Dentelles et chiffons 3 : La transformation de Dolores
Pendant la fermeture du magasin pour la transformation, Angélique et Katia s’attellent à transformer Dolores, leur vendeuse. Voir les épisodes précédents
Proposée le 24/02/2016 par Marc Paul Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: GroupesLieu: A la maison, intimeType: Roman
Les travaux du magasin avançaient conformément aux prévisions. Angélique et Katia mettaient la pression sur les entrepreneurs afin qu’ils respectent leur délai. Elles n’hésitaient pas à jouer de leur charme et Katia alla même jusqu’à promettre un diner en tête à tête au patron de l’entreprise qui était chargée de l’agencement et de la décoration de la future boutique, une fois les travaux terminés.Elles avaient aussi un autre sujet de préoccupation. Et ce sujet était Dolores, leur employée. En effet, les deux jeunes femmes voulaient donner à leur future boutique, un style fait de qualité, de luxe, de service au client. Pour cela, elles avaient convenu que l’apparence des vendeuses devait être en accord avec le style de la boutique. Pour elles, il n’y avait pas de problème, elles aimaient et savaient se vêtir de façon élégante et sexy sans jamais être vulgaires. La difficulté venait de leur vendeuse, Dolores. La jeune femme était déjà l’employé de Monique avant qu’Angélique ne lui rachète sa boutique. Angélique l’avait gardé et Dolores donnait toute satisfaction dans son travail. Le souci, partagé par Angélique et Katia, était que Dolores, malgré toutes ses qualités avait un look qui correspondait assez peu avec ce qu’elles attendaient.Petite brune d’une quarantaine d’année, elle portait toujours des chaussures plates qui tassaient sa silhouette bien en chair. Elle semblait ne pas se soucier de la mode et encore moins de son apparence, s’habillant tout au long de l’année de jupes bleu marine, marron ou grise, qui lui arrivait en dessous du genou et de pull fin ras-le-cou dans des tons aussi ternes que ses jupes. Pas de bijoux, pas de maquillage et des cheveux mi- longs complétaient ce tableau insipide. À cela il fallait ajouter, des grosses lunettes à monture épaisse qui lui mangeaient le visage. Dolores passait tellement inaperçue que souvent les nouvelles clientes ne la remarquaient pas quand elle n’était pas à la caisse.
Pourtant, en discutant de cela, Angélique et Katia avaient convenu que Dolores pouvait être très jolie si elle voulait bien s’en donner la peine. Elles avaient fait ce constat récemment, alors qu’un soir après la fermeture, Dolores avait demandé à acheter quelques sous-vêtements avant qu’ils ne soient soldés. Elle avait évidemment choisi des pièces plutôt sages, toutes simples et les deux jeunes femmes avaient alors eu l’occasion de la voir en petite tenue. Dolores était beaucoup moins « boulotte » qu’elle ne paraissait. Ses jambes était belles, bien dessinées avec des attaches fines, ses hanches larges encadraient un petit ventre rond, sa poitrine belle et ronde se tenait bien.
Les deux jeunes femmes avaient décidé de parler à Dolores et de l’inciter à s’habiller autrement. Elles étaient prêtes à la faire profiter de leurs conseils. Elles attendaient juste le bon moment. Celui-ci arriva quand, la boutique fermée après les soldes pour faire les travaux de réunion des deux magasins, elles avaient, toutes les trois, vidés les rayons et tout rangé dans la réserve. En fin d’après-midi, elles se retrouvèrent toutes les trois dans le bureau pour boire un café bien mérité. Elles prirent place sur le canapé et les deux fauteuils qui meublaient un angle de la pièce refaite à neuf.
Angélique commença :
Dolores, nous aimerions te parler.
Ah. Qu’est-ce qu’il y ? Demanda Dolores, inquiète.
Rien de grave mais Katia et moi pensons que c’est important.
Tu connais les orientations, le style que nous voulons donner à notre boutique. Continua Katia.
Oui, bien sûr. Vous m’en avez parlé si souvent. Répondit Dolores.
