Disciple et Maître (Prof Marilyne) Partie 4
Les vacances en Grèce ne sont pas terminées pour Maryline et Marc… Elle va se découvrir comme jamais et découvrir Marc sous des facettes qu’elle n’imaginaient pas
Proposée le 30/10/2020 par Mekron Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
Elle se passa les mains sur le visage. Elle était sous le coup d’une émotion si intense qu’elle en était comme sonnée. Elle ne savait plus trop comment ils étaient rentrés mais elle se souvenait lui avoir dit d’accord pour le dîner du soir. Elle se souvint être entrée dans sa chambre, s’être affalée sur son lit et ne s’être réveillée que le lendemain avec de la fièvre. Était-ce une insolation ou l’intensité des leurs ébats ? Elle ne le savait pas vraiment. Elle se souvint que Marc était passé pour prendre de ses nouvelles et qu’il était resté à son chevet quelques temps. Ses délicates attentions l’émurent profondément.
Vingt-quatre heures plus tard, elle allait beaucoup mieux. Le matin elle se regarda dans la glace de la salle de bain. Elle sentait encore son anus et sa vulve particulièrement sensibles. Mon dieu ! Qu’est-ce qu’il lui avait mis ! Jamais on ne l’avait prise de la sorte et avec autant de violence et de finesse ! Non qu’elle ait eu beaucoup d’expérience, mais Marc n’avait que dix-sept ans et il était bien au-dessus du lot ! Les images affluèrent et l’excitèrent. Elle essaya de les chasser mais n’y parvint pas vraiment.Lorsqu’elle croisa Marc, sur le port, en fin de matinée, il était seul. Il s’approcha doucement et lui sourit. Elle résista à l’envie ou au besoin de se jeter à son cou. Même loin de la France, il était toujours un mineur et son élève en plus. Elle lui rendit son sourire.
« Où est Émilie ? », demanda-t-elle.
« Elle fait ses bagages à la maison. Mes parents sont rentrés. »
« Vous rentrez tous les deux ? », demanda-t-elle, l’anxiété lui nouant la gorge.
« Non Juste elle. Je l’emmène à l’aéroport ce soir. Vous voulez nous accompagner ? »
Son cœur bondit dans sa poitrine et accepta avec grand plaisir.
« Venez. », lui dit-il en lui prenant la main. Elle eut peur que quelqu’un les surprenne mais cette idée ne resta qu’un court instant. Elle le suivit. Ils se promenaient dans les petites rues lorsque tout à coup il partit en courant dans une ruelle montante. Elle s’esclaffa et fit son possible pour suivre la cadence. Elle avait beaucoup de mal à courir avec ses talons compensés sur les pavés inégaux, mais le rush d’adrénaline la galvanisa. Il lui jetait des coups d’œil par-dessus son épaule et elle ne pouvait s’arrêter de rire. Il la fit courir, monter et descendre des escaliers, elle dut se retenir à ses épaules lors des descentes abruptes. Elle haletait et ses cuisses commençaient à brûler. Elle dut maintenir de temps à autre sa poitrine nue qui ballottait librement sous sa robe. Il s’arrêta et monta lentement une dernière volée de marche et poussa une petite porte en fer forgé. Son cœur battait la chamade et elle le suivit sur une terrasse. Il y avait une superbe vue sur la ville et le port. Elle regarda avec plaisir et reprenant son souffle. Il l’embrassa par