Et soudain, comme un flash, Hugues M. aperçut le slip de sa prof d’anglais, Mme B. Elle avait croisé les jambes un peu plus lentement que d’habitude et sa mini-jupe s’était relevée assez haut sur ses cuisses dodues de quadragénaire, lui offrant un angle imprenable d’où il était placé dans la classe, légèrement en biais par rapport à son bureau. Le principal intérêt de ses cours était pour lui le spectacle permanent de ces cuisses qui se croisaient, se décroisaient et s’entrouvraient à peine, lui faisant perdre le fil de la conversation anglaise au point qu’il bafouillait lorsque Mme B. l’interrogeait. Mais il n’avait encore jamais vu son slip, souvent masqué par des collants. Cependant, on approchait de la fin des cours, il faisait chaud et Mme B. était jambes nues. C’était un slip blanc et il stimula sa masturbation le soir même après avoir plusieurs fois intégré Mme B. dans son imaginaire érotique. Rousse tendance auburn à peau ivoire, généralement coiffée d’un chignon, abonnée à la mini-jupe marron associée à un corsage beige moulant une paire de seins assortie à ses cuisses charnues, tenue qu’elle alternait avec un ensemble rouge vif (mini-jupe, gilet déboutonné en haut, mais pas suffisamment pour atteindre le sillon mammaire), Mme B. ne faisait guère d’effets de toilettes pour aller en cours. Sa fantaisie consistait donc à montrer ses genoux debout et ses cuisses assise, du moins pour les élèves du premier rang dont faisait partie Hugues M, ce qui suffisait à alimenter les fantasmes d’une bonne partie de son auditoire masculin, d’autant que son visage, avec ses yeux émeraude, était loin d’être laid.Néanmoins, Hugues M. s’interrogeait sur ce solo de cuisses. Il ne pouvait pas croire que Mme B. n’était pas avertie de son effet sur ses élèves les mieux placés. Il avait cru même déceler un regard amusé devant son trouble quand elle l’interrogeait. Était-elle un peu perverse, la prof ? Un rien exhibitionniste, pourquoi pas ? N’avait-elle pas un peu trop tardé à réunir ses cuisses lorsqu’il avait découvert son slip ? Bien qu’encore puceau, il avait du mal à croire à un geste machinal, sans arrière-pensée. Et pourtant, avec quel naturel elle l’accomplissait ! Il y avait de quoi en perdre son anglais…Mme B. ne fut malheureusement sa prof qu’une seule année, mais il la croisait de temps à autre dans l’escalier et les couloirs, la saluant en matant subrepticement son fessier copieux, moulé dans son éternelle mini-jupe, et ses seins fiers qui bougeaient un peu quand elle marchait. Il avait déploré l’intervention d’un de ses condisciples, un jour qu’elle discutait avec un collègue masculin, lorsque le trublion avait crié : « il la baisera pas ! » Les deux profs avaient fait ceux qui n’avaient rien entendu… Mais Hugues M. en avait conclu qu’il n’était pas le seul que la pulpeuse prof d’anglais faisait fantasmer. ********Cinq ans plus tard, l’adolescent Hugues était devenu un beau mâle très sexué ayant réussi ses études de Staps. Promu prof d’éducation physique sans poste, il effectuait des remplacements dans les lycées de sa région. Le puceau d’autrefois avait bien changé. Au cours de ses diverses missions, il régalait de sa queue quelques profs, surveillantes, infirmières ou intendantes, d’âges divers et de conjugalités variées, désireuses de s’envoyer en l’air avec un jeune gars que la nature avait particulièrement gâté. Devenu, selon son propre mot, un « serial baiseur », il se faisait pas mal d’ennemis et le fait de changer souvent d’établissement arrangeait bien ses affaires.Le hasard le conduisit donc à effectuer un remplacement dans son ancien lycée, quitté quelques années plus tôt. Il y retrouva un certain nombre de ses anciens profs devenus de fait ses collègues dont, on l’a deviné, Mme B. Dès qu’il la vit à la salle des profs, avec son éternel chignon auburn, une émotion le submergea, plutôt inhabituelle. Elle ne portait plus son éternelle mini-jupe marron ou son ensemble vermillon, mais une robe à boutons en jean, qu’elle devait alterner avec une autre jupe en jean, toutes les deux lui arrivant toujours assez nettement au-dessus des genoux. Bien sûr, devenue quinquagénaire, elle avait pris quelques kilos, mais les tensions qu’ils provoquaient sur ses tenues ajustées n’obéraient en rien son fabuleux potentiel érotique aux yeux du jeune prof de gym. Sa résolution était déjà prise : « il faut à tout prix que je la baise ».Elle lui fit un accueil chaleureux, s’informa de ses études, le félicita pour sa réussite, plongeant ses yeux émeraude dans les siens et lui demanda malicieusement s’il avait continué un peu l’anglais.