Histoire d’un couple- chap 2 Karine et Jérôme
Tandis qu’Eric et Nathalie continue de s’observer, Karine décide de passer à l’action avec Jérôme. Elle ira de surprise en surprise. La bandes de copains prépare la sortie au festival et le week-end s’annonce chaud.
Proposée le 23/09/2020 par Tongafan Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
Le soir même Karine reçut un appelle d’Eric
-Salut Karine
-laisse-moi deviner…hum…toi tu veux des détails à propos de Nathalie, je me trompe ? Elle ne se trompait pas. Eric était encore sur un petit nuage après avoir rencontré Nathalie et son regard hypnotique. En rentrant chez lui sur son vélo, il avait bien failli percuter un piéton qui traversait pourtant la route sur un passage protégé.
-Alors tu sais déjà qu’elle sort d’une sale histoire et qu’elle est fragilisée, surtout fait pas le salaud avec elle.
-Arrête Karine tu sais bien que je ne suis pas comme ça
-Ouais, ils disent tous ça ! lui répondit Karine sur un ton sec. – En tout cas c’est sûr, elle ne te laisse pas indifférent. Je revois encore ton regard de merlan frit quand tu l’as regardé dans les yeux, il ne te manquait plus qu’un filet de bave aux lèvres pour compléter le tableau. Karine pouffa de rire.
-Ouais, ben c’est bon pas la peine d’en rajouter. Tu crois qu’il y a possibilité que ce soit réciproque
-Peut-être bien, va falloir tenter ta chance mon gros nounours aux yeux de merlan frits. Dit Karine en prenant un ton moqueur.
-OK, j’ai compris, de toute façon on va se revoir avant le week-end prochain, je verrais bien se qu’il va ce passer. -tu fais quoi là ?
-Je me préparais à aller voir Jérôme chez lui, il n’avait pas l’air en forme tout à l’heure.
-OK je vais passer le voir aussi…
Karine le coupa net – non ! Ce n’est pas la peine.
-Ha bon, d’accord, je comprends, prends bien soin de lui répondit Eric .
-Ouais t’inquiète pas.
-Ce veinard ne va pas s’ennuyer ce soir, pensa Eric avant de se traîner jusqu’à son lit qu’il retrouva avec beaucoup de plaisir. Il s’endormit rapidement avec une petite érection et l’image de Nathalie dans son esprit.******Karine avait manifestement décidé de passer à la vitesse supérieure. Elle se rendit à pied chez Jérôme qui habitait à 10 minutes de marche de chez elle. Elle avait revêtu une robe avec un décolleté en V assez prononcé pour qu’on puisse voir le haut de ses seins et deviner le reste. Le vêtement au ton rouge et chaud lui laissait les bras et les jambes à demi nues. Sa silhouette -qu’elle trouvait trop trapue– était allongée et cambrée par une paire de sandales noire avec de petits talons. Deux fins bracelets en argent à la cheville et au poignet ressortaient magnifiquement sur sa peau dorée. Elle ne c’était pas maquillée et à peine coiffée, mais même ainsi elle savait que son pouvoir d’attraction sur les hommes était puissant.
Il était 21h00 quand Karine sonna au visiophone du studio de Jérôme. Il habitait dans un immeuble récent avec de très bel et chics appartements.Jérôme lui, logeait dans une chambre de 13 mètres-carré au dernier étage. Après avoir sonné plusieurs fois Karine s’apprêtait à faire demi-tour quand elle entendit la voix de Jérôme.
– Karine ? Attends je t’ouvre.
Karine pénétra dans le hall recouvert de grands miroirs légèrement fumés. Elle s’observa un instant et ce dit qu’elle était plus que satisfaite de l’image que ces murs lui renvoyaient. L’ascenseur était propre et spacieux –il me donne des idées cet ascenseur- pensa Karine en tirant un peu sa robe vers le bas afin d’ouvrir un peu plus son décolleté en V.
Jérôme l’attendait sur le palier avec un franc sourire aux lèvres.
-Salut Karine, rentre ! Fait pas attention au bordel, je n’ai rien rangé de la journée
Karine se rapprocha de lui jusqu’à que sa poitrine entre en contact avec le bas de son torse – ils avaient 20cm de différence de taille- Elle pausa tendrement les mains sur ses épaules et lui fit une bise humide sur chaque joue.
Jérôme savait Karine tactile et ne fit pas cas de ce rapprochement.
-Alors ça va mieux ? lui demanda Karine
-Ouais, j’ai gerbé toute la matinée mais maintenant ça va. Je t’offre quelque chose à boire, un thé ?
-Je veux bien merci.
Karine s’assit sur une chaise et observa la grande silhouette élancée de Jérôme ce diriger vers la plaque électrique posée sur la table de camping pliante qui lui servait de cuisine. Le mobilier du studio était sommaire : Sous la table de camping Jérôme avait réussi à faire tenir un mini-frigo avec quelques étagères rempli de provisions et d’ustensiles de cuisine, une petite commode servait de bureau et de placard à linge, deux chaises, un petit lavabo et enfin un clic-clac qui faisait office de banquette la journée et de lit la nuit.
