Découverte du libertinage
Ceci est la suite de « la découverte du sexe »
Gérard va découvrir avec la complicité d’un beau couple torride et libéré le plaisir de l’amour à 3.
Proposée le 10/11/2016 par alain06 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHHLieu: InclassableType: Histoire vraie
Après trois ans dans la Marine Nationale, une année à Toulon plus deux autres passées sur l’ile de Madagascar, à Diégo Suarez, Gérard a choisi de reprendre sa liberté, ne s’estimant finalement pas fait pour la rigueur militaire. Il s’est fait démobiliser au dépôt maritime de Toulon.
Il avait pris soin de postuler pour un poste de mécanicien marine à l’Arsenal de Toulon quelques mois avant sa démobilisation et sa candidature avait était retenue.Gérard a retrouvé avec grand plaisir la grande ville ensoleillée, là ou sa carrière militaire a commencé.
Très vite il a trouvé un petit deux pièces sympa pas loin de la vieille ville et de son travail, et il s’est très vite intégré dans l’équipe de mécaniciens qui l’a très bien accueilli.
Son travail sauf urgence se termine à 17 heures ce qui lui laisse beaucoup de temps question loisirs. Il fréquente un club de musculation qui ouvre assez tard en soirée pour entretenir sa forme.
C’est le printemps et la température est agréable. Il commence à aller à la plage, ici elles ne manquent pas même si elles ne sont jamais bien grandes.
Il a ses habitudes à une petite plage du Mourillon. Tout au fond une partie est dédiée au naturisme. Il a découvert le plaisir de se mettre nu, de sentir le soleil baigner son corps d’athlète.Ce samedi là il arrive vers 14 heures, se dirige vers l’extrémité de la plage là il a ses habitudes, un mélange de sable et de gros rochers, c’est un coin tranquille.
Il étale sa serviette par terre et se déshabille intégralement. Il plie ses affaires et s’allonge, savourant la douce chaleur du soleil qui à cette époque de l’année n’est pas encore très forte.Au bout d’un moment il entend des voix. Il relève la tête, aperçoit un couple d’une quarantaine d’années environ, qui passe à côté de lui avec parasols, sacs et glacière. Ils lui disent bonjour avec un grand sourire, il leur rend la politesse et se rallonge à nouveau.
Ils s’installent à moins de trois mètres environ. Au bout d’un moment il se redresse, prend une bouteille d’eau qu’il a pris soin d’amener et boit. Tout en refermant le bouchon il jette un coup d’œil autour de lui. A droite il y a un couple qui se trouve à une dizaine de mètres, à sa gauche le couple arrivé après lui est allongé. C’est la femme qui se trouve le plus près de lui. Elle est allongée sur son flanc gauche, le bras replié supporte sa tête faisant face à son compagnon dans la position opposée. Gérard voit que l’homme bande. Il se rallonge à nouveau et reporte son attention sur le corps gracieux de la femme, ses yeux s’attardent surtout sur le beau fessier bien galbé.
La main gauche de l’homme est posée sur la fesse droite de la femme et caresse doucement la peau déjà bien hâlée. Gérard admire la beauté du spectacle et n’arrive pas à détourner son regard. A un moment la main qui caressait la fesse disparait, la femme replie sa jambe droite et pose le pied à plat par terre.
Puis il voit des doigts apparaitre dans la raie culière de la femme. La main caresse doucement la chatte, les doigts vont et viennent. Il ne voit pas ce que fait la femme mais il voit distinctement que l’épaule de celle ci bouge. Il se tourne, se met à plat ventre. La scène met Gérard en émoi et il bande ferme. Il perçoit des murmures de satisfaction du côté de la femme. L’homme a forcément vu Gérard qui les regardait quand celui-ci s’est redressé, Gérard a d’ailleurs croisé son regard pendant quelques secondes. Donc ils n’ont pas l’intention de se cacher mais plutôt de s’exhiber car auraient pu facilement se cacher aux regards des autres en ouvrant les parasols, hors ceux-ci sont fermés et allongés sur le sol. Gérard ne se gêne donc pas pour regarder.