surprise et elle s’esclaffa. L’instant d’après elle se retrouva plaquée contre le mur, ses poignets emprisonnés dans sa poigne de fer, au-dessus de sa tête. Elle prenait de grandes goulées d’air pour calmer sa respiration. Sa poitrine se soulevait amplement à chaque inspiration. Il lui caressa doucement la joue. Descendit lentement le long de son cou. Glissa la pulpe de ses doigts entre ses seins. Son corps commençait à frémir de plaisir. Il s’attarda une seconde sur son ventre en y plaçant sa main à plat dessus. Elle soupira profondément. Il descendit au niveau de son entre-jambe et, habilement lui déboutonna sa robe. Il y découvrit une petite culotte en dentelle. Il joua quelques temps avec l’élastique et lorsqu’elle s’y attendait le moins, il la lui arracha d’un geste brutal. Elle laissa échapper un petit cri aigu. Il ne la quitta pas du regard et elle se noya avec délice dans le vert de ses yeux. Elle ne pouvait s’arrêter de soupirer, gémir, hoqueter. Elle regarda aux alentours et vit que les rares maisons, ayant une vue sur la terrasse, avaient leurs volets fermés, ce qui était normal à cette heure de la journée. Le soleil tapait si fort. Elle le sentait sur sa peau au travers des canisses qui les couvraient. Il glissa ses doigts entre ses cuisses et commença un supplice sublime. Elle essaya de faire le moins de bruit possible, mais elle eut énormément de mal. Ses jambes tremblaient et ses talons hauts résonnaient en martelant de sol. Elle ferma les yeux et se laissa emporter. Elle fut tellement prise par son plaisir, qu’elle ne réalisa ce qu’il se passait que lorsqu’il commença à la pénétrer. Il lui libéra les poignets, la souleva du sol et l’empala complètement sur son pieu incandescent. Elle se maintint à sa nuque et ouvrit grand les yeux et la bouche de surprise et de plaisir. Il avait passé les bras sous ses cuisses et la portait dans ses bras tel qu’il l’aurait fait d’un enfant. De petits mouvements du bassin, il la faisait monter et descendre sur sa verge. Elle en fut réduite à de simples onomatopées. Il amplifia les mouvements et elle chavira. Par deux fois, lorsqu’elle avait laissé échapper un cri, elle jetait des regards vers les volets. Aucun ne s’ouvrit même lorsqu’elle jouit. Son vagin se contracta violemment et elle le sentit lutter pour la pénétrer.
‘Mon dieu ! C’était tout bonnement divin !’
Il l’empalait de tout son poids, son large sexe forant son vagin contracté. Il s’arrêta et se retira lentement.
‘C’était exquis !’
Il la reposa au sol et elle resta tout contre lui à reprendre son souffle. Il lui caressait la nuque et lui effleurait les fesses. Chacune de ses caresses lui faisait un effet fou. Elle redécouvrait son corps et ses zones érogènes avec lui. Il était un maître dans cet art. Son cœur se calma, sa respiration également. Ne voulant pas que ça s’arrête, elle commença à le caresser à son tour. Elle en profita pour lui prendre ses fesses musclées et elle s’esclaffa lorsqu’elle les sentit devenir dures comme l’acier. Elle n’avait jamais connu quelqu’un d’aussi musclé. Elle n’avait jamais été attirée par les athlètes mais là !
‘Quel pied !’