Tandis que Jérôme continuait la préparation du thé, Karine alla s’asseoir sur un coin du clic-clac qui était en configuration lit. Elle ôta ses sandales, fit remonter sa robe au sommet de ses cuisses en croisant les jambes puis elle laissa tomber le haut de son corps sur le lit défait avec un petit soupir de satisfaction. Jérôme commençait à trouver son attitude anormale, il avait du mal à élever le regard plus haut que ce qui lui permettait de mater les jambes de Karine.
-Attention c’est chaud lui dit-il en lui donnant la tasse de thé.
Karine se redressa, prit la tasse et la déposa sur la commode. Elle fixait à présent Jérôme d’un regard lourd d’envie, elle sentait son cœur et sa respiration accélérer. -Mais qu’est qu’il attend pour me sauter dessus ? – ce dit-elle. Jérôme qui finit par percevoir les intentions de sa camarade de FAC n’en croyait pas ses yeux. Avant ce soir Karine lui paraissait inaccessible, il avait fini par se résigner -elle est si rayonnante, si attirante, une fille comme elle ne s’intéresse pas à un gars comme moi- et maintenant elle était là seule avec lui dans sa chambre, quasi allongée sur son lit entrain de lui envoyer des signaux clairs. Il commençait à sentir son sexe ce gonfler quand Karine tendit la main vers lui en le regardant avec la tête légèrement penchée sur le côté, un petit sourire coquin sur ses lèvres pulpeuses.
-Jérôme, vient.
Il prit sa main et s’assit à coté d’elle. Jérôme voulut dire quelque chose, mais Karine l’en empêcha en posant un doigt sur ses lèvres – chuuuuuut- lui dit-elle tout près de son oreille. Elle approcha ses lèvres des siennes puis elle l’embrassa à pleine bouche, l’entraîna en arrière, l’enjamba tout en continuant à l’embrasser goulûment. Jérôme était surpris -elle va me bouffer tout cru- Leurs langues continuaient de se mêler dans une danse frénétique puis, brusquement, Karine, pris la main de Jérôme et la déposa sur un de ses seins. Jérôme repris un peu ses esprits, caressa le sein à travers le robe d’une main et une cuisse nues de Karine de l’autre. Totalement excitée, Karine déboucla la ceinture du short de Jérôme , ouvrit la braguette et écarta les deux pans de tissus . Elle sourit quand elle distingua la forme bien dessinée sous le slip , elle effleura doucement cette bosse de la paume de ses mains tandis que ses doigts s’attardaient sur l’emplacement des testicules. Jérôme avait le souffle court, le simple contact des mains de Karine par-dessus son slip provoquait de petits spasmes incontrôlables de son sexe. Il avait réussi à sortir un des seins de Karine mais pas à dégrafer son soutien gorge. Ce sein était superbe, lourd, une large auréole foncée entourait le téton bandé qu’il aurait voulu embrasser. Karine s’arrêta un instant , retira sa robe d’un geste, dégrafa son soutien gorge en dentelle blanche d’un autre, libérant enfin ses seins, puis elle les présenta devant le visage de Jérôme qui aspira et malaxa doucement . Jérôme se mit à bouillir , Karine était en culotte à califourchon sûr lui, il voyait, sentait, touchait, léchait ce corps magnifique; c’est elle qu’il aimait en cachette depuis si longtemps, elle qu’il désirait plus que tout, elle qui le faisait jouir quand il se masturbait. Pendant qu’il lui mangeait passionnément les seins Karine entrepris de sortir le sexe tendu, manifestement à l’étroit dans son slip. Elle ne put retenir un -la vache !!- quand elle se rendit compte des proportions de ce qu’elle avait entre les mains. Elle se redressa, privant provisoirement Jérôme de sa tétée, pour regarder cette verge qu’elle estimait être la plus imposante qu’elle est manipulée jusqu’à présent. – Mon dieu elle fait quasi la taille d’Arnold ! – pensa-t-elle. Son regard, devenu carnassier, fixait Jérôme qui paraissait à présent très tendu. Karine sentait la température augmenter entre ses cuisses, sa culotte était mouillée, ses tétons étaient dressés sur ces seins. Elle referma ses deux mains sur la verge de Jérôme, puis commença à le branler rapidement. Jérôme était crispé, tous les muscles de son corps contractés, il essayait de contenir la déferlante de plaisir qui montait inexorablement . En vain, Karine eut tout juste le temps de faire deux allers-retours avec ses mains sur l’imposante queue quand elle reçut un jet de sperme au visage. Sous le coup de la surprise elle eut un mouvement de recul et poussa un petit cri aigu, puis, elle repris entre ses mains la verge secouée de spasmes qui continuait d’expulser de puissantes giclées. Karine avait les mains, le ventre et les seins dégoulinant de sperme ainsi qu’une belle trace sur sa joue. Elle sentit les chairs ramollir entre ses mains.