Effectivement, c’est quelque chose qui nous tiens à cœur. Repris Angélique. Et nous voudrions te dire, en toute franchise que…comment dire…surtout ne le prends pas mal…que ton look, ta façon de t’habiller ne correspond pas bien avec ce nouveau style. Nous sommes prêtes à te donner des conseils si tu le veux…..
Angélique s’interrompit car Dolores éclata en sanglot. Elle regarda Katia, l’interrogea du regard pour essayer de savoir si elle avait dit quelque chose de blessant mais la moue étonnée de son amie lui fit comprendre que Katia était dans la même incompréhension qu’elle. Angélique alla s’asseoir à coté de Dolores sur le canapé.
Je suis désolée, Dolores, si je t’ai blessée mais c’est totalement involontaire de ma part.
Et joignant le geste à la parole, elle posa un petit bisou sur la joue de Dolores couverte de larmes.
Ce n’est rien… tu ne pouvais pas savoir…si je m’habille comme ça, c’est exprès. Répondit Dolores entre deux sanglots.
Et tu veux bien nous raconter ? Demanda Katia en venant rejoindre les deux femmes sur le canapé et en faisant elle aussi un bisou à Dolores.
Dolores leur raconta son histoire, la voix entrecoupée de sanglots qu’elle ravalait en reniflant.
Elle était née en Espagne, près de Séville et y avait vécu jusqu’à ses dix-sept ans. Un compatriote plus âgé qu’elle, qui travaillait en France, l’avait rencontrée alors qu’il passait ses vacances au pays. Il l’avait épousée et amenée à Paris. Quand, bout de quelques années, ils s’étaient rendu compte qu’ils ne pouvaient pas avoir d’enfant, son homme était devenu alcoolique et violent. Il frappait sa femme sans raison, surtout quand il avait bu. Elle avait vécu un enfer pendant une dizaine d’années jusqu’à ce que, à cause de l’alcool, il soit victime d’un accident mortel sur un chantier de construction.
Dolores s’était alors trouvée dans l’obligation de travailler. Elle avait trouvé des emplois de femme de ménage et avait dû subir souvent le harcèlement de la part de collègues ou d’employeurs. C’est à ce moment qu’elle avait décidé de s’habiller de cette façon, pour se cacher des hommes, pour ne pas attirer leur attention par sa coquetterie. Après avoir changé plusieurs fois d’employeur, elle avait trouvé cet emploi de vendeuse dans la boutique de Monique et ça lui avait bien plu car, au moins, dans une boutique de lingerie la clientèle était presque exclusivement féminine.
Angélique et Katia l’avait écoutée sans l’interrompre. Elles se regardaient d’un air incrédule. Angélique lui dit doucement :
C’est du passé tout cela maintenant et si tu veux bien nous allons t’aider Katia et moi.
C’est vrai ? Vous êtes gentilles toutes les deux.
Tu n’as jamais pensée à refaire ta vie ? Un homme, c’est bien tu sais.
Non, surement à cause de ce que m’avait fait vivre mon mari, les hommes me font peur. Même avant de devenir complètement fou à cause de l’alcool, il n’était pas très sympa, pas tendre, ni attentif à moi.
Tu veux dire que depuis que tu es veuve, tu n’as jamais…comment dire…excuse-moi d’être indiscrète…
…couché avec un mec. Non, jamais. Compléta Dolores. Et elle ajouta, résignée : De toute façon, même avec mon mari, même au début, je n’ai jamais connu le plaisir dont on parle.
Tu n’as jamais joui !!! S’exclama Katia.
Ben, non, jamais. Mon mari ne s’embarrassait pas de préliminaires. Il se couchait sur moi, relevait ma chemise de nuit et c’est tout. Ensuite quand il est devenu alcoolique, il ne me touchait plus ou juste de temps en temps, il me violait quand il était fatigué de me taper dessus et pas assez saoul pour dormir.
Ma pauvre Dolores, je suis vraiment désolé de t’avoir fait te rappeler de ces mauvais moments. Pourtant, il y a des mecs bien et j’aimerai bien t’aider à en rencontrer un. Se lamenta Angélique.