A un moment l’homme se redresse, prend une bouteille dans la glacière et boit. Il tend la bouteille à sa compagne qui boit à son tour. Il admire le profil de la belle. Elle a une belle poitrine, des petits seins bien galbés de profil. Il lui semble qu’elle prend son temps, se sachant regardée. Elle tend la bouteille à l’homme qui la range puis vont se baigner. Bien que partiellement caché à sa vue, Gérard voit bien que l’homme bande avant d’entrer dans l’eau.Ils nagent, rient tout en tournant leur regard vers Gérard de temps en temps. Celui-ci est assis, les genoux repliés, les bras tendus derrière lui pour se maintenir en position, ils ne peuvent pas voir son sexe bandé. Constatant que leurs regards s’attardent sur lui, il allonge les jambes entièrement sur le sol. Sa queue apparait alors, superbement bandée.
Le couple, enlacé dans l’eau ne quitte le garçon des yeux, ou plus précisément mon sexe se Gérard, et il ne se gêne pas pour exhiber fièrement son érection.
La scène dure un moment puis Gérard regarde vers sa droite, le couple est en train de lire, lui tournant le dos. Il se lève et, tranquillement se dirige vers l’eau. Il prend son temps, la dénivellation n’est pas importante et le couple a tout loisir d’admirer son sexe. Il s’allonge dans l’eau encore un peut fraiche il se met à nager un crawl puissant, s’éloignant vers le large. Il nage un moment puis fait demi-tour. Le couple est en train de s’essuyer mutuellement, debout près de leur serviette. Gérard sort de l’eau tranquillement, sa queue a un peu diminuée de volume, mais se trouve quasiment à l’horizontale, à demi bandée. Arrivé à sa serviette il se penche, prend sa bouteille et commence à boire debout. Faisant la grimace, il s’arrête de boire et renverse l’eau par terre.
Voyant cela, l’homme lui demande s’il veut de l’eau fraiche. Il accepte volontiers et se dirige vers eux.
La femme prend une petite bouteille pleine dans la glacière et lui tend :
-Tenez, on n’y a pas touché.
Gérard la remercie et boit abondamment au goulot. Puis lui tend après l’avoir refermée.
-Non gardez la.
-Merci beaucoup.La conversation est engagée. Ils habitent et travaillent à Toulon, lui en tant que médecin, elle comme esthéticienne. Tout en parlant la femme qui se prénomme Sylvie ne se prive pas de porter son regard sur le sexe de Gérard. Lui de son côté ne se gêne pour d’admirer les belles courbes de la femme. Elle a le sexe intégralement rasé ou épilé et sa chatte est bien en relief sur son mont de vénus proéminent. Le sexe de l’homme, Robert est lui aussi rasé et de belle taille il doit avouer, bien que plus petit que celui de Gérard.
Robert lui aussi ne se prive pas d’admirer la queue du jeune homme. Il se dit que décidément elle les intéresse beaucoup et que c’est de bon augure.
Tout en discutant Gérard a approché sa serviette et ils s’assoient.
Ce sont des personnes agréables et disertes, la conversation est facile avec eux.
Ils restent ainsi longtemps à discuter et à s’admirer mutuellement plus ou moins discrètement. Au moment de se quitter l’homme propose à Gérard de diner avec eux au restaurant ce soir. Gérard accepte, avec joie. Ils se donnent rendez vous pour le soir à la terrasse d’un restaurant réputé sur le quai Stalingrad, face à la mer et les bateaux de guerre à l’ancre.L’heure venue, Gérard retrouve le couple déjà installé à une table bien placée de la terrasse. Ils lui font de grands signes et il les rejoint. Ils commandent l’apéritif, puis dinent. Ils posent un tas de questions sur l’ile de Madagascar, ile qu’ils ne connaissent pas et qui les fait rêver. L’ambiance est bonne, une deuxième bouteille de rosé de Provence est entamée, ce breuvage se buvant, comme on dit ici, comme du petit lait tout en ne produisant pas le même effet.
Sylvie se trouve à la droite de Gérard. Depuis un moment la jambe de celle-ci est venue se coller à sienne. Pour être à l’aise elle a enlevé ses sandales légères et ses doigts de pieds malaxent celui de Gérard. C’est Robert qui anime surtout la conversation et l’ambiance est bonne.Le repas terminé, Robert invite Gérard à boire un dernier verre chez eux. Evidemment il est d’accord et les suit.
Arrivé dans le confortable appartement, Gérard s’assoit tandis que Robert va chercher une bouteille de rosé. Sylvie et Gérard se sourient. Dans leurs yeux il y a la promesse des bons moments à venir.
Un seau à glace contenant une bonne bouteille, Robert revient. Sylvie va chercher les verres, ils trinquent.
La conversation tourne très vite autour du sexe. Ils affichent sans honte leur gout pour le libertinage. Gérard avoue être inexpérimenté.
