En randonnée dans le Jura
Une pause casse-croûte qui tourne rapidement à un trio débridé !
Proposée le 23/01/2017 par sorggulp Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHHLieu: Forêt, campagne, natureType: Histoire vraie
Nous voici arrivés au lieu dit de la Dame Blanche. C’est un panorama majestueux qui s’offre à nos yeux. Appuyés contre la rambarde, nous pouvons admirer sur notre gauche le lac de couleur émeraude alors que sur notre droite, la vallée du hérisson serpente au loin dans la forêt de sapin. Nous pouvons distinguer la cascade de l’éventail, une petite tâche rocheuse au milieu d’un océan de sapins. Quand la rivière a un débit suffisant, la cascade de l’éventail vue de notre position ressemble à une robe blanche d’où le nom donné au site.Nous choisissions cet endroit pour faire notre pause casse-croûte. Il est 13.30 et les jambes fatiguent aussi.
Sandwichs et eau étaient les bienvenus afin de reprendre quelques forces. Un vieux banc en bois est installé face à la vallée. A ce moment précis, un randonneur apparut. Il devait avoir une trentaine d’année, d’allure sportive, le teint hâlé.
Torse nu, sac à dos, ample short de jogging, chaussures et bâton de marche à la main, il nous salua, admira le panorama quelques instants puis se tourna vers nous.
« Permettez-vous que je mange mon sandwich en votre compagnie ? »
Il semblait fatigué par la marche effectuée.
« Avec plaisir ! » répondis-je
« Moi, c’est Eric et vous ? »
« Nathalie, ma femme et Patrick. »
« Le Jura est vraiment une belle région, les randonnées sont superbes et ce calme ! » nous dit Eric en balayant le paysage du bras.Nous approuvions tout en cherchant la place où mettre notre pique-nique. Eric semblait embêté aussi par la l’étroitesse du banc.
Nous proposions à Eric de nous installer sous les arbres car nous avions aussi une nappe dans notre sac.
Celle-ci posée dans un endroit ombragé à l’écart du chemin de randonnée, nous pouvions commencer le repas.
Chacun sortait ses affaires du sac à dos puis s’asseyait en tailleur de chaque côté de la nappe.
La discussion battait son plein quand je captais le regard de Nathalie.
Elle me faisait signe des yeux. Ceux-ci allaient vers moi puis se tournaient rapidement vers Eric.
Je comprenais immédiatement la raison de ses regards insistants : Eric ne portait rien sous son short et je pouvais apercevoir son sexe qui dépassait légèrement sur le côté de sa jambe droite. Nous étions tous les deux fortement troublés par la scène.
Je notais aussi qu’Eric jetait régulièrement des coups d’oeil sur la poitrine de Nathalie.
Ayant épuisé le sujet de la randonnée, Eric nous demandait de quelle région nous étions.
« Région parisienne » répondis-je.
« Moi aussi ! »
Eric nous confia ensuite qu’il était venu seul dans le Jura pour décompresser un peu de son travail. En filagramme, nous comprenions qu’il avait aussi des soucis sentimentaux.
Nous continuions à jeter des coups d’oeil sur l’entrejambe d’Eric sans que cela semble gêner le moins du monde ce dernier. Cette randonnée prenait un tour inattendu !
Le pique-nique était maintenant terminé. La position du tailleur me faisait mal et j’allongeais mes jambes.
Nathalie se relevait et allait de nouveau regarder la vallée sans doute aussi pour réfléchir à cette rencontre pour le moins étrange… Depuis l’arrivée d’Eric, pas une seule personne n’était passée sur le chemin. Nous avions la sensation d’être seuls au monde. Un parfum étrange flottait dans l’air, un parfum d’excitation.
Eric s’était agenouillé pour ranger son sac à dos. Son sexe était bien visible dans l’échancrure du short. Il posa son sac sur le côté et nous demanda s’il pouvait profiter de notre nappe pour s’allonger un peu et reprendre des forces.
« Fait comme bon te semble » lui dis-je.
Eric s’allongea sur le dos, les genoux repliés et les jambes légèrement écartées. Il passa les mains derrière sa tête et ferma les paupières.
Nathalie revenait et s’arrêta face à nous.
De par sa position, Nathalie avait une vue imprenable sur l’entrejambe d’Eric.
