Des aveux… plus que charnels
Maxime n’arrĂŞtait pas de me turlupiner pour savoir si oui ou non GĂ©rald, le magasinier noir m’avait baisĂ©. Je dĂ©cidai de satisfaire sa curiositĂ©, mais Ă ma façon…
Proposée le 18/05/2022 par Trixie Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Ce vendredi-lĂ une forte canicule sĂ©vissait, je revĂŞtis une robe lĂ©gère. De grosses fleurs vertes et jaunes en parsemaient le fin tissu. Une mince bande d’Ă©toffe passant autour de mon cou, laissait mes Ă©paules nues, et retenait les pans du dĂ©colletĂ© qui plongeait entre mes seins. L’Ă©chancrure dorsale descendait jusqu’Ă la naissance de mes fesses, laissant mon dos nu. La robe s’Ă©vasait ensuite en corolle pour s’arrĂŞter Ă mi-cuisse. Avec un tel vĂŞtement, il Ă©tait hors de question de porter un soutien-gorge, mes seins Ă©taient donc libres de toutes entraves. C’Ă©tait une robe d’Ă©tĂ© faite pour les vacances… Et comme je pratiquais depuis le mois de juin le bronzage intĂ©gral, au bord de ma piscine aucune marque blanche disgracieuse ne venait couper le hâle parfait de ma peau. La chaleur Ă©tait accablante, j’avais dĂ©cidĂ© de la porter aujourd’hui… en me moquant du qu’en dira-t-on !
Maxime, mon petit copain de l’informatique avec qui je baisais depuis pas mal de temps, savait que l’un de mes fantasmes Ă©tait de me faire sauter par un noir bien membré… Il m’avait mise sur la piste de GĂ©rald en me disant qu’il avait remarquĂ© que je ne laissais pas le grand black indiffĂ©rent. Ce qui c’Ă©tait rĂ©vĂ©lĂ© exact. Maxime Ă©tait persuadĂ© que j’avais fait l’amour avec celui-ci, il me questionnait sans cesse pour que je lui donne les dĂ©tails de mon coĂŻt avec GĂ©rald. Bien que cela soit arrivĂ©, je lui soutenais mordicus le contraire…
Depuis il boudait un peu. Il Ă©tait persuadĂ© que cela Ă©tait allĂ© beaucoup plus loin que ce que je voulais bien lui raconter, et qu’il aimerait bien que je lui fasse partager la suite…
Donc Maxime, n’arrĂŞtait pas me taquiner pour que je lui avoue ce qui s’Ă©tait rĂ©ellement passĂ© avec GĂ©rald, le jour oĂą il m’avait laissĂ©e dans mon bureau, la jupe relevĂ©e en l’attendant, pour voir si le grand black s’intĂ©ressait Ă moi… Il me disait qu’il se doutait qu’ensuite dans l’après-midi,lorsque je j’avais fait l’inventaire seule avec le grand magasinier noir, cela avait du ĂŞtre plus que « chaud », il avait du me sauter, personne ne pouvait rĂ©sister Ă mes avances !
Pour mettre fin Ă cette bouderie, je dĂ©cidai de tout lui raconter. Du moins mon aventure avec GĂ©rald, pas encore les autres, celle avec le vieux fermier et avec le noir qui avait forcĂ© ma porte un soir. J’avais un peu peur qu’il me prenne ensuite pour une « Marie-couche-toi-là », ce qui me semblait-il, s’avĂ©rait de plus en plus exact, mon mari m’avait aussi presque forcĂ© Ă me faire baiser par son patron, et cela ne m’avait pas dĂ©plu.
Il y avait maintenant trois mois que l’inventaire n’avait pas Ă©tĂ© fait. Trois mois que GĂ©rald ne m’avait plus touchĂ©e, je savais qu’il en avait une Ă©norme envie, souvent il me l’avouait au tĂ©lĂ©phone.
Cela tombait bien, car moi aussi son Ă©norme sexe noir me manquait et il fallait attaquer l’inventaire semestriel. Je l’appelai donc pour lui signaler que je pouvais me libĂ©rer de 15 heures Ă 16 heures 30 pour commencer l’inventaire. Je donnai rendez-vous Ă Maxime Ă 14 heures 45 au local de l’appareil Ă boisson. J’avais une idĂ©e perverse en tĂŞte !! Lui avouer ma relation avec GĂ©rald, mais d’une certaine façon !
Juste avant de me rendre Ă mon premier rancard, je quittai mon string. J’Ă©tais nue sous le mince voile de ma robe. C’Ă©tait vraiment osĂ©, je me traitai de folle, mais ce petit jeu m’excita. En souriant je pĂ©nĂ©trai dans le local, Maxime assit sur le banc, entourĂ© de deux hommes buvait un cafĂ©. Deux de mes copines Ă©taient lĂ et discutaient debout. J’entrai, le bas de ma robe froufroutant autour de mes jambes. Je m’approchai pour embrasser les filles, bien dans la lumière du soleil qui inondait la pièce d’une lumière crue par la porte grande ouverte.
