Escapade automnale
Petite excursion adultérine pour un week end de randonnée en Corse
Proposée le 23/02/2015 par Belatucardus Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Forêt, campagne, natureType: Fantasme
En cette fin octobre, les couleurs de l’automne tardait Ă apparaĂ®tre. Il faisait encore chaud, et une balade en forĂŞt n’aurait pas Ă©tĂ© pour te dĂ©plaire. Mais ton programme Ă©tait bien diffĂ©rent. Tu partais en sĂ©minaire au Mans pour trois jours. Optimiser son accueil tĂ©lĂ©phonique. Vaste programme… Comment un formateur qui n’avait pas mit les pieds dans une entreprise depuis quinze ans pouvait vous donner des conseils utiles ? Mais bon. Ce sĂ©minaire Ă©tait obligatoire, tous frais payĂ©s, et te permettrait de te reposer un peu, loin des obligations du quotidien. Ton sac Ă©tait prĂŞt depuis la veille, Ă l’arrière de ta voiture, tu irais le chercher tout Ă l’heure, avant d’embarquer avec tes collègues dans ce minibus au bord de la ruine. Il avait bien le mĂŞme âge que la sociĂ©tĂ©, on ne s’en servait d’ailleurs plus ou presque, Ă part quand le nouveau Ă©tait en rĂ©vision ou en panne. Ce qui n’Ă©tait pas le cas d’ailleurs. C’Ă©tait pire… Un stagiaire avait oubliĂ© de tirer le frein Ă main et il avait dĂ©valĂ© la route en marche arrière avant de finir contre une maison en contrebas… Le directeur Ă©tait dans tous ses Ă©tats ce jour lĂ , tu en riais encore parfois…Enfin, l’heure approche. Tu ranges tes affaires et laisse place nette. Les clĂ©s Ă la main, tu pars tranquillement vers ta voiture. En ouvrant le coffre pour prendre ton sac, tu ressens comme une prĂ©sence. Pourtant, il n’y a personne. Ce parking est rĂ©servĂ© au personnel, et Ă cette heure ci, ils sont tous au travail. Bizarre cette sensation… Tu rĂ©cupères ce que tu es venue chercher et rebrousses ton chemin. En te rendant devant l’agence, tu dĂ©sespères Ă la vue du minibus miteux. On va avoir un accident, penses tu. Ou pire. Tu aperçois tes collègues, dĂ©jĂ regroupĂ©s auprès du vĂ©hicule et te dirige vers eux. Ce ne va pas ĂŞtre si sympa en fait. Trois jours loin du quotidien, oui, mais pas avec les personnes que tu vois tous les jours !!!A nouveau, tu ressens cette prĂ©sence. Comme une sensation d’ĂŞtre Ă©piĂ©e. Tu n’aimes pas vraiment ça… Jusqu’Ă ce que tu en comprennes la raison ! De l’autre cotĂ© de la route, tranquillement adossĂ© Ă sa voiture, il est lĂ . Les Ray-Bans toujours sur les yeux, la barbe naissante, il n’a pas changĂ© d’allure. Tu es plus habituĂ©e Ă le voir en maillot sur la plage, et pas habillĂ© de la tĂŞte au pied, mais il a fière allure. Tu traverses rapidement la route, Ă©vitant de justesse un fou au volant d’un cabriolet. Un lĂ©ger baiser sur la joue, un peu Ă©trange au vu de vos aventures torrides, mais votre relation doit rester discrète, plus encore, secrète. Tu l’interroges sur la raison de sa prĂ©sence, si surprenante. Il te rĂ©pond qu’il part pour quelques jours en escapade dans les montagnes au Pays Basque et qu’il ne faut donc pas que tu t’Ă©tonnes de ne pas le voir sur votre plage habituelle. Vu que ton week-end va se passer loin de cet endroit paradisiaque, ce n’est pas trop grave. Mais bon. Tu l’aurais bien accompagnĂ© plutĂ´t que de suivre tes collègues dans un hĂ´tel borgne du centre du Mans, oĂą le seul horizon sera celui dessinĂ© sur le papier peint. En parlant de tes collègues… Tu as un bus Ă prendre, ou plutĂ´t un minibus… Tu te retournes pour estimer qu’il ce qu’il te reste comme temps avant le dĂ©part. Mais, il ne t’en reste pas beaucoup, voire mĂŞme pas du tout. En effet, ils sont tous Ă bord et le moteur tourne. Tu te dĂ©pĂŞches de voler un baiser Ă ton amant et cours vers le parking, mais il est dĂ©jĂ trop tard. Tu observes impuissante le vĂ©hicule s’Ă©loigner dans un nuage de fumĂ©e, et tes mouvements de bras ne peuvent rien y faire. Ils t’ont oubliĂ©.Ni une ni deux, tu prends ton tĂ©lĂ©phone et appelles la seule personne Ă bord dont tu aies le numĂ©ro. Et tu tombes sur le rĂ©pondeur… Tu lui laisses un message, lui demandant de faire demi tour pour venir te chercher, un peu perdue par ce retournement de situation. De l’autre cĂ´tĂ© de la route, ton amant sourit de toutes ses dents, et entreprends de te rejoindre. Tu fais la tĂŞte, mĂ©contente qu’il te voit en si fâcheuse posture. Ton week-end ne se passe pas vraiment comme prĂ©vu. Et c’est de sa faute en plus. Tu lui demandes aussitĂ´t de monter en voiture pour rattraper le minibus. Il s’exĂ©cute en riant. Vous prenez la route, sans un mot. Il est gonflĂ© quand mĂŞme. C’est de sa faute, il ne s’excuse mĂŞme pas, et en plus il se moque de toi. C’en est trop. Tu lui en fais la remarque, et il s’excuse alors, mais son sourire ne trompe pas sur sa sincĂ©ritĂ©. Oui, effectivement, la tĂŞte que tu avais quand tu as vu le minibus partir pouvait faire sourire. Et tes bras faisant des moulins en l’air aussi. Et ta mine dĂ©confite actuelle n’arrange rien. Tu Ă©clates alors de rire et lui pardonnes aussitĂ´t. Mais tu te vengeras, c’est certain. Tu trouveras bien quelque chose. En cherchant des yeux le fossile de la route qui transporte le personnel de la rĂ©sidence, tu l’interroges sur son week-end. Une excursion dans les montagnes du Pays Basque sur trois jours. En 4×4. Le rĂŞve. Rien Ă voir avec le tien. DĂ©cidĂ©ment la vie est mal foutue. Encore que… Au lieu d’ĂŞtre dans un minibus pourri direction Le Mans avec tes collègues, tu es avec lui… Tu as tes affaires avec toi… Et ils ne rĂ©pondent toujours pas au tĂ©lĂ©phone… Songeuse, une idĂ©e commence Ă poindre dans ton esprit. Et si tu partais avec lui ? C’est alors qu’il te fait remarquer qu’il y a un problème. Sa voiture va plus vite que le minibus, et depuis le temps, vous auriez dĂ©jĂ du le rattraper. C’est un signe. Oui, c’est dĂ©cidĂ©. Tu changes tes plans. Direction le Pays Basque ! Et va pour l’escapade en 4×4 avec lui !
