Hyatt Concorde Lafayette
Comment commencer une belle semaine et la finir en beautĂ©.. Ceci est un histoire vraie. Merci d’avance pour vos commentaires.
Proposée le 9/12/2020 par AndrewCole Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FFHLieu: Sauna, club, sexe shopType: Histoire vraie
A l’époque c’est à dire en 2016 ou 2017, la Fourchette proposait 50% de réduction sur l’excellent buffet de l’Hyatt Concorde Lafayette. J’y allais souvent et donnais mes rendez-vous de déjeuners là -bas.On va dire que j’ai dans la cinquantaine tassée, je m’étais alors inscrit sur un site de rencontres et très franchement, je n’avais pas beaucoup de succès. Mais une jolie femme blonde d’une petite cinquantaine d’années souhait me rencontrer. Ni une ni deux, rendez-vous était prit le samedi suivant pour faire connaissance. Échanges habituels sur la vie, bref rien de bien transcendant. Puis à la fin du repas, on se lève et je la raccompagne vers le métro tranquillement en la tenant par le bras. Sauf que je commence à bander et que sa présence me fait un effet monstre.
Dans le mĂ©tro, je ne sais pas si je dois l’embrasser ou non alors je lui fais une accolade en la serrant contre moi: je bande contre elle…Un peu plus tard, par sms, je lui avoue mon attirance pour elle qu’elle me confirme rĂ©ciproque…les sextos ne tardent pas Ă se lire…de plus en plus hots..en me soulignant qu’elle avait senti mon Ă©rection contre elle..
Alors au cours de la semaine, hormis l’envie de la revoir, on en arrive à faire le pari qu’elle n’arriverait pas à me sucer dans les toilettes de l’Hyatt..voire davantage..
Rendez-vous est pris pour le samedi suivant au bar. Après un verre côte à côte ou je n’en mène pas large, elle non plus et sans même se toucher, on décide de monter discréditent dans les toilettes des dames. Elle passe la première, je la rejoins. On s’embrasse fougueusement la porte fermée, elle se déshabille et en culotte, elle finit quasiment nue et dégrafe mon pantalon, extrait ma queue bandante et se met à la sucer assise sur le couvercle des toilettes (très propres). Rarement on m’avait aussi bien sucé. Elle jouait avec ma queue, gobait mes grosses couilles pleines, me branlait bref, tout allait bien. Alors qu’elle était en culotte et qu’une de ses mains s’y trouvait de façon alternative, je la levais pour lui baisser la dite culotte de type Petit Bateau. L’absence de pubis marquée par un fin ticket qui partait du haut de son clito était de toute beauté. Je la retournais pour m’enfoncer en elle directement, trempée et très accueillante, ses beaux seins fermes refaits me narguaient; je les pinçais fort encouragé par ses râles. Je la limais un moment et je regardais son petit œillet qui m’appelait lui aussi. Je mis mon pouce dessus qui s’enfonça pour lui faire sortir un râle de plus. Je la branlais comme ça en continuant de la limer. Puis je sortis pour la placer devant son bel anus cette queue honorable mais bandante et très mouillée en m’enfonçant d’un coup de reins. Je constatais que Kate appréciait particulièrement ces vas et viens puissants et rapides de par la pression de peut-être se faire surprendre.
Me sentant venir et l’en informant, elle me sortait de son fabuleux cul pour se retourner me branler, langue tendue prendre les dĂ©charges sur sa langue et le reste de son visage qu’elle s’étendit. Elle me nettoyait en aspirant les quelques gouttes de sève sur le gland et en me lĂ©chant bien. Je la doigtais de deux doigts en lui stimulant le point G et elle ne tarda pas Ă exploser par des jets de mouille exceptionnels..en m’essuyant la main sur son visage…RhabillĂ©s mais je gardais sa culotte dans ma poche, on est descendu tranquillement dans le hall pour tenter de dĂ©jeuner en face vu que celui du Hyatt Ă©tait fermĂ©, mais elle me proposa de prendre une chambre; je ne me fis pas prier.
Dans l’ascenseur déjà elle me caressait la queue à travers le pantalon en enroulant sa langue autour de la mienne dans nos bouches folles. La porte à peine fermée de la chambre que déjà elle me suçait à nouveau. En jouant avec mon gland contre sa joue, elle m’avoua avoir la très forte volonté de devenir ma salope attitrée et de répondre à toutes mes attentes telle une chienne obéit à un Maître, que je pouvais faire ce que je voulais d’elle, qu’elle serait toujours à moi! Présentant ses fesses pour se faire à nouveau enculer en me suppliant de le faire, je m’exécutais allègrement. Son petit cul serré était un délice..prit et reprit dans plusieurs positions dont sur moi en lui pinçant très fort les tétons à sa demande. Non seulement elle me vida totalement les couilles mais aussi je me sentais littéralement vidé!
