I had a dream…
Edouard, après une longue journée de travail, rentre chez lui et fait la rencontre de sa nouvelle voisine.
ProposĂ©e le 9/09/2015 par shortstory’s Votre note pour cette histoire Ă©rotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs Ă poster leurs histoires Ă©rotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
I had a dream…-VoilĂ … bien, maintenant Ă©cartez vos jambes, s’il vous plaĂ®t… très bien… maintenant mettez-vous Ă plat dos, jambes toujours Ă©cartĂ©es… super, surtout restez dĂ©contractĂ©, cela viendra plus facilement.-Dites, doc’, vous savez qu’en d’autres circonstances, tout ce que vous me dites pourrez prĂŞter Ă confusion quand mĂŞme, me dit M.R* avec un sourire narquois sur ses lèvres.Je me redresse et le regarde droit dans les yeux.-On en a dĂ©jĂ parlĂ©, vous n’ĂŞtes pas mon genre. Il est donc inutile de faire une tentative d’approche toutes les semaines, ça ne changera pas, lui dis-je avec un faux sourire placardĂ© au milieu du visage. Maintenant, si vous prĂ©fĂ©rez, et afin que vous soyez moins perturbĂ©, je peux vous confier Ă l’un de mes confrères du cabinet.-Oh non, par pitiĂ©, me dit M.R* avec un regard suppliant. Vos manipulations me font tellement de bien, et vos mains sont si douces…-Assez !! dis-je en grondant. Soit vous vous tenez, soit j’emploie la manière forte pour le reste de la sĂ©ance et je vous remet entre les mains d’un de mes collègues Ă partir de la sĂ©ance prochaine.-D’accord, d’accord, je me tiens.M.R* se tint donc tranquille jusqu’Ă la fin de la sĂ©ance. Le pauvre, il avait Ă©tĂ© victime d’un accident en voiture qui lui avait broyer les jambes. Après six mois dans le plâtre, le mĂ©decin lui avait prescrit une quinzaine de sĂ©ances dans notre cabinet de kinĂ©sithĂ©rapeutes.-Bien, tenez, voilĂ vos bĂ©quilles. Évitez de faire l’andouille d’ici la semaine prochaine. Vous faites des progrès au niveau de la mobilitĂ© de vos jambes, ne gâchez pas tout avec une chute d’escalier.-Je ferais de mon mieux pour rester sage… mais c’est pas dit, rajouta-t-il en me lançant un clin d’œil en partant.Je le regarde sortir du cabinet sans dire un mot. Mais quel connard lubrique celui-lĂ ! Certes, le pauvre est Ă plaindre Ă cause de son accident, mais d’un autre cĂ´tĂ©, il a cette fâcheuse tendance Ă toujours draguer tout ce qui bouge, sans parler du fait d’essayer de le fourrer. Mes deux collègues du cabinet l’avaient eu avant moi et avaient eu droit au mĂŞme numĂ©ro, mais en plus pousser ce qui leur avait fait le mettre Ă la porte.
Je m’en sors mieux que les deux autres pour une simple raison. Je repensais alors au premier jour oĂą il avait fini dans mon cabinet.
La sĂ©ance avait commencĂ© normalement. Nullement impressionnĂ© par mon mètre quatre-vingt cinq, il s’Ă©tait installĂ© tranquillement sur la table. Ă€ un moment donnĂ©, je lui tournais le dos et il en profita pour me mettre une main aux fesses. Action. Je me retournais pour lui coller une grosse claque dans sa gueule. RĂ©action. Je lui avais alors fait une clĂ© de bras en lui expliquant que s’il recommençait, je lui pĂ©tais le poignet et lui faisais bouffer ses couilles. Traitement efficace puisqu’il n’a jamais plus voulu retenter l’expĂ©rience, mis Ă part ces petites piques verbales.
En générale, je suis plutôt du genre calme et posé, mais le harcèlement sous toutes ses formes à la manie de me faire bondir de mes gonds.