Elle pointa le pouce en l’air en me regardant avec un air espiègle. La vue semblait lui plaire. Nathalie m’avait plus d’une fois surpris quand il fallait foncer sans réfléchir.Arrivée à notre hauteur, elle demanda à Eric :
« Tu ne portes pas de sous-vêtements quand tu fais de la randonnée ? »
Eric se redressa sur un coude et lui répondit tranquillement :
« Non, j’aime être à l’aise. Les vacances sont faites aussi pour ça, non ? »
« Pour tout vous dire, j’aime le sexe sous toute ses formes à partir du moment où il y’a du plaisir. Ne rien porter fait partie de ces plaisirs »Nathalie s’étais assise contre le tronc d’un arbre en face d’Eric. Elle l’écoutait attentivement tout en détaillant avec attention les atouts d’Eric.
Ses cuisses étaient largement ouvertes et son sexe était entièrement offert au regard inquisiteur de Nathalie. J’étais toujours assis en tailleur au côté d’Eric, troublé par ses confessions.
Celui-ci dit : « Vous semblez être très ouvert d’esprit, je suis sûr que vous me comprenez. »
Tandis qu’il parlait, son short bougeait légèrement. Sa queue grossissait à vue d’oeil. Visiblement, le regard de Nathalie l’excitait.
« On dirait que tu as un problème » dit celle-ci en riant.
« Oui et je ne sais trop comment faire » répondit Eric avec un sourire malicieux.
Ma respiration s’accélérait.
« Attends » dit Nathalie » je peux t’aider ! »Elle se releva pour s’agenouiller à côté d’Eric, souleva l’élastique de son short et plongea sa main dessous. Ayant saisit sa queue, elle commença à le branler sous le short.
Je vis Eric pousser un gémissement et se laisser retomber sur le dos.
La scène m’excitait terriblement. Je bandais déjà comme un fou et ma tête bouillonnait en regardant la scène.
Je me relevais pour enlever mon bermuda ainsi que mon T-shirt.
Il faisait beau sous les arbres. Seules nos respirations troublait le silence forestier.Nathalie, de son autre main, souleva l’élastique du short à Eric et le descendit vers les chevilles. Sa queue était maintenant libérée et dressée fièrement vers le ciel. La main de Nathalie allait et venait doucement en lui décalottant entièrement le gland. Sa queue était vraiment impressionnante. Je n’en avais encore jamais vu de cette taille.
Nathalie semblait elle aussi hypnotisée par ces mensurations hors normes. Il était entièrement lisse ainsi que ses testicules, elles aussi de tailles impressionnantes.
La main de Nathalie descendit pour les saisir. Elle était juste assez grande pour les prendre toutes les deux. Les ayants soupesées, elle les abandonna pour revenir se placer juste sous le gland et le décalotter au maximum. La main de Nathalie paraissait soudainement petite…
La respiration d’Eric se faisait de plus en plus saccadée tandis que sa main caressaient les seins de Nathalie sous le T-shirt.
Elle posait délicatement les lèvres sur le gland d’Eric.
Sa langue parcourait lentement le tour de celui-ci. Puis sa bouche s’entrouvrit pour ensuite le prendre. Elle continuait à le branler de sa main mais sa bouche ne pouvait prendre que le tiers de la longueur. Elle jouait avec sa langue. Sa queue était vraiment grosse.
Je me plaçais devant Nathalie, enlevait son T-shirt ainsi que son soutien-gorge afin de libérer ses seins.
Puis j’enlevais son bermuda, lui laissant seulement le string en dentelle rouge au travers duquel on devinait son intimité. Eric se tourna immédiatement vers l’entrejambe et le petit triangle de dentelle rouge. Sa main se glissa sans difficulté sous le string. Ses doigts suivaient le sillon parfaitement lisse et se glissaient dans la fente humide.
Ne voulant pas rester inactif, j’approchais mon visage des fesses de Nathalie, écartait la ficelle du string sur le côté puis passait ma langue sur la fente écartée par les doigts d’Eric.
Celui-ci retira sa main et me laissa le champ libre. Ma langue se glissait sans difficulté dans son sillon et trouvait son clitoris déjà gonflé de désir.
Je sentis une main se poser à l’intérieur de ma cuisse gauche. Je me laissais faire.
Je me retrouvais ainsi agenouillé près du visage d’Eric. La main remonta ma cuisse pour ensuite saisir ma queue et me lentement me branler. Le plaisir de cette caresse me faisait bander encore plus fort tandis que je continuais à titiller la chatte de Nathalie. Celle-ci suçait Eric en lui massant les couilles.
Soudain, j’eu une sensation de chaleur sur le gland. Eric me suçait ! Ma queue disparaissait entre les lèvres d’Eric.