-Je..je suis désolé, parvint à articuler Jérôme.
Karine n’en revenait pas, un tel potentiel gâché, elle voulait jouir avec cette grande queue en elle, -ce ne sera pas pour cette fois – pensa-t-elle un peu déçu.
-Ce n’est pas grave, ça arrive, dit-t-elle en essayant de cacher sa déception.
Karine se releva, elle prit une feuille du rouleau de sopalin posée sur la table de camping et essuya la semence de Jérôme sur son corps.
– Allé Jérôme, je te dis que ce n’est rien. Elle lui avait parlé d’une voix douce, elle avait bien vu que Jérôme se sentait extrêmement mal et elle ne voulait pas l’enfoncer davantage.
Jérôme toujours silencieux remonta son slip et son short . Il avait honte d’avoir été aussi nul avec Karine, sans doute elle ne le désirerait plus maintenant, – qui voudrait d’un éjaculateur précoce dans son lit – pensa-t-il. Mais Karine ne voyait pas la situation de cette façon. Toujours en culotte elle se rassit à côté de Jérôme et le prit dans ses bras. Il restèrent ainsi quelques instants. Jérôme ne bougeait pas, ne disait rien. Karine, gênée par la lourdeur du silence de Jérôme, se releva lentement et ramassa son soutien-gorge et sa robe . Jérôme la regarda se rhabiller avec l’air triste et abattu de quelqu’un qui vient de louper l’occasion de sa vie. Elle remis rapidement ses cheveux en ordre, enfila ses sandales et lui déposa un tendre baisé sur les lèvres avant de se diriger vers la porte du studio.
-Jérôme je te répète que ce n’est rien, dit moi quelque chose au moins.
Jérôme resta silencieux, il ne savait plus quoi dire et encore moins quoi faire. Il regarda Karine refermer la porte derrière elle et éclata en sanglots.
Ce n’était pas la première fois que Karine provoquait cette réaction chez ses partenaires. D’habitude elle prenait ça à la rigolade et son partenaire aussi, ils dédramatisaient ensemble la situation et remettaient le couvert dans la foulée. Mais Jérôme avait l’air tellement abattu, honteux, gêné qu’elle n’avait pas su trouver les mots et les gestes pour le rassurer. Elle se sentait un peu coupable. – merde je suis allé trop vite , j’espère que je ne l’ai pas traumatisé.
Karine rentra chez elle et prit une douche. Elle frotta les résidus séchés du sperme de Jérôme sur sa peau dorée. Son sexe était encore poisseux de cyprine et elle n’eut aucun mal à faire rentrer « Arnold » en elle. Elle avait donné un nom à son sextoy, et Arnold était le premier qu’il lui soit venu en découvrant, dans sa boîte, le beau phallus de 20cm au design réaliste. La puissante ventouse à la base «d’ Arnold » eut ce soir-là, beaucoup de difficultés à le maintenir collé contre la paroi en carrelage de la salle de bains pendant que Karine, à quatre pattes sur une serviette posée au sol, bougeait son corps athlétique d’avant en arrière en s’empalant furieusement sur le godemichet.******« Miaou, Miaou »,Nathalie venait de rentrer chez elle après sa matinée de travail au magasin. Comme d’habitude Miss, sa chatte, venait l’accueillir en miaulant et en ronronnant – oui ma belle, attends une minute et je m’occupe de toi – Nathalie déposa ses chaussures de sécurité et ses chaussettes dans l’entrée. Miss la suivit ensuite dans la chambre sans cesser de ronronner. Nathalie commençait très tôt le matin et finissait au alentours de 13 heures. Ces horaires lui permettaient, moyennant une petite sieste, de profiter d’une bonne partie de l’après-midi et du début de la soirée.
Elle retira ses vêtements de travail, un jean usé et un tee-shirt rouge avec le non de l’enseigne de son magasin en surimpression, puis elle enleva son soutien-gorge dans un soupir de soulagement. -Putain ça fait du bien d’enlever ce truc…faut vraiment que je renouvelle ma garde-robe- ce dit-t-elle en observant les marques rouges laissées sur sa peau par le sous-vêtement trop serré. Elle garda sur elle son Tanga et alla dans la cuisine remplir la gamelle de Miss . Le Félin ne l’avait pas quitté d’un pouce et se précipita immédiatement sur la gamelle généreusement garnie de croquettes. – mange ma belle – elle caressa l’animal puis ouvrit une barquette de taboulé et passa à table elle aussi. Une fois qu’elle eut terminé son assiette ainsi qu’ un yaourt nature, elle débarrassa la table puis elle pris son téléphone et se laissa tomber de tout son long sur le canapé. Elle respirait profondément en soupesant ses seins nus – je suis désolé de vous avoir abandonné – se dit-t-elle avec un petit sourire en repensant à ce qu’elle avait fait la veille dans sa salle de bains. Miss, qui faisaient une pause dans son repas de croquettes, vint se blottir contre elle. Tout en caressant la chatte elle appela Karine
-Salut ma belle !