Ça m’a fait du bien de vous en parler. C’est vrai que si je pouvais rencontrer un homme qui me réconcilie avec les hommes en général, même si ce n’est pas pour la vie, juste comme ça, pour voir ce que c’est, je ne dirai peut-être pas non.
Et si je connaissais ce genre d’homme, aimerais-tu que je te le présente ? Lui demanda Angélique.
Tu ferais ça ! Oh, oui, j’aimerais bien. C’est qui ?
C’est un homme d’une trentaine d’années, beau gosse, et qui baise merveilleusement bien. Ajouta Katia, car elle avait compris où Angélique voulait en venir.
Ah, tu le connais aussi. Demanda Dolores.
Et toi aussi, tu le connais. Conclu Angélique.
Vous voulez dire que cet homme, c’est…Stéphane. Murmura Dolores abasourdie par ce qu’elle venait d’apprendre.
Exactement. Confirma Angélique.
Dolores avait du mal à revenir de sa surprise. Elle n’avait jamais osé imaginer que sa patronne lui proposerait de baiser avec son mari. Le jeune homme correspondait parfaitement à son gout, elle le trouvait beau, gentil même si il ne lui parlait que très rarement. Dolores aurait aimé avoir la chance de rencontrer un homme comme lui et depuis qu’il était en couple avec sa patronne, qu’ils se croisaient régulièrement, elle avait fait plusieurs fois des rêves érotiques dans lesquels elle succombait au plaisir dans les bras du beau Stéphane. Elle se réveillait invariablement le sexe gonflé et humide, quand, dans son rêve, Stéphane allait la pénétrer.
Dolores fit part de son étonnement, de ses réticences à Angélique qui lui répondait avec de bonnes raisons d’accepter sa proposition. Dolorès, à bout d’arguments, murmura :
De toute façon, Stéphane, ne voudra jamais. Il ne fait pas attention à moi, il doit me trouver moche. De plus, je ne sais pas ce que je pourrais lui apporter, mon expérience est nulle et je n’ai pas eu de contact avec un homme depuis quinze ans.
Angélique et Katia admirent que Dolores n’avait rien pour attirer le regard d’un homme. Mais elles la rassurèrent en lui affirmant que rien n’était perdu et qu’elle pouvait être très désirable si elle voulait bien s’en donner la peine. Joignant le geste à la parole, Angélique demanda les mensurations de Dolores et sortit. Elle revint quelques minutes plus tard de la réserve avec quelques ensembles de lingerie en déclarant :
Puisque nous l’avons sous la main, nous allons commencer ta transformation par la lingerie. J’ai trouvé quelques trucs qui devraient t’aller. 95D et L, c’est bien cela. Bon, ma chère Dolorès, tu vas essayer tout cela.
Dolores quitta son pull fin et sa jupe sans discuter. Elle hésita un peu avant de quitter son soutien-gorge et sa culotte. La séance d’essayage dura un long moment, Katia et Angélique complimentait Dolores sur ses formes généreuses, insistant lourdement pour la convaincre qu’elle était jolie et désirable. Dolores se détendit et choisit plusieurs parures, assez sexy et qui mettaient son corps en valeur. Elle accepta aussi une guêpière qui affinait sa taille, cédant à l’insistance de ses deux patronnes.
Le lendemain fut l’occasion pour Katia et Angélique de trainer leur employée dans des boutiques de vêtements et de chaussures. Elles réussirent à convaincre Dolorès de changer ses grosses lunettes pour des lentilles et lui obtinrent un rendez-vous chez une ophtalmologue. Celle-ci faisait partie de la clientèle et elles n’eurent pas trop de difficultés à avoir un rendez-vous rapide.
Quelques jours plus tard, Dolores était transformée. Elle se prenait au jeu de se vêtir de façon sexy, n’hésitant plus à mettre des robes courtes, des talons hauts, prenant plaisir à voir que les hommes se retournait sur son passage. Elle se fit même draguer gentiment alors qu’elle passait quelques heures dans le parc Montceau.