Assise Ă l’arrière du le 4×4, Ă ses cotĂ©s, tu repenses au dĂ©roulement de ce qui vient de se passer. Le dĂ©part avortĂ© pour le sĂ©minaire, la vaine recherche du minibus, le silence radio de tes collègues, les plaisanteries Ă©changĂ©es sur la route qui vous a menĂ© vers la montagne, le regard ahuri de votre chauffeur en t’apercevant. A sa dĂ©charge, l’uniforme tailleur-talons n’est pas la tenue habituelle des baroudeuses. Une main sur ta jambe te sors de tes pensĂ©es. Tout en dialoguant avec le chauffeur, ton amant entreprend de te caresser la cuisse. Une main plutĂ´t baladeuse, il semblerait… Elle se glisse sous ta jupe, entre tes cuisses et remonte doucement, tout doucement. L’excitation te gagne dĂ©jĂ . Il faut dire que tu penses depuis tout Ă l’heure au prochain moment oĂą vous serez seuls tous les deux. Ce soir, t’Ă©tais tu dit. L’attente te semblait longue. Pas aussi longue que pour lui, apparemment !Ses doigts te caressent la chatte Ă travers ton string. Il te tarde de pouvoir rĂ©pondre Ă ses assauts. Lui en profite encore. Tu te dĂ©cales lĂ©gèrement sur ton siège, vers lui, afin de lui laisser plus d’espace entre tes cuisses. Il ne se fait pas prier et glisse ton string sur le cotĂ©, titillant ton clito de ses doigts experts. Tu te retiens de gĂ©mir. C’en est mĂŞme très difficile. Il te regarde intensĂ©ment depuis le dĂ©but et tu lis sur son visage le dĂ©sir qui est en lui. Tu as le mĂŞme. Vivement que vous arriviez au gĂ®te pour la nuit. Lui continue. Encore et encore. Tu commences Ă ĂŞtre très excitĂ©e. Si ce chauffeur n’Ă©tait pas lĂ … Lorsqu’il met un premier doigt en toi, tu rĂ©ponds de la mĂŞme manière. PrĂ©textant une position inconfortable, tu te colles Ă lui encore plus et en profite pour faire sauter le premier bouton de sa braguette et mettre ta main dans son pantalon. Il est dĂ©jĂ dur. Très dur. Sa queue est Ă l’Ă©troit dans ce jean. Il ne doit pas ĂŞtre Ă l’aise. Du coup, tu la tiens ta vengeance… Tu vas le faire bander comme jamais, jusqu’Ă ce qu’il soit impossible que l’on ne remarque pas son Ă©rection Ă travers son pantalon. Tu prends alors sa queue Ă pleine main et commence un va et vient. Pas facile avec ses vĂŞtements… Pas grave, il faut qu’il bande au max. De son cotĂ©, il ne baisse pas les bras. Un deuxième doigt Ă rejoint le premier. Et ils vont plus profondĂ©ment que tout Ă l’heure. Ta chatte est bien lubrifiĂ©e maintenant. Tu mouilles mĂŞme abondamment.La route change d’un coup, passant du roulis monotone de l’asphalte aux cahots anarchiques d’un chemin de terre. La surprise est totale. Mais pour le coup, il devient impossible de vous masturber mutuellement. Vous arrĂŞtez en mĂŞme temps. Ta mission est remplie en tout cas, on ne peut pas faire autrement que de le voir bander. Lui retire ses doigts, qu’il lèche sensuellement en te regardant. Tu remets tant bien que mal ton string en place, pas aidĂ©e une seconde par ce chemin caillouteux. Puis votre chauffeur vous annonce que le gĂ®te est en vue. En effet, une longue masure se dresse tout près, perdue dans la vĂ©gĂ©tation. Vous dormirez donc lĂ . Il se gare, vous aide Ă sortir vos sacs et vous annonce que les clĂ©s sont sous le seau, près du puits. Il vous rejoindra demain Ă 8h, avec le petit dĂ©jeuner. Surprise par cet abandon non prĂ©vu, tu te retourne vers ton amant et le questionne du regard. Il attend que le chauffeur soit remontĂ© dans le 4×4 pour te rĂ©pondre. Sa mère est Ă l’hĂ´pital, rien de grave, mais comme elle est vieille, il prĂ©fère passer la nuit avec elle. Il en a parlĂ© tout Ă l’heure dans le 4×4. Tu devais rĂŞver, Ă ce moment lĂ … D’un coup tu rĂ©alises. Vous ĂŞtes enfin seuls. Perdus dans la montagne. Sans personne Ă des kilomètres Ă la ronde. Si cela aurait pu en effrayer certains, c’est un tout autre sentiment qui vient en toi. Tu sautes sur ton amant sans le prĂ©venir et l’embrasse avec fougue. Viens, lui dis tu. Laissons nos affaires lĂ . Et prends moi. Ici. Maintenant.Il ne se fait pas prier et t’allonges dans les herbes hautes. Il t’avoue ĂŞtre très excitĂ© par ton tailleur, en particulier par ton dĂ©colletĂ©. Ok, pas de problème, je le garde pendant que tu me baises, lui rĂ©ponds tu tout de go. Il remonte ta jupe te retire ton string et commence Ă te lĂ©cher avec passion. Tu nages dans le bonheur. La nuit est tombĂ©e vite et tu es lĂ , regardant les Ă©toiles qu’aucune lumière de la ville ne vient masquer, avec ton amant entre les cuisses qui te mordille le clito. Tout en gĂ©missant de plaisir, tu passes tes mains dans ses cheveux et lui caresse la tĂŞte, maintenant fermement cette dernière contre ton sexe. Il continue Ă te lĂ©cher, ses mains sur tes hanches, ne s’arrĂŞtant que pour reprendre son souffle. Enfin tu relâches la pression. Tu le libères et lui dit dans un souffle de te prendre.Il se redresse et descend son jean et son caleçon. Sa bite est dure, elle se dresse fièrement devant toi. Alors qu’il s’agenouille, tu lui saisis le sexe et le branles vigoureusement. Mets la moi, maintenant. Ne t’Ă©coutant pas, il te prend par les hanches et te retourne. Tu te retrouve sur le ventre, allongĂ©e dans ces herbes hautes. Mets toi Ă genoux te demande t’il. Tu obĂ©is sans mot dire.Il prend alors son sexe et le frotte contre le tien, de haut en bas, Ă©talant ta mouille jusque sur ton cul. Resserrant tes cuisses de ses mains, il te glisse sa queue dans ta petite chatte Ă©troite et entreprend un premier va et vient lent et peu profond. Tu gĂ©mis Ă nouveau, plus fort cette fois ci. Puis il accĂ©lère la cadence, tout en te prenant de plus en plus. Dans un mouvement de rein plus brusque que les autres, il arrive au fond de toi et redouble alors ses coups de butoirs. Tu ne gĂ©mis plus, tu cries. Personne ne peut vous entendre, pourquoi se priver ?Ses mains sont toujours sur tes hanches. Elles agrippent ta jupe retroussĂ©e et amplifient son mouvement. Tu te cambres de plus en plus. La tension de tes muscles est Ă son maximum. L’orgasme arrive, tu le sens. Mais pas encore. Tu en veux plus, toujours plus.Alors qu’il commence Ă baisser la cadence, tu lui suggère de changer de position. Il te montre alors un arbre non loin de lĂ . Vous vous y rendez, et, Ă peine arrivĂ©s, il te plaque contre le tronc, te soulève une jambe, et te pĂ©nètre Ă nouveau. C’est si bon. Tu halètes Ă prĂ©sent, le plaisir arrivant par vagues successives. Il t’annonce qu’il va jouir, lĂ bientĂ´t. Tu le repousses alors et t’agenouilles, prenant