Des retrouvailles … partie 4

Des retrouvailles … partie 4
Le rendez vous a lieu… en pleine gare. Enfin elle peut le voir, espérer un peu plus encore. Pourra-t-elle soutenir cette envie de lui sauter dessus ?
Cette histoire est tirée d’une expérience réelle avec une femme fabuleuse. Laissez vous emporter par cette émotion, elle n’en sera que meilleure.
Proposée le 5/03/2021 par pfdd Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Histoire vraie

Elle l’attendait désormais. Le rendez-vous était à 8h30, dans ce grand hall de gare et elle avait juste quelques minutes d’avance. Elle avait bien tout réglé de son côté pour que ces deux jours soient les plus merveilleux possible… Elle avait posé deux jours de repos au travail, confié sa fille aux soins de sa grand-mère et s’était assurée de ne pas être contactée pendant ces 48 prochaines heures. Son téléphone était réglé pour ne sonner que pour sa fille et sa grand-mère. Elle ne voulait pour rien au monde risquer de gâcher la moindre seconde de sa présence.
Le soleil était bien présent dans le ciel, et elle ne regrettait pas d’avoir mis cette robe en coton léger. Le bleu lui allait si bien. Elle avait choisi celle avec un décolleté qui laissait entrevoir la naissance de ses seins, en découvrant suffisamment sans tout montrer, mais en laissant deviner le reste. Elle était persuadée que cela ne le laisserait pas indifférent.Elle avait voulu se mettre en valeur et avait joué de tous ses atouts. Le ruban qui tenait ses cheveux, un léger parfum, une crème de jour non brillante et non grasse, un rouge à lèvre d’une teinte naturelle, légèrement brillante. Il ne saurait résister, même s’il le voulait… et elle savait parfaitement qu’il ne le souhaitait pas du tout.Elle le vit enfin arriver au coin de la grande salle bondée de passagers.
Son cœur se mit à battre encore plus vite, et elle sentit ses jambes se dérober sous l’émotion. Mais elle tint bon.Il semblait aux anges, un immense sourire illuminait son visage, et son pas parut moins assuré. Cela trahit aussi l’émotion qui devait l’habiter.
Elle se retint de courir vers lui et tenta même d’arborer une mine presque désabusée.Mais ses yeux qui brillaient lui firent tomber ses dernières défenses. Dès qu’il se fut approché à moins de trois mètres, il ouvrit les bras lentement et s’arrêta.Elle hésita un instant et finalement avança vers lui pour se blottir contre lui, glissant ses bras sous son blouson entr’ouvert.
Il referma les bras et prit une longue inspiration comme pour humer son parfum.Et un délicieux câlin commença. Hors du temps et de tout ce qui les entourait, il lui sembla ne s’écouler que quelques secondes.Elle sentait la chaleur de son corps à travers toutes ces couches de tissu, malgré la fraîcheur ambiante…
Et cette chaleur était tellement au-delà de celle qu’elle tentait de reproduire dans sa douche. Une chaleur qui l’entourait, la pénétrait, emplissait chaque parcelle de son être, chaque recoin de son âme mise à nue lorsqu’elle se retrouvait dans ses bras.Et son parfum, mélange de musc et de sous-bois de forêt, l’entêtait jusqu’à ne plus avoir conscience de rien.Elle était juste bien…Ses bras étaient dans son dos, et elle serra son emprise de toutes ses forces, pour ne pas perdre pied dans cet océan de sensations indescriptibles.
Il lui rendit son étreinte et un ouragan de chaleur tendre l’emporta comme un fétu de paille perdu dans une bourrasque de vent. Son corps tout entier était délicieux, l’odeur de sa peau, la chaleur de ses bras et le contact de son torse, le souffle de sa respiration, la douceur de ses lèvres posées sur la peau de son cou.Quelques mots glissèrent entre ses lèvres tremblantes de bonheur, qu’il n’entendit heureusement pas. Elle ne voulait pas fondre tout de suite… pas encore, pas si vite. Elle pria intérieurement qu’il ne lui demanda pas de les répéter, car elle n’aurait plus le courage de le faire. Il n’en fit rien, tellement absorbé par ses propres sensations de tendresse.Ses lèvres quittèrent son cou et remontèrent délicatement vers sa joue, et y déposèrent un baiser d’une douceur incroyable.
Puis il recula d’un pas et lui prit les mains dans les siennes. »Allons-y. » dit-il seulement. Mais son regard exprimait bien plus que cela. Elle put y lire de la reconnaissance, de la tendresse, et cette légère pointe de malice qui le rendait si irrésistible…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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