Angélique et Katia étaient satisfaites de la transformation de leur employée. Pourtant il leur restait la partie la plus importante, faire de Dolores une coquine qui se donnerait à Stéphane sans retenue. Elles étaient tombées d’accord pour ne pas la livrer comme cela aux mains de leur amant. Pour cela, Katia demanda à la jeune femme de venir passer un après-midi chez elle.
Dolores arriva à l’heure prévue. Pour l’occasion, comme le temps était chaud, elle avait passé une robe saumon, plutôt transparente qui laissait deviner ses sous-vêtements, un string blanc et un soutien-gorge balconnet blanc lui aussi qui mettait sa belle poitrine en valeur. La robe arrivait au-dessous du genou mais le bustier était très ajusté et très décolleté. Katia portait une robe elle aussi mais dans un tissu fluide, avec de gros motifs floraux qui tenait fermée par une large ceinture bleue comme ses yeux. Angélique arriva quelques minutes après la vendeuse. Elle portait un short très court qui moulait ses fesses et un petit bustier sans bretelles. Manifestement elle ne portait pas de soutien-gorge car ses seins bougeait au moindre de ses mouvements et les tétons pointaient à travers le tissu élastique.
Les trois filles se firent un thé et commencèrent à le déguster dans le salon. Les deux amies assises sur le canapé et Dolores, dans un fauteuil leur faisait face. Dolores remarqua assez rapidement qu’Angélique avait posé sa main sur la cuisse de Katia. La robe de la jeune femme s’était ouverte et dévoilait intégralement ses jambes. Elle nota que la main d’Angélique caressait doucement, presque machinalement, l’intérieur des cuisses de la jeune femme blonde. Katia ne semblait pas prêter attention à ce petit jeu mais l’ouverture croissante de ses cuisses témoignait du contraire.
Dolores était troublée par le spectacle des deux jeunes femmes. Troublée et gênée à la fois. Elle pensait prendre congé mais son trouble la retint. Elle n’était pas vraiment dupe du petit jeu que jouaient ses deux patronnes, elle savait que leur but était de l’exciter et cette excitation devenait très forte et la retenait.
La main d’Angélique remontait de plus en plus loin entre les cuisses de Katia. Les deux amies s’embrassèrent sur la bouche dans un long baiser et Angélique en profita pour libérer la taille de Katia de la large ceinture et ouvrit sa robe. La jeune femme blonde ne portait qu’un boxer en dentelle bleue. Les deux filles continuaient de s’embrasser et Katia fit glisser le petit haut d’Angélique. Les deux globes de sa poitrine s’épanouirent et Katia les pelota abondamment pendant que sa langue et celle de son amie s’enroulaient. Après un long moment, elles semblèrent reprendre conscience de la présence de leur employée. Une Dolores rouge d’excitation, les mains crispées sur les bras du fauteuil qui les regardaient fixement, la bouche entrouverte, un voile de désir dans son regard noir. Katia se leva, laissant sa robe glisser sur le canapé.
Dolores, as-tu envie de te joindre à nos jeux ?
Dolores avait la bouche trop sèche pour répondre. Pas un son ne sortit de sa bouche. Bien sûr qu’elle en avait envie. Ces deux filles lui faisaient entrevoir un moment de douceur, lui faisait espérer cette jouissance qu’elle n’avait jamais connu. Des sensations nouvelles parcouraient son corps, sa chatte se gonflait de désir, ses seins pointaient leur tétons. Elle ne put répondre que par un sourire et un regard. Katia s’approcha d’elle et lui tendit la main, l’invitant à se lever de son siège.