Je sus pertinemment ce qui se passait, la conversation des mecs cessa d’un coup. Je les regardai leurs yeux se fixèrent sur mes fesses, le soleil perçant le mince tissu arachnĂ©en, les dĂ©voilait en transparence Ă leurs regards Ă©bahis. Mes copines placĂ©es du mauvais cĂ´tĂ© ne pouvaient rien deviner, ou tout au moins, pas grand-chose. J’Ă©cartai un peu les jambes, s’apercevraient-ils que j’Ă©tais nue dessous ? SĂ»rement…
Les pointes de mes seins se tendirent, ma chatte devint moite. C’est plus qu’impudique me dis-je, mais tu n’es pas sensĂ©e t’apercevoir que la lumière du soleil donne une telle transparence Ă ta robe…
Les deux filles s’Ă©clipsèrent pour retourner au boulot, je me retournai en souriant vers les garçons, prĂ©sentant mon cotĂ© pile, leurs yeux s’Ă©carquillèrent encore plus. La nitescence du soleil laissa transparaĂ®tre les moindres dĂ©tails de mon corps, ils durent mĂŞme apercevoir juste au-dessus de la fente de ma chatte, mon petit bout de toison triangulaire Ă©pilĂ© au plus ras. Je pensai que ces deux mecs, lorsqu’ils me croiseraient Ă nouveau, mĂŞme habillĂ©e chaudement en hiver, avec ce qu’ils venaient de voir, banderaient comme des ânes. Ils n’eurent toutefois pas le loisir de mater bien plus longtemps, Maxime s’Ă©tait levĂ©, m’attrapant par un bras, il m’entraĂ®na hors du rayon de soleil vers la machine Ă cafĂ©.— Ve…ve…vee..ux-tu un thĂ© ? Me demanda-t-il.
— Oui, merci.Les deux gars, un sourire en coin se levèrent et retournèrent travailler Ă regret, leur pause Ă©tait terminĂ©e.— Dis donc petite salope, tu le fais exprès ! Tu es complètement Ă poil la dessous… On a tous pu le voir, ta robe est complètement transparente au soleil. C’Ă©tait vachement excitant… Touche… Je bande. Alors les deux autres !!
—- Elle te plaĂ®t ma robe ? Oui, je suis Ă poil dessous. Regarde.Je dĂ©nudai lentement mon sein droit en faisant glisser le tissu vers la gauche, le fixant tendrement avec un regard un brin provocateur, lui laissant admirer mon tĂ©ton Ă©rigĂ©.— Dis donc tes mamelons sont bien tendus, je suis sĂ»r que tu mouilles. Ça t’excite ce petit jeu de faire bander les mecs !
— Oh oui… alors !! J’en raffole !Et tandis que je me penchai pour prendre mon gobelet de thĂ©, sa main passa sous ma robe entre mes cuisses et son index s’insinua dans ma chatte.— Salope ! J’avais raison, tu n’as pas de string et tu mouilles.Tu es gonflĂ©e quand mĂŞme, de te donner en spectacle ainsi !
— Tu es jaloux !! Oui, moi ça m’excite… de faire bander les mecs, lui dis-je avec un petit sourire.C’Ă©tait un peu ce que je cherchais, attiser sa jalousie. Pour que, lorsqu’il me baiserait, il le fasse avec un dĂ©sir accru et un petit brin de vengeance. Je n’avais pas, loin de lĂ , Ă me plaindre comme avec mon mari, de nos Ă©bats sexuels. Mais un peu de piment supplĂ©mentaire, Ă©tait toujours bon Ă prendre et comme il me questionnait beaucoup sur mes Ă©ventuelles relations avec GĂ©rald, j’allais profiter de la situation.— Ah, Ah…Maxime, est donc jaloux !
— Mais non, ça me plaĂ®t beaucoup de te voir faire bander les mecs, et tant mieux si ça t’excite ! Mais là ça frĂ´le l’indĂ©cence. Au dĂ©but j’ai cru que tu ne te rendais pas compte de la transparence de ta robe… Mais si ! c’Ă©tait fait exprès, tu es une petite salope vraiment perverse !
— Bon, Tant mieux. Tu n’es pas jaloux ! Car je vais retrouver GĂ©rald, au magasin en sous-sol ! Pour commencer l’inventaire. Et Ă cette heure-ci, le soleil y pĂ©nètre Ă flot par les vasistas ! Je retournai me mettre en pleine lumière.— Tu crois qu’il va aimer ma tenue ?
— Tu vas vraiment y aller comme ça ? Tu es vraiment dĂ©vergondĂ©e…
— Ben oui, mais c’est pour le boulot. Je suis obligĂ©e. Lui rĂ©pondis-je avec une petite moue navrĂ©e. Et puis c’est toi qui me dit de l’exciter !
— Tu sais qu’il a envie de te sauter !! S’il ne l’a pas dĂ©jĂ fait.
— Ben non, mais tu sais que j’en ai envie, de sa grosse bite noire. Tu es jaloux lĂ !
— Mais non, je sais que tu en as vraiment envie et tu vas le faire !Il me regarda avec un air légèrement contrit. Je ne lui avouai pas encore que cela était arrivé…
Mon stratagème avait l’air de marcher, je sentis poindre un peu de jalousie.— Eh bien mon petit chĂ©ri… Tu es jaloux du grand noir ? C’est toi qui m’a dit qu’il avait une bite Ă©norme… C’est toi qui m’a fais jouer Ă des jeux Ă©rotiques dans le local de la lingerie devant son bureau, c’est encore toi qui m’a dit de lui montrer ma chatte au bureau Ă la pause dĂ©jeuner, il est vrai que je t’ai dit que les noirs ne me laissaient pas indiffĂ©rente et c’est la vĂ©rité… Allez, quelle heure est-il ? 15 heures ! C’est l’heure… Promis, dans une heure trente, je passe dans ton bureau… Je te raconterai, patience.