Elle le sentit vouloir bouger et elle essaya de résister en geignant. Mais lorsqu’elle comprit qu’il s’allongeait sur le dos elle le suivit et s’allongea sur lui. Elle commença par se mouvoir lentement et lascivement contre lui. À sa demande, elle se débarrassa de sa robe et le caressa avec ses seins. Elle ne pensait pas que ça pouvait faire tant d’effet chez lui et encore moins chez elle. Elle réalisa que son excitation montait avec celle de Marc. Elle mit tout son cœur à l’ouvrage pour lui plaire et l’exciter. Elle monta et descendit le long de son buste en le frôlant avec ses tétons durcis. Elle écrasait parfois sa poitrine et bougeait son torse pour le masser avec. Il gémissait et elle adorait l’entendre comme ça. Elle sentit sa verge dure et chaude contre sa hanche et elle aima beaucoup cette sensation. Elle la pressa et se frotta délicatement contre elle. Au cours de ses mouvements, elle se retrouva entre ses deux seins. Elle les pressa autour et commença à la branler. C’était fou comme des actes et des caresses qui ne la faisaient pas réagir auparavant, l’excitaient aujourd’hui. Le plaisir de Marc lui décuplait ses sensations. Elle adora sentir son sexe vibrant et chaud contre son sternum et contre sa poitrine. Elle réalisa que presser sa poitrine sur ses aines simultanément lui firent beaucoup d’effet alors elle en joua. La suite lui vint naturellement. Elle lui lécha le gland, le baisa, lui lécha la hampe de sa base jusqu’au bout. Elle adorait sa queue ! Elle était délicieuse. Elle prenait vraiment son pied à jouer avec et à la prendre en bouche. Elle fit appel à son imagination et au quelques scènes pornographiques qu’elle avait regardées et expérimenta de nouvelles techniques. Les réactions de Marc la guidèrent et en quelques minutes il ne s’arrêtait plus de gémir et hoqueter de plaisir. Elle était aux anges et allait mettre un point d’honneur à le faire exploser. Marc savait bien se contrôler et elle dut jouer de ses mains, de sa langue, de ses lèvres, de sa gorge. Voyant qu’il lui résistait, elle l’implora de la parole et du regard de la laisser le faire jouir dans sa bouche. Il la regarda et lui sourit. Il se redressa et la plaça à califourchon en lui tournant le dos. Elle prit appui sur ses jambes et s’enfila sur lui. Il lui ordonna de bouger. Elle commença, hésitante, un peu gauche et, petit à petit, ses mouvements gagnèrent en amplitude et en intensité. Oh mon dieu ! Elle donnait tout ce qu’elle pouvait, mais rapidement elle fut à bout de souffle. Elle n’avait pas l’habitude de faire ces efforts-là ! Au moment où elle ralentit il la surprit en lui tenant les hanches et en la pilonnant par de brusques mouvements du bassin. Elle essaya de retenir ses cris mais n’y parvint qu’à moitié. Tout son corps fut ballotté. Ses seins gigotèrent dans tous les sens, ses fesses frappaient violemment son bas ventre. Elle eut l’impression que le bruit résonnait dans tout le village.
« Vous aimez ça ! Hein ? », lui demanda-t-il en la fessant violemment.
« Oh oui ! Mon dieu OUI ! », parvint-elle à répondre.
« Vous aimez me sentir en vous ! Hein ? », continua-t-il en la fessant à nouveau !
« Hoooo ! Oui ! J’aime ! Oui ! HOUUUU ! »
« Dites-moi que vous aimez mon pieu ! »
Elle laissa passer quelques violentes pénétrations avant de pouvoir lui répondre. Elle ne put résister et lâcha :
« Oh ! J’aime ta queue Marc ! Elle… Elle est si grosse ! Elle me fait tant de bien ! Oh oui ! J’aime ta bite ! »
