Dans la bouche de Patricia

Dans la bouche de Patricia
Se taper la mère de copains est le fantasme de pas mal de jeunes personnes, personnellement je n’ai jamais raconté cette histoire à qui que ce soit, ni à mes ex-petites amies, ni même à mon épouse, aujourd’hui je profite de l’anonymat d’internet pour tout déballer, il faut que ça sorte !
Proposée le 13/01/2022 par Titlover37 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie

J’ai tout juste dix neuf ans, c’est durant mon service militaire en 1996, nous somme en hiver, je suis en permission et je décide d’aller voir mes deux potes Juju et Tonio, histoire de passer un moment ensemble fumer quelques joints et sortir faire la bringue en ville.
Une fois chez eux, je passe le portail, je toc à la porte d’entrée et c’est leur mère qui m’ accueil, cette dernière m’explique qu’ils sont sortis faire une course, qu’ils devraient être de retour d’ici une heure ou deux et me propose de rester les attendre avec elle au coin du feu, ce que j’accepte volontiers. Cette femme ne m’a jamais laissé de marbre, elle est de mes nombreux fantasmes. C’est une petite brune aux yeux marrons, elle a la quarantaine, est très bien conservée, avec une paire de seins à damner tous les saints ! Ni trop gros, ni trop petits, juste assez pour y glisser sa bite, j’aimerais tellement les palper, les sucer, lui mordiller les tétons, les sentir toucher mon torse. Et pourquoi pas me répandre dessus. Elle a un cul bien rond et rebondit à point, puis elle sait s’habiller et se mettre en valeur. Je ne suis pas le seul de toute la bande de potes à avoir des idées sur elle, soyons clair, elle est bandante à souhait la Patricia !Nous discutons de choses et d’autres, des études de ses enfants, de son divorce, elle me demande comment va la vie à la caserne, si je m’accommode bien au rythme militaire, elle connais mes idéaux, ces fils ont les mêmes, puis elle me parle des autres jeunes hommes sur place, du fait qu’il n’y est pas de fille… Ou veut-elle en venir ? Oui je suis en chien, il n’y pas de femme sur place. Je me suis souvent branler avec des potes, mais là, avec six inconnus dans une chambre de sept, ça ne m’intéresse pas, Il n’y a pas d’intimité, la douche et la salle de bain commune n’ont pas de porte, difficile de sortir son membre et de se purger, il y a des photos et des livres de cul partout, mais ça reste du papier. Quand on sort, le seul truc gratuit en ville ou nous pouvons aller, parce que nous sommes fauchés comme les blés, c’est une boîte gay, alors je les aime bien, ils sont super sympas, par contre il ne me font pas bander du tout. Je n’ai qu’un petit soulagement mécanique dans un coin ou j’arrive à être seule de temps à autre et c’est tout.Évidemment je ne lui expose pas le problème en ces termes. Dans l’ensemble je me suis bien adapté sur place. Il est vrai que le fait qu’il n’y ai pas de présence féminine n’est pas toujours facile à vivre, mais je n’ose s’engager plus loin sur mes réponses.Elle se lève pour remettre du bois dans la cheminée, revient s’asseoir à coté de moi me pose la main sur la cuisse et me dit :  » Le feu c’est comme l’amour, il faut que ça flambe  » et remonte sa main jusqu’à mon sexe qui se tend immédiatement sous la chaleur de sa paume. Ses doigts caressent mes testicules et mon scrotum, l’excitation se développe au plus vite en moi. Je suis subjugué !Sans un mot, elle déboutonne mon jean, le baisse sur mes chevilles, fait de même avec mon caleçon et engouffre la totalité de ma bite dans sa bouche et entreprend de me pomper comme aucune femme ne me l’aura jamais fait jusqu’ici, je sent mon membre latin faire des va-et-vient entre sa langue et son palais avec une sensation d’aspiration insensée ! Même aujourd’hui cela reste la meilleure des pipes que j’ai pu recevoir !Je sent la douceur et la chaleur de ses organes sur toute la longueur de ma verge, ses lèvres épousent parfaitement mon gland, je ne vais pas tenir longtemps, je lui demande d’y aller doucement car je suis un peu à cran ces derniers temps, mais rien n’y fait, elle veut que j’explose.Elle n’utilise ses mains que pour me maintenir le sexe bien droit de sa main gauche et me caresse l’aine de temps à autre de la droite.J’essaie de maîtriser mon souffle, je n’ose même pas lui toucher les seins qui m’excitent tant de peur d’exprimer mon foutre trop vite, j’ai des pulsions dans le bas du ventre : “ Le souffle… Respire ! “ me dis-je.Je ne résiste pas, c’est trop bon, au moment de jouir j’en ai des spasmes, mon corps en tremble, je lui lâche une éjaculation abondante, du genre de celles après quelques jours d’abstinence, je me sent me déverser dans sa bouche en plusieurs jets saccadés qu’elle avale sans en perdre une goutte ! Elle reprend sa place sur le canapé, je me rapproche d’elle et commence à lui caresser les seins, ils sont bien lourds, cela stimule de nouveau ma libido, depuis le temps que je la désire, j’ai dans l’idée de sentir son cul claquer contre mes hanches.Elle refroidit rapidement mes ardeurs, me dit de plutôt remettre mon pantalon, que ses garçons ne devraient plus tarder. Ce qui, en effet, fut le cas dans le quart d’heure qui suivit.Je l’ai revu plusieurs fois par la suite, mais sans jamais reparler de cette histoire, ni même recommencer quoi que ce soit du genre, même pas de regard complice, la vie a continué comme si de rien n’était… Certains copains m’ont raconté qu’ils l’avaient baisée, perso je n’ai jamais rien dit sur le sujet, je l’ai vécu, je n’ai point besoin de palabrer devant les autres, j’ai gardé ça pour moi et désormais je ne vous le narre après presque un quart de siècle écoulé.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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