D’un boisé à l’hôtel 2
Comment je suis devenue la maîtresse de mon collègue
Proposée le 26/06/2017 par MarieAnna Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: HôtelType: Histoire vraie
Sans s’arrêter à la réception, Jean m’indiqua les escaliers, montant en me donnant le bras. De sa poche, il sortit une clef qui à ma grande surprise ouvrait la porte d’une chambre, petite mais mignonne. Une rose ornait le lit alors qu’un bandana étaient posé négligemment sur l’une des tables de chevet. Ainsi donc, il avait deviné que je flancherais. Jean se dirigea vers les rideaux qu’il ferma lentement avant de se tourner vers l’interrupteur pour éteindre les lumières. À sa grande satisfaction, ce fut moi qui allumai les lampes de chevet; je voulais que mon corps l’excite de toutes les façons possibles. Puis, il m’embrassa, doucement d’abord, puis passionnément ensuite. À chaque fois qu’il me touchait, je tentais de limiter mes gémissements et mes halètements, mais c’était peine perdue, j’avais seulement envie de me laisser aller ce dont je n’allais plus me priver maintenant que j’avais décider de franchir cette limite.«C’est ce que tu veux? C’est ce que tu veux, vraiment?»Je ne comprenais pas qu’il ait besoin de poser cette question à laquelle je répondis néanmoins rapidement. Devant mon empressement, il posa deux préservatifs à côté du bandana puis, me renversa sur le lit avant de me couvrir de baiser. Je découvrais son corps avec plaisir, déboutonnant le bas, retroussant le haut. Je léchais sa peau chaque fois que j’en découvrais une nouvelle partie, ma langue s’attardant avec plaisir à chaque nouveauté que je libérais. Il savourait lui aussi lentement chaque partie de moi qu’il découvrait, mais lorsqu’il détacha mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine, je sentis que son flegme s’envolait enfin un peu lorsqu’un soupir s’échappa de sa gorge. Il engouffra la pointe de mon sein dans sa bouche avide, ne le laissant que pour mieux le caresser du pouce. Je me plaçai au-dessus de lui pour lui permettre de profiter de ma poitrine ferme à sa guise. De nature confiante, je ne pouvais m’empêcher de me réjouir de sa réaction, je devais être vraiment mieux faite que sa femme ce qui bizarrement, me faisait encore plus apprécier la situation dans laquelle je me trouvais.Au-dessus de lui, je m’étendis sur son corps chaud, entièrement tendu vers moi, et entrepris de descendre ma bouche lentement en direction de son sexe, ne me privant pas au passage pour lécher un mamelon, mordiller la peau de son ventre parfait et presser son entre-jambe. Arrivée à la bosse de son pantalon, j’y posai la bouche ouverte et lui transmis doucement ma chaleur. Sa réaction instantanée me fit comprendre qu’il était très sensible et que la moindre maladresse de ma part mettrait fin à mes ambitions. Mon souffle suffisait à provoquer des soubresauts chez lui et je choisis de ne pas m’en priver, m’amusant de voir mes efforts enfin récompensés.Précautionneusement, je libérai son sexe turgescent, d’une grosseur appréciable, et promenai tout d’abord mon index mouillé de ma salive le long de sa hampe. Sa main dans mes cheveux m’intimait clairement de modérer mes ardeurs ce qu’il m’était de plus en plus difficile de faire. Je me souviens en avoir saisi la base avant d’utiliser ma langue pour suivre le même chemin que mon doigt. Ses réactions m’enchantaient; Jean se crispait, respirait au même rythme que moi et soudait son magnifique regard au mien. En amant expérimenté, il savait comment me distraire et posant sa paume sur ma joue, il me conduisit à m’étendre sur le dos, levant mes bras vers le haut pour mieux les caresser avant de descendre la main entre mes cuisses, de les écarter et d’introduire son majeur dans ma chatte brûlante et trop humide. Il savait y faire, et je ne tardai pas à me tordre de plaisir sous cette main experte qui alternait entre l’intérieur de mon sexe, mon clitoris et la petite rondelle de mon anus, lorsque ce n’était pas les trois à la fois. Il en profitait pour embrasser mes seins, mon ventre avant de joindre sa langue à l’action de ses doigts sur mon clitoris. J’ai eu plus de partenaires sexuels que la plupart des femmes de mon âge et cependant, je me dois de l’admettre ici, personne n’avait jusqu’à ce moment précis, réussit à me donner autant de plaisir que Jean, lui qui me disait n’avoir pourtant connu que peu de femme en-dehors de la sienne. Il interprétait chacun de mes regards ou de mes gémissements et adaptait instantanément le mouvement de ses doigts pour maximiser mon plaisir. Je cambrais mon mont de Vénus vers lui et la pression et le rythme de sa main me menait à des sommets de jouissance qui m’étaient alors inconnus. Sa langue enveloppait doucement mon clitoris et contrôlait jalousement mon plaisir lorsqu’elle ne descendait pas explorer chacun des replis de ma chatte gorgée de désir, toujours aussitôt remplacé par un doigt, me gardant au bord de l’orgasme. Haletante, les jambes flageolantes, je n’avais plus aucun contrôle sur moi-même et je n’en avais cure, entièrement abandonnée aux caresses