Dérive sexuelle en puissance d’une jeune étudiante #2
Karine découvre le sexe, mais pas avec n’importe qui. Son partenaire unique en son genre va l’entraîner dans une dérive sexuelle dont elle n’aurait jamais imaginer connaître
Proposée le 12/04/2021 par goelan Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Roman
Avant de m’endormir je me tâtais l’anus, il ne me semblait pas abimé juste boursouflé et encore gras, je ne m’étais donc pas déchiré, cela me rassura un peu.Le lendemain je me réveillais tôt, je dû préparer et officier ma séance de sport hebdomadaire en salle avant de penser à la suite. Vers 10h00 je fis le tour de mes vêtements et me sapait comme un mec, comme il m’arrivait de le aire. J’assombri mon visage avec un peu de fond de teint, coiffais mes cheveux avec du gel et ajoutait une paire de lunettes de vue que je ne mettais quasiment jamais, c’étais une très légère correction en cas de fatigue.J’avais le trac. Cela allait si vite tout à coup ! Trop vite. Une partie de moi me disait de cesser immédiatement toute cette mascarade. Une autre de ne penser à rien et de tenter l’aventure. Ce n’était qu’un rendez-vous après-tout, non ?J’eu du mal à manger quelque chose avant de quitter mon studio avec une boule au ventre. Le temps était beau et il y avait du monde dans les rues, mais mon appréhension était digne d’un passage à l’oral lors d’un examen, ou comme à un entretien d’embauche ou encore devant un jury de concoursArrivé à bon port, je tournais sur moi-même pour tenter de capter une jolie fille en robe à fleurs ou quelque chose de ce genre, mais non rien. M’étais-je trompé de lieu de rendez-vous ? D’horaire ? M’avait-il fait faux bon ?Lorsque soudain on tapa doucement sur mon épaule je failli crier ! Je me retournais et portais mes mains à mon visage. Devant moi se trouvait une jeune fille en tenue kawaï toute rose un peu comme les japonaises dans les mangas. Un truc ressemblant un un geisha, en plein coeur de Paris !- Salut petit cul mumura-t-elle en s’approchant de moi, elle sentait bon l’eau de rosePas de toute sur l’identité, c’est bien lui ou elle ?!- Tu es trop belle ! Déclarais-je instinctivement avec sincérité- Merci, on s’embrasse ?Les gens autour la regardaient et la prenaient même en photo avec forts sourires et commentaires. Bon, go pour la bise alors, j’étais mal à l’aise mais sa tenue m’avait déridé plus vite qu’un verre de rhum.On était à peu près de la même taille, il/elle s’approcha de moi et au lieu de choisir ma joue, il posa sa bouche directement sur mes lèvres. J’eu comme un choc électrique et un frisson me traversa. Sa main gantée me toucha la joue et je sentis sa langue tenter d’ouvrir ma bouche. J’étais tellement surprise et sous son charme que ma bouche s’ouvrit toute seule. Il/elle me roula une grosse pelle devant tout le monde mais je m’en fichais, mon corps était en émoi et je lui répondis avec passion.- Voilà, c’était ton second gage, murmura-t-il/elle contre moi- Punaise! Je veux bien redire un gros mot !- Tu le regretterai…- Ah bon ?- Je peux être méchant aussi- Je ferai attention alors, on fait quoi ?Il me prit la main et me tira vers la Tour Effell- On monte !- Mais tu as vu le monde- T’inquiète, j’ai des passEffectivement, je ne sais comment, mais il avait bien deux pass coupe-file et nous passâmes une super après-midi en haut de la tour à discuter, nous découvrir et faire tourner la tête des gens.- Je te prêterai un costume, tu verras c’est marrant, on a la même carrure- Je n’oserai pas- Parce que te saper comme un mec et embrasser une fille tu n’as pas osé ?- Je suis une fille et tu es un mec !