Dialogues, etc.— Qu’est-ce que tu fais ?— Rien.— Mais non, pas rien, pourquoi tu me touches là  ?— Parce que j’aime bien te toucher là .— Mais moi j’aime pas !— Ah bon, t’aimes pas ?— Non, j’aime pas. Arrête maintenant !— Bon, j’arrête… Pourtant, l’autre fois tu faisais : « Ah, ah, ah, hum, c’est bon ! »— Mais c’était l’autre fois… et puis on avait picolé.— Alors, il faut qu’on picole avant ? On va picoler, alors, qu’est-ce que je te sers ?— Mais non, c’est pas ça. J’aime pas ça… en général.— Et l’autre fois ?— L’autre fois, c’était… particulier.— Ah bon.…— Qu’est-ce que tu fais, encore ?— Rien du tout !ooooOOOOooooo— Tu me le dis jamais !— Quoi ?— Tu sais bien.— Mais non, quoi ?— Ben enfin, que tu m’aimes.— Mais oui, je t’aime…— Non, pas comme ça…— Comment ?— Déjà , pas quand je te le demande. Tu ne le dis jamais… spontanément !— Ben, j’sais pas… J’y pense pas.— C’est tout ? C’est parce que t’y penses pas ?— Ben oui, on est bien ensemble, alors je dis juste : « On est bien ensemble. » Ça, je le dis, hein.— Oui, c’est vrai. Et puis, c’est vrai, qu’on est bien ensemble !— Ah, tu vois.— Mais c’est pas aussi bien que « je t’aime ». Tu me diras « je t’aime » ?— Oui… enfin, si j’y pense.……ooooOOOOooooo……— Eh merde….— C’est le cas de le dire !— Oh, shit !— J’t’avais dit, que j’aime pas ça………ooooOOOOooooo……— Eh, enlève ton pied de là  !— C’est pas mon pied.— C’est pas à toi que je parle, c’est à Michel.— Eh, Michel, y’a Monique qui te dit d’enlever ton pied de là .— Mais, c’est pas mon pied.— Enfin, ce pied est bien à quelqu’un ?— J’sais pas.— Bon je vais le pincer, on verra bien !— Aïe !— Ah, Gérard, c’est le tien ! Enlève donc ton pied de là , il me fait mal.— J’peux pas, j’ai la jambe coincée sous Marie-Thérèse. Eh, Marie-Thérèse, soulève-toi un peu que je retire ma jambe.— Oui, oui, oui, oui.— Tu dis oui, mais tu te soulèves pas !— Hein ?— Soulèves-toi, que je puisse retirer ma jambe. Y’a mon pied qui gène Monique.— Oh putain, c’est trop bon… Jean-Louis, arrête un peu, que je me soulève.— Ouf !— Ouf !— Ah………ooooOOOOooooo……Oh, c’te fille ! Oh là là , elle est grosse quand même. Grosse mais bien bandante. Grosse mais bien mouillée. Viens par là , ma salope !— Hum, qu’est-ce tu m’excites !— C’est vrai, je te plais ?— Oh oui, tu me plais, viens par là  !— Hum… ha… oui…Oh oui, j’aime ça les grosses.Quand même, c’est pas sympa, de penser ça, si elle m’entendait…Remarque, elle aime ça, aussi, alors tout va bien ! Elle aime ça, hein, la grosse salope ?— Tu aimes ça, hein ?— Oh oui, c’est bon comme ça !J’en étais sûr………ooooOOOOooooo……— Quand même, elle est bien conservée, ta mère, à son âge…— Pourquoi tu dis ça ?— Non, rien, comme ça…— C’est à propos d’hier ?— Heu, oui, je repensais à hier.— C’est vrai qu’elle avait mis son pantalon blanc… Dis donc, elle t’a tapé dans l’œil ! Salaud !— Mais non, mais non, je pensais ça comme ça, au hasard… C’est vrai, à cet âge, c’est rare. Je pensais à ton père, tu vois, c’est bien pour lui, d’avoir une femme qui est encore belle…— Eh moi, je suis pas belle ?— Si, bien sûr, mais tu as 25 ans de moins, c’est facile !— Tu veux dire que je serai pas aussi bien à son âge, c’est ça ?— Mais non…— Avec tout les soins que je me mets, et la salle de gym, et le régime, et tout ! Avec tous les efforts que je fais, c’est tout ce que tu trouve à me dire ?