Elle me proposa d’aller se promener le soir mĂŞme dans un club Ă©changiste rejoindre son amie StĂ©phanie, mais il fallait descendre acheter quelques affaires, une belle mini robe sexy noire Ă©chancrĂ©e devant et derrière, un string tout en ficelle, sans oublier de se rendre dans un nouveau magasin de toys afin de prendre un petit attirail tel qu’une laisse avec collier, de très beaux rosebuds-plugs bijoux et un vibro, des petits soleils pour ses mamelons. Quelques autres affaires furent nĂ©cessaires pour se changer et aussi d’hygiène puisque nous n’avons rien avec nous..Une douche plus tard, elle se prĂ©parait et venait vers moi avec un des plugs XL afin que je lui mette dans l’anus mais je ne pus m’empĂŞcher de lui mettre un petit coup avant. Son string ne cachait que ses lèvres que je goĂ»tais avant de partir. Son beau collier autour du cou, la laisse dans mes mains, son rain-coat descendait plus bas que la mini robe.C’était la toute première fois que j’entrais dans ce type de lieu; une fois sortis du taxi avec la laisse accrochĂ©e Ă son cou. En entrant, tout le monde semblait la connaĂ®tre en l’interpellant par son prĂ©nom. Comme elle m’était attachĂ©e et que tout le monde comprenait ce type de message, les personnes restaient Ă distance. Au bar, une brune mate très sexy dans une mini robe blanche moulante et transparente s’approchait de Kate en lui roulant un de ces patins, une main sous sa mini robe Ă lui caresser un sein. Voyant le collier et la laisse, elle demanda Ă son amie Kate si elle avait enfin trouvĂ© son MaĂ®tre: se retournant vers moi avec un grand sourire coquin, elle m’informait qu’elle aussi aimerait beaucoup avoir un MaĂ®tre pour s’occuper d’elle. Cette femme d’une quarantaine d’annĂ©es Ă©tait Ă©lectrisante d’attirance, musclĂ©e et sportive, très bronzĂ©e, mate, des courbes parfaites. Elle me prit la bouche collĂ©e Ă moi, elle devait sentir mon dĂ©but d’érection puisque elle effleura ma queue….
Proposant de se rendre dans un salon, je pris la laisse pour tirer Kate et Stéphanie me tenait la main. Un box était vide et tout propre: apparement personne ne semblait y être déjà venu avant nous.
DĂ©jĂ allongĂ©es, les filles s’embrassaient en se caressant. Kate Ă©tait dĂ©jĂ quasiment nue la robe relevĂ©e et seul brillait le bijou de son plug avec lequel StĂ©phanie jouait en le tournant tout en la lĂ©chant. Pris soudainement par un zeste de tĂ©mĂ©ritĂ©, je relevais lĂ©gèrement la robe de Stef en commençant Ă lui caresser des lèvres trempĂ©es reluisant de mouille brillantes, aussi belles que le reste. Je me risquais mĂŞme Ă les lĂ©cher…en la doigtant. Son Ĺ“illet me faisait de l’œil et je rĂ©pandais de la mouille dessus pour enfoncer mon pouce dedans. Il me donnait une envie terrible de le prendre sans autre forme de procès, telle une chienne! DĂ©grafant mon pantalon, le baissant pour le retirer mĂŞme, caleçon volant, je positionnais mon gland tumĂ©fiĂ© sur l’œillet pendant que Stef mis ses mains de chaque cĂ´tĂ© de ses fesses en les Ă©cartant comme pour mieux m’enfoncer..C’était la sodomie capable de rendre amoureux, la meilleure de ma vie. Elle gĂ©missait entre ses coups de langue sur la chatte de Kate, je la sentais mouiller du cul, c’était formidable ! Je sortais ma queue de son cul pour la prendre par les cheveux et lui mettre devant le visage; elle me suça de suite bientĂ´t imitĂ©e par Kate. Stef me suçait comme si sa vie en dĂ©pendait, Kate me gobait les couilles en mĂŞme temps. J’adorais les cheveux tout doux de Kate que je tirais pour la ramener vers moi, de façon Ă lui retirer le plug du cul. Je commençais par la mettre sur le dos pour lui appliquer mes doigts magiques, Stef Ă©tait devant Ă me regarder faire. Kate ne tarda pas Ă gicler de plus en plus fort par des jets de plus en plus grands qui mouillaient mon bras. Cela excitait beaucoup Stef qui voulait en ĂŞtre asperger, les jets coulaient sur son visage. Alors je pris l’initiative d’entrer ma main dans l’anus de Kate et peu Ă peu, elle entrait doucement mais je m’y sentais Ă l’aise. Évidemment comme je le prĂ©voyais, Kate explosait de mouille aidĂ©e par une Stef qui s’était mise totalement nue en 69 en titillant le clito de Kate…Elle s’abreuvait littĂ©ralement Ă sa chatte..J’entendais Kate gueuler et qui probablement ne pouvait plus lĂ©cher Stef.
