Je m’appelle Sexyelfes voici l’histoire de ma vie 14
Je vous raconte ici deux histoires sympa avec un rendez vous avec plusieurs chasseur dans une cabane
Suivie d’un pĂ©riple Ă la montagne accompagnĂ©e et exhibĂ©e nue pendant tout le trajet par plusieurs hommes très coquins.
Proposée le 17/01/2021 par sexyelfes Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: Forêt, campagne, natureType: Histoire vraie
Maintenant j’étais tranquille je pouvais m’occuper du site J’ai Ă©tĂ© invitĂ©e par un groupe de cinq chasseurs. Le retour du beau temps en ce samedi, m’a incitĂ©e Ă accepter cette originale sollicitation. Ils dĂ©sirent me faire visiter une superbe cabane pour la chasse aux canards. En ce dĂ©but d’après-midi, curieuse par nature, j’approche de cette destination que je vais dĂ©couvrir. Je suis habillĂ©e selon les dĂ©sirs de mes hĂ´tes : une veste de treillis largement ouverte sur ma poitrine dĂ©nudĂ©e et une micro-jupe kaki laissant apparaĂ®tre le bas de mon sexe nu. Pour complĂ©ter ce lĂ©ger ensemble, une paire de cuissardes noires m’a paru indispensable pour aller au bord des Ă©tangs. Je descends de la voiture Ă l’orĂ©e d’un bois. Les hommes dĂ©pourvus de fusils m’attendaient. Ils viennent Ă ma rencontre. Quelques commentaires flatteurs s’échappent du groupe qui s’extasie sur mon anatomie et ma tenue vestimentaire. Ils me demandent de monter avec eux dans un 4×4 afin de poursuivre la route. Au passage d’un guĂ©, j’aperçois enfin ma destination : c’est une jolie cabane entourĂ©e d’eau calme et d’une roselière touffue. Ils m’invitent Ă pĂ©nĂ©trer dans ce refuge accueillant. Une fois Ă l’intĂ©rieur, la brève visite du propriĂ©taire effectuĂ©e, l’apĂ©ritif est servi. ExcitĂ©s par mes charmes et mes sourires, ils mettent rapidement mes seins Ă nu. Ils arrachent ma jupe. Je suis nue devant eux. Mon vagin est trempĂ© de dĂ©sir. Ils dĂ©cident de me faire boire un verre, cul sec. Tardant trop Ă leur goĂ»t, ils m’allongent sur une banquette. Ils m’immobilisent pendant que l’un d’eux introduit un entonnoir dans ma bouche. Je me laisse faire en riant. J’avale sans rechigner une bonne rasade d’alcool. L’absorption de boissons alcoolisĂ©es est euphorisante pour moi. J’ai presque aussitĂ´t la tĂŞte qui tourne. Tout mon corps s’échauffe. Ă€ l’aide d’un gros marqueur, ils profitent de ma fausse passivitĂ© pour inscrire des mots obscènes sur la peau de mon corps qui leur est offert. La tension monte dans la cabane. Ils ont baissĂ© leurs frocs et bandent Ă qui mieux mieux. Je suce les uns et j’avale leur sperme avec gourmandise. Les autres gaillards dĂ©foncent mon cul et baisent ma chatte sans rĂ©pit. La bière coule Ă flots. Fatalement cela donne Ă ces robustes chasseurs l’envie d’uriner. Deux acolytes m’empoignent fermement et me font mettre Ă genoux dans la boue, devant la cabane. Je n’offre aucune rĂ©sistance. Je suis venue pour m’amuser et les distraire. L’un d’eux me donne l’ordre d’ouvrir ma bouche en grand. Il se met face Ă moi et m’envoie un long et puissant jet d’urine. Je suis surprise et suffoque devant l’abondance du jus. J’en avale nĂ©anmoins une bonne gorgĂ©e. Ces collègues voyant cela, s’empressent de faire cercle autour de moi pour m’inonder Ă leur tour de liquide chaud et odorant. Quel immense plaisir ! Je me roule dans l’herbe, les feuilles mortes et la boue. Les hommes se soulagent en me pissant dessus. Je me branle la chatte comme une folle ! Je suis ivre de plaisir ! AllongĂ©e entre terre et eau, je jouis en pleine nature. Après ce dĂ©lire qui impressionne l’assistance, je dĂ©cide d’aller me laver dans la petite rivière qui longe l’arrière de la cabane. Ces hommes qui normalement tirent des coups de fusils sur le gibier de passage en se gelant les pieds, sont stupĂ©faits de me voir entrer dans l’eau sans un frisson. Sous leurs yeux Ă©bahis, je fais une toilette sommaire de mon corps en feu, malgrĂ© le froid.? Chaleureux et serviables, ils s’empressent de me sĂ©cher. Ils me rĂ©chauffent en continuant Ă s’amuser avec mes seins, ma chatte et mon fessier. Ces braconniers de poule d’eau ne se privent pas de prendre leur pied avec une Ă©nergie inĂ©puisable. La fin de soirĂ©e venue, nous nous sĂ©parons, rĂŞveurs et excitĂ©s par ce superbe après-midi. Je leurs fais la promesse de les retrouver prochainement pour d’autres nouvelles aventures. Je serai le gibier de leur choix?Quelques temps plus tard après plusieurs Ă©changes de mail, j’ai pris un rendez-vous pour un week-end du mois de fĂ©vrier en montagne. Je me mettrai Ă la disposition de plusieurs hommes. J’adore cette situation. Je sais qu’il n’y aura pas beaucoup de neige. Cela m’est Ă©gal. Je n’irai pas pour skier. Il y a d’autres sports de glisse Ă pratiquer. Comme convenu, il est douze heures trente, quand je me prĂ©sente sur le Lieu de la rencontre tant attendu par les uns