Eux par contre le sont mais ils avouent aussi avoir été souvent déçus par leurs rencontres. Gérard demande en quoi. Sylvie tout en le regardant dans les yeux répond :
-J’aime les hommes bien membrés. Pas facile d’en trouver.
Elle ajoute :
-D’après ce qu’on a pu voir cet après midi, vous vous êtes….
Elle cherche le mot adéquat.
Robert vient à son aide :
-Très bien membré.
Sylvie acquiesce. Elle se lève et se dirige vers lui, lui tend la main. Il la prend, se lève et se laisse guider. Elle l’amène dans une chambre ou règne une lumière tamisée propice aux ébats.
Elle lui lâche la main et le regardant dans les yeux se déshabille rapidement. Gérard en fait autant. Sa queue est déjà tendue au maximum. Elle lui reprend la main et l’attire vers le lit.
Allongés tous les deux, elle lui prend le sexe en main et le branle tout en disant :
-Mon dieu elle est encore plus grosse que je croyais.
Gérard lui aussi s’est emparé du sexe de Sylvie. Il découvre une motte trempée.
Sylvie semble déchainée, elle se redresse et vient se mettre entre les jambes de Gérard et, tenant le sexe imposant d’une main, elle le présente à l’ouverture de son sexe.
Elle s’empale dessus doucement en faisant d’abord une petite grimace puis commence un mouvement de reptation lent puis de plus en plus rapide en ahanant fortement.
-Mon dieu qu’elle est bonne ! Qu’elle est bonne ta queue ! Ah oui !
Entre temps Robert est arrivé lui aussi. Il et se met à genoux à côté du couple. Tout en caressant la croupe de sa femme, il dit :
-Alors tu l’as enfin dans ta chatte cette belle queue hein ?
Et regardant Gérard il dit :
-Dès qu’elle a vu ton sexe elle n’a eu que cette idée en tête.
Sylvie n’en peut plus, elle sent la jouissance qui monte en elle.
-Oui ! Ah oui ! Ah mon dieu qu’elle est bonne ! Ahhhhh !
Et elle jouit superbement en poussant de grands cris puis s’affale sur Gérard. Robert continue de la caresser tandis qu’elle récupère lentement. Par moment Gérard sent les doigts de Robert qui lui effleurent la bite tandis qu’il caresse le cul de Sylvie.
Sylvie rouvre les yeux, souriante elle se tourne vers son mari, lui dit :
-Wouaoohh !, je crois j’avais jamais autant joui ! Ouf ! Quel bonheur cette queue !
Robert s’est emparé d’un tube de vaseline et se met à lubrifier l’anus de sa femme puis, se mettant derrière elle, la sodomise. Sylvie dit :
-Oui ! Enfonce toi bien à fond mon chéri ! Gérard sent sur sa bite les couilles de Robert qui reposent sur la partie de sa queue restée à l’extérieur, la chatte de la femme étant bien incapable d’absorber la totalité du membre de Gérard. Il sent également à travers la fine peau qui sépare les deux conduits, le sexe de Robert qui glisse en s’enfonçant dans le petit orifice à présent bien dilaté.
Cela procure une sensation étrange, pas désagréable du tout. Sylvie, doucement commence à faire des va et vient, s’empalant sur les deux sexes plantés au plus profond de ses orifices dilatés. Les hommes eux ne bougent pas, laissant l’initiative à Sylvie
Les yeux de Robert rivés sur l’anus de sa femme. Il a de plus en plus de du mal à se retenir pour ne pas jouir.Sylvie est de nouveau au bord de la jouissance sous les coups des sexes qui la pénètrent. Elle dit, en criant presque :
-Oui ! Oui ! Ah oui !!!Ahhhhh
Et en donnant les derniers coups de reins elle jouit, tandis que Robert se vide dans le con brulant.
-Tiens ! Tiens ! Prends salope ! Ahhhh.
Gérard à son tour déverse sa semence dans la chatte de Sylvie.
Les cris de jouissance envahissent la pièce. Sylvie, écroulée sur Gérard reste inerte un moment, Robert lui reste droit, ses yeux fixés sur le cul, son sexe, et ce qu’il voit du sexe de Gérard.C’est Robert qui se retire le premier, Sylvie se relève, libérant la queue qui sort de son sexe trempé et dégoulinant de mouille et de sperme. Elle met sa main en conque pour éviter de mettre du sperme partout et se lève. Gérard se lève lui aussi. Tous les trois se dirigent vers la salle de bains.