-Salut Karine ! Ça va comme tu veux ? Nathalie avait tout de suite senti que quelque chose ennuyait son amie.
-Oui ça va, rien de grave, ne t’inquiète pas je te raconterais ça de vive voix.
-Bon d’accord…alors à propos d’Eric…. ? Karine pouffa de rire . Elle se revit au collège quand elle jouait les entremetteuses pour ses copines et copains. Le plus souvent cela fonctionnait très bien même qu’à l’époque elle se vantait auprès de ses copines – en plus des miens je suis responsable de la moitié de tous les bisous baveux du collège.
-Excuse-moi Nathalie, ça me fait penser à nos années collèges.
-Ouais,moi aussi, on n’a pas évolué depuis, ça craint. Elle partir toutes les deux en fou rire. La conversation avec sa copine faisait du bien à Karine.
– Plus sérieusement ton Eric il est complètement accro, c’est du tout cuit ma Nathalie.
-Oui, c’est bien ce que je pensais, je suis pas pressé mais je me sens prête pour essayer.
-Tu verras, il est ouvert d’esprit, patient et assez mûr pour un étudiant de première année de socio. Par contre je n’ai aucune info sûre comment il est au lit, là tu part pour l’inconnu. Nathalie senti de la tristesse dans les derniers mots de Karine – Je ne le vois pas en sadique, ou scato ou je ne sais quel autres trucs extrêmes en tout cas -.
– Oui moi non plus, bon et toi ? qu’est-ce qui t’arrive ?
– J’ai merdé avec Jérôme, passe après ta sieste et je te raconte tout.
– Ok, à tout à l’heure.******Eric se réveilla de bonne heure, pour lui 9h30 est de bonne heure, il se sentait plein d’enthousiasme, la journée s’annonçait ensoleillée et il n’avait rien d’autre à faire que de s’occuper comme il le souhaitait. Il alluma la radio et il petit déjeuna un grand mug de café avec des tartines à la confiture de fraises en parcourant l’actualité sur son téléphone. – 10 heure, il doit bien être debout maintenant. Ce dit Eric, curieux de savoir comment ça s’était passé entre Jérôme et Karine.
-Ouais, salut Jérôme c’est Eric, ça va ? Pas trop fatigué par ta soirée ? Eric avait pris un ton taquin.
-Putain ! Tu es au courant ? Toute la bande est au courant ? Fais chier !
-De quoi tu parles ? , je te chambre parce que je sais que Karine est venu te voir hier et que depuis quelques semaines elle te rend tes regards libidineux, alors désolés je ne savais pas que Karine et toi c’était « classé secret-défense ! »
-Excuse-moi Eric, non ce n’est pas ça, j’ai juste tout fait foirer avec Karine.
-Merde c’est archi con. Si tu veux on se voit tous au café tout à l’heure, j’ai reçu un SMS de Cyril, il nous donne rendez-vous à 16 heures pour qu’on organise la sortie de samedi.
-Non, ce sera sans moi cette fois.
-Bon je n’ai plus rien à bouffer, tu m’invites à manger des spaghettis chez toi à midi ? je prends un pot de sauce bolo à la supérette en passant.
Les spaghettis, le riz et la semoule de blé constituait les principales sources de nourriture « non Junkfood » des étudiants. Pour Eric c’était surtout les spaghettis.
Eric avait aussi ramené un pack de bière et les deux amis sirotaient leurs canettes dans la chambre de Jérôme. Le lit était en position banquette et la chambre propre et ordonnée. Chacun assis sur une chaise ils occupaient presque tout l’espace disponible au centre de la pièce. Après quelques échanges de banalités Eric commença à questionner son ami
-Alors qu’est-ce tu à fait de si grave avec Karine ?
-J’ai complètement merdé, elle est partie et je suis resté comme un con sans savoir quoi faire . Putain je m’en veux. Je vais te dire un truc, mais promets moi de ne rien répéter aux autres. Eric acquiesça d’un signe de tête. – Quand Karine est venu me voir, on est sorti ensemble, enfin même plus que ça…, et puis tout est allé trop vite, j’ai voulu lui parler mais elle ne m’en a pas laissé le temps. Je suis puceau Eric, elle m’a tellement chauffé que j’ai paniqué et j’ai tout lâché en deux secondes avant même que l’on puisse faire quelques choses. Après ça à été encore pire je suis resté comme un abruti sans rien dire, j’avais tellement honte…, et puis elle c’est barrée. Pas de nouvelles depuis.
Eric pris quelques instants de réflexion avant de répondre.