- Et personne ne le sait- Cela fait drôle- Pas autant que lorsque je te lècherai le clitoJe devins toute rouge ! Je regardais autour de moi, ouf personne n’avait entendu- Arrêtes il y a des gens autour de nous !- Pourquoi ? C’est vrai, non ?- C’est pas le moment enfinIl recommença à plusieurs reprises et je le menaçais de partir. Il/elle se calma et on termina dans une terrasse à deux rues de la Tour Eiffel.On discuta encore un peu puis Il me demanda de le suivre.- On va où ?- Dans un sex shop !- Hein, non jamais- Tu vas pas t’amuser avec tes pinceaux toute ta vie ?- Mais de quoi tu parles- Il te faut un peu de matos, c’est moi qui offre en plus- Je sais ce que c’est mais j’en veux pas- Tu aimes ta bougie ?Je rougis encore- Je ne pensais pas m’en resservir- Alors il te faut de quoi assouvir tes besoins- Les tiens tu veux dire- Je pense que tes voisins ont du t’entendre crier l’autre fois…- Arrêtes je n’ai pas fait autant de bruit !- Si tu le disJ’eu soudain des doutes, avais-je fais autant de bruits? Mains dans la main comme un couple, il m’emmena dans une rue où plusieurs sex shop avaient pignon sur rue- Tout compte fait, on ne peut pas faire autre chose ? Je n’ai pas trop envie tu sais… C’est juste pour te faire plaisir mais j’aimerai que l’on fasse aussi un truc à mon goût- Tu as raison, je ne suis qu’un ingrat ! Il avait vraiment l’air honnête mais soudain il/elle afficha un visage digne d’un cartoon, un truc tellement mignon que je craquais. Aurais-je refuser ? Cela dépend de la petite voix dans ma tête…- Juste après ça on fait ce que tu veux, promis !- « Après ça » ? Et pourquoi pas maintenant ?- Parce qu’on y est, cela serait dommage d’avoir fait le chemin pour rien- J’aime marcher- S’il te plait… Il me refit son visage à la kawaii trop craquant, on aurait vraiment dit une fille qui fait tout pour avoir ce qu’elle veut, je cédais encore.- D’accord, mais pas de trucs bizarre et ensuite…- Ensuite ?- On a à une expo de peinture que je devais aller voir ce week-end et on termine en dînant sur une péniche !- Mais faut réserver à l’avance !- J’ai un pote qui bosse là-bas…- Et tu vas venir habiller en garçon ?- T’inquiète il me connait- Un ex ?- Jaloux ?- Je devrais ?- On ne sort pas ensemble, non ?- Hum, pas faux, pourtant on se tient la main et on s’embrasse…- Rien d’officiel- C’est sur, tout le monde nous a vu à la Tour Effeil mais rien d’officiel- Ce que tu peux être ch…- Vas-y j’ai pas entendu…- Pour que tu me donnes un de tes gages à la noix ?- Tu apprends vite, on y est entrons.Il me fit entrer dans un magasin assez grand et lumineux, moderne et somme toute assez sympa. Pas le moins du monde un boui-boui enfonce dans une impasse. C’était bien éclairé, même si cela puait le sexe à 2 km à la ronde. Entre les rayons de petites tenues affriolantes, les DVD et Blu-Ray (ça existe encore ça ?), les revues et enfin les accessoires, il y en avait pour tous les goûts. Le vendeur nous remarqua tout de suite et fut amusé par l’accoutrement de ma valentin(e). Un autre rangeait dans les rayons mais ne s’occupa pas de nous.- Regarde, c’est ce qu’il te faut !Il me nargua avec un god XXL aussi long qu’un serpent – Fourre toi ça dans le fion, c’est horrible !- tu as raison, c’est mocheJe n’étais pas du tout à l’aise, j’avais l’impression que le vendeur nous fixait du regard et qu’il nous cataloguait pour chaque chose que nous touchions.- Arrêtes de faire le con avec tout ça, tu es venu chercher quoi en fait ?- Un god qui te plairait, pourquoi pas le fluo là ou le noir ici ?- Tu sais j’ai pas trop envieCe qui n’étais pas faux en fait.