— Donc tu as envie de te faire baiser !!
— Qui sait… Ă€ toute Ă l’heure… Regarde, ma chatte coule. Je soulevai le bas de ma robe pour lui montrer, bien qu’il l’ait dĂ©jĂ remarquĂ©, que je ne portais aucun string, et lui envoyant un baiser du bout des lèvres, je tournai les talons
La porte du magasin Ă©tait fermĂ©e Ă clef, un panneau indiquant « FermĂ© pour cause d’inventaire » y Ă©tait apposĂ©. L’accès est interdit pensai-je, en souriant, mais pas seulement pour cause d’inventaire !! Je toquai suivant le code Ă©tablit. La porte s’ouvrit.— Entre vite me dit GĂ©rald en jetant un coup d’Ĺ“il derrière moi pour voir si le couloir Ă©tait dĂ©sert. La serrure cliqueta deux fois… nous Ă©tions seuls !— Ça fait longtemps, la dernière fois me dit-il, en me faisant une bise appuyĂ©e, je crois que je me suis masturbĂ© tous les jours en pensant Ă toi. Je le regardai l’air amusĂ© par ce qu’il venait de me dire, il Ă©tait vĂŞtu d’une blouse bleue genre trois-quarts qui ne descendait pas plus bas que le haut de ses cuisses. Il Ă©tait nu dessous son Ă©norme sexe pendait mollement, plus loin que la moitiĂ© de sa cuisse musclĂ©e. En pensant que ce mandrin noir gigantesque allait bientĂ´t entrer en moi, une bouffĂ©e de chaleur, partit de ma chatte et se propagea jusqu’Ă la racine de mes cheveux.— Il fait chaud, ici je me suis mis Ă l’aise, en t’attendant… Me dit-il, en souriant.Je regardai les fenĂŞtres accolĂ©es au plafond, qui s’ouvraient au ras du sol de la cour, de l’extĂ©rieur personne ne pouvait voir l’intĂ©rieur, par contre des puits de lumière Ă©tincelante entraient en oblique.
Je coupai l’électricitĂ©, ce fut comme si des projecteurs trouaient la pĂ©nombre. PerchĂ©e sur mes talons hauts, ondulant des fesses, je me dirigeai vers le premier. Face Ă la fenĂŞtre, je levai les bras et m’offris Ă la caresse du soleil.— Oooooh ! Magnifique, on dirait que tu es nue. On voit bien que tu n’as pas de soutien-gorge. Mais tu as un string, non ? La ficelle est entre tes fesses ? Non… Tu ne te balades pas ainsi, nue sous ta robe ?
— Et si ! Il y avait Maxime et deux de ses copains Ă l’appareil Ă boisson. Regarde ce qu’ils ont pu voir. Et ça m’a vachement excitĂ©.Je me tournai vers lui. Il me sembla qu’ici dans la pĂ©nombre de la pièce, le soleil transperçait encore plus le mince tissu de ma robe. Je rĂ©alisai l’effet que cela avait du faire au deux hommes dans le local du distributeur Ă cafĂ©. J’Ă©cartai les jambes pour qu’il puisse se dĂ©lecter du spectacle.— C’est vrai tu es Ă poil !! Et tu t’offres ainsi aux regards des mecs, tu es quand mĂŞme une petite Salope… Putain, que tu es belle ! Il s’avança vers moi, mes yeux ne quittaient pas le balancement de sa queue, il bandait lĂ©gèrement, le dĂ©sir avait fait se rĂ©tracter son prĂ©puce, et son gland mauve tranchant sur le noir de sa bite Ă©tait Ă moitiĂ© dĂ©couvert, excitant au possible.— Regarde derrière toi ce que j’ai rĂ©cupĂ©rĂ© dans une salle de repos d’un atelier.Je me retournai, un divan trĂ´nait dans un coin de la pièce.— Baisse-toi, Ă©carte les jambes, touche le sol avec tes mains… Tu as vraiment des jambes magnifiques.J’obĂ©is. Ma courte robe remonta sur mes fesses, dĂ©couvrit la raie sĂ©parant mes deux globes bronzĂ©s, offrant mon vagin Ă ses regards. Je sentis perler une goutte de foutre au bord de ma chatte. La lumière solaire dut la faire scintiller.—Tu mouilles ? Tu as l’air d’adorer te faire mater ainsi, dans cette tenue !! Putain ce que les mecs ont du bander ! Tu restes ainsi, tu ne bouges pas.Il ralluma la lumière, entre mes jambes, je le regardai arriver. Il calottait et dĂ©calottait doucement sa grosse bite noire tendue Ă l’horizontale. Il allait me prendre ainsi. Je mouillai encore plus.