— Je lis les sites internet de sport du monde anglo-saxon, lui répondit-il, un peu fièrement.— Bravo, au moins mes cours auront servi à ça, même si tu n’étais pas toujours attentif…Il se demanda si elle ne faisait pas allusion à ses regards troubles sur ses cuisses. Peut-être bien que oui…Comme partout où il passait, Hugues M. fut rapidement l’objet d’attentions soutenues de collègues féminines. Il baisa l’infirmière dans son infirmerie, une trentenaire célibataire au cul chaud, et une prof d’histoire-géo divorcée, brune à cheveux courts au corps de Vénus, pas plus farouche. Mais c’était évidemment Mme B. qu’il visait.Il apprit qu’elle s’appelait Ariane, était mariée et considérée dans le bahut comme faisant partie des meubles vu son ancienneté. Un des autres profs de gym, Léon, plus âgé que lui de dix ans, était réputé lui aussi pour être un « tombeur ». Ils n’avaient pas tardé à parler cul entre eux et Léon n’avait pas caché qu’il avait précédé Hugues entre les cuisses de l’infirmière et de la prof d’histoire géo. Mais Mme B. ?— Est-ce qu’elle baise ? finit par demander Hugues à son collègue.— Pas avec moi en tout cas, répondit Léon. J’aurais bien aimé mais elle m’a toujours envoyé chier. Je ne dois pas être son type. Pourtant, quelque chose me dit qu’elle doit aimer la bite. Juste une impression, mais je me trompe rarement.— Elle aime peut-être la bite de son mari, tout simplement.— Sans doute mais je sais d’expérience qu’à partir d’un certain âge, une femme sensuelle comme elle doit être aime un peu de changement, en pensant qu’elle n’a plus de temps à perdre. Tu as tout à gagner à tenter ta chance, surtout qu’elle te connaît déjà .C’est fort de cet avis d’expert qu’Hugues décida de draguer son ancienne prof d’anglais, quoi qu’il pût lui en coûter.********Quand il l’aborda à la salle des profs pour lui proposer de prendre un verre en terrasse, elle accepta d’emblée et lui dit :— Appelle-moi Ariane, on est collègues maintenant. Et on se tutoie.Il en fut un peu décontenancé car quelque part, elle était restée un peu sa prof. Mais s’il voulait la sauter, il fallait pour le moins franchir quelques barrières.À la terrasse, elle s’assit face à lui et d’un coup, son trouble revint. Sa robe à boutons menaçait de craquer à tout moment, en particulier au niveau des cuisses. Il aurait suffi qu’elle défasse un bouton du bas pour qu’il puisse apercevoir son slip, comme au bon vieux temps. En haut, elle était beaucoup plus généreuse qu’en cours et laissait apparaître un profond sillon mammaire. Elle se montra enjouée, curieuse de sa vie et de ses projets. Il l’interrogea sur la sienne, lui parla de son mari, plus âgé qu’elle et déjà retraité, de ses deux enfants « de ton âge », ce qui l’interpella. Il n’avait pas réalisé qu’elle aurait pu être sa mère…Néanmoins, son désir était intact. Elle dut le ressentir, avec ce sixième sens des femmes désirées. Elle aborda franco le sujet :— Dis-moi Hugues, est-ce que tu me dragues en ce moment ou pas ?Il dut faire une drôle de tête car elle éclata de son rire cristallin, ce qui fit bouger ses seins.— Je suis au courant de tes frasques. Caroline et Denise (l’infirmière et la prof d’histoire géo) ont la langue bien pendue. Elles ne te suffisent pas ?— C’est que… euh… je te trouve très belle.— Ne dis pas de bêtises. Elles sont plus belles et plus jeunes que moi. Et en plus, elles sont libres, pas moi.— Non, tu as pour moi quelque chose de plus. J’ai… j’ai toujours eu envie de toi.