Découvertes sauvages – Partie 2
La soirée de camping dans la nature a pris une sacrée tournure érotique. Le trio a pris son pied et leur plaisir a attisé l’excitation de tous. Mais ce n’est encore que le début et la soirée risque de devenir très très chaude.
Proposée le 3/02/2021 par Caramelle Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: GroupesLieu: Forêt, campagne, natureType: Fantasme
Pendant que mon corps découvrait doucement celui de Max, j’entendais les corps de David, Julien et Élise s’entrechoquer sourdement, leurs gémissements et leurs râles de plaisir, le clapotement de l’eau suivant la cadence de leurs ébats. Je sentais la mouille imbiber ma culotte et venir presque couler le long de mes cuisses. Je n’avais jamais encore été aussi excitée lors de simples baisers. Max enleva mon t-shirt, agrippa mes seins, en porta un à sa bouche et lécha lentement mon téton. J’avais les mains dans ses cheveux et je prenais plaisir à tirer doucement sa chevelure épaisse. J’ondulais maintenant sur lui et sentais son sexe en érection contre ma vulve, à travers mon short et ma culotte. Je rêvais de le goûter, de le sucer, de l’avaler. Il était toujours en train de me caresser les seins tandis que sa bouche découvrait le haut de mon corps. Je me dégageai de son étreinte et me mis à genoux devant lui, j’avais une folle envie de le sucer. J’enleva son short et lui caressa le sexe à travers son caleçon, tout en plantant mon regard dans le sien. Il m’excitait tellement. Je sortis enfin sa verge de son caleçon et la contemplai avec délectation. Je commençai par lui gober lentement les boules et lui titiller la base de sa verge. Je lui léchai doucement le gland et le trouvai déjà humide d’excitation. Je crachai néanmoins sur le haut de son sexe afin de le préparer à la moiteur de ma vulve. Je passai ensuite ma langue de haut en bas sur sa queue et le pris enfin en bouche. Sa verge était douce et son gland bien gonflé. Je sentais contre ma langue et les parois de ma bouche les nervures de son sexe dur. J’adorais le sucer. Je le regardais et je voyais le plaisir grandir dans ses yeux en même temps que sa verge durcir entre mes lèvres. Je le suçais longtemps et avec application. J’avais presque envie de le faire jouir dans ma bouche, mais j’avais encore plus envie qu’il me prenne. Je tremblais d’excitation et étais déjà si proche de l’orgasme alors que je n’avais même pas encore été touchée. Je ne pus me contenir, je voulais jouir. Je glissais une main entre mes cuisses et me caressai tout en continuer à caresser de ma bouche son sexe. Je jouis très rapidement, au bout de quelques instants à peine, tellement l’excitation cumulée d’observer les autres faire l’amour à trois et ce moment avec Max était intense. Max se laissa glisser pas terre, devant moi, et m’embrassa avec fougue, puis me murmura à l’oreille que j’étais sublime quand je jouissais. Nous étions à genoux, l’un contre l’autre et sa verge dressée était entre mes cuisses, contre mon sexe. Tout en m’embrassant, il me coucha sur l’herbe, enleva mon short, puis ma culotte. Il descendit ensuite vers mon bas-ventre, en accompagnant de sa langue son parcours. Elle se fraya un chemin entre mes lèvres, parcourut de bas en haut mon sexe et s’attarda sur mon clitoris. Sa langue était douce et alternait caresses appuyées et légères. Il me léchait merveilleusement bien. Avec deux de ses doigts, il me pénétrait. Je sentis les vagues de plaisir déferler dans mon corps. Il s’attarda ensuite sur mon point G et je sentis l’orgasme arriver. Il arrêta de me lécher et vint me doigter plus fortement, ses doigts en crochet stimulant mon point G. Je ne pus retenir mes cris et jouis bruyamment tandis que de mon sexe giclaient des gerbes de mouille. Cet orgasme prit tout mon corps et me submergea de plaisir. Max avait l’avant-bras trempé. Je n’en revenais pas d’avoir joui déjà deux fois, en si peu de temps. J’étais tellement excitée. J’en voulais encore. Je le voulais en moi. Il s’allongea sur moi et caressa doucement mon sexe avec sa verge. Je sentais son gland répandre ma mouille dans chaque repli de ma vulve. Nos deux sexes l’un contre l’autre étaient si gonflés d’excitation, si mouillés, si doux. Il vint enfin à l’orée de mon vagin et me pénétra doucement, avançant centimètre par centimètre en moi. J’avais les yeux rivés dans les siens, voyant son plaisir grandir au fur et à mesure qu’il s’enfonçait en moi. Il le fut enfin entièrement et je le sentais tellement bien en moi. Il me pénétra d’abord doucement avec sensualité, presque avec douceur mais augmenta sa cadence ensuite. Il me prenait fort et me changeai