Heureusement, c’Ă©tait le dernier client de la journĂ©e. Je ferme la porte d’entrĂ©e Ă clĂ©, verrouille la caisse, Ă©teins les lumières et sors par la porte arrière du cabinet en fermant Ă double tour derrière moi.C’est une belle fin d’après-midi pour un mois d’avril. Le soleil illumine la ville par ses rayons dorĂ©s. L’air est doux et bon Ă respirer. Bonus ultime, on entend mĂŞme quelques oiseaux chanter… Ouais bon, je vais pas rester sur place Ă m’extasier du temps qu’il fait.
Avant de rentrer chez moi, je prends le temps de faire un tour dans le parc situĂ© juste en face du cabinet. Après quelques minutes de marche, je m’assoie sur un banc pour m’adonner Ă un jeu : regarder les gens qui passent devant moi et essayer de deviner Ă leur dĂ©marche, Ă leur posture, les traumas et accidents qui avaient bien pu leur arriver.
Tout en allumant une clope, je pose mon regard sur un premier sujet : homme brun, dans les un mètre soixante quinze, probablement âgĂ© de 20 ans. Sa dĂ©marche laisse voir une lĂ©gère boiterie de la jambe droite. En le regardant plus attentivement, je parviens Ă dĂ©terminer qu’elle provient de la cheville. Une entorse mal soignĂ©e, causĂ©e par… une chute Ă vĂ©lo, un trĂ©buchement sur une pierre… Ah ! Un skateboard ! ConcentrĂ© sur sa dĂ©marche, je n’avais mĂŞme pas remarquĂ© qu’il en portait un dans son sac Ă dos. Il avait probablement dĂ» faire une chute, se tordre la cheville, mais trop impatient, comme la plupart des gens, il n’avait pas attendu la fin de sa rĂ©Ă©ducation avant de reprendre le skate. CrĂ©tin.Mon regard se pose ensuite sur une femme, cheveux tirant sur le gris, au moins la soixantaine. DĂ©marche lente, douloureuse Ă en juger par les grimaces de son visage Ă chaque pas effectuĂ©. DĂ©but d’arthrose. C’est le dĂ©but du rappel du crĂ©ateur, ma vieille.
J’allais me lever et quitter mon observatoire, ayant fini ma cigarette, lorsque mon regard se posa sur une joggeuse. Dans les un mètre soixante cinq, cheveux de couleur noir Ă©bène, ses foulĂ©es ne sont pas de mĂŞme amplitude. Visiblement, sa jambe gauche pousse plus fort que sa jambe droite. Probablement l’influence d’un discipline sportive quelconque.
Cependant, il y a dans le mouvement de ses Ă©paules une lĂ©gère gĂŞne qui traduit un trauma, et apparemment pas si ancien que ça car lorsqu’elle passe devant moi et que je peux voir son dos, je constate des Ă©gratignures sur son Ă©paule droite. Chute de hauteur, vu les lĂ©sions apparentes.
RĂ©sumons : plus de force dans la jambe gauche, chute de hauteur… Ça y est, j’y suis ! Elle fait de l’Ă©quitation. Vas-y tranquille si tu veux rĂ©cupĂ©rer ma jolie… D’ailleurs, c’est vrai qu’elle est foutrement jolie.
Une chevelure tressĂ©e en une longue natte, un dos musclĂ©, des hanches qui s’Ă©largissent sur une belle paire de fesses, rondes et musclĂ©es comme je les aime… ça fait rĂŞver quand mĂŞme, un cul pareil. Dommage, j’ai pas pris le temps de la regarder de face.Je ferme les yeux un instant, la journĂ©e a vraiment Ă©tĂ© longue et fatigante. Juste deux minutes… Lorsque je les ouvre de nouveau, je regarde l’heure, il est plus de 19h. Merde, je me suis endormi et ça fait plus d’une heure que je suis lĂ , comme un con, assis sur mon banc.
Je me lève et fini de faire le tour du parc, espĂ©rant recroiser ce joli postĂ©rieur un peu plus loin, mais ce n’est pas le cas. Je dĂ©cide donc de rentrer chez moi.
De retour sur le parking devant le cabinet, je m’approchai de ma 500 CB. Je sors le casque de la malle, l’enfile sur ma tĂŞte, enfourche ma bĂ©cane et la dĂ©marre.
-Oui, oui je sais ma belle, t’as besoin d’un bon dĂ©crassage, dis-je en Ă©coutant le bruit du moteur. Ce week-end, promis.