enveloppantes de mon amant.Lorsque ses mains chaudes et humides de mon désir descendirent jusqu’à mes pieds et que sa bouche quitta mon sexe pour se poser sur l’intérieur de ma cuisse, j’approchais de l’orgasme et j’admets avoir été déçue. Mais lorsqu’il se mit à genou par terre au pied du lit, que l’index de Jean s’introduisit sensuellement entre mes orteils et que ma tête se rabattit sur l’oreiller à cause de la sensation qui se répercutait dans mon bas-ventre, je compris que c’était lui qui avait le plus d’expérience entre nous deux. Il suça ensuite mes orteils un à un et c’est le plaisir qu’il y prit qui me fit fondre d’excitation.Je m’étais étendue confortablement et poussait des soupirs de satisfaction lorsqu’il remonta précipitamment sur moi. Ses baisers goûtaient mon sexe et sa langue s’enfonçait profondément dans ma bouche, cela m’excitait de réaliser qu’il avait dû l’enfoncer tout aussi loin dans ma chatte dégoulinante. C’était son tour de râler de désir alors que je ne faisais que toucher le bas de son ventre qui m’attirait toujours autant. Je le sentais sur le point de me pénétrer et je désirais jouer son jeu -son intensité sans précipitation- auparavant.Je le repoussai donc et me tournai dos à lui, à genoux sur le matelas, la tête relevée vers l’arrière, appuyée sur la poitrine de Jean qui avait évidemment suivi mon mouvement et profitait déjà de mes tétons qui pointaient fièrement, resserrés par l’excitation. Je posai les mains sur les siennes qui palpaient ma poitrine, alternant les caresses les plus douces avec des pincements excitants. Je sentais sa queue sur une de mes fesses, et commençai à m’y frotter, tout d’abord par des mouvements qui pouvaient passer pour du hasard, puis en me tortillant de moins en moins subtilement. Jean baisait et mordillait la peau de mon cou en soufflant près de mon oreille, mais sa main ne tarda pas à s’enrouler à la base de ma gorge et gêner juste ce qu’il faut ma respiration ce qui, combiné à ce qu’il faisait subir à mon buste commençait à devenir insupportablement excitant. Insupportable pour moi comme pour lui je suppose, puisqu’il en vint à me repousser vers l’avant et qu’il s’étendit sur mon corps chaud, pesant de tout poids. Son sexe bien dur vint se loger entre mes fesses que je remontai à plusieurs reprises pour mieux l’exciter.Il se retourna sur le dos et je me précipitai sur la hampe bien bandée pour la saisir à la garde. Il me demanda de m’empaler sur lui. Je déchirai le préservatif qu’il me tendait et entreprit de le dérouler précautionneusement sur le pénis que je voulais sentir en moi impérativement. Lorsque mes mains le touchaient, même délicatement, il se cambrait vers l’arrière. Trop sensible, il avait peur d’éjaculer rapidement alors que je n’aspirais qu’à lui donner le plus de plaisir possible. S’il en était sûrement gêné, cela me fit mouiller encore plus d’être ainsi désirée par lui. Je l’enfourchai et saisit son membre le plus délicatement possible avant de frotter son gland sur ma mouille, puis en moi. Il se fraya lentement un chemin à l’intérieur des parois de mon sexe, mais donna un habile coup de hanche à la fin de son mouvement. C’était il y a plusieurs mois déjà et je me souviens encore de la sensation que cela déclencha. Vraiment, je tentai de ralentir les mouvements de mon bassin au minimum, mais sa verge glissait si bien, ses mains de chaque côté de moi m’allumaient alors qu’elles auraient dû me retenir, je n’y arrivais pas. Son orgasme m’a comblée; j’étais si satisfaite qu’il m’ait prise et se soit laissé aller dans mon intimité. Souriante, je me relevai pour me réjouir avec lui de notre première fois, mais il avait retrouvé la mine taciturne que je lui connaissais au bureau.Je roulai sur le dos et me lovai délicatement contre son corps pendant qu’il se nettoyait. Pour lui changer les idées, je minaudai et lui quémandai plus de caresses, ce à quoi il n’a depuis jamais réussi à se dérober, d’ailleurs. Il me prit dans ses bras, m’embrassa et descendit la main vers ma chatte qu’il massa tout d’abord à pleine main avant de préciser ses caresses, introduisant un doigt entre mes lèvres brûlantes. Ce qu’il faisait de son majeur à l’intérieur de mon sexe était suffisant pour me faire gémir et m’envoyer de longues vagues de plaisir brûlant au bas-ventre. C’est cependant sous l’action de sa langue sur mon clitoris que je choisis de me laisser aller à un interminable orgasme. J’avais écarté les cuisses et pressais sa tête de la main, cambrant le bassin vers le haut, profitant de chaque coup de langue et de toutes les sensations de son majeur habile. Il se releva et roula sur le côté, fatigué, la nuit étant après tout, bien avancée. Satisfaite, je posai la tête sur son épaule, il était si grand que mon corps contre son flanc et son bras autour de moi me donnaient la sensation d’être entièrement enveloppée. La dernière pensée cohérent que j’eus avant de m’endormir, fut pour l’intriguant bandana posé juste à côté de moi.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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