avec aisance de positions, comme si mon poids n’était pour lui qu’une formalité. Nos corps s’emboîtaient à merveille et nos rythmes s’adaptaient l’un à l’autre, comme de vieux amants ayant l’habitude du corps de l’autre. J’adorais le sentir en moi, voir son regard, embrasser sa bouche, planter mes ongles dans son dos, lécher la peau fine de son cou. Il avait les mains sur mes seins tandis que j’ondulais sur sa queue. Je le regardais avec ses yeux foncés brillants d’excitation et ses lèvres ouvertes. Je pouvais voir son cou large et ne put résister à l’enserrer de ma main. Il gémit. Il m’asséna une claque sur les fesses d’un bruit sec qui me surprenait presque. Je me mordis les lèvres lorsque mon souffle se fit haletant. J’accélérai ensuite le rythme de mes hanches tandis que mes gémissements se mêlaient aux siens. Il me repoussa, prit mes jambes sur ses épaules. Pendant qu’il me pénétrait, il me prit d’un geste décidé le visage entre les mains et me cracha doucement entre les lèvres. Ça m’excita terriblement. Je sentais sa salive chaude dans ma bouche et l’embrassai avec une infinité de désir, caressant de nos langues ma salive, la sienne ainsi que le mélange des nôtres. Il me retourna ensuite sur le ventre et appuya son corps contre le mien, tout en se frayant un passage entre mes lèvres avec sa queue. Je sentais le poids de son corps sur le mien, son torse un peu moite contre mon dos tout aussi humide. Je sentais son odeur chaude qui m’excitait tant. Je sentais la chaleur de son souffle excité sur ma nuque. Je sentais ses lèvres sur mon cou, sur mon lobe, sur ma joue. Je sentais sa langue lécher mes lèvres. Il me pénétra fort et profondément. J’entendais son bas ventre claquer contre mes fesses avec des bruits sourds en même temps que je sentais ses boules venir frapper ma vulve. Il m’assénait de temps en temps d’un coup sec des fessées que je lui réclamais, attisant ainsi mon plaisir. Des vagues de plaisir intense parcouraient mon corps. Mon bas ventre semblait irradier de la chaleur et elle paraissait s’étendre dans tout mon corps. Je sentis mon orgasme arriver doucement dans un état presque de transe, ma conscience étant presque submergée par l’intensité du plaisir. Son orgasme provoqua le mien, tandis que je sentais sa semence chaude m’emplir. Je jouis.Nous étions allongés l’un à côté de l’autre, le souffle court et le sourire aux lèvres. Je me sentais terriblement bien, mon corps était détendu et satisfait. Des vagues diffuses de plaisir irradiaient encore doucement de mon bas ventre tandis qu’il me caressait gentiment la cuisse, faisant tendrement glisser sa main de mon genou à mes fesses. Je reprenais lentement mon souffle quand je réalisais que les trois autres étaient non loin de nous et nous observaient. J’ignorais depuis combien de temps ils avaient fini leurs ébats et regardaient le nôtre. Je n’étais normalement pas très à l’aise avec l’exhibitionnisme sexuel mais dans cette configuration là, ça me plaisait presque qu’ils nous aient regardé. J’avais pris tellement de plaisir à les contempler que j’espérais avoir pu leur rendre un peu la pareille et que de m’observer prendre mon pied avec Max avait été une source d’excitation autant qu’ils l’avaient été pour moi. La question a été vite répondue quand Élise, qui s’était approchée de moi, s’allongea lentement sur moi, planta ses yeux dans les miens et m’embrassa. Nous échangeâmes un baiser tendre et doux. Elle m’embrassa ensuite les seins tandis que je voyais une des mains caresser le torse de Max et descendre vers sa verge. David nous rejoignit et embrassa longuement les fesses d’Élise, qu’elle avait au demeurant somptueuses, et remonta le long de son dos. Son visage se retrouva à ma hauteur. J’eus un petit moment de recul quand il essaya de m’embrasser. C’était quand même le copain d’Élise et j’estimais énormément leur relation amoureuse. Je réalisai après qu’ils venaient de faire l’amour avec un autre homme et que c’était Élise qui m’avait embrassé, qui léchait actuellement mes seins tout en branlant une autre verge. Je l’embrassais donc à pleine bouche. Il avait la langue douce et j’aimais la caresser avec la mienne. Julien était lui en train d’embrasser Max tandis qu’Élise était en train de jouer avec le gland encore humide de Max. Je voyais le magnifique courbe de ses fesses juste à côté de moi et je devinais sa vulve humide. David me caressait doucement le sexe tandis que Max empoignait fermement mon sein et titillait mon téton. J’entendais les souffles des autres, des petits gémissements épars, la bouche d’Élise glisser sur le gland de Max et le bruit de mouille