son sexe entre tes mains. Oui tu va jouir, mais dans ma bouche. Tu le suces alors avec fougue le branlant d’une main en mĂŞme temps. Tu le sens rĂ©sister, faisant durer le plaisir. Mais il va venir, très vite. Tu redouble alors la cadence et resserre l’Ă©treinte de ta bouche sur sa queue. Tes lèvres appuient maintenant, de toutes parts, augmentant la pression. Puis il vient. Le liquide chaud jaillit dans ta bouche. Une fois, puis deux, puis encore, et encore. Combien de fois a t’il giclĂ©, tu le sais mĂŞme pas. Mais il a finit, c’est sur. Tu le regardes d’en bas un moment, son sexe encore entre tes doigts. Il a le visage de l’extase. Tu te lèves et l’embrasses sans attendre. Il te rends ton baiser avec passion. Vous retournez ensuite vers la maison, prenant vos affaires au passage. C’est alors que tu lui fait remarquer avec malice qu’il te doit un orgasme, vu qu’il a jouit sans toi. Et que tu exiges de l’avoir ce soir. Au moins une fois.La chaleur du soleil sur ton visage t’offre ta première caresse matinale. Regardant tendrement ton amant dormant dans le lit Ă tes cotĂ©s, tu repenses Ă la nuit qui vient de s’achever. Après un frugal repas composĂ© de charcuteries, fromages et fruits de la vallĂ©e, vous ĂŞtes sortis admirer les Ă©toiles. Les nuits commençaient Ă ĂŞtre fraĂ®ches, vous aviez donc pris une couverture sur le seul grand lit de la maison. EmmitouflĂ©s dedans, vous vous rĂ©chauffiez l’un l’autre. CassiopĂ©e, la Ceinture d’Orion, sans oublier les Grande et Petite Ourses, il t’apprenait Ă reconnaĂ®tre les principales constellations. Un fou rire suivit lorsqu’un bruit vous surpris. Croyant Ă une bĂŞte sauvage, tu serras fort le bras de ton amant, si fort qu’il gardât la trace de tes doigts un moment sur sa peau. Sanglier ou chien sauvage, tu avais un peu peur de ce que vous alliez voir. Il n’en fut rien. Un modeste lapin dĂ©tala dès que ton chevalier servant pris les armes pour te dĂ©fendre, Ă savoir un caillou et un long bâton qui traĂ®naient Ă cotĂ©. Il vous fallut bien dix minutes pour vous en remettre, tellement vos rĂ©actions Ă©taient disproportionnĂ©es. C’Ă©tait peut ĂŞtre un lapin ninja, ou l’Ă©claireur d’un groupe de commando, il Ă©tait sĂ»rement venu poser des pièges Ă loups, vous trouviez de nombreuses raisons pour justifier cette frousse passagère. Chacune d’entre elles vous faisait rire de bon cĹ“ur, rires qui se rĂ©percutaient sur les parois des montagnes environnantes et devaient Ă coup sĂ»r Ă©loigner tous les animaux prĂ©sents Ă un kilomètre Ă la ronde !Puis, le froid se faisant sentir malgrĂ© la couverture, vous aviez dĂ©cidĂ© de rentrer dans la longère. Une cheminĂ©e ne demandait qu’Ă ĂŞtre allumĂ©e, ce que ton complice fit rapidement. DĂ©jĂ , de hautes flammes dansaient dans l’âtre. La couverture fut Ă©tendue sur les tommettes glaciales, prĂŞte Ă vous accueillir. Tu t’y allongeas sans attendre, ravie de pouvoir te rĂ©chauffer devant le foyer. Sa chaleur Ă©tait vive, le bois parfaitement sec projetait des Ă©clats incandescent contre le pare-feu. Vous partagiez un sentiment de plĂ©nitude, l’un contre l’autre, ta tĂŞte sur son torse, sa main caressant tes cheveux. Le silence Ă©tait de mise, seulement troublĂ© par les crĂ©pitements du feu. Mais ce n’Ă©tait pas un silence gĂŞnant, comme ceux que l’on connaĂ®t parfois, mettant mal Ă l’aise tous ceux qui le subissait. Non, c’Ă©tait un silence envoĂ»tant, pĂ©nĂ©trant, impĂ©rial. Vous communiquiez sans vous parler, sans vous regarder, seulement par les mouvements de vos mains sur le corps de l’autre. De tendres caresses, entières et sincères.Puis, relevant la tĂŞte, tu l’embrassas. Un long baiser. Plus long que ceux que vous aviez partagĂ© jusqu’Ă prĂ©sent. Vos langues de rencontraient avec douceur, dansant l’une contre l’autre avec passion. Tu lui enlevas sa chemise, et entrepris de lui couvrir le torse de baisers. Il se releva lĂ©gèrement et te prenant entre ses bras, t’allongeas sur le dos. Il prenait les choses en main, se souvenant de ta remarque malicieuse d’avant le repas. Un Ă un, il Ă´ta chaque bouton de ton chemisier, embrassant avec tendresse les parties de ton corps qui se dĂ©voilaient au fur et Ă mesure. Lorsqu’il ne restât plus de boutons Ă dĂ©faire, il te relevât et, tout en te volant un fougueux baiser, retira ton chemisier. Te gardant contre lui, il fit glisser doucement les bretelles de ton soutien gorge en dentelle, puis dĂ©grafa dĂ©licatement ce dernier, dĂ©livrant ta poitrine. Il te rallongea alors et posa sa bouche sur un de tes seins. Avant de jouer avec sa langue sur la pointe de celui ci, il prit son temps, ses baisers dĂ©crivant des cercles concentriques se dirigeant vers ton tĂ©ton durcissant. Il y resta un moment, se plaisant Ă te faire gĂ©mir, avant de passer au second. Il recommença les mĂŞmes baisers, avec autant de tendresse que sur le premier. Le feu couvait en toi, ne demandant qu’Ă s’exprimer comme celui de la cheminĂ©e, toujours très actif grâce aux nombreuses grosses bĂ»ches qui s’y trouvaient.Puis il descendit vers ton nombril, accompagnant ses baisers de caresses voluptueuses. Ses mains atteignirent tes hanches, il dĂ©zippa alors ta jupe qu’il fit glisser le long de tes jambes, tout doucement. Tu les relevas en pliant les genoux afin de faciliter son geste. Il se plaça devant toi, et dĂ©licatement, Ă©carta tes jambes. S’agenouillant alors, il vint t’embrasser l’intĂ©rieur des cuisses, s’approchant lentement de ton entrejambe. Seul ton string protĂ©geait encore ton intimitĂ©. Mais plus pour longtemps… Après l’avoir caressĂ© de sa langue, il te le retira sans prĂ©cipitation. Depuis le dĂ©but, ses gestes Ă©taient dĂ©licats, doux, langoureux. Il ne changea rien et vint poser sa bouche sur ton sexe. Sa langue vint tout d’abord effleurer tes lèvres, avec sensualitĂ©, avant de se glisser entre ces dernières. De petits mouvements rĂ©pĂ©tĂ©s sans s’arrĂŞter, il rĂ©ussit Ă t’arracher tes premiers gĂ©missements. Tu te laissais faire jusqu’Ă prĂ©sent. Tu dĂ©cidas donc de mettre tes mains dans ses cheveux et commença Ă les lui caresser. De cette manière, tu t’assurais qu’il resterait aussi longtemps que tu le souhaitais Ă te lĂ©cher. Il n’en pris pas ombrage, loin de lĂ . Au contraire, il mit ses mains sur tes hanches et redoubla d’ardeur avec sa langue. Tes gĂ©missements se rapprochaient, se faisaient plus longs, plus profonds. Tu basculas ta tĂŞte en arrière, t’abandonnant au plaisir qui montait en toi.