– Je savais pas, elle ne savait pas, tu nous à dit que tu sortais d’une histoire de cul malheureuse, elle ne pouvait pas soupçonner que tu étais puceau. Et puis tu connais Karine, ce n’est pas pour rien que Cyril la surnomme «mini Xena ». Bon, le mieux que tu puisses faire c’est de tout lui expliquer.
Karine n’aimait pas que Cyril l’appelle « mini Xena » mais ce surnom qu’il avait trouvé en référence à « Xena la guerrière » l’héroïne du feuilleton télévisé, lui allait à merveille, autant pour le physique que pour le caractère volcanique.
-Oui je sais, le problème c’est que je n’oserais même plus la regarder en face et elle ne veut sûrement plus de moi de toute façon.
-Franchement Jérôme si tu fais rien tu vas le regretter toute ta vie, elle en vaut la peine non ? Lui répondit Eric.
– Ouais tu as sûrement raison, s’il y a encore une petite chance de réparer…
– Envoie lui un SMS ; écrit, que tu veux lui parler. Le coupa Eric.
– Ok je vais le faire.
Les pattes étaient cuites, Jérôme mélangea le pot de sauce bolo dans la casserole avant de servir deux copieuses assiettes que les deux amis mangèrent sans attendre.****** Nathalie arriva chez Karine à 14 heures. Elle s’était suffisamment reposée et était curieuse de connaître ce que Karine avait bien pu faire avec Jérôme.
Karine habitait un appartement spacieux de deux pièces au dernier étage d’un immeuble ancien situé au centre-ville. Karine venait d’une famille aisée qui avait fait fortune dans l’industrie, ses parents n’avaient eu aucun souci au moment de signer le chèque pour l’achat de cet appartement de 80 mètres carrés très bien situé. L’intérieur du logement avait quelque chose d’impressionnant : une hauteur de plafond de plus de 3 mètres agrémentés de luminaire moderne et design, le sol était recouvert d’ un parquet ancien magnifiquement restauré et entretenu. Les murs blanc satinés étaient décorés de photos grands formats présentant des paysages spectaculaires D’immenses fenêtres laissaient entrer la lumière dans toutes les pièces, le mobilier moderne et fonctionnel était assez espacé pour ne pas casser l’impression de grandeur de l’ensemble.
Karine offrit un café à sa copine et elles s’installèrent sur le canapé en cuir du salon.
– Explique moi tout. dit Nathalie
-Je suis allé chez Jérôme, on a commencé à flirter et puis ça à été une catastrophe. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, pourtant j’ai été sage.dit Karine avec un petit regard malicieux.
-Il ne voulait plus de toi ?
-Non, bien au contraire, je ne crois pourtant pas l’avoir trop chauffé, ou alors il a un problème dans ses relations intimes avec les femmes. On avait à peine entamé des petits préliminaires quand il a explosé dans mes mains en deux secondes et puis après plus rien.
-C’est tout ? c’est ça qui te met mal à l’aise ? Que tu n’es pas réussi à le refaire bander ? Lui répondit Nathalie un peu amusé par le récit de son amie.
-Non ce n’est pas ça, jusqu’à là c’était encore amusant, mais tu l’aurais vu après, il était comme paralysé, complètement recroquevillé sur lui-même, il n’a rien dit du tout et puis quand je suis parti je l’ai entendu pleurer derrière la porte.
-Merde , le pauvre. c’est glauque. Tu veux quand même essayer dallé plus loin avec lui ?
-Oui, je le trouve touchant, il m’attire encore et en plus il a du potentiel dans le slip croît-moi.
Elle partir toutes les deux dans un petit fou rire.
Le téléphone de Karine sonna. Elle venait de recevoir un SMS de Jérôme – tiens quand on parle du loup, il veut que l’on se voie pour parler. Elle répondit rapidement au SMS.
– Je vais le voir au parc du centre tout à l’heure, avant d’aller aux petit café. On c’est tous donné rendez vous pour organiser la fête de samedi. Il y aura Eric bien sur. Tu veux rester ici en attendant ? Dit Karine.
– Merci, mais non, j’ai des petites courses à faire en ville. Répondit Nathalie.******Elle laissa Karine se pomponner dans la salle de bain pour son rendez-vous avec Jérôme. Avant de partir elle embrassa sa copine en lui rappelant de faire attention à ne pas bousculer Jérôme. Karine lui répondit de ne pas s’inquiéter, qu’elle savait aussi se montrer douce et patiente avec les hommes, ce dont doutait quelque peu Nathalie.