Dolores se retrouva debout devant Angélique. Katia fit glisser la fermeture éclair de sa robe et la laissa tomber sur ses chevilles. Elle fit glisser ensuite les bretelles du soutien-gorge sur les bras de Dolores. Quand elle le dégrafa, la grosse poitrine de Dolores s’affaissa un peu. Elle glissa ses bras sous les aisselles de la vendeuse et remonta les deux gros globes blancs laiteux de ses deux mains en coquilles. Elle pinça les gros tétons dardés, durcis par l’excitation. Angélique vint les rejoindre, elle enlaça la taille de Dolores et posa ses lèvres sur les siennes. Dolores restait inerte, les bras le long du corps. Quand la langue d’Angélique frôla ses lèvres, elle lui ouvrit le passage. La langue agile de la jeune femme pénétra sa bouche, l’investit, cherchant la sienne et s’enroula autour. Maladroitement Dolores lui rendit son baiser, laissa Angélique attirer sa langue en direction de sa bouche à elle. Elle frémit quand elle sentit les doigts d’Angélique se glisser sous l’élastique de son string.
Angélique remarqua avec plaisir que Dolores avait suivi ses conseils. Elle sentait sous ses doigts la toison pubienne de Dolores taillée de près. Elle continua l’exploration de l’entrejambe de la jeune femme et constata qu’elle avait opté pour un triangle de poil court, juste au-dessus de sa fente. Les grandes lèvres avaient été épilées et la peau de Dolores était lisse jusqu’à l’aine. Angélique s’accroupit devant Dolores. Elle fit glisser ses mains sur les cuisses potelées, remontant sur les fesses pour les pétrir, puis attrapa la ceinture de la petite culotte blanche et la fit descendre. Elle écarta de sa langue les petites lèvres boursouflées et humides, suça la fente rose, remonta jusqu’au clitoris gonflé. Dolores gémit, le contact de la langue d’Angélique sur son petit bouton faisait naitre des ondes de plaisir dans son ventre, ses tétons tendrement martyrisés par Katia participaient à son plaisir. Sans s’être vraiment concertées, les deux amies s’affairaient pour que leur employée jouisse le plus rapidement possible. L’une et l’autre pensaient que le temps des tendres câlins viendrait plus tard.
Dolores sentait ses jambes trembler. Elles ne la portaient plus et elle se laissa glisser lentement retenue par Katia. Elle se retrouva allongée sur le tapis, la tête d’Angélique entre ses cuisses grandes ouvertes. Katia l’embrassait à pleine bouche, étouffant ses gémissements. Elle continuait de lui caresser les seins, tordait ses tétons. Angélique la suçait et avait introduit deux doigts dans son con et la pistonnait vigoureusement. Le corps de Dolores se raidit brutalement, son dos se cambra, ses ongles s’enfoncèrent dans l’épais tapis. Elle cria, un cri aigu, long, prononça des mots dans sa langue natale :
Dios , ¿qué me está pasando? es bueno, es bueno mucho
Puis son corps, ses bras, ses jambes furent prises de mouvements convulsifs et son cri se transforma en petits gémissements aigus et saccadés.
Les deux amies cessèrent lentement leurs caresses, laissant Dolores s’enfoncer dans la douce torpeur qui suit le plaisir. Elle refit surface quelques minutes plus tard. Elle attira Angélique vers elle, l’embrassa à pleine bouche, découvrant sur ses lèvres le gout de sa propre mouille. Puis elle remercia de la même façon Katia. Elle tenta d’exprimer ce qu’elle avait ressenti, essayant vainement de décrire les sensations de son premier orgasme. D’habitude peu expansive, Dolores était un vrai moulin à paroles. Katia et Angélique l’écoutaient, amusées par la volubilité de leur vendeuse.
Le flot de paroles se tarit enfin. Dolores regarda les deux filles, semblant hésiter, puis elle se décida. Elle saisit Angélique par le cou, l’embrassa et se coucha sur elle. Immédiatement sans cesser de l’embrasser, elle entreprit d’ouvrir le petit short, de le faire glisser sur ses cuisses fuselées de sa patronne et introduisit sa main dans le string noir. Elle caressa Angélique sous le regard surpris de Katia. Les deux filles brunes roulaient l’une sur l’autre, se caressant, s’embrassant, se mordillant les tétons ou le lobe de l’oreille. Katia, surprise, hésitait participer à cet enchevêtrement de corps, de mains caressantes, de jambes emmêlées, de bouches entrouvertes desquelles s’échappaient des gémissements profonds ou de petits cris aigus. Dolores et Angélique se suçaient mutuellement en 69. D’abord maladroite, Dolores reproduisit sur la chatte d’Angélique les caresses que celle-ci lui prodiguait.