- Ne recommence pas, ou alors je choisi pour toi- Pourquoi pas, je n’y connais rien moi à tout ça !Malgré la honte de venir ici, mon ventre chauffait un peu, tout ces trucs s’enfilait vraiment ? Pour certains j’avais du mal à y croire.- Tu n’en as pas chez toi ?- Si bien sûr, mais cela ne se prête pas !- Egoïste !- De toutes manières faudrait déjà que tu vienne chez moi, et si c’était le cas, j’aurai autre chose à te proposerJe piquais un fard aussitôt.- Bon, on va prendre ça, ça, ça et hum, pourquoi pas ça aussi !Il me montra un vibro pour clitoris, un god quasi réel sauf qu’il était noir et un truc qui pouvait aller devant, derrière et astiquer le clito en même temps…Euh non merci tu sais, je suis encore vierge ! Et enfin une drôle de poire avec un dimant rouge au bout. Attend, non il ne pensait pas que j’allais utiliser ça !- Dis, penses-tu vraiment que je vais me mettre ça dans le… ?- Pas tout de suite non, mais plus tard pourquoi pas.- Et ce truc, on dirait un objet de torture !- Ah ça aussi c’est pour plus tard, à moins de vouloir de dépuceler toute seule.- Chut moins fort, répondis-je en rougissant- C’est trop pour moi, je ne me sent pas capable de les utiliser, je ne suis pas à l’aise ici. Allons nous-en, s’il te plait.- OK, passons à la caisse alors.Une fois à la caisse, le vendeur détailla Valentin(e) des pieds à la tête, visiblement il/elle lui plaisait bien.- Regarde, ils ont même des cabines, on se fait un film ?- Non, arrête merde ! Je n’oserai jamais !- Hoop, un gage, tu n’as pas le choixAvant même que je ne puisse réagir, il commanda un film et une cabine pour couple. Le vendeur nous sourit et nous donna le numéro de la cabine. Il fallait monter un escalier et c’était au fond à droite, attention par contre, fallait pas salir. Son sourire en coin et ses yeux brillants en disait long sur ce qui se passait là-dedans.- Valentin, je t’en pris, tu as vu comment il nous regarde ? Et s’il a une camera dedans?- Pourquoi tu veux te mettre à poil ?- Ca va pas non ? Tu es fou déjà de nous emmener là !La pièce était propre, un petit canapé en cuir usé faisait face à un écran encasté dans le mur. Un table basse dans le coin proposait des publicités, des revues usagées, des mouchoirs en papier et des préservatifs, dessous une poubelle vide.- C’est quoi ça ? – Qu’est-ce que tu crois, les mecs qui viennent ici, ils font quoi devant le film ?Je devint encore plus écarlate. Il ne pensait tout de même pas me baiser ici ?Je me calais le plus loin possible de lui dans le petit canapé, il ne broncha pas mais me tint tout de même la main. Sur l’écran apparu le titre du film, un truc chelou bien crade et les scènes passèrent les unes après les autres.Les cris de jouissance et le jeu de bite m’émoustillèrent un peu mais je n’aimais pas ce genre de film, c’était trop pornographique et trop prévisible. Qu’est-ce que je foutais ici, dans un sex-shop, avec un inconnu à regarder un film porn ?Lorsqu’une des protagoniste se déshabilla, je poussait un cri de surprise, malgré sa belle paire de seins, elle avait un sexe dur plus bas.- C’est un shemal, murmura Valentin- Je sais, répondis-je dans un souffle. Tiens, pourquoi tu ne te fais pas pousser des seins ?- J’y avais pensé un moment donné, mais d’une part cela coute cher, mais ensuite j’ai