quand David me doigtait. Je sentais l’odeur de Max qui me plaisait tant, le doux parfum d’Élise et le musc fort de David et Julien. Il y avait une surabondance de stimulation et mon plaisir ne savait déjà plus où donner de la tête. Je venais d’avoir un énorme orgasme à peine quelques minutes auparavant et je sentais pourtant encore mon excitation intensément élevée. Je continuais à observer le galbe des fesses d’Élise, obnubilée par le lent balancier de ses hanches au rythme de sa bouche sur la verge de Max. J’avais terriblement envie de la lécher. Je glissais donc doucement mes mains sur ses fesses et les approcha de son sexe. Je la caressais gentiment, éparpillant sa mouille partout sur sa vulve. Je venais récolter sa cyprine à l’orée de son vagin, la dispersais doucement sur ses petites lèvres et m’attardais sur son clitoris déjà gorgé de sang. Elle était déjà si mouillée. Elle s’était relevée et s’était allongée sur le dos, ouvrant grand ses jambes et m’offrant son sexe. J’y plongea mon visage avec délectation. Le petit goût acide de sa mouille me plût, la goûter m’excitait énormément. Je la léchai lentement, de bas en haut sur l’entièreté de son sexe. Je m’arrêtai ensuite sur son clitoris, que je titillais de la langue. Je la doigtai ensuite, d’abord avec un doigt, puis deux. Je sentais son corps se contracter sous le plaisir et ses gémissements se faire de plus en plus fort. David s’était mis derrière moi et caressai doucement de sa verge mon sexe. Quand il me pénétra enfin, je ne pus retenir un râle de plaisir et doigta Élise plus fort. Il me prenait en levrette tandis que je léchais sa copine. J’avais tellement envie de la faire jouir. Je voyais ses seins se balancer au rythme des ondulations de ses reins. Je me concentrais sur son clitoris et passai le bout de ma langue autour. J’essayais de percevoir au rythme de sa respiration et des mouvements de son corps comment j’allais pouvoir la mener jusqu’à l’orgasme. David qui me pénétrait toujours compliquait légèrement ma concentration. Je sentais son corps venir lentement buter contre mon corps, son bas entre venant claquer mes fesses. Je calquai le rythme de David qui me pénétrait au rythme avec lequel je doigtai Élise, tout en la léchant. J’augmentais la cadence de ma langue sur son clitoris, la devinant au bord de l’orgasme. Je sentais les parfois de son vagin se resserrer autour de mes doigts, de plus en plus vite jusqu’à ce qu’elle jouisse, en poussant de longs gémissements. David me pénétra de plus en plus fort, maintenant que je n’avais plus le visage collé contre le sexe d’Élise. Son sexe, légèrement arqué vers la droite, venait stimuler des zones dans mon vagin dont je n’avais pas forcément l’habitude. Je prenais beaucoup de plaisir mais j’avais encore envie de Max. Je me dégageai donc de son étreinte, me releva, et me dirigea vers Julien et Max qui étaient un peu plus loin, à l’orée de la forêt. Max était contre un arbre et Julien, agenouillé devant lui, le suçait. Max avait la tête rejetée en arrière et les yeux clos. Il était beau et m’excitait beaucoup. J’avais encore envie de lui. Je m’approchai d’eux et Max m’attira contre lui et m’embrassa tandis qu’une de ses mains caressait mon sexe. Je l’entendais gémir doucement tandis que Julien le suçait. Ça me plaisait beaucoup de le voir autant excité et prendre son plaisir alors que je ne l’avais pas touché. Élise et David s’étaient eux aussi approchés de nous. Élise colla son corps contre mon dos et agrippa mes seins tandis que je sentais les siens plaqués contre mes omoplates. J’entendis le souffle de Julien s’accélérer alors qu’il suçait encore Max, sûrement sous les coups de reins de David qu’il le pénétrait. Max doigtait maintenant Élise en glissant une main entre mes cuisses et je me frottais contre la paume de sa main. David prit ensuite Élise et la plaqua contre le tronc d’un arbre à côté et la pénétra. Elle gémissait bruyamment. Max m’attira plus fort contre lui, me mordit les lèvres, me défia du regard et me retourna d’un coup sec contre l’arbre. Il me pénétra, ce qui m’arracha un râle de plaisir. Il me prenait fort et rapidement. Je sentais l’écorce du tronc me rentrer dans la peau de mon ventre et mes seins, sous le poids de son corps contre le mien.Je le sentis se retirer de moi tandis que quelqu’un d’autre était déjà en train de me caresser les fesses. Il me pénétra et j’ignorais si c’était David ou Julien jusqu’à ce que je reconnaisse l’odeur caractéristique de mon meilleur ami, que je connaissais si bien. Il me pénétrait doucement, avec beaucoup de sensualité tandis que sa bouche léchait et mordait mon cou. Je