Tu Ă©tais prĂŞte Ă le recevoir. Mais ce cunnilingus Ă©tait si bon que tu ne souhaitais pas qu’il s’arrĂŞte. D’ailleurs, il semblait que lui non plus n’avait pas prĂ©vu de changer de position. Il continuait Ă jouer des coups de langues, y ajoutant parfois quelques caresses de ses doigts, chacune d’entre elles faisant monter le dĂ©sir d’un cran supplĂ©mentaire. Tu ressentais ce dĂ©sir travers tout ton corps, chaque parcelle de ta peau devenant une zone Ă©rogène. Le moindre contact de ses mains sur toi augmentait le plaisir. Tes gĂ©missements laissèrent place Ă de petits cris, devenant plus sonores au fur et Ă mesure que tes muscles se tendaient. Tu avais relâchĂ© l’Ă©treinte de tes mains sur sa tĂŞte mais il restait toujours lĂ , le visage contre ton sexe, ses bras enroulant tes cuisses, ses mains sur tes hanches. Il devint impossible de rĂ©sister Ă la vague de plaisir qui cherchait Ă te submerger. Tu t’y rĂ©signas enfin, abandonnant le reste de volontĂ© qui te faisait reculer ce moment. L’orgasme arriva. Puissant. Soudain. IntĂ©gral. Il dura un long moment, ton amant n’arrĂŞtant pas pour autant de te lĂ©cher. C’en Ă©tait presque douloureux. Un dernier cri de jouissance s’Ă©chappa de ta bouche et il releva alors la tĂŞte, te regardant avec un sourire. Il se releva, vint s’allonger près de toi, et t’embrassa tendrement. Tu te serras contre lui, vidĂ©e de ton Ă©nergie. Il devra attendre avant que vous puissiez continuer vos Ă©bats. Tu n’avais plus la force de faire quoique ce soit. Il passa un bras autour de tes Ă©paules et tu te lovas contre son torse. Tu t ‘endormis rapidement, un sourire d’ange illuminant ton visage. Il avait du te porter dans le lit par la suite, car c’Ă©tait ton dernier souvenir de cette soirĂ©e.Tu regardes alors ton amant, dormant toujours Ă tes cotĂ©s. Lui caressant les cheveux, tu t’approches pour l’embrasser. C’est alors qu’il ouvre les yeux, te sourit, et s’approche lui aussi. Après ce premier baiser de la journĂ©e, vous vous regardez et d’une seule voix, vous vous enquĂ©rez l’un l’autre de la nuit passĂ©e.
Une fois avalĂ© le petit-dĂ©jeuner apportĂ© par Ă votre chauffeur, vous lui demandez le dĂ©roulement de votre journĂ©e. Il vous explique qu’il doit Ă nouveau modifier ses plans, l’Ă©tat de santĂ© de sa mère ne s’amĂ©liorant pas. Du coup, au lieu de vadrouiller en 4×4 toute la journĂ©e, il vous propose de vous laisser au dĂ©but d’un chemin de randonnĂ©e avec des provisions et de vous rĂ©cupĂ©rer Ă la fin de celui ci en dĂ©but de soirĂ©e, pour vous amener dans un nouveau gĂ®te. Il se chargera de garder vos affaires dans son vĂ©hicule afin que vous ne soyez pas trop encombrĂ©. Le programme vous plaĂ®t, l’idĂ©e de passer la journĂ©e ensemble avec pour seule compagnie la nature et ses grands espaces n’y est pas pour rien. Le temps que vous vous prĂ©pariez, il va aller vous acheter de quoi boire et manger au village le plus près. Son 4×4 repart sur le chemin caillouteux, et vous le regardez s’Ă©loigner, ravis de la journĂ©e qui s’annonce. Le soleil est dĂ©jĂ maĂ®tre du ciel , et pas un nuage ne vient lui faire concurrence. La mĂ©tĂ©o annonçait un beau week-end, il semble qu’il va ĂŞtre chaud aussi.Après avoir allumĂ© l’eau de la douche afin qu’elle soit bien chaude quand tu t’y rĂ©fugieras, tu te dĂ©shabilles en pensant Ă ce que tu vas mettre pour cette randonnĂ©e. Vu la chaleur, le petit short, la paire de basket et le haut sans manche blanc que tu avais prĂ©vu pour le sĂ©minaire devraient faire l’affaire. La vapeur d’eau s’Ă©chappe enfin de la cabine de douche, Ă©tonnamment moderne comparĂ©e au reste des Ă©quipements du gĂ®te. Après avoir testĂ© la tempĂ©rature de l’eau, tu y entres en faisant attention de ne pas glisser. Alors que tu coupes l’eau pour commencer Ă te savonner, une main te surprend en ce posant sur ton Ă©paule. Tu pousses un petit cri malgrĂ© toi. Ton amant te rassure aussitĂ´t, ce n’est que lui. Ce n’est pas une raison pour te faire peur. Tu rallumes l’eau et l’asperges de haut en bas, le surprenant Ă ton tour. Il cherche alors Ă te prendre le pommeau des mains, mais il glisse. Il se retrouve sur le sol, et toi sur lui, vous deux tenant encore le pommeau de douche. Un Ă©clat de rire plus tard, vous vous embrassez tendrement.Puis il commence Ă te savonner tout en te massant, en commençant par le dos. Il descend lentement vers tes lombaires et, en se baissant se met Ă te caresser les fesses. Une de ses mains passe alors entre tes cuisses et vient te caresser doucement. Tu te cambres aussitĂ´t, lui offrant ton corps. Après quelques caresses, il se relève, son sexe se positionnant tout contre le tien. Un lĂ©ger va et vient suffit Ă te lubrifier et il te pĂ©nètre ensuite. Afin de ne pas glisser Ă nouveau, tu t’agrippes au robinet de la douche, accentuant par lĂ la cambrure de tes reins. Il entre de plus en plus profondĂ©ment en toi, accĂ©lĂ©rant la cadence, augmentant la puissance de ses coups de reins. Après plusieurs gĂ©missements de l’un comme de l’autre, vous changez de position.