Elle n’en revenait pas de s’entendre dire des choses pareilles. Mais mon dieu ! C’était pourtant la vérité ! Elle frôlait son orgasme lorsqu’il se retira. Il se releva et lui présenta son sexe vibrant. Frustrée et gourmande, elle se précipita pour le prendre en bouche, le branla et le pompa vigoureusement. Elle sentit les premiers tressautements et reçut avec plaisir ses giclées au fond de la gorge. Elle le lécha jusqu’à la dernière goutte. Elle se releva et reçut son doux et langoureux baiser. Elle sentait les soubresauts de sa verge contre son ventre et elle gloussa de plaisir à la sensation. Ils restèrent là à s’embrasser de longues minutes puis ils se rhabillèrent et redescendirent vers le port. Une vague d’angoisse l’étreignit. Elle avait cru que tout le village était au courant. Elle fut rassurée lorsqu’elle vit que personne ne leur prêtait attention.La séparation fut déchirante, mais Émilie accepta de les quitter pour prendre son avion sous la surveillance d’une hôtesse de l’air. Qui avait fait les yeux doux à Marc, lui assurant qu’elle veillerait avec attention sur Émilie. Marilyne sentit sa première bouffée de jalousie l’étreindre. Il lui changea rapidement les idées en redevenant le sujet de ses attentions. Le soleil s’était couché et Marc sortit de la route principale. Il roula quelques minutes sur une petite route en terre. Il arrêta la voiture près d’une vieille grange en ruine. Il éteint le moteur et laissa les phares allumées. Il lui ordonna de sortir de la voiture et de se mettre dans la lumière. Son cœur s’emballa et elle le regarda avec excitation. Elle se plaça où il lui avait demandé et attendit avec anticipation ses prochains ordres. Elle le vit bouger dans l’habitacle sans pouvoir comprendre réellement ce qu’il faisait. Une musique électronique se fit entendre depuis la voiture et il lui ordonna de danser. Elle hésita un instant et commença à bouger. Se sentant particulièrement gauche, elle ferma les yeux et se laissa aller au rythme de la musique. Elle était lascive et lancinante. Petit à petit, elle fut prise par le tempo et commença à se caresser tout en dansant. Elle voulait lui offrir un beau spectacle alors elle rangea sa pudeur et se laissa aller. Elle fit courir ses mains sur tout son corps et, doucement, enleva sa robe. Elle se retrouva nue, juste chaussée de ses chaussure à talon. La musique et son excitation l’avaient quasiment amenée en transe. Elle sentit ses mains se poser sur elle et elle les accueillit avec plaisir. Il se plaça derrière elle et lui prit le menton pour l’embrasser. Il l’amena jusqu’à la voiture, l’inclina vers l’avant et elle posa les mains sur le capot. Elle garda les jambes tendues pour lui offrir ses fesses avec envie. Il les lui écarta brusquement et lui plongea le sexe brutalement. Sous la violence de l’assaut elle cria de douleur et se retrouva plaquée contre le capot. Ses seins s’écrasèrent et sentirent la chaleur du moteur. Il changea fréquemment de rythme et rapidement la douleur fit place au plaisir et elle gémit de plaisir, hoquetant à chaque pénétration plus violente. Elle adorait lorsqu’il la prenait en levrette. Son plaisir fut accru lorsqu’il lui saisit ferment les cheveux et lui tira la tête en arrière. Elle haleta et se cambra. Il put la pénétrer plus profondément et elle lâcha un cri bestial lorsqu’il le fit. Elle sentait son sexe la remplir et frotter la partie antérieure du vagin en regard de son clitoris, martelé par ses bourses. Cette zone lui faisait énormément d’effet et chaque pénétration la rapprochait inexorablement de son orgasme. Elle avait le souffle court et haletait. Elle se consumait sous ses assauts. Elle l’encourageait à continuer. Il accéléra la cadence.
« Oh! Mademoiselle Bernard ! Quelles fesses ! »
Il les fit claquer fort et elle fut perdue.
« A qui sont ses fesses mademoiselle Bernard ? », lui demanda-t-il entre deux grognements. Il dut répéter la question car elle eut du mal à parler.
« Hein ? A qui sont ses fesses ? »
Après quelques gémissements elle lui répondit :
« À… À toi, Marc ! Elles sont à toi ! HOOOO ! Mon dieu oui ! OUI ! OUI ! »
Profondément en elle, il la redressa en lui tirant les cheveux et lui prit un sein à pleine main. Elle cria de douleur et de plaisir mêlés.
« à qui appartenez-vous mademoiselle Bernard ? à qui ? »
Il la pénétra plusieurs fois violemment. Elle cria à chaque fois et finit par pouvoir répondre, sa voix tremblante d’excitation :
« À… À toi, Marc ! Je suis à toi ! HAAA ! HAN ! HAN ! »
Il continua son exquise torture.
« Vous ferez tout ce que je vous ordonnerai, mademoiselle Bernard ? »
Mon dieu elle ne pouvait lui résister lorsqu’il l’appelait comme ça !
