Résumé de l’épisode précédent : À la recherche d’une plage tranquille cet été, je découvre le naturisme.Hier soir, j’ai répondu favorablement à l’invitation de Daniel de venir prendre l’apéro sur la plage et d’y rester manger jusqu’au coucher de soleil.Aujourd’hui, bien que présent au travail, j’avoue avoir les idées ailleurs. La journée d’hier m’a beaucoup plu, mais elle m’a aussi beaucoup perturbé.Mes relations avec les filles ont été très… conventionnelles jusqu’à présent, et pour tout dire je n’avais jamais envisagé les choses autrement.Je me surprends à regarder certaines collègues en me m’interrogeant secrètement sur ce qu’elles peuvent faire de leurs soirées et week-ends malgré leur tenue assez stricte.Et si jamais je croisais quelqu’un que je connais sur la plage naturiste et textile, quel ne serait pas mon trouble ? Surtout si cette personne n’est pas nue.Malgré toutes ses pensées, j’irai ce soir retrouver mes nouvelles connaissances.C’est donc après 18 h que je les rejoins sur cette plage désormais connue et appréciée.À celle-ci, les plages principales sont encore envahies de monde, mais ce n’est pas le cas ici.Lorsque j’arrive sur le parking, il y a encore de nombreux véhicules stationnés, quand j’aperçois Sandrine, penchée dans le coffre de leur voiture, je suppose, bien occupée à fouiller à l’intérieur.Je la vois en sortir un sac glacière puis elle referme le coffre énergiquement.Je suis tout de suite surpris, car elle n’a pas vraiment fait d’effort vestimentaire pour revenir de la plage au parking, et sa courte tunique blanche peine à dissimuler ses fesses nues comme je viens de le constater.La glacière chargée sur l’épaule je la vois repartir, alors je tente de me garer rapidement. Je descends prestement et commence à la rattraper d’un pas rapide.Je suis toujours derrière elle quand je me mets à ralentir légèrement, car finalement il est assez plaisant de la suivre ainsi et de profiter de la vue. En installant le sac sur son épaule, elle a coincé un morceau de sa tunique qui ainsi remonte sur sa fesse dénudée.À mi-chemin, car je ne suis pas totalement goujat, je l’interpelle, la salue et lui propose de l’aider évidemment.Je m’approche d’elle, sa tunique est aussi courte que décolletée, ne cherchez pas d’où vient le dérèglement climatique, elle réchaufferait n’importe quoi avec sa tenue et je suis le premier en a subir les conséquences.Elle pose son sac et se colle à moi pour me claquer la bise, ou plutôt quatre bises bien appuyées, devrais-je dire.Elle en profite pour coller sa poitrine contre moi, accueil réussi, je suis déjà ravi d’être là.Je me saisis de son sac et l’accompagne jusqu’à leur emplacement, amusé des regards appuyés portés sur Sandrine lors de notre remontée à pied. Eh oui, je ne suis pas le seul à apprécier sa tenue.Comme la veille, Daniel me propose de m’installer à leurs côtés pour profiter de la soirée ensemble.Je me déshabille tranquillement alors que Sandrine a déjà retiré sa tunique d’un geste rapide.La plage n’est pas déserte, mais elle s’est quelque peu vidée, nous sommes donc relativement tranquille, assez éloignés des autres personnes et surtout tout enfant a disparu de l’horizon.Nous profitons du calme pour discuter, faire un peu plus connaissance cette fois-ci.Ils sont surpris de mon jeune âge et Sandrine me dit être très flattée, car il est rare qu’un jeune homme de vingt-deux ans la regarde ainsi avec autant de gourmandise.Ils me font part de leur vie, de leurs expériences et de leur plaisir à venir ici chaque été. Il leur arrive parfois de faire une infidélité en allant du côté de la pointe d’Arcay. La plage y est beaucoup plus grande, encore plus sauvage, et les dunes à perte de vue sont de véritables terrains de jeu pour enfants et adultes.Le temps passe et Daniel propose de prendre l’apéro.Mince, je suis sorti rapidement de ma voiture et j’en ai oublié mon sac avec la bouteille et de quoi grignoter. Me voilà bon pour faire demi-tour.Sandrine se lève et me propose de m’accompagner jusqu’à ma voiture.Elle enfile sa tunique, qui est toujours aussi courte et décolletée.De mon côté, j’attrape mon pantalon, mais