Te faisant face, il te soulève par la taille, et passe ses bras sous tes cuisses. Tu passes les tiens autour de son cou, le regardant intensĂ©ment dans les yeux. Ces yeux d’une couleur si particulière te feront toujours craquer. Tu aimes quand ils se posent sur toi, lorsque tu es la seule chose qu’ils regardent. Comme actuellement. D’un mouvement de rein, il te pĂ©nètre Ă nouveau. AdossĂ©e contre le mur, prisonnière de ses bras, tu n’as aucun contrĂ´le. Mais ça ne te dĂ©plaĂ®t pas pour autant. Puis, faiblissant, il relâche son Ă©treinte et laisse mettre pied Ă terre. Tu le forces Ă s’asseoir sur le sol, le dos collĂ© Ă la paroi, et tu te place devant lui, Ă califourchon. Avant d’avoir pu prendre place sur sa queue, il embrasse ta poitrine avec fougue. Il la couvre de baisers, lèche la pointe de tes seins, les mordillent mĂŞme, puis te laisse faire. Tu t’imbriques sur lui, collant vos corps pleins de mousse. Le savon aidant, vos peaux glissent l’une sur l’autre. Tu enchaĂ®nes les mouvements de bassin, cette position assise amplifiant le contact de sa queue Ă l’intĂ©rieur de toi. Tu sens qu’il ne va pas tenir encore très longtemps. Il se retient pour te faire profiter un maximum de ce corps Ă corps, mais cela ne durera pas. PlutĂ´t que de calmer tes mouvements pour lui permettre de souffler, tu redoubles d’ardeur afin qu’il jouisse sans attendre. Il s’abandonne. Tu lis sur son visage tout le plaisir que vous partagez. Tu te blottis contre lui, son sexe encore en toi, et prolonges votre peau Ă peau.
Vous vous rincez, finissez de vous prĂ©parer, et partez attendre votre chauffeur devant le gĂ®te. Lorsqu’il arrive, vous grimpez rapidement dans le 4×4 et regardez une dernière fois ce lieu dont vous vous souviendrez longtemps. Celui de votre première nuit ensemble.Le soleil est dĂ©jĂ haut dans le ciel lorsque votre chauffeur vous dĂ©pose au dĂ©but du chemin de randonnĂ©e. La chaleur est elle aussi très prĂ©sente. Vous prenez vos sacs Ă dos et commencez Ă gravir le chemin. Un peu escarpĂ© au dĂ©but, il devient rapidement plus praticable. Plus large aussi. Vous pouvez donc marcher cĂ´te Ă cĂ´te, admirant les magnifiques paysages qui vous entourent. Droit devant, les montagnes. Un peu Ă l’ouest, un village typique de la rĂ©gion qui vous semble abandonnĂ©. De nombreux villages donnent cette impression au premier abord, mais en fait les familles qui en sont originaires continuent Ă y venir dès qu’elles le peuvent, entretenant les traditions et la mĂ©moire de leurs ancĂŞtres. Au loin, on distingue mĂŞme la mer, faisant de ce paysage un vrai paradis. La nature n’est pas en reste. A perte de vue, la forĂŞt est encore d’un vert Ă©clatant. Pas Ă©tonnant vu le temps, on se croirait plus en plein Ă©tĂ© qu’au milieu de l’automne. Il faudra attendre encore un peu avant que les arbres ne se couvrent de leurs couleurs chatoyantes. Peu d’animaux par contre. Quelques oiseaux volent d’arbres en arbres, cherchant des insectes avant qu’il ne fassent trop chaud. Mais pas de moutons, chèvres ou autres chevaux que l’on aperçoit dans les pâtures d’habitude. Cet endroit est vĂ©ritablement isolĂ©. A nouveau, vous vous retrouvez seuls au monde.Au bout de quelques kilomètres, entrecoupĂ©s de pauses pour prendre quelques photos du paysage et d’autres de vous ensemble, parfois souriant, d’autre fois riant, souvent s’embrassant, vous vous arrĂŞtez pour vous rafraĂ®chir. A l’ombre d’un grand chĂŞne, vous profitez de ce spectacle idyllique. Quelques gorgĂ©es d’eau plus tard, vous vous remettez en route vers les montagnes,en espĂ©rant y trouver un lieux accueillant pour votre repas du midi. Le chemin devient rapidement plus caillouteux, et plus difficile Ă gravir. Ouvrant la marche, tu as parfois quelques difficultĂ©s Ă franchir un obstacle. Ton amant t’aide Ă chaque fois, te soutenant pour que tu aies un appui supplĂ©mentaire. Dès qu’il le peut, il s’arrange pour que ce soit sur tes fesses qu’il pause ses mains, joignant l’utile Ă l’agrĂ©able. Ce la ne te dĂ©range pas le moins du monde, au contraire. Peut-ĂŞtre est ce mĂŞme pour cela que tu lui demandes de plus en plus souvent de l’aide, car tu t’en sortirais aisĂ©ment toute seule…La chaleur se fait Ă prĂ©sent Ă©crasante. Bien que vous montiez en altitude, l’air frais est rare. Pas de vent, pas de nuage, pas d’ombre… Vous commencez en plus Ă avoir faim. Si seulement vous trouviez un endroit un peu Ă l’ombre, rien que ça… Mais dĂ©cidĂ©ment la chance n’est pas ce votre cĂ´tĂ©. PassĂ© une petite crĂŞte, vous espĂ©riez trouver votre bonheur. HĂ©las, le paysage est encore plus dĂ©sertique. Et devant, une autre ligne de crĂŞte annonce sĂ»rement la mĂŞme chose. D’un commun accord, vous dĂ©cidez de continuer jusqu’Ă cette dernière, histoire de voir si ce qu’elle cache sera plus accueillant. Sinon, vous trouverez un rocher pour vous asseoir et y mangerez.La descente vers le contrebas est assez aisĂ©e. Par contre, arrivĂ©s en bas, vous remarquez que le chemin pour rejoindre l’autre ligne de crĂŞte est plus compliquĂ©. Tu risques de solliciter de l’aide encore, et pas seulement pour le plaisir de sentir ses mains sur tes fesses. Effectivement, il t’aide plusieurs fois. Et lui aussi peine Ă gravir la pente. Tu l’entends pester contre le chauffeur qui avait dĂ©crit le sentier de randonnĂ© comme peu parcouru mais magnifique. Oui c’Ă©tait magnifique, oui c’Ă©tait peu frĂ©quentĂ©, mais on comprenait aisĂ©ment pourquoi ! La seule certitude Ă©tait que la randonnĂ©e se terminait près d’une cascade, oĂą le chauffeur viendrait vous chercher en fin de journĂ©e. Vivement que vous y soyez !ArrivĂ©s en haut de la seconde ligne de crĂŞte, vous dĂ©couvrez un paysage tout Ă