finis par m’apprécier comme je suis.- Tu n’aimes pas ton corps ?- J’aurai aimé être une fille, à la place j’ai une bite de cheval !- Tu as déjà comparé ? Gloussais-je- Il me prit ma main et la posa sur son entre-jambe, je sentis dessous une bite dure et longue. J’eu soudain une bouffée de chaleur et j’étais incapable de bouger, je fixais l’écran et la partie fine qui s’y déroulait. Ma tension montait crescendo et j’eu soudain la gorge sèche.Il massa son sexe doucement toujours avec ma main dessus et j’étais incapable de la retirer. Était-ce prémédité ? En tout cas sa bite me mettait dans tous mes états. Je sentais un liquide chaud couler de mon sexe.Je l’entendis triturer ses jupons et doucement, il fit émerger sa bite. Je ne la voyais pas, mais j’imaginais bien la scène. Pour ma part, je fixais toujours l’écran, sans le voir réellement. Mon coeur battait la chamade à 100 sous de l’heure.Il souleva ma main et la posa délicatement sur son sexe tendu. Je frémis, c’était vraiment grand et gros. Comment cachait-il ça sous son déguisement ?- Regarde, souffla-t-il.Je compris que lui aussi était tout en émoi.Le visage en feu, je baissais les yeux… Je tenais maintenant dans ma main ce que j’avais vu en photo et vidéo jusqu’alors.Je déglutis, il me regardait fixement avec envie. Il fit aller et descendre ma main sur son sexe et mon cœur tambourina dans ma poitrine. J’étais en sueur et j’avais chaud. Il se pencha et posa ses lèvres sur les miennes, nous nous embrassâmes passionnément. Il ma lâcha mais je ne le lâchais pas, ses mains se posèrent sur mes cuisses et il se mit à me caresser pendant qu’il jouait de sa langue. Je ne sais comment, il arriva à déboutonner mon pantalon et ouvrir ma braguette sans que je ne le repousse. J’avais chaud, j’étais moite en bas. Sa langue jouait avec le mienne, et sans quitter ma bouche, il se leva doucement et se plaça devant moi entre mes jambes à genoux. Il agrippa le tissu de mon pantalon et tira vers lui.Pourquoi est-ce que je me soulevais pour l’aider à le retirer ? Je ne l’ai jamais su. Avec des gestes doux, il baissa mon pantalon et ma culotte en même temps sans cesser de dévorer ma bouche. Je préférais ne pas voir la réalité, les yeux fermés, je l’embrassais toujours, lui caressant les cheveux et le visage. Il retira mes chaussures, puis mes sauquettes et fit glisser mon patalon et ma culotte à terre. J’étais nue à partir du nombril devant ce pseudo inconnu !Alerte ! Alerte ! Alerte ! Me criait ma petite voix raisonnable. L’autre ? Elle était KO devant la situation, incapable de réflexion… Devinez quelle voix j’écoutais ? Il était maintenant entre mes cuisses ouvertes, son sexe tendu que je tenais à nouveau.Sa main glissa sur ma peau, je poussais un cri inarticulé. Il la glissa directement sur mon entre-jambe et captura mon gros clitoris… Je me arquais et jouis immédiatement !Il se détacha de ma bouche, j’en profitais pour respirer difficilement, les yeux à moitié clos, pendant que le film de cul défilait nous badigeonnant de cris de jouissance préfabriqués.Lorsqu’il se baissa et goba mon clito, je cru défaillir et je du lui tenir la tête à deux mains pour ne pas m’évanouir. J’écartais encore plus les cuisses et me mordis la lèvre pour éviter de crier.Sa langue me rendit folle, il m’aspirait, me suçait, jouait avec mon énorme bouton, le branlait du bout des doigts. Je jouis une seconde fois…Sa langue descendit plus bas et aspira mon liquide clair, lécha ma vulve, taquina mon hymen et me relevant les fesses des deux mains, il goutta aussi à mon petit trou. J’aurai du trouver cela sale, mais à ce moment là je m’en foutais complètement. Il me faisait jouir avec brio et j’étais son jouet entre ses mains.En même temps il arriva à retirer ses jupes. Ensuite, il m’explora de ses doigts fins et doux. II retourna à mon clito et me fit vibrer à nouveau, cessa toutes activités me coupant dans mon élan et retourna à mes orifices. Il poussa un de ses doigts fin sur mon vagin et m’osa pas aller plus loin, par contre dessous, il joua avec mon anus, salivant dessus et apliquant ma