— Oh, la déclaration ! Voilà qui me rajeunit du coup. En clair, tu veux coucher avec moi comme tu as couché avec Caroline et Denise. C’est pour un palmarès ?— Mais non ! C’est un vieux fantasme et…— Oui, je sais. Tu n’arrêtais pas de mater mes cuisses pendant les cours. Cela m’amusait. C’est tellement ennuyeux, ce métier…— Donc, tu es un poil exhibitionniste…— Un peu plus qu’un poil, mais passons… On a tous nos petits vices.— Et il y a celui de l’adultère aussi ?— Joker. Tu vas trop loin. Contente-toi de ton infirmière et ta prof d’histoire-géo, elles ne demandent que ça. Et d’ailleurs, dis donc, quelle réputation elles te font ! Tu assures, mon garçon. Ce n’est pas si courant.— Tu parles d’expérience ?— Re-joker. Bon, assez parlé, tu en sais déjà beaucoup trop et moi aussi. On se voit demain ?Elle se leva après avoir entrouvert ses cuisses pour une vision très fugitive de son slip. Il la quitta avec une bise appuyée et rentrant chez lui, il se dit :— Putain, quelle allumeuse ! Elle m’a mis le feu, l’Ariane. Si jamais j’arrive à la choper, elle va connaître popaul ! Mais ça ne va pas être simple. Elle me fait mariner. Je suis pourtant sûr qu’elle baise. Et que son mari est cocu.Et c’est sur cette considération optimiste qu’il ouvrit la porte de sa voiture pour revenir chez lui.********Les semaines passèrent sans que son projet ait beaucoup avancé. Ariane B. lui faisait des risettes et lui baladait ses nichons sous le nez mais repoussait sine die ses invitations à « prendre un pot », prétextant ne pas avoir le temps, ou des obligations domestiques diverses. Il se consola avec l’infirmière, une vraie dévoreuse au corps nerveux qui gueulait tellement dans le plaisir qu’il devait la bâillonner pour ne pas ameuter tout le lycée quand il la baisait dans son infirmerie.Puis un jour, la prof d’anglais alla vers lui. Elle lui fit une proposition inattendue :— J’organise un voyage en Angleterre avec mes élèves pour les vacances de la Toussaint. J’ai besoin d’un accompagnateur. Tu es partant ?Hugues n’avait rien prévu. Il accepta. Une semaine avec Ariane, ça ne se refusait pas.C’étaient des élèves de seconde, un peu turbulents mais gentils. Il en connaissait la plupart. Ils élurent domicile dans une petite ville de la région de Londres, hébergés chez l’habitant, histoire de se confronter mieux à la langue. Ariane avait réservé deux chambres chez une vieille dame typiquement anglaise, l’une pour elle, l’autre pour Hugues.Celui-ci se demanda quelle contenance prendre. Si elle avait pris cette initiative, ce n’était sûrement pas par hasard, alors qu’elle aurait très bien pu le reléguer ailleurs que près de sa chambre. Mais en même temps, fallait-il vraiment y voir malice ? Il décida de jouer l’attentisme. Il quitta le premier soir sa collègue par une simple bise sur le palier, et idem sur le second.Le lendemain, elle le regarda d’un drôle d’air, se montra même assez sèche à son endroit, sans raison valable, comme si elle était courroucée. La journée fut un peu tendue, d’autant que certains élèves avaient fait les imbéciles à Londres. Et c’est passablement énervé que le prof de gym intégra sa chambre le soir même, sans avoir vu sa collègue.Il s’apprêtait à s’endormir quand on frappa à sa porte. La vieille lady ? Il ouvrit et découvrit sur le palier Ariane B. vêtue d’un simple peignoir, chignon défait.Il s’effaça, surpris à la fois par cette initiative et par la tenue de la dame. Elle s’allongea sur le lit avec un parfait naturel. Le peignoir s’ouvrit sur deux cuisses charnues surmontées… d’un slip blanc. Hugues ressentit aussitôt une boule dans sa gorge. Et c’est dans un état second qu’il écouta son ex-prof d’anglais.