fait diffĂ©rent. La nature y a repris ses droits. Les arbres foisonnent, les oiseaux aussi. Cela contrastait Ă©normĂ©ment avec la vallĂ©e que vous veniez de traverser. Peut-ĂŞtre Ă©tait ce un ancien glacier ou quelque chose comme ça. D’un coup plus enjouĂ©s, vous descendez rapidement vers l’ombre tant espĂ©rĂ©e. Manquant mĂŞme de tomber Ă plusieurs reprises, l’un comme l’autre, vous y arrivez très vite. Le premier arbre croisĂ© vous offre sa fraĂ®cheur. Vous vous y asseyez et sortez vos bouteilles d’eau. Après avoir englouti vos sandwichs, Vous vous allongez l’un contre l’autre, vous accordant un repos bien mĂ©ritĂ©. Le sommeil te gagne rapidement. Une sieste rĂ©paratrice, lovĂ©e contre ton amant, Ă l’ombre d’un chĂŞne centenaire, quoi de mieux ?A ton rĂ©veil, ton amant te regarde avec un grand sourire. Après l’avoir embrassĂ© et questionnĂ© sur la durĂ©e de ta sieste, qui ne fĂ»t pas si longue, tu l’interroges sur cet Ă©nigmatique sourire qui ne quitte pas son visage. Il se lève et t’invite Ă le suivre. IntriguĂ©e, tu le suis Ă travers un gros bosquet d’arbres. Dès que vous en sortez, s’offre Ă toi une vision irrĂ©elle. Droit devant, Ă quelques dizaines de mètres, une cascade. La cascade. Se dĂ©versant dans une petite retenue d’eau, elle vous semble ĂŞtre un Graal Ă portĂ© de main. Te lâchant la main, ton complice retourne dans le bosquet, partant chercher vos affaires restĂ©es près du vieux chĂŞne. Tu en profites pour aller vers la cascade et son petit lac. L’eau est claire, on voit le fond sans problème. Ce n’est pas très profond d’ailleurs, un mètre sĂ»rement, pas beaucoup plus. Trempant ta main dans l’onde pure, tu la trouves un peu fraĂ®che, normal pour la saison, et insolemment accueillante par cette chaleur. Le soleil est Ă prĂ©sent Ă son zĂ©nith. Tu enlèves tes chaussures, ton short et ton dĂ©bardeur et entre dans l’eau, seulement vĂŞtue de tes dessous. Bien qu’un peu froide au dĂ©but, tu t’accommodes facilement Ă cette tempĂ©rature et avance vers le milieu de cet havre de paix. Quel plaisir ! Tu ne regrettes pas d’y ĂŞtre entrĂ©e !
D’un coup d’œil par dessus ton Ă©paule, tu cherches ton amant. Il est sĂ»rement revenu avec les affaires maintenant. Oui il est lĂ . Avec son appareil photo. Et il te mitraille. Tu te laisses prendre au jeu et choisis des poses de plus en plus lascives, telle une nymphe antique cherchant Ă sĂ©duire sa proie. Toujours Ă son appareil, il t’encourage dans ton entreprise. Tu dĂ©cides de l’exciter davantage, commence Ă retirer ton soutien gorge, dĂ©voilant ta poitrine Ă son objectif, et le lance sur la berge, Ă quelques centimètre du photographe. L’eau fraĂ®che a eu raison de ta poitrine, tes seins pointent allègrement. Continuant Ă poser de façon suggestive, tu te retournes et te cambres, tout en mettant tes mains sur tes hanches. Tout doucement, tu fais glisser ton string vers le bas, l’envoyant ensuite rejoindre ton soutien gorge. Tu t’amuses Ă l’imaginer tout excitĂ©, Ă l’Ă©troit dans son jean. Tu le vois poser son appareil, se dĂ©shabiller Ă son tour et te rejoindre dans l’eau.A peine est il entrĂ© que tu l’asperges vivement. Il court vers toi, mais glisse au fond de l’Ă©tendue d’eau. Il s’Ă©tale de tout son long et coule comme une pierre, pour rĂ©apparaĂ®tre un moment plus tard juste devant toi. En se relevant, il t’attrape les jambes et te pousse en arrière. A ton tour d’avoir la tĂŞte sous l’eau. Tu Ă©merges, lisses tes cheveux vers l’arrière et passes tes bras autour de son cou. Vous vous embrassez longuement, ne vous souciant de rien d’autre. Au baiser viennent s’ajouter des caresses mutuelles. Ses mains parcourent ton dos de haut en bas plusieurs fois. Elles terminent leur course sur tes fesses. Il t’avoue alors avoir Ă©tĂ© subjuguĂ© par la vision que tu lui avais offert un peu plus tĂ´t, lorsque tu t’es cambrĂ©, lui tournant le dos, et que tu as retirĂ© ton string. Il avait envie de te prendre Ă l’instant mĂŞme, en levrette. jamais il n’avait ressenti une telle pulsion. Puis il se met Ă te chatouiller. Sans prĂ©venir. Tu pousses un cri et t’enfuies vers le rivage.Il te poursuit et te rattrape dès que tu as posĂ© un pied sur la berge. Te serrant dans ses bras, il roule sur le cĂ´tĂ© et vous vous retrouvez tous les deux au sol, encore enlacĂ©s. Un baiser passionnĂ© plus tard, Il entame une sĂ©rie de caresse, directement centrĂ©e sur ta petite chatte. Tu remarques que sa queue est dĂ©jĂ toute dure, une fois de plus. Ses gestes sont plus appuyĂ©s, plus puissants. Une de ses mains rejoint ta poitrine et s’attaque Ă un de tes seins. Tu es surprise par l’intensitĂ© de ses caresses, il t’avait habituĂ© Ă plus de douceur. Cette fois ci, c’est plus bestial. Mais cela te convient parfaitement. Tu l’encourages alors en poussant de profonds gĂ©missements. Tu souhaites ardemment qu’il continue de cette façon, plus brut, plus primaire.Soudain, il te tourne sans mĂ©nagement et tu te retrouves allongĂ©e sur le ventre. Il glisse alors sa queue entre tes jambes et te pĂ©nètre d’un coup, au plus profond. Tu ressens une lĂ©gère douleur, mais elle se mĂŞle aux plaisir et dĂ©sir, et devient du coup plus supportable. Ses va-et-vient sont rapides et profonds. Il sort presque de toi Ă chaque foi, avant de replonger entièrement. Il halète. Toi aussi. Tu Ă©cartes enfin les jambes, relevant par la mĂŞme occasion tes hanches, lui offrant la mĂŞme cambrure de reins que celle qu’il l’avait tant excitĂ©. Un long gĂ©missement sort de sa bouche. Guttural. L’expression de son plaisir. Il accĂ©lère encore la cadence, amplifiant encore son mouvement. Plusieurs fois, il sort complètement sa queue de ta chatte avant de te pĂ©nĂ©trer Ă nouveau de tout son