ArrivĂ© derrière moi, il me passa le gland le long de ma fente, en entra un tout petit peu le bout dans mon vagin, puis il Ă©carta mes fesses et le gland glissa jusqu’Ă mon trou intime. Il le promena tout autour de l’anus exerçant parfois une lĂ©gère pression, mais il ne me pĂ©nĂ©tra pas. Ses mains se glissèrent de chaque cĂ´tĂ© de mes aisselles, et saisirent mes seins, qu’elles malaxèrent, tandis qu’il embrassait mon dos avec passion. Il me fit relever et me poussa gentiment vers le divan. Il m’y coucha dessus. Il se mit Ă genoux.— Quitte-moi ma blouse.Tandis que je dĂ©boutonnai les boutons, sa main passa entre mes cuisses, ma robe remonta plus haut que ma taille. Il se mit Ă embrasser et Ă lĂ©cher ma cuisse, ses doigts effleurèrent ma chatte.
Je rĂ©ussis Ă lui quitter la blouse, et lui caressai doucement le dos, son torse noir brillait sous la lumière des nĂ©ons. Je fis passer la lanière du haut de ma robe par-dessus ma tĂŞte et lui prĂ©sentai mes deux seins, sa bouche avala aussitĂ´t entièrement mon arĂ©ole droite, et ses lèvres tirèrent avec force sur le mamelon qui dardait, puis il s’occupa du sein gauche, mordilla le bout sensible, je gĂ©mis de plaisir. Ma robe Ă©tait maintenant enroulĂ©e autour de ma taille.
Sa bouche descendit en un long baiser jusqu’Ă ma chatte, que la paume de sa main n’arrĂŞtait pas de caresser. Sa langue s’attarda sur mon petit triangle de poils ras, je passai ma jambe droite par-dessus sa tĂŞte et la posai sur son dos ce qui m’Ă©cartela. Ses grosses lèvres lippues s’emparèrent de mon clitoris bien dĂ©gagĂ© par ma position, et se mirent Ă le tĂ©ter. Ses doigts le tinrent dĂ©capuchonnĂ© tandis que sa langue en titilla la base pour bien le faire durcir et gonfler. Sous cette caresse mon bassin se tortilla dans tous les sens. Sa langue partit de mon anus, et remonta le long de ma fente vaginale, puis redescendit comme pour humidifier mon petit trou rectal, qui se relâcha sous la lĂ©gère pression et permit ainsi de petites incursions a la pointe de son muscle buccal.
Son index se mit Ă caresser mon petit trou rugueux, puis par petites pressions il l’enfonça doucement. Il entra et sortit lentement bientĂ´t rejoint par son majeur, il ajouta son annulaire et les trois doigts s’enfoncèrent comme pour bien retourner mon ampoule rectale. Ce traitement ajoutĂ© aux pĂ©nĂ©trations de sa langue dans mon vagin, Ă la succion de mon clitoris maintenant gonflĂ©, Ă ses mains qui ne cessaient de malaxer mes seins, Ă ses doigts qui me trituraient, pinçaient les mamelons, me tirant des râles de plaisir, fit que dans un gĂ©missement permanent, je lui demandai de ne pas cesser ses caresses. Ma tĂŞte tournait, je haletai. Ma main partit Ă la recherche de sa bite, je me mis Ă masturber fermement la monstrueuse hampe noire qui atteignit des proportions gigantesques.— La dernière fois j’ai adorĂ© dĂ©foncer ton petit cul, je sais, tu as aimĂ©, me susurra-t-il. Je n’ai pas arrĂŞtĂ© d’y penser pendant ces trois mois. Alors avant tout, je vais commencer par te sodomiser. Dis-moi que tu aimes, que tu es d’accord ! Ses grands doigts noirs entrèrent plus profondĂ©ment en tournant dans mon anus. Je hoquetai.— Ouu…. Ouiiiiii… J’ai… J’aime ta grosse bite noire…. Fais… Fais ce que tu veux…
— Redis le… Petite salope… Je veux t’entendre dire que tu aimes ma grosse bite noire ! Ses doigts fouillèrent mon vagin pour bien s’imprĂ©gner de mon foutre, puis il y cracha dessus pour bien humidifier mon anus, cela m’excita Ă©normĂ©ment. C’est vrai que la première fois, qu’il m’avait sodomisĂ©, j’avais adorĂ©, et il allait encore le faire. Il me fit mettre Ă genoux, il Ă©carta avec sa main gauche ma fesse droite, le bout de son phallus dont le diamètre atteignait maintenant les sept centimètres, fermement tenu par son autre main, s’enfonça lĂ©gèrement dans mon anus distendu.— Tu es prĂŞte ? Sans attendre la rĂ©ponse, il commença Ă pousser, l’Ă©norme sexe glissa lentement entre mes parois anales, il m’attrapa Ă la taille, pour m’attirer vers lui. Je devançai son dĂ©sir en envoyant mon bassin en arrière. Le gros mandrin noir glissa doucement.— Aaaahh… Salope, tu as entièrement fait entrer ma bite… Dans ton cul…
— Ouuuuiiiiiii, c’est… C’est bon…. Ta queue est merveilleuse…Je commençai Ă jouer des hanches d’avant en arrière, je sentis ses couilles battre mon pĂ©rinĂ©e, puis je lui laissai le contrĂ´le des opĂ©rations. Il entra et sortit son phallus dans un premier temps doucement, puis il n’entra que la moitiĂ© de sa bite et d’un coup de rein brusque enfonça le reste en donnant de petits Ă coups, lorsque son pubis toucha mes fesses, il ne bougea plus pour bien me laisser sentir la grosseur de son pĂ©nis phĂ©nomĂ©nal ! Ma tĂŞte Ă©tait enfouie dans le canapĂ©, mes ongles griffaient le tissu, je hoquetai et râlai de plaisir.— Oui, ouuuuuiiiiii, encore, encore, plus vite, enfonce bien, ouuuuiiii
— Je…. Je…. Vais… Jouuuuuuiiiiiir, cria-t-il au bout de dix minutes de ce dĂ©licieux supplice.Il me saisit les seins, les serra et je sentis les soubresauts de sa queue dĂ©versant son sperme dans mon cul. Je ne pus me retenir plus longtemps, mon plaisir Ă©tait au paroxysme, je ne le retins plus et j’explosai Ă mon tour dans une gerbe de jouissance. Je ne pensai pas que pendant ces trois mois, il ait fait abstinence sexuelle, mais la quantitĂ© de sperme qu’il Ă©jacula fut extraordinaire. Il se retira, je me couchai sur le dos, il m’embrassa longuement sa langue se nouant avec la mienne. Puis, il parcourut mon corps avec de petits baisers.