« Oh oui ! Marc ! Je ferai tout ce que tu veux ! Ha ! Oui ! Je suis à toi ! Je suis ta chose ! Oh oui ! Oui ! Oui ! Là ! OUIIII »
Elle était sur le point de s’embraser et il la plaqua à nouveau sur le capot et la pilonna si fort que toute la voiture bougea en cadence. Elle cria sa jouissance. Il la ramona encore quelques fois puis se retira. Il se rhabilla et retourna dans la voiture. Elle resta quelques secondes sans bouger à reprendre son souffle. Elle se redressa et tituba jusqu’à sa robe. Elle voulut fléchir ses jambes pour la prendre, mais il lui ordonna de garder les jambes tendues pour le faire. Elle s’exécuta et lui offrit une vue splendide sur ses jambes, ses fesses et son sexe complètement découvert et suintant de cyprine. Elle se rhabilla et revint dans la voiture. Il lui sourit et elle le lui rendit plus timidement. Lorsqu’ils eurent retrouvé la route principale, elle regardait par sa vitre, des larmes de honte et de joie se disputaient ses joues. Il attira son attention et elle s’essuya rapidement les yeux et lui sourit. Il s’arrêta sur le bord de la route et l’attira à lui pour l’embrasser, elle l’accueillit avec bonheur et sa honte fut balayée par son désir et son plaisir. Elle lui caressait les joues et il jouait avec ses seins. Mon dieu comme il savait lui faire du bien ! Ils reprirent la route et il lui caressa sa cuisse dénudée par la généreuse fente de sa robe longue. Il lui fit écarter les jambes, ses doigts couraient sur sa peau en remontant à l’intérieur de sa cuisse jusqu’au niveau de l’aine. Elle ferma les yeux et se laissa emporter par le plaisir. Tout à coup une sirène retentit et des gyrophares apparurent derrière eux. Il se gara sur le bas-côté et attendit. C’est alors qu’elle réalisa.
« Mais tu n’as pas de permis Marc ! », dit-elle, la peur lui nouant la gorge.
Il la regarda et lui sourit avec assurance.
« Mais… »
Il la fit taire en posant ses doigts sur sa bouche. Le policier s’approchait et Marilyne s’aperçut de sa tenue. Elle voulut l’ajuster, mais Marc le lui interdit d’un geste et d’un regard impérieux. Son sang se glaça. Elle ne pouvait laisser le policier la voir ainsi ! Et pourtant il s’approchait et elle ne fit rien. Son esprit était en ébullition, une bouffée de chaleur l’empourpra. Un rush d’adrénaline déferla dans tout son corps. Ses tétons durcirent et elle sentit son sexe se contracter et s’humidifier encore plus. Son souffle court faisait monter et descendre amplement sa poitrine largement dénudée par sa robe à moitié boutonnée. Le policier s’arrêta à leur hauteur et éclaira Marc.
« Good evening sir ! »
« Good evening mister officer. »
« Can I see your driver license please? »
« I’m sorry sir, but I don’t have it on me. I must have forgot it at the hotel. »
« You must have it all the time on you sir. Can I see your ID? »
Marilyne sentit la peur s’emparer d’elle. Marc lui présenta son passeport.
« You are seventeen years old you don’t have the legal age to drive. I must confiscate your car. »
« Listen mister officer, is there a way we can sort it out ? »
Marc se retourna vers Marilyne, qui était pétrifiée. L’agent l’éclaira de sa lampe torche et resta figé un long moment. Le temps de contempler ses jambes largement écartées et découvertes jusqu’à sa petite culotte trempée d’excitation. Marc, la poussa à se pencher vers l’officier et celui-ci put se régaler de son décolleté pigeonnant dévoilant presque entièrement sa poitrine. Il revint à Marc, puis éclaira Marilyne à nouveau. Cette dernière lui adressa un sourire qu’elle voulut charmeur.
‘Mais tu es folle ma fille ! Qu’est-ce que tu fais ! Oh ta gueule vieille pie ! S’il le veut je serais sa salope !’
