Dans les deux premiers Ă©pisodes de ce rĂ©cit (voir « La visite des chauffagistes – première partie et deuxième partie), Victoire cède progressivement aux dĂ©sirs qu’elle Ă©prouve face Ă ces deux chauffagistes venus pour une intervention.Elle se livre totalement Ă eux dans ce dernier rĂ©cit.Victoire reste les jambes serrĂ©es, emprisonnant la main du jeune homme. Les…
J’ai toujours Ă©tĂ© un garçon très timide.Ă€ l’époque du dĂ©but de cette aventure, j’étais Ă©tudiant en deuxième annĂ©e dans une Ă©cole d’ingĂ©nieurs en informatique. J’habitais dans une chambre de bonne Ă Paris, au sixième Ă©tage sans ascenseur, comme souvent. J’étais seul occupant Ă l’étage, la deuxième chambre de bonne immĂ©diatement contre la mienne Ă©tant inoccupĂ©e….
En 1966, Ă 17 ans, Émilie Ă©tudiait au lycĂ©e technique de la ville de C., une petite ville de 14 000 habitants. Elle habitait Ă Châtelet, un village isolĂ© Ă 45 km de lĂ , et ses parents, amis de ma mère, lui avaient demandĂ© si elle pouvait loger leur fille, notre maison Ă©tant situĂ©e Ă …
FĂ©vrierLaure Ă©tait assise sur la cuvette, en t-shirt, sans rien d’autre, et attendait pour la millionième fois le rĂ©sultat de ce putain de test. Elle avait l’impression de vivre le film un jour sans fin, mais la version porno oĂą la fille se fait culbuter sans cesse tandis que le mĂŞme jour recommence. Sauf que…
Il quitte la prison en mĂŞme temps qu’une jeune femme enceinte jusqu’aux yeux qui l’ignore ostensiblement. Il ne la connaĂ®t pas, mais il aurait quand mĂŞme prĂ©fĂ©rĂ© qu’elle n’entende pas l’adieu du maton, formulĂ© sans tact, Ă haute voix. Une formule qui se voulait ironique :— Je ne vous souhaite pas au revoir, ou alors, comme elle :…
Lorsque je croise un couple dont l’homme est nettement plus mĂ»r que la femme l’accompagnant, je ne peux m’empĂŞcher de penser Ă notre première annĂ©e de mariage, lorsque Elodie et moi LoĂŻc avions emmĂ©nagĂ© dans un petit appartement intĂ©grĂ© dans une maison individuelle, Ă Angers. Le propriĂ©taire, un veuf de 51 ans, fut d’abord très…
13 juillet Bon sang ! Quelle histoire ! Quand je vais raconter ça Ă Clara, on ne pourra plus la tenir.La voiture des voisins est devant leur maison : je me dis tiens, Catherine est lĂ , je vais lui demander les coordonnĂ©es de son ostĂ©o. Comme personne ne rĂ©pond Ă mon coup de sonnette, je…