— Après la journée de merde que nous venons d’avoir, j’ai envie de me détendre. Mais si j’attends que tu bouges, on aura passé la semaine sans faire l’amour. Je sais pourtant que tu en as envie, et moi aussi. Tu vois ma culotte ? Elle ne te rappelle rien ? Je l’ai mise exprès. C’est le moment de me montrer que ta réputation n’est pas usurpée.Ainsi mis au défi, Hugues reprit ses esprits. Posée sur ses coudes, le haut de son peignoir ouvert sur un buste constellé de taches de rousseur, Ariane B. était en attente, le regard mutin. Il ne s’était donc pas trompé. Mme B. comme Baiseuse. C’était le moment de réaliser un vieux fantasme. Son pénis tendit son caleçon et le regard d’Ariane devint gourmand. Mais d’abord, ôter ce slip. Saisir l’élastique, le tirer vers les cuisses, lentement, l’envoyer promener, dévoiler un pubis roux foncé et y plonger le museau avec volupté, sa main posée sur sa nuque et l’entendre roucouler. Combien de fois s’était-il masturbé dans son adolescence en pensant à ce que dissimulait ce slip ? Il y était maintenant. Il s’en gava et la fit se cabrer en couinant, signe qu’il y avait mis tout son… cœur.Quand il releva son visage trempé de son jus, il la découvrit le peignoir grand ouvert sur son corps ivoire, pulpeux et frémissant, le visage encore marqué par le plaisir. Elle se releva, jeta son peignoir en bas du lit et se précipita vers son caleçon pour libérer un pénis en position verticale. Il se pencha vers elle pour qu’elle le suce, ce qu’elle fit en lui palpant les couilles. Elle s’en gava comme il s’était gavé de sa chatte, jusqu’au moment où elle le prit à pleine main et, cuisses ouvertes en V, le guida vers sa cible.Ils étaient tellement impatients de copuler qu’ils en oublièrent la capote. Pénétrée, elle rua à sa rencontre les pieds posés sur le lit, faisant trembler ses seins étalés sur son torse pailleté de taches de son. Le vieux lit grinça, mêlant son bruit aux jappements de plaisir de la quinquagénaire. Heureusement que la lady était un peu sourde à l’étage… Hugues creusait inlassablement cette chair juteuse, savourant sa chance, ravi de constater que la dame disposait d’une sexualité aussi bouillonnante que la sienne. Ils s’unirent dans diverses positions mais celle où elle le chevaucha, les nichons en bataille et le nombril en folie, fut celle qu’il goûta le plus, parce qu’il pouvait la dévorer des yeux dans sa splendide nudité de femme mûre et apprécier sa sensualité débordante de femelle aimant faire l’amour.À sa demande, il la prit cependant par-derrière et crut avoir mal entendu quand elle lui dit :L’anglais dans le sexe… La prof était décidément surprenante.Puisqu’elle voulait se faire enculer, il l’encula. Avec tellement peu de difficultés qu’il en conclut que c’était sa cup of tea. Le contact contre son ventre des fesses joufflues lui donna un tel tonus qu’elle se mit à piailler en lançant des « fuck ! fuck ! » tellement sonores que la lady ne pouvait plus ne pas l’avoir entendu. Quand elle glissa sa main entre ses jambes pour lui mettre la main aux couilles, il comprit qu’elle voulait qu’il éjacule dans son rectum et il s’exécuta en la couvrant comme une chienne. Ils s’aplatirent ensemble sur le lit, rincés.Il s’endormit aussi sec et se réveilla dans un lit vide. Il se rua sous la douche et ses vêtements avant de descendre au breakfast. Mme B. était à table et devisait in english avec la Lady comme un matin ordinaire. Un peu embarrassé, il fit face à sa collègue devenue maîtresse d’une nuit. Elle lui parla avec un sourire en coin qui le déstabilisa. Elle évoqua le programme du jour comme si rien ne s’était passé entre eux. Et il en fut ainsi jusqu’à la fin du séjour. Il l’attendit en vain le soir dans sa chambre et en désespoir de cause frappa à sa porte. Elle lui ouvrit en peignoir mais demeura sur le seuil sans le laisser entrer.— Il y a quelque chose qui ne va pas ? lui dit-elle.Il bredouilla pour lui demander si elle accepterait de venir dans sa chambre « comme l’autre soir ».Elle lui sourit et répondit :— Il ne faut pas abuser des bons moments comme des bons plats, sinon on s’en lasse.Déconfit, il retourna se coucher et se masturba. Il se consola en se disant qu’il avait eu la chance de réaliser un vieux fantasme. Et après tout, rien n’interdisait d’espérer que madame B n’aurait pas envie un autre jour de s’offrir le même bon plat.