Histoire de riche
Mon ami Pierre m’a demander de publier l’histoire qui Ă changĂ© sa vie et sa rencontre avec Sandrine. Le dĂ©but d’une sĂ©rie qui sait.
Proposée le 10/09/2017 par Steph83 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Bonjour je suis jeune et dĂ©butant dans l’Ă©criture, la lecture de nombreux textes m’ont donner envie d’essayer. C’est pour cela que j’espère recevoir des commentaires pour m’amĂ©liorer pour de prochaines publications. Pour commencer je prĂ©fère essayer avec l’histoire vĂ©cu et raconter par mon ami trop timide pour vous la raconter je continuerais peut ĂŞtre cette sĂ©rie avant de publier mes propres histoires.
Je vais vous raconter une histoire concernant mon ami Pierre. Si ce texte est publiĂ© c’est qu’il a Ă©tĂ© lu et approuvĂ© par lui mĂŞme. Il m’a demandĂ© d’Ă©crire car il pense ĂŞtre dĂ©nuĂ© de talent d’Ă©criture. Pourtant je suis très mauvais surtout si je me compare Ă de nombreux auteurs du site. Merci et bonne lecture.Je m’appelle Pierre je suis un beau jeune homme de 26 ans. Grand, environ 1,88 avec une morphologie moyenne, des cheveux d’un brun profond et les yeux gris semblable Ă de l’acier. Sans vouloir me vanter, je suis plutĂ´t sĂ©duisant et je fais tout pour l’ĂŞtre, j’entretiens rĂ©gulièrement mon corps Ă la salle et j’ai une passion certaine pour la mode. Je suis ici pour vous raconter une partie de ma vie atypique. Atypique car j’ai un train de vie qui en ferais rĂŞver plus d’un. Je suis courtier en assurance en suisse et j’habite dans le var, j’ai amasser une petite fortune de plusieurs millions. Cela paraĂ®t arrogant de prĂ©ciser cela mais c’est bien lĂ la source de mon problème.
J’ai appris Ă mes dĂ©pends que l’argent ne fais pas le bonheur; jai profitĂ© voir abusĂ© de mon argent, erreur de jeunesse? J’ai dĂ©pensĂ© sans compter, immobilier, vĂŞtements, bijoux, montres… mais aussi drogues et prostitutions.
Je pensais m’amuser mais je me dĂ©truisais et je suis tombĂ© dans une spirale infernale. J’ai rĂ©ussi Ă m’en sortir grâce Ă mes amis mais se passer me rendait mal, j’Ă©tais proche de la dĂ©pression. Ma vie n’avait aucun sens.Un an est passĂ© et j’ai retrouvĂ© un certain Ă©quilibre mental. Toutefois il me manquais quelque chose: l’amour et Le sexe. Contre toute attente j’ai passĂ© une annĂ©e sans rapport sexuel sans mĂŞme m’en rendre compte. Pourtant j’Ă©tais Pierre, Le charmeur aux multiples conquĂŞtes! Cependant le travail, mes amis et tout le reste m’occupa tellement que je n’ai pas eu le temps d’y penser. C’Ă©tait l’objectif pour me passer de certaine substance et de la tentation de la dĂ©cadence.
Je dĂ©cide d’inviter StĂ©phane pour lui parler de ce problème qui me turlupine. Lors de notre soirĂ©e entre homme je lui fais part de mes sentiments, je le sent heureux de me voir mieux au point de vouloir rencontrer qqn. Il m’annonce qu’il connaĂ®t une jeune femme qui m’irait très bien. Selon ses dires elle serait charmante, intelligente, et très organisĂ© ce qui serait très bien pour moi d’après lui. Je n’Ă©tait pas vraiment enchantĂ© de rencontrer une femme qui me dicte ma vie. Je suis pas très friand des personnes strict. Mais bon StĂ©phane semblais très enjouĂ© et au pire ça me ferait une collègue ou une amie.
StĂ©phane impatient comme un gamin l’appelle sur Le champ. Il parle vite et pas très fort mais j’arrive Ă comprendre qu’elle s’appelle Sandrine et que nous sommes invitĂ©s par StĂ©phane mais chez moi le week-end prochain!
Il a du culot celui-lĂ ! Il s’invite chez moi! Mais bon, dĂ©commandĂ© serait tout autant impolie et malgrĂ© tout c’est un bon ami et je lui fait confiance.
J’ai passer une longue semaine Ă penser cette soirĂ©e. Le samedi soir Ă©tant arrivĂ© rapidement je me suis dit que je ferais quelque chose de simple.20h00 on sonne au portail, la voiture de StĂ©phane toujours ponctuelle attend de pouvoir entrer. Je les accueille un part un, StĂ©phane, Madelyn sa femme et Sandrine.