Sandrine arrête mon geste en me disant de prendre le short de Daniel qui sera plus rapide et plus simple à enfiler.Il m’est un peu grand, mais ça fera l’affaire.Nous partons en rigolant de mon allure, un sportif qui aurait perdu 10 kg et dont le short descend dangereusement bas sur ses fesses !En chemin, Sandrine n’hésite pas à s’exposer un peu plus qu’il ne faudrait aux rares regards que nous croisons.Même si je suis un peu gêné, son audace me plaît beaucoup.Comme pour me rassurer, elle me prend par la main durant notre trajet.Une fois sur le parking, je me dirige vers ma voiture quand Sandrine me dit vouloir m’attendre à proximité du chemin.Je n’en ai pas pour longtemps, car il n’y a qu’un sac à prendre.La voiture refermée, je reprends le chemin d’accès et retrouve Sandrine qui m’attend sagement, assise sur un rondin de bois. Sagement… si l’on excepte la vision à peine dissimulée de son entrejambe offert à tous.Nous retournons en direction des dunes quand Sandrine me demande de l’attendre un instant, histoire de soulager une envie pressante.Elle s’écarte du chemin principal et se dissimule comme elle le peut dans un chemin parallèle.Je patiente plusieurs minutes quand je vois arriver de ce chemin un homme seul, qui ne semble pas équipé pour la plage, mais plus pour l’observation d’une certaine faune locale.Je rigole, car il a dû être servi en croisant Sandrine à ce moment-là.Puis je la vois revenir à son tour, sourire aux lèvres et tunique à la main.Elle m’explique qu’elle a retiré sa tunique pour ne pas la salir et qu’elle a été surprise par un homme qui s’est arrêté pour la regarder faire, ce qui ne l’a pas empêché de se soulager, tant pis pour lui.Nous reprenons le chemin principal, elle tient toujours sa tunique à la main, et rejoignons Daniel qui nous attend.L’apéro est joyeux, la température, encore agréable, et le ciel commence à changer de couleur.Seuls quelques retardataires profitent de la plage comme nous désormais.Nous rigolons beaucoup, car Sandrine nous raconte bon nombre de scènes d’exhib passées, dont certaines parfois étranges ou drôles dans la réaction des observateurs. Daniel corrige parfois ou agrémente ses propos avec sa propre vision et raconte certains moments qu’il a particulièrement appréciés.Je suis pendu à leurs lèvres, car je découvre un univers totalement inconnu, vers lequel je me sens attiré. C’est fou l’imagination que peut avoir un couple uni et légèrement exubérant.Finalement, Daniel en vient à lui proposer de jouer ce soir, mais comment s’exhiber sur une plage naturiste ?Après une longue réflexion, il lui propose alors de marcher sur la plage, nue, tout en me promenant.Je le regarde dubitatif.Il me précise qu’elle devra me tenir par le sexe tout en marchant, comme une laisse finalement, et qu’elle ne devra pas me lâcher.Pour valider le défi, elle devra marcher jusqu’à l’entrée de la plage que nous avons suivie, puis aller jusqu’à l’autre entrée et revenir.Défi relevé par Sandrine ! Moi, on ne me demande pas mon avis… et j’avoue avoir peur à cette idée.Sandrine se lève et me tend la main. Je me lève à mon tour, tout penaud.Elle se saisit de mon sexe qui s’était recroquevillé comme pour se protéger et elle commence à marcher en direction de l’entrée de la plage. Je suis bien obligé de la suivre.Comme pour me mettre à l’aise, son pouce me caresse doucement le gland.Nous nous approchons de l’entrée désertée, ouf, puis nous redescendons au bord de l’eau.Sa main se fait plus audacieuse et maintenant ses doigts courent le long de mon sexe en une caresse subtile, discrète et terriblement efficace.Il ne me faut pas longtemps pour me retrouver la verge gonflée, dressée et solidement tenue par Sandrine.Je crois qu’elle apprécie, car ça lui permet de s’éloigner légèrement de moi et de révéler un peu plus notre jeu, de le pimenter en quelque sorte.Nous marchons ainsi, libres de toute contrainte, et je commence à y prendre un certain plaisir mêlé à de la peur.Nous croisons un couple main dans la main, dans les âges de Daniel, qui nous salue sans plus de formalités si ce n’est un regard traînant sur la main de Sandrine.L’excitation