mouille doucement. Lorsque son index me pénétra avec dextérité, je serrai mes muscles et laissais échapper un nouveau cri. Il le fit coulisser doucement… Alors ça y est, il allait le faire maintenant et ici, comme promis ?Toujours un doigt dans mon cul, il se releva et m’embrassa à pleine bouche. Il passa sous ma chemise et trouva mes tétons à nus super dressés et les tripotta. Nouveau choc électrique, je n’en pouvais plus, je soufflais, criais sans me soucier du bruit, me tortillais, je serrais l’accoudoir à le faire rompre.Je sentais son sexe taper sur ma peau, ma cuisse, mon ventre. Il était long, dur, chaud, tentant, tellement tenant.- Prends-moi, murmurais-je !Hein ! Etait-ce moi qui avait crié ça ? J’étais une vrai dingue, ce n’était pas possible. Retour en arrière, pause, arrêt sur image, non, impossible.- Où ? Me chuchoa-t-il dans le creux de l’oreille qu’il venait de me lécher- Où tu veux…Je fis taire ma raison, ma logique et ma laissais aller à mes instincts les plus primaires trop longtemps refoulés.J’avis du mal à parler, je ne savais plus ce que je faisais, j’étais malade, droguée, saoul !- Tu es sûre ?Je ne répondis pas mais je sentis son sexe dirigeait pas sa main glisser contre ma cuisse intérieure. Je sentis quelque chose de différent, gras et plastifié. Mais quand avait-il mis une capote ?Son gland joua au mousquetaire avec mon clitoris, je me perdis dans un râle affreux, il glissa plus bas, entre mes fesse, où son doigt était encore là, puis remonta devant ma vulve.J’étais trempée, le gland se logea parfaitement, je n’eu même pas peur d’avoir mal.Il tapota plusieurs fois sur mon hymen, je m’agrippais à lui collé, je serrais les dents, j’avais l’impression d’être écartelée, il poussa entre mes lèvres dégoulinantes de jus…
Mon cri dû s’entendre dans le couloir, lorsque son gland déchira ma virginité…Tout mon passé s’effaça avec ce mouvement de bassin en avant. J’allais enfin faire l’amour être une vraie « femme », jouir et crier de plaisir, comme « les autres ».Il n’alla pas très loin tant il était gros et long. Mais étrangement, je n’avais pas mal comme je l’avais pensé. Oui il était gros et long, mais moi j’étais tellement excitée..Je le sentais en moi, vivant, chaud, palpitant.Puis il me baisa à tous petits coups de reins juste pour reconnaître les lieux, pour que je jouisse, pour que je cris, hurle, gémisse.Merde, pensais-je entre deux halétement, il venait de me dépuceler dans un sex shop !Je passais mes jambes instinctivement derrière lui et il s’enfonça plus loin, je gémis d’autant, mon dieu qu’il était gros, c’était impossible, il allait me déchirer, je suffoquais. Ses coups de reins gracieux et calculés devinrent plus chaotiques et plus forts. A chaque coup il m’envahissait toujours plus loin, j’avais l’impression qu’il allait me transpercer. Il coulissait, sortait, entrer, me frappait le ventre. Il soufflait autant que moi, gémissait à mon oreille, le canapé grinçait, heureusement qu’il était contre le mur !Il se retira d’un coup et me fit me retourner en levrette, les genoux au sol.Je frissonnais, j’étais en fusion, je tremblais, j’étais incapable de réfléchir, de me retenir, de faire quoi que se soit que de jouir…Il se plaça dans mon dos et chercha mon vagin pour s’y replanter. Mon dieu les sensations étaient encore meilleures et si différentes. Il me prit pas les hanches et me baisa à grands coups maintenant, et encore, il ne m’enfila pas complètement. Je du me mordre le poignet pour ne plus hurler.Je n’avais plus mal, sauf aux genoux, il était gros mais mon plaisir était si intense que ma cyprine l’aider à glisser en moi sans me forcer. Enfin, il