A première vu elle est plutôt belle, Stéphane avait raison, elle est venu avec trois bouteilles de vin.
-je ne savait pas quel Ă©tait ta couleur prĂ©fĂ©rĂ©e donc j’ai pris une bouteille de chaque, rouge, rosĂ© et blanc.
– dommage ma couleur prĂ©fĂ©rĂ©e est le bleu.
Sur cette blague pas vraiment drĂ´le je la dĂ©charge et les conduits dans le salon. La soirĂ©e se passe plutĂ´t bien, nous nous amusons surtout grâce Ă StĂ©phane et moi qui racontons nos conneries de jeunesse mais aussi grâce Ă l’alcool. MalgrĂ© que Sandrine rit, elle ne parle pas Ă©normĂ©ment, elle est très timide. Madelyn et StĂ©phane s’Ă©clipse pour aller fumer une cigarette. Ce moment tant redoutĂ© arriva… Pour ne pas laissĂ© s’installer se blanc si gĂŞnant je m’empresse de la questionner sur sa vie. Elle est commerciale pour plusieurs domaine vinicole et elle a dĂ©jĂ Ă©tĂ© marier contre sont rĂ©el consentement. Apparement pression familiale etc…
Je ne me souvient seulement de ça concernant sa vie et j’avoue que cela est dĂ» au fait d’avoir bu de manière dĂ©raisonnĂ©.StĂ©phane et sa femme reviennes nous mangeons et buvons encore et toujours quand StĂ©phane annonce son retrait pour aller se coucher dans la chambre d’ami, qui, d’après lui, est lĂ©gitimement sa chambre.
Madelyn quant à elle, décide de rester et orchestre la soirée par sa bonne humeur.
Le temps passe, l’alcool monte et les esprits s’Ă©chauffent.
Alors que nous Ă©tions très vertueux, surtout dans notre vocabulaire. Depuis quelques temps nous parlons comme bon nous sembles sans y mettre de tournure quelqu’il soit. J’avais l’impression de rajeunir car je ne faisait plus attention Ă ce que je dĂ©gageais. Soudain Madelyn nous fait part de ses pensĂ©es:
-on rigole bien, c’est une belle soirĂ©e et je suis contente de t’avoir revue mon beau Pierre.
– merci Madelyn, ca m’a fait plaisir aussi et j’avoue que tout ça me manquais un peu.
Madelyn me répondit sur un ton calme et doux:
-Tu sais Pierre, je me suis amusé mais je pense que la soirée ne fait que commencer.
– ah bon?!
– oui malgrĂ© ce bon moment j’ai une terrible envie de bite, jai très envie d’en goĂ»ter une bien Ă©paisse et de gober de dĂ©licieuses couilles bien raser avant de me faire prendre. Tu comprends mon p’tit Pierre?
Je devint rouge et mon pantalon se mis Ă enfler. Je sentais ma verge se retrouver Ă l’Ă©troit très rapidement.
Madelyn repris:
– Et toi Sandrine, tu ne dĂ©croches pas un mot mais tu as l’air subjuguĂ© par le spectacle que nous offre Pierre. Si tu ne dit rien laissĂ© moi te faire parler.
Sandrine regardais mon entrejambe et s’efforçait de regarder ailleurs mais sans succès. Sa timiditĂ© la rendais rouge pivoine.
Madelyn se leva et s’approcha de Sandrine.
Elle lui caressa la joue et sa mains descendit très lentement le long de son cou et s’arrĂŞta au premier bouton de sa chemise. Elle dĂ©fait les boutons un Ă un très doucement. Un silence religieux nous rendais sourd. Je voyais la magnifique poitrine de Sandrine soutenu par une lingerie blanche qui rendais la vue dĂ©licieuse. Madelyn passa sa main dĂ©licate entre les seins de Sandrine. Elle s’interrompit. Fixa Sandrine pendant quelque seconde et posa ses lèvres sur les siennes.
Madelyn se tourna vers moi:
-excuse moi Pierre, je suis très impoli.
Elle se tourne vers Sandrine:
– ma chère Sandrine, Pierre est un ami et un hĂ´te de premier choix, je sais qu’il fera ce qu’il faut pour que tu passes un moment agrĂ©able chez lui!
Madelyn se redresse:
– bon je vous laisse, je monte sucer mon mari j’ai besoin d’attention. Bisou Ă vous!
Madelyn s’en va et laisse Sandrine chemise ouverte Ă cĂ´tĂ© de moi avec une verge raide et emprisonnĂ©.Apres quelque seconde Sandrine me dit timidement et sans me regarder:
-Tu as l’air d’avoir mal.
Je lui réponds un « oui » à peine audible.