et les autres. Ă€ leur demande, je suis habillĂ©e très simplement : des bottes jusqu’aux genoux, Et un manteau assorti posĂ© sur mes Ă©paules. Rien de plus. Forts Sympathiques, ils m’accueillent Ă bras ouverts et me proposent de Partager leur dĂ©jeuner. Pour le repas – convenance oblige ! – j’ôte mon Manteau. C’est nu que je m’attable. C’est tout ce que mes hĂ´tes espĂ©raient. Tout au long du repas, très satisfaits et quelque peu Ă©moustillĂ©s par la vision de mon corps, ils ne cessent de leurs mains vicieuses de parcourir les courbes de mes formes. Après le dessert, ils me demandent de les suivre pour prendre la route en leur compagnie. Nous allons passer un week-end dans la montagne. Pour l’occasion, ils ont louĂ© un minibus. J’ai six hommes pour moi seule. Le rĂŞve ! Miam ! Des bras gĂ©nĂ©reux m’aident Ă monter dans le vĂ©hicule, je me laisse peloter avec plaisir. Deux grandes banquettes face Ă face semblent avoir Ă©tĂ© installĂ©es pour passer de bons moments. De profil par rapport Ă la porte coulissante, je suis assise sur mon manteau. Au bout de quelques kilomètres, la chaleur devient intense dans l’habitacle exigu. Une bouteille de champagne apparaĂ®t par magie. Le Bouchon saute. Des flots de mousse et de vin frais se dĂ©versent dans ma Bouche grande ouverte. Le trop plein que je n’ai pas le temps d’avaler, Coule sur ma poitrine, inonde mon pubis et ruisselle jusqu’Ă mon sexe DĂ©jĂ mouillĂ©. Plusieurs langues se portent Ă la rencontre du liquide et lèchent les endroits les plus intimes. Mes hommes peuvent se rendre compte en suçant les lèvres de mon vagin, que j’ai une envie folle de faire l’amour. Il s’ensuit une vĂ©ritable orgie de caresses, de fellations et de douches d’alcool. J’ai six bites Ă ma disposition qui glissent dans mes doigts, entre mes seins et dans ma Bouche. Un rĂ©gal ! Ă€ la sortie d’un pĂ©age, Ă leur demande, je descends nue du minibus pour Me faire photographier Ă la vue d’un flot de voitures qui passe Ă ce Moment-lĂ . Plus loin, pendant les arrĂŞts Ă des feux rouges, ils ouvrent en grand la porte latĂ©rale pour me prendre en photo les jambes largement Ă©cartĂ©es, le sexe bĂ©ant couvert de champagne. Pour jouer, je satisfais un de leurs fantasmes. Alors que nous doublons une colonne de camions, je m’exhibe en passant tout le haut du corps Ă une fenĂŞtre. Tandis que des coquins me tripotent les fesses, je montre mes seins aux routiers Ă©berluĂ©s et radieux. Sur une aire de repos, nous faisons une halte. Je me retrouve nue dans Les toilettes des hommes oĂą je les suce les uns après les autres sous le regard Ă©berluĂ© d’un camionneur Lituanien qui entre Ă ce moment-lĂ . Nous arrivons Ă destination. Je mets mon manteau pour Faire le trajet du bus Ă l’hĂ´tel. Ă€ la sortie de l’ascenseur de l’immeuble, nos amis dĂ©chaĂ®nĂ©s piquent mon seul vĂŞtement et m’exhibent nue. Nous allons Ă l’appartement qu’ils ont pris en location. Le restant de l’après-midi et la soirĂ©e sont consacrĂ©s principalement au Sexe. Je passe de l’un Ă l’autre avec un immense plaisir. Souvent ils Sont plusieurs Ă me prendre simultanĂ©ment. Ces slalomeurs, en grands sportifs qu’ils sont, enfilent les portes en glissant merveilleusement dans mes entrailles. Le bonheur suprĂŞme ! De nombreuses jouissances plus tard, mes orifices dilatĂ©s et brĂ»lants, LittĂ©ralement couverte de sperme, je glisse extĂ©nuĂ©e sur un lit. Pendant mon sommeil, j’ai la satisfaction d’être rĂ©veillĂ©e Ă plusieurs reprises par des hommes insatiables. Qui s’allongent sur moi et me prennent sans bruit. Au petit matin, nous sommes tous plus ou moins extĂ©nuĂ©s. Après un repas très apprĂ©ciable, nous reprenons la route vers la plaine. Dans la Descente, nous faisons plusieurs arrĂŞts sous l’œil amusĂ© d’un appareil photographique. Sur les clichĂ©s il restera la chaleur des corps en folie et la beautĂ© des montagnes rafraichissantes. En fin d’après-midi de retour chez eux, ils me couchent Ă mĂŞme le sol du Salon. Ă€ la queue-leu-leu, ils me prennent avec une vigueur que J’admire. Je les suce une dernière fois. C’est un vĂ©ritable dĂ©luge de Sperme que je reçois pour mon plus grand plaisir. Lors d’une pipe, je Suis Ă deux doigts de m’étrangler tant le sperme giclĂ© puissamment au Fond de ma gorge est Ă©pais et abondant. Merci pour ce nectar d’amour que j’aime Ă la folie ! Le week-end s’achève. Ces amis me reconduisent galamment Ă mon
Véhicule. Au moment de monter dans celui-ci, ils m’enlèvent le manteau Et l’enferment dans la malle. Pour leur plus grand plaisir et le mien, C’est nu que je prends la route du retour. Toute collante de sperme mes Cuisses glissent l’une contre l’autre pour garder au chaud ma mouille qui Coule abondamment de ma chatte comblée de bonheur. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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