu me dĂ©fonces Daniel ». Cela ressemblait fortement Ă un compliment. En tout cas je le prenais comme tel et continuais mon Ĺ“uvre avant de poser mon amante sur l’accoudoir du canapĂ©. Je me retirais, me baissais et lĂ©chais son entrejambe trempĂ© avec passion. Je me redressais ensuite et la pĂ©nĂ©trais. Elle grimaçait, se plotait, Ă©cartait les lèvres de son intimitĂ© : « Tu m’excites Katia ! ». Je redoublais d’intensitĂ©. L’orgasme approchait Ă grands pas : « OĂą veux-tu que je jouisse ? ». Elle haleta : « Imagine qu’on est sur un balcon, devant Alessia et ton voisin… ». Elle n’eut pas besoin de finir sa phrase. Comme je l’avais fait avec l’italienne, et comme je le lui avais racontĂ©, je me retirais, me masturbais face Ă son visage et finissais dessus en râlant. Katia se laissa faire puis me suça lascivement : « Tu me rend folle Daniel ». Je caressais sa joue : « Toi aussi Katia ! Est-ce que tu veux un mouchoir ? ». Elle rigola : « Est-ce que tu veux que j’essuie tes mĂ©faits ? ». Sans me laisser rĂ©pondre, elle se releva, ajusta sa robe pendant que je refermais mon pantalon et m’attira derrière elle vers l’hĂ´tel. Nous passâmes devant le serveur et elle s’arrĂŞta pour qu’il contemple son visage souillĂ© : « Somptueuse, Madame ». Il me fit un clin d’œil puis nous partĂ®mes vers la chambre, vers une nuit torride.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
Daniel, Consultant – Chapitre 1
Daniel, Consultant – Chapitre 2
Daniel, Consultant – Chapitre 4
Des retrouvailles… chapitre 1
Des retrouvailles… chapitre 2