Elle s’avance doucement et me propose:
-je ne suis pas médecin mais je pense pouvoir te soulager.
Elle s’agenouille face Ă moi et me dĂ©boutonne mon pantalon pour le faire glisser Ă mes chevilles, mon caleçon suit Le mĂŞme chemin. Ma verge se dresse face Ă elle, elle l’empoigne avec beaucoup de douceur et fait de lent mouvements de vas et vient.
-ça va mieux?
Je hoche la tĂŞte.
– j’ai peur que la douleur reviennes si j’arrĂŞte tu permets?
Je lui répond toujours sans un mot.
Elle se dresse sur ses genoux et empale sa bouche sur ma verge, les dĂ©buts son timide mais rapidement elle me pompe goulĂ»ment. J’aime la pipe qu’elle m’offre. La jeune femme timide se libère de ses vĂŞtements et je fais de mĂŞme. Je me dresse mais elle ne lache pas ma verge ruisselante de salive. Elle s’accroupi et j’entrevois quelques gouttes fuitĂ© de son entrejambes. Je cherche Ă atteindre sa vulve sans l’interrompre. Une fois mes doigts au contact je ressent son jus de dĂ©sir.
– je mouille bien n’est-ce pas. J’ai pas le temps de passer par les doigts met moi directement ce que je dĂ©guste depuis tout Ă l’heure.
Je l’empoigne et la jette sur le canapĂ©, elle se rĂ©ceptionne et se met sur le dos les jambes en l’air m’offrant sa belle vulve Ă©piler et coulante de dĂ©sir. Ni une ni deux je place mon sexe Ă l’entrĂ©e de se vagin luisant et entre pour inonder mon membres de cyprine.
– tu vas me baiser comme je le mĂ©rite.
Elle se saisi de mes mains et les propulses sur ses seins.
– dĂ©monte moi et empoigne moi ces seins.
Je m’exĂ©cute et donne mes plus gros coup de reins. Je pĂ©tri sa gĂ©nĂ©reuse poitrine et lèche ses tĂ©tons. Elle pousse de puissant gĂ©missements de plaisir.
Elle me regarde et peine à parler tellement je la démonte:
– Je…. oh putain…. je veux…. ouiiiii….. prend moi en levrette….. hmmmmm….. tout de suite!
Elle me pousse dans un grand râle et me fait sortir de sa cavitĂ©, elle se retourne et m’offre sa croupe.
– cette fois tu donnes tout jusqu’Ă ce que tu jouisses et si tu es bon tu dĂ©cideras oĂą tu finis.
J’entre en elle et l’assène de coup de verge au fond de son con juteux.
Sandrine la timide était en réalité Sandrine la chienne.
Mes couilles frappe violemment l’entrĂ©e de son vagin au niveau du clitoris, elle en hurle cela m’excite et me pousse Ă accĂ©lĂ©rer.
Pendant ce moment oĂą je pourfend cette femme j’entend Madelyn jouir en haut. StĂ©phane devait malgrĂ© tout ce qu’il a bu, bien limĂ©s sa femme apparemment. J’entendais Madelyn supplier son homme de se calmer. Cela m’excitais et je sentais mes couilles se presser pour libĂ©rer mon nectar de jouissance. Je ralenti pour ne pas finir maintenant.
-que fais tu?
Me demande Sandrine.
-je vais jouir.
-parfait, ou as tu choisis?
-Dans ton cul.
Elle hĂ©site Ă me rĂ©pondre mais je choisi Ă sa place, prend ma verge en main et prĂ©sente mon membre raide Ă l’entrĂ©e de son cul et y pĂ©nètre assez facilement grâce Ă ce mĂ©lange de salive et de cyprine.
-va y plus doucement par contre.
Je respecte son choix et suis le rythme qu’elle m’impose et qui malgrĂ© tout accĂ©lère sensiblement.
Apres quelque minute elle joui et me demande de finir. Ses muscles sont contractĂ© de plaisir et me sert fort ce qui m’excite et me fait vider toute ma semence au fond de sont cul. Je sens mes jets de sperme s’Ă©craser contre ses parois anale. 5 grosses giclĂ© lui ont rempli le cul de foutre, il reste encore un peu de semence qui coule le long de mon gland pour continuer son chemin dans les mĂ©andres de sont bon petit cul. Je me retire et l’embrasse langoureusement. Nos langues brassent nos salives afin de finir sur une douceur.
Madelyn descent en petite nuisette, nous regarde nu et sourit:
Bah mon Pierre je jalouserais presque Sandrine.
Elle mime un clin d’Ĺ“il et s’en va lĂ©gère comme sa nuisette blanche transparente laissant entrevoir ses douces courbes qui dĂ©finissent sa fĂ©minitĂ©.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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