Sylvie s’assoit sur le bidet, les yeux cernés témoignent de l’intensité du plaisir ressenti. Elle regarde les yeux pleins de reconnaissance, son mari et Gérard en train de s’essuyer le sexe avec des serviettes en papier tirées d’un distributeur. Sylvie se relève en s’essuyant elle aussi.
Ils se dirigent vers le salon, s’assoient. Robert remplit les verres et ils boivent, repus, heureux.
C’est Sylvie qui parle en premier :
-Ben les hommes bravo ! Quel pied mon dieu !
Les hommes apprécient en souriant. Robert répond :
-Je crois que c’est surtout notre nouvel ami qui doit être félicité non ?
Et ceci avec un regard appuyé sur le sexe qui bien qu’au repos est toujours d’une taille impressionnante.
Sylvie lui aussi a le regard fixé sur la belle bite qui l’a tant faite jouir répond :
-Oui mon chéri, quelle queue vraiment ! Mais avoir en plus ta queue dans le cul c’est vraiment exceptionnel.
Puis tournant son regard sur le visage de Gérard elle demande :
-Alors Gérard ça t’a plu ?
Le jeune homme est encore sous le coup de la découverte et il est enthousiaste.
-Oui ! Super, c’est la première fois que je fais l’amour à plusieurs.
Sylvie se trouve sur le canapé à côté de son mari, Gérard est en face. Reposant son verre vide, elle écarte légèrement les jambes et se met à caresser son petit bouton tout en regardant Gérard d’un air vicieux. Lui a les yeux rivés sur la chatte, Robert caresse le sein à sa portée de sa femme. La scène est d’un érotisme rare et Gérard se remet très vite à bander.
Sylvie qui ne quitte pas le sexe du garçon regarde avec des yeux ronds le sexe se redresser peu à peu pour pointer très vite vers le plafond.
Robert murmure :
-T’as vu comme tu l’excite !
Sylvie, les yeux mi clos et la bouche ouverte ne dit rien.
Robert ajoute doucement :
-Montre lui bien ta chatte !
Sylvie remonte les jambes à fond et pose ses pieds sur le canapé. La chatte est ainsi ouverte et exposée de façon obscène. Gérard, fou de désir s’approche, se met à genoux pose sa bouche sur le sexe juteux et odorant. Sa langue fouille la chatte.
Sylvie commence à râler de bonheur.
-Ah oui ! Oui bouffe moi la chatte salaud ! Oui ! Ah oui !
Robert caresse toujours la belle poitrine, demande :
-Il te suce bien ma chérie ?
-Oui ! Oh oui !!
Elle agrippe Gérard par les cheveux et applique le visage vers son con béant.
Sylvie ne peut résister longtemps à cette caresse et se met à jouir.
-Ouiiii ! Ouiiii ! Ahhhhhh !
Gérard se régale d’une mouille abondante qui lui arrive en saccade, par petits jets, comme un homme qui décharge. Il avale et continue de la sucer tout le temps que dure la jouissance. Les cris s’arrêtent.
Gérard, le visage barbouillé se redresse et regarde le visage ravagé de Sylvie qui a les yeux fermés la tète posée sur l’épaule de son mari.
La bite de Gérard est fièrement dressée et s’agite par a coups, témoignant d’un désir intense.
Sylvie récupère. Ouvrant les yeux, elle constate l’état de Gérard, se lève et dit :
-Viens, j’ai encore envie de ta queue.
A peine arrivée dans la chambre, elle se met sur le lit en position de levrette et dit d’une voix sourde :
-Vas y ! Baise moi fort !
Gérard se met derrière elle et la pénètre d’un grand coup de reins. La fille pousse un cri.
-Ahhhhh !
Puis ses cris se transforment en gémissements de plaisir, qui deviennent de plus en plus audibles.
Robert est assis à côté de Sylvie et lui pelote la poitrine. Sylvie ne tarde pas à jouir sous les coups de boutoir de Gérard. Il diminue la cadence quand les cris de jouissance s’arrêtent. Sylvie se couche lentement à plat ventre sur le lit, entrainant Gérard qui reste planté en elle. Le souffle court, elle récupère lentement. Au bout d’un moment elle dit à Gérard :
– Relève-toi un peu, je vais me mettre sur le dos.
Il obtempère. En se déhanchant elle se tourne en faisant passer doucement sa jambe droite sous le corps du garçon et se met sur le dos, le sexe du garçon toujours fiché en elle.