s’ajoute au plaisir de marcher nu et n’apaise en rien mon état.Je n’aurais jamais imaginé cela et la réaction du couple me surprend d’autant plus.Nous remontons vers l’autre sortie où se tient un homme seul. Sandrine ne change pas de direction et resserre son étreinte, puis me tire au pied de la dune et du chemin tout en imprimant de légers mouvements de masturbations. L’homme nous observe très clairement et ne bouge pas. Sandrine passe à côté de lui et s’arrête en haut de la dune pour regarder la vue. Sa main ne s’arrête pas quant à elle, et à aucun moment elle ne regarde mon sexe.L’homme ne bouge pas et observe la scène. Nos regards se croisent, le mien est gêné, le sien envieux et excité.Puis nous retournons vers Daniel, comme si nous revenions d’une simple balade. Simple ? Pas pour moi.Daniel la félicite, défi relevé avec mention ! Puis se tournant vers moi il me fait remarquer que la promenade n’a pas dû être si désagréable compte tenu de ma belle forme.Nous nous asseyons, Sandrine reprend mon sexe dans sa main et commence à me masturber en regardant son mari. Cette fois, le geste est plus ample et plus vif. Je me laisse faire sans aucune prise d’initiative. Je sens comme un regard de défi dans les yeux de Sandrine qui caresse un autre que son mari.C’est très bon, totalement interdit et particulièrement inédit.Daniel décide de ne pas rester simple spectateur et se caresse également face à nous, mais il n’est pas encore aussi excité que moi.Il dit à Sandrine que lorsque nous serons sur le point de jouir, il veut qu’elle s’allonge pour que nous éjaculions sur ses seins.Cette simple phrase réussit à faire monter la tension d’un cran supplémentaire.Daniel prend son temps et ne quitte plus des yeux la main de sa femme. Il semble très à l’aise… presque habitué. Je me surprends à le regarder faire, à détailler mentalement son sexe, son gland, ses testicules. J’observe la façon dont il se masturbe et je la compare à ce que je fais habituellement quand je suis seul.Sandrine passe son regard de l’un à l’autre, sa main libre est maintenant descendue jusqu’à son sexe ouvert, deux doigts reposent sur son clitoris et entament une danse rythmée.Je ne la quitte plus des yeux, c’est la première fois que je vois une femme se caresser devant moi.Je sens le plaisir monter, à ma respiration qui s’accélère. Sandrine s’allonge sur le dos et me laisse achever son œuvre.Je me mets à genoux à ses côtés et, oubliant le lieu et la réalité des choses, j’entame une ultime série d’aller-retour des plus torrides.Je jouis. Je jouis sur elle.Mon sperme se répand sur son sein droit puis sur son ventre. Je la caresse du bout de mon sexe, je suis au paradis.Puis elle m’empoigne le sexe et se joue de mon plaisir en me caressant le gland avec les dernières gouttes.Daniel se lève à son tour et me rejoint de l’autre côté pour arroser le sein gauche de sa femme, cette fois c’est elle qui le masturbe jusqu’à la jouissance. Il éjacule longuement en me regardant.Puis, lentement, Sandrine se redresse sur les coudes, notre nectar coule sur son ventre, elle nous regarde tour à tour avant de reprendre sa propre masturbation.Sa jouissance est rapide et intense, comme un cadeau pour moi. Son corps se tend, l’espace d’un instant, puis retombe comme apaisé.Je suis fatigué, le plaisir et l’émotion ont été forts et tellement nouveaux.Sandrine nous regarde et sourit, elle semble heureuse de son traitement.Je la remercie ainsi que Daniel, et ils me disent que le plaisir était aussi agréable pour eux. Ils sont contents de m’avoir fait découvrir cela.La soirée s’est poursuivie, ponctuée par quelques attouchements et caresses osées, puis nous sommes rentrés jusqu’au parking à la nuit tombée, Sandrine avec sa tunique dans son sac, nous tenant chacun par le sexe.Nous nous sommes embrassés pour nous dire au revoir, les seins de Sandrine collés à mon torse, puis nous sommes partis chacun de notre côté, sans jamais nous revoir…Je suis retourné de nombreuses fois sur cette plage, sans jamais y vivre de tels moments, quelques exhibitions plus classiques c’est vrai, mais rien de si poussé et osé.Un jour qui sait…