Fellation improvisée à un inconnu
Rencontre impromptue dans des toilettes publiques, sur une aire d’autoroute. Un inconnu vient se soulager sur l’urinoir voisin, s’en suit un vieux fantasme qui devient soudainement réalité.
Proposée le 29/07/2015 par Dustman Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: HHLieu: ToilettesType: Fantasme
Nous sommes sur le retour des vacances, en voiture ma femme et moi en plein mois de juillet. Il est 14h, nous roulons depuis l’aube, il fait très chaud et la tension était palpable. Nous nous engueulons souvent et particulièrement ce jour là. Outre la fatigue et l’amertume de la fin de nos vacances, j’ai fait l’erreur de déraper lors d’une discussion et d’aborder une énième fois notre absence de rapports sexuels, qui ne dérange que moi…
Nous sommes tous les deux trentenaires, mariés depuis 7 ans. Moi bisexuel peu assumé mais une libido débordante, elle bisexuelle résignée hétéro, mais une libido inexistante depuis 6 mois. Nous avons une sexualité sur le déclin depuis environ 2 ans, et aucun rapport que ce soit depuis 5 mois, autant dire l’abstinence totale dans notre couple. Je ne supporte pas l’abstinence, mais j’aime ma femme et je ne veux pas la tromper, ce qui toutefois ne m’a pas empêché de rencontrer des hommes de temps en temps, pour des échanges buccaux…Après une multitude de kms sans s’adresser la parole, je décide de m’arrêter sur une aire de repos pour me soulager la vessie et l’esprit. Véhicule garé je laisse les clés sur le contact et sors promptement sans dire un mot, pour me diriger vers les toilettes de la station. J’ai toujours été attiré par les toilettes publics sans trop savoir pourquoi. Serait-ce la proximité avec d’autres pénis mis à nu ? L’odeur de l’urine ? Serait-ce tout simplement le lieux de tous les fantasmes…? Toujours est-il que ce jour là et au moment précis où je franchis la porte des toilettes, l’exaspération de ma fraîche engueulade laisse part à une forte excitation, avec des fantasmes plein la tête.Pour un mois de juillet les chiottes sont plutôt déserts, incroyablement propres et lumineux, avec l’odeur peu agréable des pastilles nettoyantes. Je me dirige vers le premier urinoir de la rangée, déboutonne mon pantalon et sors mon sexe pour me soulager. Pile à ce moment là, j’entends une personne rentrer derrière moi et à mon grand étonnement, vient se poster à l’urinoir juste à côté du mien… alors que nous sommes seuls. Étrangement, la première idée qui me vient à l’esprit est que cet homme là est gay et qu’il a envie de voir mon sexe, ou que je voie le sien. Comme je suis plutôt instinctif, je me fie donc à cette première impression et me laisse voguer à toute sorte de fantasmes. Alors qu’il commence à uriner, j’en profite donc pour regarder le plus discrètement possible son pénis. Il était largement visible et son propriétaire ne faisait rien pour le cacher, ce qui me laissait tout le loisir de le contempler. Je suis très fortement attiré par le sexe des hommes, et celui que j’ai là sous les yeux est d’une beauté exquise. Il est d’une taille parfaite, à vue de nez je dirais 17 cm, ni trop fin ni trop large, non circoncis, entouré de poils pubiens bien entretenus. Ayant terminé d’uriner et étant tellement subjugué par la beauté de ce pénis, sans m’en rendre compte je masturbe lentement le mien, à moitié dur. Je me dis soudainement que cet homme juste à côté de moi, un peu plus grand et plus large va s’en rendre compte et me péter la gueule… mais je suis incapable de détourner le regard. Alors qu’il se met à faire des va et viens pour faire valser les dernières gouttes, ce qui au passage m’offre un spectacle des plus excitants laissant apparaître son beau gland luisant, l’homme m’adresse la parole : « Tu aimes ce que tu vois ? » Extrêmement gêné je détourne vivement le regard tout en restant sur place, la bite toujours sortie à moitié dure et lui réponds timidement en me raclant la gorge :« hum.. excusez-moi… oui il faut croire…»A ce moment là je suis mort de honte, je sens la chaleur me monter au visage et mon cœur palpiter. Je suis partagé entre l’excitation et la peur, je n’ose pas bouger et après 5 longues secondes de silence, l’homme rétorque d’un naturel déconcertant :« Tu veux me sucer ? »C’est fou comme dans ces moments là des milliers de choses traversent notre esprit en un rien de temps. Mais il y en avait une qui surpassait tout autre, celle de sucer cette belle bite qui me faisait tant fantasmer quelques secondes auparavant. Je me contente donc de lui répondre par un simple « Oui », en regardant pour la première fois l’inconnu dans les yeux. Il avait une tête plutôt sympathique, brun, barbu, la quarantaine et des yeux marrons.Aussitôt il esquisse un sourire, regarde derrière lui le chiotte handicapé entrouvert et me faisant signe de la tête me dit : « Va t’asseoir là !» .Ce à quoi je m’exécute tout en remballant tout de même mon sexe dans le pantalon, sans toutefois le reboutonner. D’un pas décidé je me dirige donc vers le chiotte handicapé qui par chance est propre. Je rabats le battant et m’assois dessus, comme un toutou obéissant. Je suis surexcité, je tremble de peur