Ayant tous compris le scénario souhaité, nous prîmes la position la plus confortable pour que chacun puisse prendre le maximum de plaisir.
Celui-ci montait crescendo.
Nathalie gémissait en suçant l’énorme queue d’Eric. Celui-ci me suçait en fermant les yeux tandis que je jouais avec le clito de Nathalie tout en la pénétrant avec deux doigts.Le temps semblait s’être arrêté ; plus rien ne comptait autour de nous.
Soudain, je sentis une vague monter vers ma queue toujours prisonnière de la bouche d’Eric.
Je me retirais pour éjaculer tandis que Nathalie se contractait sur mes doigts et poussait un râle de plaisir. Eric se retirait au même moment.
Nathalie le branlait avec les deux mains superposées! Il ne tarda pas à jouir en poussant un cri rauque.
Sa jouissance était à la hauteur de la taille de sa queue.
La main de Nathalie ralentit son mouvement et finit par s’arrêter sans cependant desserrer son étreinte.
Chacun reprit ses esprits tranquillement. »Tu est vraiment gâté par la nature ! » lui dit Nathalie
« C’est vrai et mais cela me porte préjudice avec les femmes car je leur fais peur. »
« Hummmm, je les comprends mais j’aimerais bien essayer pour voir » répondit Nathalie en reprenant tout doucement son va et vient.
« Je pense que mon chéri aussi aimerait essayer, non ? » continua-t-elle en me jetant un coup d’oeil coquin.
Eric se tourna vers moi :
« Fais ce que tu as envie, profite. »
Je posais ma main sur sa cuisse et remontait timidement vers son entrejambe. Voyant mes hésitations, Nathalie me prit doucement la main et la posa sur la queue d’Eric.
Elle avait déjà retrouvé une belle taille. Je refermais mes doigts puis commençait à la caresser. Je la sentais se raidir à chaque mouvement. M’enhardissant, je jouais avec son gland en le décalottant de plus en plus.
La main d’Eric disparaissait entre les cuisses de Nathalie, s’attardait sur le bas-ventre lisse, glissait doucement de haut en bas sur les lèvres humides sans la pénétrer. Nathalie me demanda alors de venir m’asseoir à côté d’elle.
J’abandonnais provisoirement le sexe d’Eric et me plaçais entre les deux compères.
Tandis que je reprenais mes caresses manuelles, je sentis la main de Nathalie se glisser entre mes fesses.
« Tu n’aurais pas envie d’y goûter par hasard ? » dit-elle en continuant ses caresses.
« Qu’entends-tu par là ? » lui répondis-je innocemment.
« Tu pourrais essayer autre chose que ta main, non ? »
« Pourquoi pas ! » Sans cesser de branler Eric, je me penchais et dirigeais sa queue vers ma bouche.
Le décalottant progressivement, son gland forçait mes lèvres. Je réalisais à quel point il était gros car j’avais du mal à respirer.
Je reprenais ma respiration et revenais à la charge.
Cette fois, je pris son sexe un peu plus loin. Je faisais quelques mouvements de va et vient tout en le caressant de ma main. Nathalie continuait à me titiller l’anus avec sa main glissée entre me fesses. Elle m’excitait de plus en plus.
Je suçais à présent Eric rapidement. Ma main tenait les couilles et la base de son sexe pour le guider dans ma bouche. »Il y’a du lubrifiant et des préservatifs dans mon sac à dos » dit Eric à Nathalie, le souffle court.
« Très bonne idée ! » lui répondit celle-ci
Je réalisais que mes compères avaient une idée derrière la tête !
Tandis qu’il fouillait son sac, je descendais ma langue le long de sa queue et léchait ses boules une par une. Un tube fut ouvert et les doigts de Nathalie enduits généreusement. Elle barbouilla mes fesses et glissa immédiatement un doigt dans mon intimité.
Un deuxième ne tarda pas à suivre. Mes lèvres remontaient vers le gland, il disparaissait à nouveau dans ma bouche tandis que ma langue tournait autour. J’arrivais à prendre un tiers de la longueur totale de sa queue.
Eric s’activait toujours entre les cuisses de Nathalie. »Prépare un préservatif, Eric, j’ai envie d’autre chose que tes doigts » dit-elle
Eric déchira l’enveloppe protectrice et inséra le préservatif sur sa queue.
Nathalie vint alors se placer à genoux au dessus de lui puis guida sa queue d’une main.