n’étais même pas perturbée que ce soit Julien, tellement toute cette soirée avait paru irréelle et terriblement excitante. J’entendais juste à côté de moi les gémissements d’Élise et de Max. J’entendis ensuite David près de nous et prendre Julien par derrière. David dictait le rythme de cette file de pénétrations et ce n’était pas pour me déplaire. J’entendais son corps venir claquer contre celui de Julien à la même cadence que je me faisais pénétrer. Julien gémissait bruyamment et je sentais ses muscles se contracter contre mon dos. J’étais terriblement excitée et glissai une de mes mains le long du tronc d’arbre pour venir me caresser. J’eus à peine le temps de commencer à me toucher qu’Élise s’était glissé entre mes jambes et me léchait. Je sentais sa langue douce venir découvrir ma vulve, lécher mes petites lèvres et titiller mon clitoris. C’était la première fois que je me faisais pénétrer en même temps que je me faisais lécher, c’était extrêmement excitant. Je sentais les vagues de plaisir parcourir mon corps tandis que mon orgasme arrivait. J’entendis encore le souffle court de David, qui pénétrait vigoureusement Julien, qui me pénétrait avec la même vigueur en gémissant tandis que la langue d’Élise sur mon sexe trempé ajoutait un doux bruit de succion mouillée. La combinaison des stimulations, autant corporelles qu’auditives était divine et je ne pus retenir mon orgasme plus longtemps. Je jouis avec bruit. Il me fallait un petit temps pour me remettre en me dégagea donc de l’étreinte de Julien. Élise s’empressa de prendre ma place. Max était à côté de nous et se branlait en nous regardant. Je m’agenouillai devant lui et le pris délicatement en bouche. J’aimais toujours autant le goûter. Je le suçai lentement et avec plaisir. J’entendais le bruit du corps des autres, leur souffle court et leurs gémissements saccadés. J’étais à nouveau terriblement excitée et avait envie de Max en moi. Je l’allongeai donc sur le dos et me mis sur lui. J’ondulais des hanches avec son sexe en moi en frottant ma vulve contre son bas ventre. Je sentis une personne me pousser le dos pour me forcer à m’allonger sur Max. la personne s’allongea sur moi et son odeur m’informa que c’était David. Il cracha dans ses mains et vint me caresser l’anus. Je n’étais d’ordinaire pas une grande amatrice du sexe anal mais j’étais tellement excitée et intriguée par ce qui allait suivre que je me laissais faire. David me pénétra tout doucement et avec précaution, tandis que Max remuait lentement des hanches sous moi, stimulant ainsi mon clitoris. David se retrouva bientôt complètement en moi. J’étais entre ces deux hommes, chacun occupait un de mes orifices et ça m’excitait terriblement. J’étais submergée par le plaisir. Je n’avais encore jamais ressenti ça. J’avais l’impression que mon corps allait presque imploser sous l’intensité du plaisir que je ressentais. Je sentais ces deux verges aller et venir au même rythme en moi, stimulant chaque zone érogène possible. J’avais l’impression que j’allais défaillir de plaisir tellement c’était submergeant. J’avais l’impression dans une nouvelle dimension, où je n’étais que peu consciente tellement que le plaisir de mon corps était omniprésent. J’étais à un tel niveau de plaisir que j’avais l’impression d’être en orgasme permanent et pourtant je sentais ma jouissance augmenter encore et encore. Je sentis tout mon être lâcher prise en même temps que le plus gros orgasme que j’ai jamais vécu m’envahit. Tout mon corps tremblait, j’avais l’impression de n’être qu’une masse de chaleur sexuelle irradiant le plaisir de partout. Après ce qui me sembla être une éternité, mon orgasme prit fin et je m’écroulai, absolument éreintée. David et Max, qui avaient vraisemblablement joui en moi, se retirèrent et nous nous retrouvions allongés les trois l’un à côté de l’autre, le souffle court. Julien et Élise étaient près de nous et avaient sans doute terminé leurs ébats car ils étaient eux aussi étendus sur le dos. J’étais épuisée et mon corps entièrement satisfait. Je me réveillai le lendemain dans la tente et tandis que j’émergeai lentement des effluves de mon sommeil, la soirée de la veille me revint à l’esprit et me parut si irréelle que je ne savais même plus si c’était un rêve ou la réalité. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donné l’exclusivité totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires érotiques choisies :
Découvertes sauvages – Partie 1
Tendres Découvertes 5 – Et maintenant ?
Tendres Découvertes 4 – Nuit
L’évolution de Céline – Découvertes
Et si on réalisait du porno? 2/5 – Rencontres et découvertes