— Mais non…— Salaud !— Je voulais pas dire ça !— Connard !……ooooOOOOooooo……— Oumpf… Désolé.— Oh, non, pas déjà  !……ooooOOOOooooo……— Dis-donc, mon Ansbert chéri, t’as pas envie ?— Hein ?— De faire quelques galipettes. On n’en fait plus jamais !— Tu sais bien qu’avec ma prostate, je peux plus…— Alors, fais-moi une petite gâterie !— Une gâterie comment ?— Une gâterie avec ta langue !— Bon, d’accord, attends…— Eh, c’était quoi ce bruit ? Ça a craqué très fort, comme une planche ! Ansbert chéri, c’était quoi ?— C’est rien, c’est mon rhumatisme !……ooooOOOOooooo……Ah, Huguette… Quand j’y repense… Ah, putain, c’était bon. C’était un sacré coup… Bon, j’aurais peut-être pas dû… Elle a dit non. D’un autre côté, elle a dit non une seule fois. Après, elle se taisait, elle avait l’air concentré sur ce que je faisais. Et puis après, elle a eu l’air d’aimer ça. Ah oui, sa façon de remuer, c’était chaud ! Ça m’excitait ! Elle faisait semblant de résister, mais elle aimait ça ! Ah, son souffle saccadé dans mon cou ! Ah, sa morsure ! Une vraie sauvage ! Ah, que j’étais au chaud, là dedans. Hum, elle s’est mise à mouiller, j’ai bien senti qu’elle mouillait… Quand même, j’aurais peut-être pas dû. Mais pourtant, elle a aimé ça, ah oui, elle aimait ça ! — Eh, toi, t’as de la visite !— Ah bon ?— Ouais, ton avocat.……ooooOOOOooooo……— Ah, c’est bon ! Si vous saviez comme c’est bon…— Ça en a l’air…— Mais on peut pas savoir.— Comment ça ?— Ben non, qu’est-ce tu veux, nous on peut pas faire ça.— C’est vrai. Vous savez pas ce que vous manquez !— C’est pas mal aussi pour moi.— Ouais, pour moi aussi.— Mais quand même, vous sentir tous les deux… là … et puis là … Oh, là , oui, plus fort ! Ah, ce que c’est bon, vous pouvez pas savoir.— Ben non, on peut pas savoir.— Ben non.……ooooOOOOooooo……— Moi, j’sais pas draguer.— Bof, moi, franchement, j’ai jamais trop su faire non plus.J’ai un copain, je sais pas comment y fait. Il a toujours deux, voire trois copines à la fois. Y’en a une qui part, y’en a deux qui reviennent. Je sais pas comment y s’y prend, elles tombent comme des mouches !— Comment tu sais ?— Ben, pardi, parce qu’y me raconte !— T’es sûr qu’y t’raconte pas des balourds ?— Ben, non, des histoires comme ça, ça s’invente pas. L’autre fois, il était chez une de ses cops, manque de pot, elle lui dit que son copain doit revenir… Il la baise quand même, mais il avait la trouille. Elle habite sur un grand boulevard, c’était en semaine, c’était calme, il se disait qu’il aurait le temps de le voir revenir. Alors, il la baisait une minute, il allait voir à la fenêtre si le copain arrivait. Il la rebaisait une minute, il allait voir à nouveau… Tu te rends compte ?— Ah ouais, quand même.— Eh ouais, c’est fou.— Comment ça s’est fini ?— Ben, il a tiré son coup, et puis il s’est barré vite fait après avoir vérifié par la fenêtre une dernière fois.— Et il a pas croisé le copain ?— Non.— Ah. Il a eu de la chance.— Ouais.— …— L’autre soir, j’ai vu à la télé que si une femme demande à un mec, de but en blanc, hein, à un mec qu’elle connaît pas… Si elle lui demande si y veut bien faire l’amour avec elle, y’a 35 % des mecs qu’acceptent.— Ben ouais ! Moi, c’est sûr, j’accepte.