long. Tu cries Ă chaque fois. Plus de dĂ©sir que de douleur, qui elle s’est attĂ©nuĂ©e pour n’ĂŞtre presque plus prĂ©sente. Lors d’un dernier assaut, il jouit sans pouvoir se retenir, et le liquide chaud gicle sur tes fesses. Il s’allonge alors Ă tes cotĂ©s et pousse un soupir d’Ă©puisement. Tu te blottis contre lui, et lui fait remarquer qu’il n’avait pas encore montrĂ© cette facette de sa personnalitĂ©. Avant qu’il ne puisse rĂ©pondre, tu lui glisses que tu as adorĂ©, et l’embrasses sans attendre. Une fois que vous avez repris quelque peu votre souffle, vous retournez vers vos affaires et mangez un morceau. PersuadĂ©s d’ĂŞtre arrivĂ© au terme de votre randonnĂ©e, au vu de la description de la cascade et de son environnement, vous avez encore un peu de temps devant vous, le chauffeur ne devant pas arriver avant deux bonnes heures.Tu prends la main de ton amant, et le force Ă se lever. Tu l’emmènes vers la berge et vous entrez Ă nouveau dans l’eau. Tu lui susurres Ă l’oreille le dĂ©sir que tu as qu’il te prenne sous la cascade. L’entraĂ®nant de l’autre cotĂ© du petit lac, tu t’Ă©chappes et te prĂ©cipite vers la cascade. Une fois arrivĂ©e, tu te glisses dessous, face Ă la paroi, et te cambres Ă nouveau, la chute d’eau tombant sur ta chute de rein. Tu lui offres Ă nouveau cette vision qui l’a troublĂ© prĂ©cĂ©demment. Il ne se fait pas prier pour te rejoindre, se colle Ă toi et commence par t’embrasser le cou. Tu le laisses faire un moment avant de te retourner en te baissant, prenant son sexe entre tes mains. Tu le caresses, le masses, le lèches avant de le sucer. Tu y prends autant de plaisir que lui, avalant sa queue jusqu’au bout, pressant dessus avec tes lèvres, l’aspirant prestement. Lorsqu’elle est bien gonflĂ©e, tu te relèves et embrasses ton amant.Tu te retournes Ă nouveau, agrippant Ă la paroi. L’intimant Ă te rendre la pareille, il s’exĂ©cute. Sa langue vient fouiller entre tes lèvres, Ă la recherche de ce divin bonbon. Malicieusement, tu accentues la cambrure de tes reins. Sa langue remonte alors de ta chatte vers ton cul. Une fois qu’elle y est, tu fais quelques mouvements du bassin pour qu’elle te titille ton autre trou. Tu t’arrĂŞtes ensuite, voulant voir sa rĂ©action. Lui ne s’arrĂŞte pas, et continue de te lĂ©cher. Doucement, un doigt vient remplacer sa langue. Très lentement, il commence Ă entrer et sortir peu profondĂ©ment. Tu aimes cette sensation, et ses mouvements très doux. Tu n’aurais pas apprĂ©ciĂ© qu’il soit bestial comme tout Ă l’heure, pas Ă cet endroit. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, tout aussi dĂ©licatement. Le laissant te titiller encore un peu,tu l’invites par la suite Ă se relever et Ă te prendre sur le champ, lui demandant d’ĂŞtre aussi doux et dĂ©licat qu’il l’Ă©tait avec ses doigts.Conscient de la douleur que cela pourrait te procurer, il suit tes conseils Ă la lettre. Il commence par frotter sa queue contre ton cul, avant de la mettre doucement dans l’axe. Très lentement, il entre en toi, s’enfonçant en toi un peu plus profondĂ©ment Ă chaque fois. Il prend son temps et tu lui en es reconnaissante. La sensation n’est pas aussi dĂ©sagrĂ©able que dans ton souvenir. Enfin il arrive au fond, mais n’accĂ©lère pas pour autant la cadence, ajustant la puissance de ses coups de reins Ă celle de tes gĂ©missements. Peu Ă peu, la vitesse augmente. Le plaisir aussi. Le dĂ©sir surtout. Puis, sentant Ă son souffle qu’il est sur le point d’avoir un orgasme, tu fais en sorte qu’il se retire, et lui dĂ©clare avoir envie de le voir jouir. Tu prends Ă nouveau sa queue entre tes mains et, tout en l’embrassant, le masturbe rapidement. Lorsqu’elle atteint son paroxysme, tu te baisses et oriente son sexe vers ta poitrine. Tu veux le voir gicler sur tes seins. Et tu es rapidement comblĂ©e, tes seins sont vite aspergĂ©s. Te rinçant sous la cascade, tu Ă©changes un sourire complice avec ton amant et vous retourner vers le rivage. Il est temps de vous rhabiller et de rassembler vos affaires, votre chauffeur ne devrait plus tarder Ă arriver.Une nouvelle fois, votre guide vous laisse seuls. Il reviendra vous chercher demain matin, pour vous ramener Ă votre point de dĂ©part. L’escapade touche Ă sa fin. Mais il vous reste encore une nuit Ă passer ensemble, et vous ĂŞtes bien dĂ©cider Ă en profiter au maximum. La randonnĂ©e faite ce jour avait Ă©tĂ© un vrai moment de bonheur pour tous les deux, vous en garderez de magnifiques souvenirs. Le guide vous avait appris que vous n’aviez pas suivi le bon itinĂ©raire. Il aurait fallu contourner par la vallĂ©e l’ancien glacier. Il y avait une aire d’accueil pour pique niquer Ă mi-chemin du parcours. Du coup, vous n’avez fait qu’une partie de la randonnĂ©e. Mais ce n’Ă©tait pas plus mal, vous avez pu en profiter autrement. Vous entrez dans le gĂ®te, plus petit que celui de la nuit dernière, mais plus cosy, si on excepte l’absence de cheminĂ©e. La dĂ©coration y est soignĂ©e, le mobilier plus moderne. Une pièce pour vivre, une pour dormir. Ce devait ĂŞtre une ancienne bergerie reconvertie en gĂ®te pour les randonneurs assez rĂ©cemment. Le seul point commun qu’ont les deux gĂ®tes est l’isolement. DĂ©cidĂ©ment, vous aurez passĂ© tout votre week-end coupĂ©s du monde. Toujours pas âme qui vive Ă l’horizon, pas de rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique non plus. En vĂ©rifiant ton tĂ©lĂ©phone, tu repenses au sĂ©minaire du Mans et Ă tes collègues qui s’y trouvent encore. Tu es ravie de ne pas ĂŞtre avec eux. Par contre, il va falloir ruser pour justifier ton absence. Le fait qu’ils t’aient oublier en partant est un bon dĂ©but, reste Ă trouver une excuse pour ne pas les avoir rejoint.