Elle sortie de l’immeuble et ce dirigea vers la boutique de lingerie située non loin du café branché. Nathalie tenait à s’offrir quelque chose de beau, quelque chose qui mettrait en valeur toute sa féminité, la rendrait encore plus sûr d’elle et de son pouvoir de séduction. Non pas qu’elle n’eût plus rien à se mettre mais ses Tanga commençaient à être sérieusement usées et il ne lui restait plus que deux soutien-gorge en état d’accomplir leurs missions dont un qu’elle jetterait avec joie pour lui avoir cisaillé la poitrine à chaque fois qu’elle le portait. Elle ne savait pas exactement ce qu’elle voulait et la vendeuse de la boutique lui fut d’une aide appréciable. Elle choisit finalement une nuisette, couleur bleue nuit, taillé dans un tissu doux et satinée – ça fera quand même moins mémère que mon tee-shirt de nuit. Avait -elle pensé en prenant la nuisette. Le dit tee-shirt en coton sur lequel elle avait fait imprimé une photo de sa chatte Miss était certes confortable, mais elle n’aurait pas osé le porter en présence d’un garçon qu’elle convoitait. Elle choisi aussi un ensemble Tanga plus soutien gorge en dentelle et tissu léger ainsi qu’un soutien-gorge de sport sans armature. La vendeuse l’accompagna jusqu’à l’une des deux cabines d’essayage. Elles étaient spacieuses et équipées d’un grand miroir qui recouvrait toute la hauteur de la paroi formant le mur du fond . Le magasin était presque vide, les cabines d’essayages étaient accueillantes, fermées par une porte avec un verrou et , observa Nathalie, elles étaient un peu à l’écart de la surface de vente dans un renfoncement au fond du magasin. Nathalie tenait à son intimité et n’avait pas envie de s’exhiber en petite culotte. Elle referma la porte derrière elle enclencha le loquet du verrou et se déshabilla. Elle garda uniquement sa culotte et essaya la nuisette qui lui allait parfaitement. Elle se tourna de trois quarts face au miroir et fut satisfaite de voir le tissu léger retomber à mi-fesses ,dévoilant les courbes harmonieuses de ses fesses – avec le joli Tanga de l’ensemble en dentelle je vais être au top pensa-t-elle en continuant de s’observer dans la glace. Elle se cambra un peu en faisant ressortir sa poitrine, elle put distinguer parfaitement la forme de ses tétons sous le tissu. Convaincu, elle décida de garder la petite nuisette. Elle essaya ensuite les soutiens-gorges qu’elle garda aussi. Celui de l’ensemble en dentelle était particulièrement bien conçu, il donnait du volume à son modeste 85B tout en dévoilant juste ce qu’il faut de peau pour être sexy sans être vulgaire. Elle n’essaya pas les tangas, elle connaissait sa taille et elle trouvait que ce n’était pas très hygiénique.
Tandis qu’elle se rhabillait elle entendit quelqu’un rentrer dans la deuxième cabine. En sortant de sa propre cabine avec ses vêtements au bras, elle croisa un homme qui entra lui aussi dans la deuxième cabine après s’être annoncé – c’est moi chérie, ouvre – Elle eut en tête un instant l’image du couple faisant l’amour dans la cabine accompagnée de la pensée : – pourquoi pas ?- Elle paya ses achats, la vendeuse lui dit qu’elle pouvait revenir si des vêtements n’allaient pas et que le magasin était particulièrement tranquille le lundi matin à l’ouverture. Nathalie ne compris pas tout de suite pourquoi la vendeuse lui faisait cette remarque. Elle la salua cordialement puis sorti du magasin avec son sac d’achat à la main.
-Nathalie ?
Elle se retourna et vit Eric se diriger vers elle avec un large sourire aux lèvres.
– Tu viens aussi au petit café ? Demanda Eric après lui avoir fait la bise.
– Euh, oui, je vais poser mes courses dans la voiture, elle est garée à 5 minutes, et je vous rejoins.
Nathalie fut un peu gêné de rencontrer Eric devant l’entrée du magasin de lingerie, puis elle se ravisa – Ça va le faire cogiter… –
– Très bien, dit Eric, je t’accompagne si tu veux.
Nathalie lui rendit un – avec plaisir – et ils s’éloignèrent tous les deux du magasin de lingerie en bavardant.****** Il était 16 heures, Cyril et sa nouvelle copine sirotaient leurs demis de bière blanche à la terrasse du petit café . Cyril était « le meneur » de la bande. Jovial, avec un sens inné des relations humaines, il était un séducteur accompli. Son physique tout en rondeurs , pourtant pas très à la mode, ne constituait en aucun cas un obstacle à son pouvoir d’attraction sur les femmes. En témoignait la superbe fille assise à côté de lui. Elle se nommait Ludivine, elle avait 23 ans comme lui, grande et élancée, blonde platine , les cheveux coupés courts, chiquement habillé d’un ensemble combishort elle rigolait de bon cœur en compagnie de Cyril qui l’avait accosté lors de la mémorable soirée de fin d’examen deux jours plus tôt. De loin, ils aperçurent la grande silhouette de Jérôme, tenant la main de Karine et leur firent de grands signes. Nathalie et Eric arrivèrent quelques minutes plus tard. Cyril présenta Ludivine à ses amis puis ils commencèrent à organiser la sortie de samedi. Karine était assise à côté de Jérôme , la main posée sur sa cuisse, elle le caressait tendrement. Jérôme avait l’air de se porter beaucoup mieux. Cyril se retenu de chambrer le nouveau couple et ce contenta d’un – félicitation, je suis content pour vous – Nathalie et Karine échangeait des regards complices et Eric était soulagé de voir ses amis réconciliés tout en se demandant avec amusement comment Jérôme avait annoncé à Karine qu’il était encore puceau.