La main de Stef tentait Ă son tour d’entrer dans le sexe coulant de Kate et doucement elle s’installa. Nous Ă©tions en train de lui faire un double fist qui Ă©tait le premier de sa vie…N’en pouvant plus de jouir, Kate reprenait son souffle en s’endormant presque. Stef avait envie de s’occuper de moi…parfois des gens venaient regarder nos Ă©bats par une petite fenĂŞtre…
Stef entreprit de me faire l’amour en me suçant doucement et en me malaxant les couilles. Elle ne tarda pas Ă se mettre en position du 69 pour se faire lĂ©cher et doigter oĂą elle aussi giclait tout ce qu’elle savait. Elle parlait beaucoup avec des mots crus que j’aimais dĂ©jĂ autant qu’elle. Elle me faisait bander comme jamais et mon envie de l’enculer revenait Ă grand pas jusqu’à ce qu’elle me le demande. Elle me demandait de ne jamais m’arrĂŞter, elle caressait mes couilles qui claquait contre ses lèvres, je la tenais par la peau des fesses, les hanches et les cheveux. J’aimais enculer cette femme comme je pense qu’elle aimait que je l’encule autant, c’était parce que par amour je l’enculais que nous en Ă©tions lĂ ! Pour ma première jouissance je lui demandais oĂą voulait-elle que je gicle et son choix se portait sur elle, visage bouche langue…Kate, remise de ses Ă©motions venait lĂ©cher le jus sur son amie et le partageant d’un baiser langoureux. Je me risquais Ă tenter d’entrer ma main dans sa belle chatte et doucement je la travaillais pendant qu’elle se caressait le clito. Je passais rapidement Ă son petit trou tout aussi ouvert Ă mes doigts..elle gĂ©missait très fort en me disant au combien elle aimait ce que je lui faisais et qu’elle m’aimait..dĂ©jĂ !! Ma main doucement lui dĂ©vastait le cul, Kate lui pinçait les seins en lui prenant la bouche pour revenir vers moi alors que je me remettais Ă bander pour me sucer..elle adorait vraiment me sucer cette jolie Kate…Alors que je sentais monter la jouissance, je souhaitais dĂ©charger dans son beau cul , bien au fond ce que je fis avec enthousiasme autant de la part que de la sienne…en sortant de son cul la queue trempĂ© de mon propre sperme, elle s’employait Ă me la nettoyer assidĂ»ment pendant que StĂ©phanie elle lui dĂ©vorait de derrière le petit trou coulant de ma sève avec gourmandise…sous les applaudissements de certains spectateurs..Après un rapide conciliabule, nous dĂ©cidions de rejoindre tous les trois la chambre d’hĂ´tel. Sortis habillĂ©s sans que quiconque puis ne puisse constater l’aspect très sexy des filles..pas mĂŞme le taxi..le plug dans le sac Ă main de Kate..Une fois arrivĂ©s, sous la douche et au lit! Trois dans le mĂŞme lit, nus, avec l’une ou l’autre sur moi…Au matin, Kate se hâtait Ă rassembler ses affaires pour partir et rentrer Ă Compiègne non sans me demander Ă me sucer pour emmener mon sperme avec elle! Je croyais que cette parenthèse enchantĂ©e resterait telle quelle mais non, ça continuait…Elle me suçait et me branlait de plus en plus vite mais je n’avais qu’une envie, venir dans son petit cul et jour dedans..ce que je manquais pas de faire…pour qu’une Ă©nième fois, StĂ©phanie ne lèche le jus coulant et que Kate ne me nettoie la queue en la suçant Ă nouveau…Une fois Kate partie, StĂ©phanie parisienne de banlieue vivant seule m’invita Ă la suivre chez elle pour se changer. J’habitais le quinzième arrondissement et elle Gentilly, finalement pas si loin que ça l’un de l’autre..
On passait déjà par chez moi pour boire un thé et me changer. Je proposais à Stéphanie de venir chez moi quand elle le souhaiterait jusqu’au moment où elle m’avouait travailler tout à côté de chez moi..
Elle me proposait de l’accompagner chez elle ce que j’acceptais volontiers mais en lui demandant de prendre quelques affaires pour venir dormir chez moi quelques jours puisqu’elle Ă©tait tout Ă cĂ´tĂ©.., ce qu’elle acceptait…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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