Perdue dans tes pensĂ©es, tu ne remarques pas ton complice s’affairant en cuisine. C’est l’odeur des champignons cuisant dans la poĂŞle qui te ramènes Ă la rĂ©alitĂ©. Un bol d’œufs battus les rejoignent, une omelette prend forme peu Ă peu. Tu rĂ©alises alors que tu meurs de faim. Une fois le repas englouti et la vaisselle faite, vous vous asseyez sur le banc de bois trĂ´nant devant l’ancienne bergerie. LovĂ©e dans les bras de ton amant, une grosse couverture vous enveloppant comme le premier soir, vous admirez Ă nouveau le paysage. Cette fois ci il est plus tĂ´t, ce n’est pas la voĂ»te cĂ©leste et ses myriades d’Ă©toiles qui vous absorbent, mais un superbe couchĂ© de soleil. Il descend pile entre deux Ă -pics, semblant vouloir rejoindre la mer que vous apercevez au loin. Ce coucher de soleil entre les deux falaises doit ĂŞtre visible depuis ce banc seulement une fois par an, et vous avez la chance de pouvoir en profiter. Ce rare phĂ©nomène renforce le romantisme de l’instant partagĂ©. Vous vous sentez bien, si bien l’un contre l’autre, que vous aimeriez que cela ne finissent jamais. Mais il va bien falloir reprendre le cours de vos vies respectives. Vous rĂ©ussirez Ă vous revoir souvent, peut-ĂŞtre pas sur votre plage, les tempĂ©ratures risquant de chuter bientĂ´t, mais vous trouverez autre chose en temps voulu. La nuit tombe soudainement, le soleil ayant fini sa course. Vous observez les premières Ă©toiles de la nuit et rentrez vous mettre au chaud.N’ayant pour seul chauffage qu’un radiateur d’appoint dans la salle d’eau, le gĂ®te est vite glacial. Vous dĂ©cidez donc de mettre le petit convecteur dans la chambre et vous vous glissez sous la couette. A peine tu es installĂ©e que les mains de ton amant se font baladeuses. Elles courent sur ton corps, en caressant chaque parcelle. Il est dĂ©cidĂ©ment joueur ce soir. Mais tu as un autre programme de prĂ©vu. Tu as dĂ©cidĂ© de mener la danse cette nuit. Tu l’enjambes, t’asseyant sur lui, et le regardes. Il est Ă toi, rien qu’Ă toi. Il amène ses mains Ă hauteur de ton soutien gorge, comme pour le retirer, mais tu l’en empĂŞches. Ce sera quand tu l’auras dĂ©cidĂ©. Tu te frottes contre lui, vos sexes l’un contre l’autre, seulement sĂ©parĂ©s par le tissus de vos sous-vĂŞtements. Lentement, tu sens sa queue grossir Ă ton contact. Tu souris de malice. Tu aimes cette sensation, savoir que tu l’excites comme tu veux, Ă l’instant oĂą te le choisis. Tu accĂ©lères ton mouvement, pressant plus fort ta chatte sur lui. MĂŞme Ă travers ton string, ton clito est très sollicitĂ©. Tu commences Ă mouiller, c’est le moment que tu attendais.Tu te retournes alors, te positionnant pour un 69. Dans le mĂŞme mouvement, tu poses ta chatte sur sa bouche et glisses tes mains dans son boxer. Sa queue et chaude et dure. Elle est dĂ©jĂ prĂŞte Ă t’honorer. Mais pour le moment, tu as autre chose en tĂŞte. Lui n’est pas en reste. Il a placĂ© ses mains sur tes hanches et te donne quelques coups de langues bien placĂ©s. Entre lui qui te lèches et toi qui mouilles, ton string colle entièrement contre ta chatte. Tu l’autorises Ă te le retirer, ce qu’il fait sans attendre. Un jeu de jambes plus tard, tu reprends ta position initiale. Cette fois ci, tu t’assoies quasiment sur son visage. Il te mange littĂ©ralement le sexe, ses lèvres ne quittant plus les tiennes. Sa langue fouille en toi sans mĂ©nagement. De ton cĂ´tĂ©, tu t’amuses avec sa queue comme avec une glace. Tu la lèches de bas en haut, la tenant dressĂ©e entre tes mains. Enfin tu la prends dans ta bouche. D’abord douce, tu deviens rapidement plus bestiale, comme si tu souhaitais qu’il jouisse tout de suite. Lorsque tu sens qu’il commence Ă tendre ses muscles, tu ralentis d’un coup, redevenant d’une douceur et d’une dĂ©licatesse extrĂŞme. Tu joues Ă ce jeu encore un peu, devenant plus prĂ©cise, te rapprochant Ă chaque fois un peu plus du moment fatidique. Mais tu sens ce moment plus facilement, dĂ©cryptant en mĂŞme temps la cadence et la puissance des coups de langues que tu reçois.Puis tu te redresses, abandonnant son sexe, pour lui permettre de souffler. Par contre, tu ne bouges pas de son visage, accentuant mĂŞme le contact. De quelques mouvement de bassin, tu te frottes contre lui, faisant de ton amant ta chose. Lorsque le dĂ©sir qu’il soit en toi l’emporte, tu te relèves complètement, te retournes et t’allonges sur lui. Vos sexes, vos poitrines, vos corps tous l’un contre l’autre, tu l’embrasses avec passion. Ses mains recommences Ă te caresser, mais tu les repousses. Te redressant en mĂŞme temps, tu places sa queue Ă l’entrĂ©e de ta chatte. Tu la fais entrer tout doucement, très lentement, de quelques millimètres de plus Ă chaque mouvement de reins, mais pas plus. Sans prĂ©venir, tu t’empales d’un coup jusqu’au plus profond de toi. Tu entames alors une sĂ©rie de va-et-vient torrides, modulant la vitesse en fonction des rĂ©actions de ton amant. Tu fais durer le plaisir ainsi pendant de longues minutes, comme tu l’as fait juste avant en le suçant. Il est Ă ta merci, te laissant faire, voyant quel plaisir te procure ce sentiment de le dominer. Il est certes un peu frustrĂ© de ne pouvoir te caresser pendant ce temps, admirant ta poitrine qui se soulève Ă chacun de tes coups de rein. Tu l’autorises alors Ă se servir de ses mains qu’il vient placer aussitĂ´t sur tes seins. Cette nuit, c’est toi qui as les commandes. Tu jubiles Ă cette idĂ©e. Tu en profites pour faire durer le plaisir au maximum. Mais arrive le moment fatidique. Celui ou c’est toi qui est au bord de l’explosion. Tu te retiens autant que tu peux, mais l’orgasme est lĂ , de plus en plus prĂ©sent. Et il l’a remarquĂ©. Entre l’expression de ton visage, la tension de tes muscles et la cadence de tes coups de reins, il l’a remarquĂ©. Et il en profite pour changer le cours de la situation. Il te saisis par les Ă©paules et se retire. T’allongeant sur le ventre Ă la place qu’il occupait jusqu’Ă prĂ©sent, il vient se placer derrière toi, te prenant les hanches entre ses mains. Il te met force Ă te cambrer et te pĂ©nètre directement, entamant une levrette puissante. Vous ne tardez pas Ă ne plus pouvoir vous retenir, l’un comme l’autre. Vos orgasmes arrivent en mĂŞme temps, vos cris de plaisir s’unissant. S’allongeant ensuite Ă tes cĂ´tĂ©s, il t’ouvre ses bras et tu viens t’y blottir. Vous vous endormez ainsi, ne faisant qu’un.Le rĂ©veil est dur ce matin, la nuit fut courte. Il est dĂ©jĂ tard et votre guide arrivera bientĂ´t pour vous ramener Ă la voiture de ton amant. Vous vous prĂ©parez Ă la hâte, avalant votre petit dĂ©jeuner et rangeant le gĂ®te en mĂŞme temps. Au moment mĂŞme oĂą vous essuyez le dernier bol, un coup de klaxon retentit. Votre chauffeur est arrivĂ©. Vous prenez vos sacs, grimpez dans le 4×4, et retournez vers la civilisation, regrettant dĂ©jĂ que cette escapade ne fĂ»t pas plus longue. Vous en referez d’autre, sans aucun doute.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
Escapade
Escapade sous la lune