– Alors, il y a un camping à coté du festival, il faut que l’on réserve maintenant sinon on risque de ne plus avoir de place, commença Cyril. Il continua – Qui à une tente ?
Nathalie et Karine répondirent par l’affirmative en indiquant qu’elles possédait des tentes deux places.
– Très bien, répondit Cyril, avec ma deux places on est bon. J’appelle le camping.
Il appela immédiatement le propriétaire du camping qui lui dit qu’il n’avait plus assez d’emplacement disponible. Cyril parlementa quelques instants et le propriétaire proposa d’attribuer un seul emplacement pour les trois tentes. – si vous n’avez pas peur d’être serré – avait-il précisé. Cyril consulta ses amis, tous étaient d’accord et l’emplacement fut réservé.
– Bon qui partage la tente avec qui ? demanda Cyril en adressant un sourire malicieux à Ludivine.
Karine proposa de prêter sa tente à Eric et Jérôme, tandis quelle partagerait celle de Nathalie. Jérôme qui c’était un peu crispé, paru soulagé. Cyril et Ludivine coucheraient bien sûr dans la même tente.
Les discussions continuèrent autour de questions primordiales tel que : Qui prends les bières et en qu’elle quantité, quoi prendre à manger et comment on va faire à manger, comment ce rendre au camping qui était située à une trentaine de kilomètre de la ville en pleine cambrousse….
Karine était très bien équipé en matériel de camping, elle bivouaquait régulièrement en montagne avec sa famille, elle proposa de prendre tous le matériel nécessaire. Eric apporterait suffisamment de spaghettis et Jérôme promis de préparer un sauce bolo maison pour les accompagner Les filles répondirent en rigolant qu’elle ne se nourrissait pas exclusivement de spaghettis et quelle prendrait aussi des fruits et quelques produits frais dans une glacière. Il fut convenu que Nathalie transporterait Karine , Jérôme et Eric dans sa voiture et que Cyril ce ferait conduire par Ludivine qui possédait aussi un véhicule.
Les amis continuèrent de bavarder un moment puis allèrent chacun à leurs occupations. Jérôme se leva un minute plus tard que tous les autres ? Il prétexta un coup de fil urgent à passer et attendit que sa monumentale érection provoquée par les petites caresses sur sa cuisse retombe avant de rejoindre Karine qui l’attendait devant la terrasse du café. Elle lui demanda avec un regard complice si ça allait mieux, il répondit en souriant qu’à présent il était présentable et ils s’éloignèrent rejoindre l’appartement de Karine main dans la main en rigolant. Cyril et Ludivine devait faire des courses et Nathalie, voyant l’heure avancer, quitta avec regrets ses amis et surtout Eric qu’elle n’avait pas cessé d’observer derrière ses lunettes de vues fumées.******- Karine, tu es sur ?
– Oui ne t’inquiète pas.
Jérôme était dans la chambre de Karine étendu sûr le dos, entièrement nu dans le confortable lit deux places. Un peu plus tôt dans la journée Jérôme avait avoué à Karine qu’il était encore vierge. Elle l’avait rassuré en lui disant que ça ne la dérangeait pas, qu’il ne fallait pas qu’il culpabilise pour ce qui était arrivé dans la chambre de Jérôme. Elle lui dit aussi qu’elle voulait continuer leur relation naissante, que son problème était sûrement dû à un excès de trac et que c’était tout à fait normal d’avoir le trac pour une première fois.
Une fois à l’intérieur de l’appartement Karine avait demandé à Jérôme de se coucher tout nu dans son lit puis, elle avait suffisamment baissé le volet roulant de la grande fenêtre pour que Jérôme ne puisse pas voir les détails de son corps pendant qu’elle aussi se dénudait totalement. Elle soupçonnait , à juste titre, qu’exposer sa nudité en pleine lumière faisait grimper l’excitation de Jérôme plus haut que ce qu’il était nécessaire pour l’instant. Elle voulait aussi créer une ambiance feutrée et intime dans laquelle il se sentirait protégé.