— Ouais, mais toi…— Quoi, moi ?— Non, rien… Bon, alors, tiens-toi bien, quand c’est l’inverse, c’t’à dire un mec qui demande à une femme de but en blanc si elle veut bien faire l’amour avec lui, y’a 99 % de femmes qui refusent !— Ah ouais, elles veulent pas. C’est comme ça, les femmes.— D’un autre côté, ça fait quand même 1 % de femmes qui accepte.— C’est vraiment pas beaucoup.— Ben quand même, une femme sur 100 ! Imagine dans une grande ville, tu demandes à plein de femmes si elles veulent bien faire l’amour avec toi. Au bout de 100 femmes, t’en as une qu’accepte !— Ah ouais ? Ha, j’avais pas pensé… Ah, dis donc, faudrait peut-être que j’essaie !— Ouais, mais toi…— QUOI, MOI ?— Non, rien.……ooooOOOOooooo……— Pfiou, dis-donc, elle a un beau cul.— Ouais. Mais elle a une sale tête.— Toi aussi t’as une sale tête.— Qu’est-ce t’en sais ?— Ben, il suffit de te regarder.— N’importe quoi.— Ben non, pas n’importe quoi ! Hep, Mademoiselle ! Là , mon copain, vous en pensez quoi, de sa tête ?— Il a une sale tête !— Ah, tu vois ! Merci, Mademoiselle……— Mouais, euh… elle avait dû m’entendre, elle a voulu se venger !— Tu veux qu’je demande à une autre ? Hep, Mademoiselle !— Non, arrête, maintenant, tu fais chier !— Mademoiselle ! Là , mon copain, vous en pensez quoi, de sa tête ?……ooooOOOOooooo……— Eh, regarde, le cheval !— Quoi ?— Ben regarde !— Ah oui, il bande… Pfiou, il bande fort ! Pfiou, il est bien membré, dis donc ! Ah, oué, l’est ben vigouroux , comme on dit chez moi ! Ah, oué, ben vigouroux, dis donc !— Bon, arrête maintenant !— Ben quoi, c’est toi qui m’a fait remarquer !— Oui mais bon, c’était comme ça, en passant. Arrête, maintenant, t’es lourd avec tes « ben vigouroux ».— Bon bon, j’arrête, c’était pour rire.…— Quand même…— Quoi ?— Je me demande…— Quoi ?— Ben…— Quoi, tu te demandes ce que ça fait ?— Hein ?— C’est ça que tu te demandes, comment ça fait une bite de cheval ? C’est vrai qu’elle est énorme, mais faut encore pouvoir se la mettre !— Mais arrête, avec tes horreurs !— Quoi, mes horreurs ?— Arrête je te dis !— Bon, bon, j’arrête, c’était pour rire.…Quand même, je me demande………ooooOOOOooooo……— Tu aimes ça, être prise par tous les trous ?— …— Pourquoi tu réponds pas ?……ooooOOOOooooo……« Oh, Sophie. Ah oui, comme t’es belle… Hum, je t’enlève ton soutien-gorge… je te lèche les seins… tu commences à gémir… Hum, je descends lentement… Je te lèche d’abord l’intérieur des cuisses… et puis j’arrive vers ton sexe… hum, alors là , tu aimes ça… et puis alors, là , je te prends… Non, attends, pas encore. Alors, je te lèche encore, je te lèche le clito. Oh, oui, ça te fait crier, tu es folle. Tu viens à califourchon sur ma bouche, je te lèche, je te bois, hum oui, j’aime ça ! Toi aussi, t’aimes ça, ça te rend folle, tu jouis une première fois. Bon, tu me fais une petite gâterie… et puis je viens en toi. Alors là , ouais, c’est chouette, je varie la vitesse… et puis je te retourne en levrette… hum, tu aimes ça, tu cries… Je t’attrape par les cheveux, je vais bien à fond contre tes fesses… hum, oui, encore… encore… ah oui, tu jouis, je jouis aussi…Putain, j’en ai plein la main. Où est le Sopalin ?Putain, déjà 8 heures, faut que je me grouille, j’vais être en retard au boulot.Ah, Sophie… Rha là là … »