Au diable le boulot. Personne ne viendra nous dĂ©ranger. La porte Ă©tait d’ailleurs fermĂ©e Ă double tour. Il s’assit Ă cĂ´tĂ© de moi, je me tournai sur le ventre et commençai Ă jouer avec sa bite qui maintenant Ă©tait flasque et pendait sur sa cuisse. La conversation roula sur pas mal de sujets, je lui avouai que depuis mes 18 ans, je fantasmais sur les noirs, pas seulement parce qu’ils avaient en gĂ©nĂ©ral un gros sexe. Mais aussi parce qu’il y avait dans notre sociĂ©tĂ©, tout au moins jusqu’Ă maintenant, un tabou sur le fait qu’une blanche puisse faire l’amour avec un noir, et que cela m’excitait de transgresser cet « interdit » ; surtout si en plus les bites Ă©taient aussi grosses que la sienne. Il m’avoua lui aussi, en riant, que son rĂŞve avait Ă©tĂ© de baiser une blanche, blonde si possible, ce qui chez un noir ne pouvait ĂŞtre plus basique, mais qu’il n’aurait jamais pensĂ© pouvoir me baiser et que la rĂ©alitĂ© dĂ©passait ses espĂ©rances. Il s’Ă©tait souvent masturbĂ©, après avoir matĂ© mes jeux Ă©rotiques avec Maxime dans le local jouxtant son bureau, mais il n’avait jamais osĂ©, entrer pour y participer, et qu’il avait faillit Ă©jaculer lors de son doigter dans mon bureau.Cela me remit en mĂ©moire, le plan que j’avais ourdi. Il fallait que GĂ©rald me baise Ă nouveau et qu’il Ă©jacule dans ma chatte, l’heure tournait et je devais retrouver Maxime aux alentours de 16 heures 30 pour finaliser mon projet. En plus, c’Ă©tait vendredi et la majoritĂ© du personnel aurait quittĂ© la boĂ®te pour partir en week-end. On devrait, lĂ aussi, ĂŞtre tranquille !
GĂ©rald Ă©tait montĂ© comme un Ă©talon, et il rĂ©cupĂ©rait aussi Ă une vitesse phĂ©nomĂ©nale ou alors il devait ĂŞtre fou de mon corps. Car un bon quart d’heure après, sa bite que je n’avais pas cessĂ© de caresser pendant notre conversation, commença Ă reprendre du volume. Il se leva et frotta son membre noir autour de ma bouche.
Je regardai cet Ă©norme mandrin avec un petit air gourmand, je tirai la langue, il y posa son gland, le bout de celle-ci parcouru lentement son frein jusqu’Ă son mĂ©at urinal. Je mordillai par Ă -coups son gland le fit entrer dans ma bouche. Il eut l’air d’apprĂ©cier mes mordillements, je renouvelai l’opĂ©ration plusieurs fois, lui tirant des gĂ©missements de plaisir.Ma langue parcourut depuis les testicules l’Ă©norme phallus pour l’imprĂ©gner de salive, je voulus en avaler le plus possible, mais vu la grosseur et la longueur, ce fut une tâche quasi dĂ©sespĂ©rĂ©e que d’essayer d’en enfourner plus de la moitiĂ© dans ma cavitĂ© buccale. Mais je le suçai avec application frottant sa bite sur mes seins, essayant de faire entrer mes tĂ©tons dans son large mĂ©at.
Sa queue reprit des proportions colossales, et une duretĂ© Ă toute Ă©preuve. Il me fit coucher sur le dos, jambes largement ouvertes, et comme en physique ou les deux pĂ´les opposĂ©s s’attirent le bout de son gros gland mauve, vint se plaquer sur mon orifice vaginal. Mon fluide magnĂ©tique devait ĂŞtre super puissant, car sans attendre le gros tuyau noir glissa lentement dans ma fente bĂ©ante et humide. Il n’en fit pĂ©nĂ©trer que la moitiĂ©.—Tu aimes ma grosse queue noire?
— Oh oui… j’en suis folle… enfonce… enfonce…Il appuya sur mes fosses poplitĂ©s Ă l’arrière de mes genoux, pour bien Ă©carter mes cuisses et donna de petits coups de reins, faisant attention de ne pas s’enfoncer plus avant. Il me regarda dans les yeux, avec le regard gourmand d’un chat qui joue avec sa proie.— Alors petite Salope, tu rĂ©ponds ? Tu veux que je te la mette toute ?