Katia quitta la pièce quelques instants et revint avec un gode ceinture qu’elle passa. Angélique était au bord de l’orgasme et Dolores n’était pas vraiment loin d’atteindre le plaisir elle aussi. Les deux filles gémissait de plaisir en se suçant et en se doigtant le con. Katia se plaça derrière Dolores qui chevauchait Angélique et elle enfonça le gode dans son con inondé. Le gros cylindre de plastique s’enfonça sans effort dans le fourreau de Dolores. Celle-ci jouit immédiatement, son clitoris agacé par la langue agile d’Angélique et son con remplit du gode que Katia faisait coulisser par de petits coups de reins. Angélique cria elle aussi de plaisir, un cri rauque, bref. Katia continuait de défoncer Dolores, les mains bien agrippées sur les hanches généreuses de la vendeuse.
Angélique et Dolores récupérèrent quelques instants. Dolores murmura à l’oreille d’Angélique qui lui répondit d’un sourire. Les deux filles se jetèrent sur Katia et commencèrent à la débarrasser de son gode ceinture. Dolores le noua autour de ses hanches pendant qu’Angélique s’allongeait à côté de son amie. Elle passa son bras sous un genou et le remontant, offrant sa chatte au gode que Dolores introduisit dans la fente de Katia. La vendeuse se mit à défoncer Katia à grand coups de reins. Elle embrassait alternativement Katia et Angélique. Angélique glissa sa main entre les ventres des deux filles et branla le clitoris de Katia. Celle-ci ne résista pas longtemps à ce traitement. Elle noua ses jambes sur les reins de Dolores, entrelaça ses doigts sur sa nuque et accompagna les coups de reins brutaux de Dolores par des ondulations de son bassin, se cambrait pour se faire défoncer encore plus. Katia jouit rapidement sous les caresses des deux filles.
A partir de ce jour, les trois filles se retrouvèrent plusieurs fois pour baiser ensemble les après-midi.
Quelques jours avant la réouverture de la boutique sous son nouveau nom, c’était l’anniversaire de Stéphane. Angélique n’avait rien voulu lui dévoiler de la surprise qu’elle avait préparée. Elle l’avait même obligé à quitter leur appartement tout l’après-midi.
Stéphane était rentré depuis une vingtaine de minutes, et il regardait la télé car Angélique lui avait interdit l’accès à la cuisine. Manifestement, elle n’avait pas prévu de sortir et Stéphane bandait déjà avec la perspective de passer une longue et torride soirée en compagnie de sa compagne. Si, en plus, Angélique avait eu la bonne idée d’inviter Katia, la fête serait parfaite.
On frappa à la porte. Depuis la cuisine, Angélique cria :
Ne bouges pas, mon chéri, je vais ouvrir.
Quelques secondes plus tard, Stéphane eut le plaisir de constater que son intuition était bonne en voyant Katia entrer dans le salon. Une Katia plus sexy que jamais, une robe fluide à mi-cuisses, ses longues jambes affinées encore par des talons vertigineux. Mais son plaisir fût de courte durée en découvrant Dolorès qui entrait à son tour dans la pièce. Egale à elle-même, Dolorès. Une jupe grise, un pull fin rose pastel de deux tailles trop grand, des grosses lunettes et en plus elle avait eu la mauvaise idée de recouvrir ses cheveux par un bandeau. Le début d’érection sombra dans des abimes de déception.
Angélique lui demanda d’ouvrir la bouteille de champagne pendant qu’elle apportait les petits fours qu’elle avait pris chez un traiteur. Elle fit ensuite le service avant de s’installer dans un fauteuil pendant que Katia et Dolorès étaient assises sur le canapé.