« Follow me. » Le policier remonta dans sa voiture et prit la tête. Cinq minutes plus tard, ils s’arrêtèrent au bout d’un champ. Le policier s’approcha de la portière de Marilyne et l’ouvrit. Marilyne lança un regard de détresse à Marc. Celui-ci lui prit la nuque et l’embrassa voracement. Il lui stimula le clitoris au travers de sa culotte et elle monta en flèche. Oui, elle ferait tout pour lui plaire et elle fit l’impensable. Elle prit la main que le policier lui tendait et le suivit à l’avant de la voiture. L’homme était jeune et pas si mal de sa personne. Elle se lécha les lèvres et le vit tout excité. Elle lui défit son pantalon et sortit son sexe de son caleçon. Elle se mit accroupie et commença par le sucer. Son sexe se raidit rapidement dans sa bouche. Mon dieu, elle aimait tant cette sensation !
‘Quelle salope tu fais ma fille ! Mais putain c’est trop bon !’
Il lui posa les deux mains sur la tête et elle le laissa lui pénétrer la bouche. L’excitation de l’homme monta en flèche et elle eut peur qu’il explose trop rapidement. Elle commençait à aimer ça. Surtout sachant que Marc la regardait. Ça l’excitait davantage. Alors, il la releva et la plaqua contre la voiture. Le capot était presque brûlant et elle se retint avec les mains. Il lui releva sa robe et, alors qu’elle pensait qu’il lui prendrait sa chatte en chaleur, de la façon le plus banal qui fût, il pressa son sexe sur sa rosette.
‘Oh ! Mon dieu ! Mon dieu !’
Il la pénétra à sec et elle hurla de douleur. Son sexe était moins large que celui de Marc, mais il n’était pas lubrifié. Elle eut l’impression qu’il la déchirait. Elle voulut le retenir, mais il continua et son sexe pénétra plus profondément. Pour pouvoir entrer complètement, il appliqua de violents va-et-vient. Elle cria à chaque fois et bientôt il était complètement en elle. Elle ne l’aurait jamais cru possible, mais elle aimait ça ! Elle serra les dents tout en criant et, petit à petit, les secrétions du policier et le filet de sang de la déchirure lubrifièrent le tout. Ses cris firent placent à des hoquets et des gémissements rauques. Il la ramonait si fort que la voiture bougeait. Elle sentit qu’il était sur le point d’exploser. Il lui saisit les cheveux et les tira fort. Elle tira la langue d’extase. Le policier se déchaîna juste avant de s’immobiliser profondément en elle et d’exploser. Elle sentit son sexe vibrer et tressauter dans son cul.
‘Oh mon dieu ! Que c’est bonnnn !’
Lorsqu’il eut fini, il se retira et s’approcha de Marc le souffle court. Ils échangèrent quelques mots et il partit non sans avoir flatté ses fesses. Marilyne gloussa et se releva. Elle eut du mal à faire les quelques pas jusqu’à la portière. La voiture du policier avait disparu. Elle s’assit lentement et grimaça de douleur. Elle se posa sur une fesse et lui sourit. Elle se mordit la lèvre et eut un lourd soupir sonore de plaisir.
« Oh quel pied ! », ajouta-t-elle. Ils rirent tous les deux. Il l’embrassa et elle le lui rendit et ils reprirent la route. Elle se sentait complètement différente. Cette expérience l’avait changée. Elle se sentait incroyablement sexy et désirable. Elle fit courir ses mains sur son corps et soupira de plaisir. Ils échangèrent de nombreux regards complices jusqu’à chez elle. Ils ne sortirent pas de l’appartement les quatre jours suivants. Elle y vécut son premier marathon sexuel. Ce furent les quatre jours les plus intenses de sa vie. La fin de ses vacances fut une succession de moments tendres et d’ébats sulfureux. La séparation et le retour sur Paris furent douloureux. Le retour à la vie normale fut difficile et elle appréhendait le premier jour de classe. À sa grande surprise, tout se passa parfaitement bien. La présence de Marc dans la classe ne la dérangea pas et il avait une attitude tout à fait convenable.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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