— Ouuuiiiiiii….oooouuuuuuiiiiii….continue….continue….
— LĂ Ă Ă Ă Ă , tu la sens bien comme elle entre doucement, putain que c’est bon de te baiser !Je me masturbai le clitoris, il enfonça d’un seul coup la totalitĂ© de son phallus, puis il commença d’aller et venir d’abord très lentement puis de plus en plus vite, je mouillai comme une folle. Parfois, lorsque sa queue Ă©tait entrĂ©e entièrement, il s’arrĂŞtait essayant ensuite de pousser comme pour l’enfoncer davantage, cela me faisait rugir de plaisir, je sentis ses testicules frotter mes fesses.
Il m’embrassa alors furieusement. Ma chatte Ă©tait Ă©cartelĂ©e, dĂ©foncĂ©e par le diamètre de ce sexe noir, mais je raffolai de sentir la couronne de son gland frotter le long mes parois vaginales, je contractai mes muscles pour bien serrer le membre monstrueux.
Le plaisir monta rapidement, mais chaque fois que GĂ©rald sentit que j’allai exploser, ralentissait ou stoppait ses pĂ©nĂ©trations, pour me lĂ©cher les seins ou m’embrasser fougueusement.— Attends, Attends-moi pour jouir. Je veux profiter au maximum de ta chatte. Ce n’est pas tous les jours que je peux profiter d’une sensationnelle petite blonde Ă qui je peux enfoncer la totalitĂ© de ma bite !Ma rĂ©ponse fut des râles de satisfaction et des gĂ©missements d’extase. — Je…je ne tiens plus…je…je vais …jouir…. je pars…. Je criai mon plaisir au bout de vingt minutes de ce traitement ininterrompu, et un terrible orgasme me submergea.— Ouuuuuiiiiiiiiii, moi aussiiiiiiiiii……. L’Ă©norme bite noire enfoncĂ©e au trĂ©fonds de mes entrailles cracha sa semence en longs jets tièdes.
Je crus défaillir de plaisir. Cette fois aussi, il y eut hyperspermie, vu le temps que dura son éjaculation, il dut déverser plus de six millilitres de sperme.
Je n’aurai pas pu rĂŞver mieux ! Je pouvais passer Ă la seconde parti de mon plan, j’avais Ă©normĂ©ment joui, mais ma libido n’Ă©tait pas entièrement satisfaite.
J’enfilai ma robe, après un dernier baiser Ă GĂ©rald, je me dĂ©pĂŞchai d’aller rejoindre Maxime.
En montant les escaliers menant Ă la cour, je sentis le sperme du grand noir commencer Ă couler sur mes cuisses.Ma route traversait un petit jardin d’agrĂ©ment ou poussaient des noisetiers. Je choisis une branche de coudrier fine et flexible d’environ un mètre de long et la coupai, puis je me hâtai vers ma destination finale. Je frappai Ă la porte du bureau de Maxime et entrai, il Ă©tait seul, Ă cette heure-ci, les trois-quarts du personnel Ă©taient partis. En pensant Ă ce que je voulais, ma vulve se contracta toute seule, mon foutre s’ajouta au sperme de GĂ©rald qui s’Ă©coulait de mes deux orifices. Je donnai un tour de clef, tout en le regardant avec un sourire malicieux. Il y eut une avalanche de questions.— Tu as fini l’inventaire avec GĂ©rald ? Il t’a baisĂ©e ? Que fais-tu avec cette badine ? Pourquoi tu te marres ?
— Ce que je fais avec la baguette ! Je crois que tu vas en avoir besoin !! Tiens prends lĂ . Je m’approchai et m’accoudai Ă son bureau Ă cĂ´tĂ© de lui, dos bien Ă plat, fesses tendues, jambes Ă©cartĂ©es…— S’ il m’a baisĂ©e ? Tu devrais vĂ©rifier… Touche…Sa main se posa derrière mon genou et remonta lentement Ă l’intĂ©rieur de ma jambe, ses doigts rencontrèrent bientĂ´t le sperme poisseux qui coulait sur le haut de ma cuisse.— Salope…tu mouilles…ou alors…c’est… c’est du sperme… Son majeur et son index entrèrent dans ma chatte, il les enfonça profondĂ©ment faisant plusieurs allers et retours.— Ta chatte est pleine ! C’est bien du sperme… petite garce il t’a baisĂ©e !
— Oui, mais pas que…Son pouce se positionna sur mon ampoule rectale qui cĂ©da sous la lĂ©gère pression et pĂ©nĂ©tra dans le conduit Ă©galement bien lubrifié…— Il…il t’a sodomisĂ©e aussi… ton cul est bĂ©ant… et trempĂ© !!
— Eh bien oui… Tu voulais savoir… Maintenant tu sais !
— Tu as aimĂ© ? C’est vrai qu’il a une bite Ă©norme de presque trente centimètres ?