Elle s’allongea à côté de Jérôme et vint se blottir contre lui. Jérôme essayait de réguler sa respiration, de se détendre au maximum. Son sexe n’avait pas débandé depuis que Karine et lui était rentré. Karine entrepris de faire passer ses mains sur tout le corps de Jérôme en évitant de toucher à la magnifique queue tendue. Elle ramena une de ses cuisses sur celle de Jérôme et commença de petits mouvements du bassin. Jérôme pouvait sentir la moiteur du sexe de Karine contre sa jambe, il se rendit compte aussi qu’elle devait être complètement épilé. Il posa une main sur ses fesses et accompagna le mouvement. Son autre main dans les cheveux ébène de Karine, il embarrassait tendrement sûr le front. Karine sentait la chaleur monter de son bas-ventre, elle aurait voulu sucer ce gland et lécher cette verge, elle aurait voulu prendre cette queue en elle jusqu’à l’orgasme , mais elle n’en fit rien. Les mains de Jérôme parcouraient désormais tout le corps de Karine, il prenait petit à petit conscience de toutes les sensations qu’il recevait. L’odeur fruitée des cheveux de Karine, celle encore plus enivrante de son parfum, la douceur de la peau sous ses doigts , la présence du duvet de poils fins qui la recouvrait, il devinait la forme de ses hanches, il distinguait la musculature de son dos, de ses épaules de son cou, il sentait la chaleur des seins, des mains et du sexe de Karine contre lui, . Lentement il se focalisait de plus en plus sur elle et un petit peu moins sur sa queue. Au bout d’un long moment Karine se laissa complètement couler dans cette sensualité. Elle haletait en rythme avec les mouvements de son bassin à une fréquence de plus en plus rapide. – Tu me fait du bien Jérôme – Finalement elle ne regrettait pas temps que ça de ne pas s’être empalé directement sur le sexe de Jérôme. Toujours dans cette position elle accéléra encore, sa chatte trempée frottait de plus en plus vite et de plus en plus en fort la cuisse de Jérôme. Elle maintenu ce rythme endiablé et au bout de quelques minutes elle eut un puissant orgasme clitoridien. Elle mordit le téton de Jérôme qui sursauta. Un peu surpris par la quantité et l’intensité de l’énergie déployée par Karine, elle lui avait presque coupé la respiration en le serrant contre elle, Jérôme la regarda retrouver son souffle dans la lumière tamisée qui filtrait des volets à peine ouverts. Karine, en age, encore secouée par la montée de l’orgasme lui dit doucement: – tu veux ? Et accompagnant le geste à la parole elle effleura le sexe de Jérôme. Jérôme était heureux, rassuré, il avait vu qu’elle avait pris du plaisir avec lui. Il lui répondit par un petit – Oui – . Toujours allongée sur le coté, blotti contre Jérôme, Karine humidifia sa main avec un peu de salive, puis elle le branla lentement sur toute la hauteur en marquant une pause tous les deux allé retour – c’est bon comme ça ?, ce n’est pas trop rapide ?- lui dit Karine en prenant une voie douce et féline Jérôme lui fit signe de la tête que non. Il savourait chaque mouvement, il sentait la chaleur de la main de Karine qui glissait le long de sa queue et, en se calmant un peu, il était même capable de ressentir les informations que lui renvoyait le reste de son corps pendant qu’elle le branlait. A sa grande surprise il put tenir une dizaine de minutes. Il déchargea toute sa semence dans un râle sonore, mais cette fois-ci aucun bout de sopalin ne vint rompre l’érotisme de l’instant. Karine le sentant venir avait rapproché sa bouche grande ouverte et gobé le gland de Jérôme pendant qu’il éjaculait. Elle avala le sperme qui arrivait par petits jets tout en aspirant doucement le gland secoué de spasmes. Elle fit ensuite un baisé humide et odorant sur les lèvres de Jérôme et se blotti à nouveau contre lui en poussant un petit soupir de satisfaction.
Jérôme n’était plus tout à fait là, il regardait le plafond avec un large sourire collé au visage. Il n’avait jamais senti son corps et son esprit aussi léger, pourtant il lui était arrivé de fumer de très bonnes variétés d’herbe qui l’avait fait « planer », mais ce n’était rien à coté de ce qu’il expérimentait en ce moment. Il n’aurait pas put imaginer vivre un tel degré de plénitude. Ils restèrent ainsi quelques minutes puis Karine se leva et ouvrit les volets. Elle regarda Jérôme allongé nu sur le lit, il avait toujours un large sourire au visage et une expression un peu ahurie. Elle remarqua aussi que sa queue était encore un peu bandée . Elle sourit, sautilla jusqu’au lit et ce jeta sur Jérôme en lui faisant plein de petits bisous sur le visage et des chatouilles sur le corps. Ils roulèrent ensemble sur le lit en riant.
Karine n’avait finalement pas menti quand elle avait dit à Nathalie qu’elle savait aussi se montrer patiente. Elle laissa Jérôme profiter de ce « succès », il était heureux et elle aussi. Il prenait confiance en lui et c’est justement ce qu’elle cherchait. Elle ne le renvoya pas chez lui comme elle le faisait avec les garçons de passage dans son lit. Elle s’endormit simplement à côté de lui sans tenter de se servir de sa queue comme elle se servait d’Arnold.****** © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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