se retira de toute sa longueur et plongea d’un coup d’un long coup de buttoir, j’étais vide puis remplie, vide puis remplie, vide puis remplie…Quel monstre ! Je me arquais jouissant une nouvelle fois, je ne comptais plus combien de fois j’eu des orgasmes ce jour là.Il recommença et maintenant malgré sa taille, il me baisa à grands coups profonds et puissants. Je le sentis me doigter le cul pendant de temps, il y logea un doigt et me baisa l’anus en même temps que ma chatte. Comme si ce « petit plus » lui fit un électrochoc, trop tenté d’y plonger sa bite, soudain, il se cabra et éjacula en moi s’affallant sur mon dos, soufflant comme un boeuf.J’eu la honte de ma vie lorsque nous quittâmes les lieux en catimini. Nous explosâmes de rire dehors et Valentin m’embrassa à nouveau.- Juste pour savoir…- Quoi ?- C’était prévu tout ça ?- Non- Tu ne mens pas ?- Je ne mens jamais, je pensais juste, en voyant les cabines, t’embrasser et faire quelques caressesJe le croyais et en plus c’était moi qui lui avait demandé. Je ne regrettais rien, j’avais juste l’étrange sensation de l’avoir toujours en moi, de le sentir aller et venir. Mes genoux tremblèrent soudainement et j’eu mal à la tête.- Ca va pas ?- Le contre-coup, je suis épuisée, j’ai mal partout enfin surtout en bas et c’était ma première fois et tu es assez gros, et le regard du vendeur lorsque nous sommes partis, j’ai honte… Et puis j’ai faimIl regarda sa montre et je compris.- On a passé trop de temps là-bas, je suis désolé pour ta galerie- J’ai trouvé mieux… Dis-je dans un souffleIl me sourit et me prix la main pour me l’embrasser- On va dîner ? – Oui.Main dans la main sans dire un mot, nous réussîmes à atteindre pas trop tardivement le quai de la Seine et avoir la table dans un coin. Sa tenue ne passa pas inaperçue mais on fit comme de rien n’était et pouffèrent de rire à tout va…
La soirée se passa bien avec plusieurs verres de vin en prime. Il était tard, très tard et je titubais quelques peu et il n’était pas plus net que moi. J’avoue que je ne m’étais pas limité au niveau alcool, d’une part toujours pour faire taire ma raison, mais aussi pour rester dans ce cocon de coton qui m’entourait depuis le début de notre rencontre.Nous riâmes sans arrêt et force était de constater que notre retour à nos domiciles serait une tâche ardue. Je ne buvais pas autant d’habitude, et encore moins sans avoir une solution pour rentrer chez moi.Nous finîmes par nous assoir sur un banc et faire l’état des lieux.- Va falloir prendre un Uber pour rentrer, marmonna-t-il- J’ai mal à la tête, gémis-je et aussi ailleurs… – Petite nature, ricana-t-ilJe lui tapais l’épaule- J’ai comme l’impression qu’un marteau pilon m’a déchiré de l’intérieur, je te sens encore en moi pour te dire- Ah ce point ?- Tu n’y as pas été de main morte sur la fin- Que veux tu, tu m’excites- Je n’avais pas remarqué, mais qu’est-ce que tu me trouves, j’ai même pas de poitrine- Moi non plus, il rit. Mais par contre, je kiffe ton clito !- Alors tu me résumes à un clito maintenant ?Il se grata la tête- Tu es bêtes- Non bourrée- Moi aussi et dans tous les sens du termeNous nous mîmes à rire comme des fous ou des folles- On fait quoi alors ?- J’ai bien des idées…- Ah non pas question, j’ai assez donné pour aujourd’hui- Tu pensais à quoi ?- D’après toi pervers !- A un moyen de transport tout simplement- Mais oui c’est ça…Avec difficulté nous trouvâmes un Uber le seul soucis, on était presque à sec et il ne prenait pas de cartes de crédit, seule solution, un seul voyage possible…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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