— Ohhhhh ouuuiiii… tes potes ne t’ont pas menti… elle est vraiment Ă©nnnnooooorme !Je me retournai, Ă´tai ma robe qui tomba Ă mes pieds, je lui pris la main et suçai ses doigts plein de mon foutre et du sperme de mon amant prĂ©cĂ©dent.— Putain, que son sperme est bon. Tu veux goĂ»ter ? Il y en a beaucoup et aux deux endroits ! Mais tu as l’air jaloux lĂ , que la grand noir m’ait sauté ! Et tu sais ce n’est pas la première fois et oui, j’ai vachement aimé ! Le jour ou je lui ai montrĂ© ma chatte, il m’a fait un super doigter, j’ai failli jouir, je mouillai tellement que j’ai Ă©tĂ© obligĂ© de changer ma jupe Ă midi ! L’après midi pendant l’inventaire il m’a baisĂ© et ensuite sodomisé ! Tu ne crois pas que je mĂ©rite d’ĂŞtre punie ? La badine, c’est pour ça…Je m’Ă©tais assise sur le bureau, le talon posĂ© sur le dessus, jambe gauche ouverte ce qui entrebâillait largement ma chatte, du sperme coulait sur le dessus du meuble. Il s’approcha, tandis qu’il m’embrassait sauvagement, trois doigts de sa main droite fouillèrent avec vigueur mon conduit vaginal. Il avait l’air vraiment excitĂ© par mes aveux, moi aussi d’ailleurs, mon plan avait l’air de fonctionner. Je lui Ă´tai sa ceinture, et dĂ©fis sa braguette, tandis que je dĂ©boutonnai sa chemise, il se dĂ©barrassa de son pantalon. Nous Ă©tions nus tous les deux, il bandait fermement.— Attache moi au porte-manteau et punis moi, pour avoir baisĂ© avec le grand noir et adorĂ© qu’il Ă©jacule dans ma chatte et dans mon cul !
— Salope !Il entoura mes poignets avec la lanière de cuir et les attacha au-dessus de ma tĂŞte aux patères fixĂ©es au mur, ce qui fit cambrer ma poitrine. Je n’avais encore jamais fait l’expĂ©rience de la flagellation, mais inconsciemment, je sus que j’aimerai. Se saisissant de la cravache improvisĂ©e, il commença Ă me caresser les seins, fit le tour des arĂ©oles, titilla les tĂ©tons qui rĂ©agirent aussitĂ´t.— Tu as aimĂ© baiser avec GĂ©rald ?
— Oui, je te l’ai dit ! J’ai adoooorĂ© son Ă©norme sexe noir, qui c’est vrai mesure presque 30 cm, dur comme du fer, il est presque aussi gros que mon poignet !Je le regardai avec un petit air dĂ©fi. Il donna un coup sec Ă chacun de mes seins, je gĂ©mis sous le lĂ©ger impact. Je remuai le torse de façon Ă faire danser ma poitrine dont les globes aux pointes tendues et gonflĂ©e, raffermis par les coups lĂ©gers, frĂ©mirent en attendant le prochain choc.— Tu as vraiment aimĂ© sa grosse bite noire ?
— Ouuiiii…! Elle n’est pas que grosse, elle est extrĂŞmement longue et il me l’a toute enfilĂ©e… au moins trente centimètres… Il m’a fait hurler de plaisir ! Elle est beaucoup plus grosse que la tienne.
—Tiens…salope…tiens…Maxime excitĂ© par mes propos se mit Ă manier la baguette avec dextĂ©ritĂ©. Le mince stick glissa sur ma peau sans trop me faire mal, il se mit Ă taper les mamelons d’un cĂ´tĂ© puis de l’autre qui se gorgèrent de sang. Ma poitrine se tendit vers les coups. Cela commença Ă m’exciter sĂ©rieusement. Je gĂ©mis de plaisir Ă chaque coup. Arrogante, je me cambrai en avant, le provocant. Le bout du bâton descendit sur mon ventre comme une caresse, ma chatte Ă©tait en feu, mon foutre coulait sur mes cuisses…— C’est bon, tu aimes ça, comme tu as aimĂ© sucer sa grosse queue noire…
— Oui, j’ai tout avalĂ© son sperme, j’ai adorĂ©… il est dé…dĂ©licieux… Pan, un nouveau coup. Le bout de la cravache improvisĂ©e descendit jusqu’Ă mon sexe, Ă©carta mes lèvres, il l’insinua dans ma fente, pĂ©nĂ©tra lĂ©gèrement mon conduit vaginal, il le remonta jusqu’Ă mon clitoris Ă©rigĂ© et dur comme un petit bouton de porcelaine.— Putain ce qu’elle mouille, la demoiselle, dit-il en suçant l’extrĂ©mitĂ© luisante de foutre. Il te faisait autant mouiller salope ?
— Oui ma chatte Ă©tait plus que trempĂ©e, complètement distendue par la grosseur de son gland.Il se mit Ă titiller mon clitoris.— Tu as aimĂ© qu’il te caresse le clitoris ?
— Ouuuuiiii, regarde ce que ça me faisait faire quand il me pĂ©nĂ©trait, et je me mis Ă miner une pĂ©nĂ©tration. Sa grosse queue noire, m’a fait jouiirrr…. j’ai adoré…. me faire dĂ©foncer…A chaque tortillement de bassin, je reçus un lĂ©ger coup. Il me fit tourner. Se mit Ă me caresser doucement le dos, avec la badine, puis lorsqu’il vit que des frissons qui me parcoururent, m’assena un coup. Je pris plaisir Ă ce traitement, il attaqua mes fesses, il les tapa doucement, mais elles s’Ă©chauffèrent.— Tape plus fort, lui demandai, je…je…je le mĂ©rite, sa grosse bite noire m’a fait jouir deux fois comme une folle… Surtout quand il me sodomisait, j’aime quand tu me frappe, je suis une salope !