Lentement, elle se baissa pour faire entrer le gland puis le ressortir.
Elle s’appuyait des deux mains sur le torse d’Eric afin de contrôler la descente. Nous étions silencieux.
Nathalie fermait les yeux tout en se laissant progressivement descendre sur la queue d’Eric.
Elle se mit à aller et venir très lentement. Me déplaçant pour un meilleur angle, je pouvais maintenant voir les deux sexes coulisser l’un dans l’autre.
Ma main saisit la queue d’Eric et la branla tandis qu’elle allait de plus en plus rapidement dans la chatte de Nathalie.
Celle-ci redressait à présent le torse, se laissait retomber de tout son poids sur la queue d’Eric.
Ses seins étaient secoués par les coups de boutoir. »Vient » me dit-elle.
Je me plaçais les jambes écartées au dessus du visage d’Eric et face à celui de Nathalie. Elle attrapa ma queue d’une main et la prit en bouche. Son autre main passa entre mes fesses et reprit le chemin de mon intimité. Ses doigts allaient et venaient à présent facilement tandis que je reprenais de la vigueur à vue d’oeil. Je pouvais voir Eric nous observer, sa tête entre mes pieds.
Eric tenait maintenant Nathalie par la taille tout en la pénétrant vigoureusement. »A toi ! » me dit Nathalie en se levant et enduisant de lubrifiant la queue dressée d’Eric.
J’étais tétanisé par sa proposition.
Je posais mes genoux de chaque côté du ventre d’Eric tandis que Nathalie se positionnait face à moi de la même façon sur le visage d’Eric.
Ses mains saisirent immédiatement les fesses de Nathalie tandis que sa langue se faufilait entre les lèvres offertes.
De mon côté, j’étais paralysé par la présence de la queue toute frémissante contre mes fesses.
Voyant mon désarroi, Nathalie vint une nouvelle fois à ma rescousse. Elle saisit la queue d’Eric et la positionna face à l’entrée de mes fesses.
« Détends-toi et laisse toi aller, tu va voir, elle va entrer toute seule » me dit-elle.
Malgré ses paroles rassurantes, j’osais à peine bouger.
Eric ne se souciait pas du tout de mon cas, absorbé par le plaisir d’être calé entre les douces cuisses de ma femme.
J’embrassais à pleine bouche Nathalie et me laissais descendre un peu plus.
Je sentais la queue d’Eric entrer tout en ressentant mon anus se dilater sous l’épaisseur de celle-ci. Je continuais malgré tout.
J’eu rapidement la sensation qu’il ne pourrait jamais entrer entièrement. Il me faisait mal de par sa taille mais je ne me retirais pas.
Quelques instants plus tard, la douleur céda la place au plaisir.
Je me détendais et sentais qu’il entrait beaucoup plus facilement depuis que le gland était passé.
J’avais le contrôle total car Eric ne faisait absolument aucun mouvement.
Je relevais mes fesses à présent bien ouvertes pour me rasseoir encore plus profondément sur Eric. Sa queue était maintenant entièrement entrée !
Je commençais alors un va et vient qui allait en accélérant.
Eric, tout en caressant avec la langue la chatte de Nathalie, donnait maintenant de vigoureux coups de rein contre mes fesses.
J’embrassais toujours Nathalie tandis qu’elle perdait le contrôle de son corps.
Elle frottait frénétiquement son sexe contre le visage d’Eric.
Il accélérait de plus en plus fort, sa queue semblait énorme et pourtant je ne ressentais plus aucune douleur mais au contraire un plaisir intense.
Le rythme devenait désordonné. Eric entrait sa queue au maximum, cabrait ses reins et poussait un cri .
Je sentais les spasmes de jouissance secouer la queue d’Eric en moi.
Les mouvements de bassin de Nathalie cessèrent subitement. Elle s’immobilisa puis étouffa un cri tout en serrant le visage d’Eric entre ses cuisses.
Je l’embrassais longuement puis me retirait de l’emprise d’Eric.
Sa queue retomba sur son ventre.
Eric semblait épuisé par notre folle chevauchée. Nathalie semblait aussi épuisée. Elle haletait et s’asseyait à côté d’Eric. La transpiration faisait luire nos corps.
La vie reprit un cours normal tandis que nous reprenions une position plus confortable.
Le plaisir ressenti par chacun avait été immense et cela se voyait dans les regards échangés.
Nous échangeâmes nos numéros de téléphone puis nous séparâmes en promettant de nous revoir très prochainement…..© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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