tel un puceau qui regarde son premier porno, mais je m’interdis de me dégonfler. L’homme ne tarde pas à venir me rejoindre dans la cabine incroyablement étroite. Il ferme le verrou derrière lui, se positionne bien face à moi et ressort sa bite qu’il avait pris lui aussi la précaution de remballer. Nous y sommes, j’ai l’impression de rêver, la peur laisse entièrement place à l’excitation qui ne cesse de croître, tout comme ma verge. J’ai le visage à 10 cm seulement de la plus belle bite que j’ai jamais vu. A moitié molle, l’homme commence par la masturber lentement devant mon nez, puis se rapproche pour la frotter contre mon visage. Il me caresse lentement les joues puis le nez avec sa bite. Son gland luisant est froid, encore humide de son urine et une douce odeur de sexe me fait fermer les yeux, pour me délecter de ses caresses. Mon pénis au summum de son érection me fait mal tellement il est à l’étroit dans mon pantalon, je le sors donc aussitôt et commence à me tripoter. Alors que le sien durcit lentement mais sûrement, l’inconnu le frotte contre mes lèvres, comme pour me demander de le sucer. Pour faire durer le plaisir, je commence par embrasser son gland humide. Je lui offre des petits baisers comme le ferait ma femme par amour… J’entoure ensuite son gland de mes lèvres et le suce doucement, retire ma bouche puis recommence, jusqu’à prodiguer des mouvements lents de va et vient et le sucer de pleine bouche. Sa bite s’adapte parfaitement à ma cavité buccale et chaque mouvement que je fais ne fait qu’augmenter mon plaisir, et le sien. Elle a un léger goût salé et je peux déjà sentir un soupçon de liquide séminal gluant titiller ma langue. Tout en me masturbant lentement pour ne pas venir trop vite, je sens la sienne se contracter par soubresauts. L’homme ne dit pas un mot mais je l’entend respirer de plus en plus fort, son plaisir grandissant se mêlant au mien. Pour reprendre un peu mon souffle je lui embrasse et lèche les couilles, magnifiques elles aussi, rasées et volumineuses. J’aime sentir sa peau douce et odorante. Je lui prodigue un mélange de baisers et de coups de langues, jusqu’à remonter au gland et recommencer à le sucer de plus belle.Je n’en peux plus, je suis complètement enivré de désir, les yeux presque révulsés. Les bruits de succion de ma bouche salivante autour de sa bite m’excitent davantage. Je n’ai plus qu’une idée en tête, je veux son sperme. J’accélère alors le mouvement de va et vient, sans me servir de mes mains. Je me sens comme une belle salope avide de sperme, la bouche grande ouverte, les lèvres en avant désireuses de bite et je suce. Je suce de plus en plus vite, je salive, je me branle de plus en plus fort. Je sens l’inconnu presque haleter, le moment est proche. C’est alors que d’un coup il se retire de ma bouche, se met à se branler frénétiquement devant mon visage, laissant entendre des bruits de peau claquants. Je masturbe également avec la plus grande vigueur, la bouche légèrement entrouverte et la langue à peine sortie. D’un coup un grand jet de sperme sort de sa bite et vient s’écraser droit sur ma lèvre inférieure ce qui me fait sursauter, puis un autre sur mon nez et ma joue, puis dans ma bouche. Je sens l’épaisseur et la chaleur du sperme partout sur mon visage et le goût ocre dans ma bouche, ça n’en finit pas, je me prends la faciale de ma vie. Je me dis un instant que je dois en avoir partout sur mes vêtements et que je ne pourrais pas sortir comme ça, mais je m’en fous. Alors qu’il finit d’éjaculer et inonder mon visage et ma bouche de son liquide séminal, il se presse le gland pour faire sortir les dernières gouttes, qu’il me fait gicler d’un petit mouvement sec directement sur le front. Tandis que ma bouche est remplie de sperme, l’homme frotte sa bite contre mon visage, pendant que je continue à me masturber. Je me remets à le sucer en faisant jaillir l’excès de sperme que j’ai dans la bouche contre son pénis. Il y en a tellement qu’un grand filet dégouline de mon menton, pour venir s’écraser au sol. Sa bite encore dure et ce liquide chaud, épais, odorant et un peu écœurant m’extasie. Je continue de sucer, de jouer avec le gland et le sperme jusqu’à me retirer complètement et jouir dans un râle de soulagement intense. Je n’ai pas joui autant ni expulsé autant de sperme depuis des mois et des mois, j’en mets partout sur son pantalon et sa chaussure. Je suis essoufflé et j’ai la tête qui tourne, ivre de sexe. L’homme sans prononcer un mot prend du papier toilette, s’essuie le sexe, le range, il se détâche médiocrement le pantalon et la chaussure puis s’en va. Moi j’en ai absolument partout sur le visage mais par chance, rien sur les vêtements. Je sors soulagé des toilettes et un peu joyeux et fatigué, comme après une séance de sport. Je me lave le visage, achète des chewings-gum en boutique que je m’empresse de mâcher pour masquer l’odeur de sexe et de sperme qui ont envahis ma bouche, puis je retourne à la voiture, calme, oubliant presque la dispute que j’ai eu avec ma femme quelques minutes auparavant.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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