— oui une Salope…Cela me tira des frissons depuis le bas-ventre, ils remontèrent le long de ma colonne vertĂ©brale. Je frottai ma chatte et mes seins sur le mur granuleux. Une flaque de foutre poissa mon duvet et coula sur le sol. Au bout d’un moment, la flagellation devint un plaisir, elle stimula toutes mes zones Ă©rogènes, mes seins devinrent durs et gros, mes mamelons s’Ă©rigèrent en deux pics bruns, mes cuisses se frottèrent l’une contre l’autre, j’adorai !— Tu te feras encore baiser par lui ?
— Oh oui…oh oui…sa queue noire est énorrrrrrmmmmme !
— Alors attends ! Je t’ai rĂ©servĂ© quelque chose, pour le moment de tes aveux, je savais, que j’avais raison et qu’il t’avait baisé ! tu vas voir…Il farfouilla dans un des tiroirs de son bureau, me remit face Ă lui, toujours attachĂ©e.— Regarde ce Ă quoi tu vas avoir droit !Il exhiba un godemichĂ© noir d’environ, 25 cm et de 5 ou 6 cm de diamètre. Il approcha le fauteuil et sans me dĂ©lier, me fit poser le pied dessus. Le phallus artificiel commença Ă glisser Ă l’intĂ©rieur de mon vagin, je hoquetai de plaisir, mon sexe dut s’inonder encore plus, mes muscles vaginaux enserrèrent la verge de plastique noir. Mes parois vaginales palpitèrent, tout mon intĂ©rieur frĂ©mit. Un brasier dĂ©vora mes entrailles, mon souffle se fit rauque.— Tu ne vas pas jouir maintenant… petite salope… attends ! Elle est grosse, hein… comme celle de GĂ©rald…
— Ooouuuuuiiiii. j’ai…j’aime…. Mais la queue de GĂ©rald Ă©tait plus grosse… plus… plus vite… fais moi le sucer, il doit ĂŞtre imprĂ©gnĂ©e de son sperme, il a Ă©jaculĂ© une quantitĂ© phĂ©nomĂ©nale… dans ma chatte et mon cul… je… je sais…. je suis une Salope !J’exacerbai sa jalousie, sa queue Ă©tait droite, raide, gonflĂ©e au paroxysme, il devait ĂŞtre prĂŞt Ă Ă©jaculer, mais je voulus encore ressentir la lĂ©gère morsure de la mince badine sur mon corps. Tandis qu’il exauça mon dĂ©sir de succion d’une main, son autre main s’activa Ă m’infliger de lĂ©gers coups. Ma tĂŞte devint lourde, toute brĂ»lante je frottai mes cuisses et ma vulve, avec des mouvements de va-et-vient, je plongeai dans un abĂ®me de plaisir..— Vi…viens maintenant… viens… baise moi…prends moi…dĂ©fonce moi…éjacule en moi… mĂ©lange ton sperme avec celui de GĂ©rald ! Éjacule dans ma chatte. DĂ©verse-toi en moi, je veux te sentir Ă©jaculer en moi mon chĂ©ri !Il me prit plus que sauvagement, il s’enfonça en moi, ses ongles s’incrustèrent dans la chair de ma taille, il me martela avec une fougue Ă la limite du supportable. J’Ă©tais arrivĂ©e Ă mes fins. J’avais voulu une Ă©treinte fougueuse, elle avait Ă©tĂ© plus que dĂ©chaĂ®nĂ©e. Un torrent de lave dĂ©ferla dans mes veines. L’orgasme jusqu’Ă maintenant contenu s’abattit sur moi, une jouissance plus que diabolique me transperça le corps. Je sentis les soubresauts de sa bite que mes parois vaginales enserraient comme un Ă©tau et il Ă©jacula. Je me tordis et me cambrai en hurlant pour enfoncer sa queue plus profondĂ©ment. Je ne pus pas retenir mon cri de jouissance.
J’Ă©tais repue de sexe. Je venais de faire l’amour avec deux hommes diffĂ©rents dans l’après-midi et j’avais Ă©normĂ©ment joui trois fois. Maxime me regarda amoureusement. — Tu es vraiment unique Trixie. D ‘abord GĂ©rald puis moi. Tu me mets dans des Ă©tats presque second. Au fait maintenant que tu viens de m’avouer que tu baisais aussi avec GĂ©rald, cela me plairait bien de te regarder faire l’amour avec lui, de le voir te faire jouir avec son immense sexe noir.
— Moi aussi, j’adorerai que tu regardes mon petit chĂ©ri, lui rĂ©pondis je ! J’ai vraiement envie qu’il me fasse jouir devant toi avec son Ă©norme bite noire !Je remarquai que sa verge Ă©tait encore gluante, je la pris dans ma bouche, et je la suçai langoureusement.— J’aime Ă©normĂ©ment, le goĂ»t de ton sperme. Il est meilleur que celui de GĂ©rald.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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