Stéphane était de mauvaise humeur. Il parlait peu, laissant les filles à leurs bavardages et ronchonnait en lui-même :
Mais pourquoi Ange a-t-elle invité Dolorès ? Quelle drôle d’idée ! Ça aurait pu être super avec Katia. On aurait baisé tous les trois. Mais avec cette fille, moche…et coincée. Comment as-t-elle pu penser que ça me ferai plaisir…Je ne comprends pas ! J’espère qu’elle ne va s’éterniser !
Pourtant Dolorès, même si elle participait peu à la conversation, ne semblait pas pressée de partir. Au bout d’une bonne heure, la bouteille de champagne vidée, Angélique s’exclama :
Dites les filles, je crois que vous avez préparées des cadeaux pour mon homme. Il serait peut-être temps de lui fêter son anniversaire.
Les trois femmes s’éclipsèrent. Angélique et Katia revinrent. Angélique tendit un petit paquet à Stéphane :
Bon anniversaire, mon chéri.
Une montre superbe orna rapidement le poignet gauche de Stéphane. Katia lui tendit un paquet assez lourd. C’était un livre de reproduction d’estampes japonaises. Stéphane remercia les deux filles et il eut la surprise que Katia l’embrasse à pleine bouche en lui remettant son cadeau. Si jamais Dolorès la voyait faire, elle ne comprendrait pas, la pauvre.
Mais, au fait, où est passé Dolorès ? Demanda-t-il surpris de ne plus voir la vendeuse.
Une petite seconde, mon chéri. Elle est allée chercher ton cadeau…Répondit Angélique d’un air mystérieux.
Je vais voir… Dit Katia.
Katia revint quelques secondes plus tard et aussitôt Angélique boucha les yeux de Stéphane avec ses mains. Une musique de jazz envahit la pièce. Angélique se pencha vers son homme et lui dit :
Dolorès a voulu te faire un cadeau.
Et c’est un peu spécial comme cadeau. Ajouta Katia.
Le cadeau c’est « La nouvelle Dolores ». Compléta Angélique.
Et aussitôt, Angélique rendit la vue à son homme. Stéphane ouvrit la bouche de surprise. Fini les vêtements ternes et amples de la vendeuse, fini l’absence de coiffure, fini les grosses lunettes de myope. Devant ses yeux ébahis, c’est effectivement une Dolorès totalement nouvelle qui était debout devant lui. Et le terme nouvelle était faible. Ce qu’il voyait était une véritable transformation !
Une petite jupe de cuir gris qui ne couvrait que la moitié de ses cuisses potelées, un blouson coordonné à la jupe qui avait du mal à contenir sa poitrine opulente. Ses jambes couvertes de nylon foncé étaient allongées par de fines sandales à talons vertigineux. Un maquillage soigné mettait son visage en valeur et un brushing complétait le tableau tout à fait attirant de « La nouvelle Dolorès ».
Dolorès se trémoussait au son du jazz. Elle prenait des poses lascives, virevoltait devant un Stéphane qui avait du mal à en croire ses yeux. Dolorès entreprit un strip-tease digne d’une professionnelle. Elle fit glisser le zip de son blouson qui s’ouvrit sous la pression de ses seins. Stéphane remarqua la longue bande de peau nue qui apparut. Dolorès ne portait rien en dessous. Elle se retourna et fit glisser son blouson avec une lenteur calculée, confirmant la nudité de son buste. Puis sa jupette tomba sur ses chevilles, dévoilant un cul magnifique, simplement souligné par son serre-taille en dentelle blanche et les jarretelles qui encadraient les globes de ses fesses. Elle ne portait rien d’autre que ce porte-jarretelles ! L’érection de Stéphane fit un bond.
Dolorès se retourna brutalement face à Stéphane. Les mains sur la nuque, elle lui dévoilait sa superbe poitrine, ses aréoles brunes, ovales, au centre desquelles pointaient de gros tétons érigés. Les jambes écartées, elle lui montrait son pubis totalement épilé. Stéphane ouvrit son pantalon et son dard en jaillit tel un diable sort de sa boîte.