Elle met les mains derrière la nuque du garçon, l’attire vers elle, lui dit :
-Tu vas encore me faire jouir ?
Il fait signe que oui et recommence des mouvements de va et vient. Elle croise ses jambes dans son dos.
Elle fait durer le plaisir, c’est elle qui impose le rythme tandis que Robert admire le visage de sa femme, déformée par le plaisir. Gérard lui a de plus en plus de mal à se retenir, il sent qu’il ne va pas tarder à se vider et il halète de plus en plus fort.
Enfin avec de grands cris Sylvie jouit, Gérard qui n’en pouvait plus se libère lui aussi.
-Tiens ! Tiens ! Ahhhhh !
Ils jouissent de concert sous les yeux de Robert qui se caresse. Gérard s’écroule sur le corps abandonné, Sylvie l’étreint, lui caresse le dos, les fesses.
Elle murmure à son oreille :
-Tu m’as baisé comme jamais je l’ai été !
Gérard, flatté lui sourit, reste en elle. Elle dit :
-Je sens que ça coule.
Il se retire doucement tout en regardant sa queue qui sort, souillée de mouille et de sperme.
Elle se lève te se précipite vers la salle de bains. Gérard la suit.
Ils reviennent, Robert est allongé, toujours en train de se masturber. Sylvie monte sur le lit et se met à genoux devant lui, lui prend le sexe et l’avale goulument. Gérard admire sa technique. Elle suce divinement bien et Robert semble se régaler.
Gérard s’assoit sur le lit à côté de Sylvie, légèrement en retrait de façon à bien voir son cul bien galbé et tendu de par la position cambrée. Doucement il pose la main sur les fesses, elle s’insinue dans la raie profonde. Sylvie sous l’effet de la caresse cambre le dos au maximum puis écarte largement les jambes. Gérard voit les plis de l’anus se serrer et se desserrer quand ses doigts s’attardent dessus.
Il se met lui aussi à quatre pattes et sa langue vient fouiller la petite rosace sensible. La fille émet des grognements, il cesse sa caresse, laissant Sylvie continuer sa fellation. Robert gémit de plaisir sous la caresse de sa femme, il n’est pas loin d’éjaculer apparemment. Gérard se contente de faire des caresses légères sur les belles fesses tendues pour l’instant. Robert halète, il va jouir.
-Ahhh ! Oui ! Je vais jouir ma chérie ! Ahhhh
Sylvie continue sa fellation. Elle le suce et aspire jusqu’à la dernière goutte.
Gérard se penche à nouveau et titille la petite rosace avec sa langue tout en écartant les fesses. Sylvie met sa poitrine sur le lit et râle de plaisir sous la caresse. Robert lui caresse la tête en admirant le spectacle. Pendant ce temps la femme se caresse le clitoris. La jouissance vient très vite sous cette double caresse. Sa bouche sur le lit amortit ses cris qui durent longtemps. Puis elle s’affale sur le côté, morte de plaisir.
Gérard s’allonge à côté d’elle, il bande de nouveau. Il se masturbe doucement.
Sylvie rouvre les yeux, elle demande à son mari :
-Je t’ai bien sucé mon chéri ?
Robert assure que oui puis, désignant la queue de Gérard :
-Je crois que lui aussi a envie de ta bouche ma chérie.
Elle ne se fait pas prier et avale aussitôt avec difficulté le membre tendu. Gérard s’allonge sur le lit, croise les jambes dans le dos de la femme. Il a n’a eu dans sa vie sexuelle que peu de partenaires et Sylvie est la meilleure suceuse qu’il ait jamais rencontrée. En même temps qu’elle le membre, elle caresse les couilles, les effleure, ses doigts vont aussi explorer son anus. Gérard est fou de désir. Sous le regard de Robert il ne tarde pas à jouir de belle façon. Elle ne le libère que quand plus rien ne sort de la belle queue qui doucement diminue de volume.
Gérard reste un moment ainsi, récupérant de sa jouissance.
Tournant la tête, il aperçoit le couple enlacé, le regardant en souriant. Il leur dit :
-Jamais autant joui !
Ils retournent dans le salon, boire un dernier verre. Le couple lui promet de le contacter pour un autre rendez vous du même genre. Ils se donnent leur numéro de téléphone.Ils se séparent enfin en s’embrassant et Gérard retourne chez lui le cœur léger et l’âme en fête, pensant déjà aux futures rencontres avec ce couple …et d’autres.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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