Dolorès ne résista pas à cette bite rigide. Elle s’approcha de Stéphane, s’agenouilla devant cette promesse de plaisir et l’avala d’un seul coup. Elle le pompa vigoureusement, gardant son gland en bouche, elle faisait rouler sa langue autour de la grosse fraise en branlant la hampe et en malaxant ses couilles. Stéphane ne réalisait pas vraiment ce qui lui arrivait. Cette furie qui le suçait, n’avait rien à voir avec la Dolorès qui semblait timide, qui l’évitait quand il passait à la boutique. Cette femme superbe ne ressemblait pas à la Dolorès terne et moche qu’il avait toujours vue. C’est vrai que depuis près de deux mois il n’avait pas vu la vendeuse. Il vit dans cette transformation improbable l’intervention des deux filles qui admiraient leur œuvre en se caressant sur le canapé en face de lui. Stéphane leva le pouce en direction des deux filles qui lui répondirent avec un large sourire.
La pipe fougueuse que lui faisait Dolorès produit son effet. Stéphane se sentait proche de l’explosion. Une boule de lave en fusion se concentrait à la base de son dard. Il tenta d’écarter Dolorès mais elle résista et le pompa de plus belle. Stéphane sentit la lave monter dans sa tige et il s’en libéra dans la bouche de Dolorès.
Dolorès se releva avec la satisfaction du devoir accompli. Angélique et Katia l’embrassèrent tour à tour, nettoyèrent sa bouche des restes de semence qu’elle contenait encore. Puis ils allèrent tous les quatre s’installer dans la chambre. Katia quitta les vêtements de Stéphane pendant qu’Angélique commençait de câliner Dolorès. Katia les rejoignit sur le grand lit et les deux amies mirent toute leur science pour amener Dolorès aux portes de l’orgasme. Quand celle-ci fût bien chaude, elles ouvrirent grand le compas de ses jambes à la verticale et Stéphane n’eut qu’à se glisser entre les cuisses de la vendeuse. Il l’enfila d’un seul coup. Sa queue qui avait retrouvée toute sa rigidité s’enfonça sans effort dans le con palpitant de Dolorès qui gémit. Il la défonça lentement, les chevilles de son amante sur ses épaules. Katia et Angélique embrassaient leur employée, lui malaxaient ses gros seins, en tordaient les tétons, lui appliquaient des caresses intenses sur son clitoris. Dolorès gémissait faiblement, poussait parfois de petits cris quand elle ne laissait pas échapper des mots dans sa langue natale. Un orgasme violent la fit trembler de tous ses membres, crier à s’en casser la voix. Dolorès sombra dans la torpeur qui suit le déchainement du plaisir pendant que Stéphane continuait de la défoncer.
Quand Dolorès refit surface, Katia l’attira sur elle et dirigea son visage vers sa chatte épilée. Pendant que Dolorès suçait sa patronne, Angélique lui lubrifia l’œillet avec du gel. Elle introduisait profondément son doigt dans le petit trou serré de sa vendeuse. Stéphane encula doucement Dolorès et commença à la défoncer lentement. Angélique prit un petit vibromasseur et le passa sur la fente inondée. Quand elle se décida à le mettre en route, l’effet fut immédiat. Dolorès se cambra, des ondes de chaleur partirent de son cul défoncé par le chibre de Stéphane, de son clitoris agacé par les vibrations du sextoy, les tétons pincés entre les doigts d’Angélique. Elle cria une nouvelle fois et jouit quand Stéphane se vida dans son cul.
Dolorès sembla perdre connaissance. Elle tomba inerte sur le lit et gémissait doucement. Katia et Angélique s’éclipsèrent, laissant Stéphane et Dolorès passer la nuit ensemble.
Le lendemain matin, ils se retrouvèrent tous les quatre autour d’un petit déjeuner. Dolorès, ravie de l’expérience, raconta comment Stéphane l’avait baisée une bonne partie de la nuit, lui avait donné plusieurs orgasmes. A partir de ce jour, Dolorès participa activement aux soirées avec Stéphane, Angélique et Katia. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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