J’enclenche la première et me mets en route pour rentrer chez moi. MĂŞme si je n’habite qu’Ă vingt minutes du travail, ce court trajet, en particulier par un soir comme celui d’aujourd’hui, me permet toujours de pouvoir dĂ©compresser avant d’arriver Ă la maison.
En arrivant devant l’immeuble, je me gare sur ma place attribuĂ©e et coupe le moteur. Dans le hall, j’en profite pour voir si j’ai pas un peu de courrier, quand tout Ă coup, j’entends des voies s’Ă©lever dans les Ă©tages supĂ©rieurs. Tiens, on dirait que ça se prend la tĂŞte lĂ -haut. Ça annonce un dĂ©but de soirĂ©e pourrie en perspective.
Presque Ă contre cĹ“ur, je monte les escaliers pour rejoindre le deuxième Ă©tage. ArrivĂ© au palier, je m’arrĂŞte un instant pour essayer d’entendre quel Ă©tait le sujet de dispute. De toute Ă©vidence, cela vient du troisième car j’arrive Ă entendre la conversation sans trop de peine.-Me racontez pas de salades, madame, disait l’un.-Mais puisque je vous dis que je n’ai pas l’argent sur moi, rĂ©pond une femme dĂ©sespĂ©rĂ©e.-Ah bah tiens donc, et vous comptez payer quand ? L’annĂ©e prochaine, peut ĂŞtre. Me prenez pas pour un con et faites pĂ©ter la monnaie !!-Je n’ai que mon chĂ©quier, je ne me balade pas avec deux cent balles en liquides sur moi tous les jours, vous savez, rĂ©pondit-elle en essayant de se justifier.-Bon ben dans ce cas, vous ne voyez pas d’inconvĂ©nient Ă ce que je garde les clĂ©s et que je vous les rende quand vous m’aurez payĂ© ? lui rĂ©pondit l’autre ironiquement.-Mais je fais comment pour dormir ce soir ? Demanda-t-elle plaintivement.-Bah, y a toujours votre caisse,.-Dormir dans ma voiture ? Non mais, vous vous foutez de moi lĂ ! Il doit bien y avoir un moyen de s’arranger.-Ah, pour ça, moi j’ai bien une petite idĂ©e.Ben voyons! Une nouvelle voisine, qui Ă peine arrivĂ©e, va s’envoyer en l’air avec son dĂ©mĂ©nageur pour baptiser son nouvel appartement. Y en a qui perde pas de temps quand mĂŞme.
Je fouille dans ma poche pour attraper mes clĂ©s et m’avance vers ma porte. J’allais ouvrir quand j’entends du remue mĂ©nage au-dessus de ma tĂŞte.-Lâchez-moi, espèce de sac Ă merde !cria la femme.Tiens, voilĂ qui est intĂ©ressant : continuer Ă utiliser le vouvoiement quand on insulte une personne, pensais-je en moi-mĂŞme.-Allez, je suis sĂ»r que tu vas adorer ça ! Lui rĂ©pondit l’autre. En plus je te rends un double service, fais pas l’ingrate !Toi, mon salaud, si t’es bien en train de faire ce que je crois que t’es en train de faire, on va pas ĂŞtre pote.
Je sprinte vers les escaliers pour grimper au troisième et arrive dans le couloir. L’homme, un mec bedonnant, toisant dans les un mètre quatre-vingt, tentait avec force de coincer une petite femme aux cheveux noirs tressĂ©s en une longue natte… Mais c’est la joggeuse du parc !
Je m’approche en m’Ă©claircissant bruyamment la gorge. L’homme se retourne pour me dĂ©visager.-Quoi ? Dit-il brusquement. T’as un problème ? Tu t’es perdu ?-Je crois que cette femme n’est pas intĂ©ressĂ©e par votre offre de… comment vous dites ? Double service, c’est ça ?-Et moi je crois que tu t’es plantĂ© d’Ă©tage. Rentre chez toi, avant qu’il t’arrive une bricole. Il se retourne vers la femme, qu’il n’avait toujours pas lâchĂ© et tente de lui arracher son dĂ©bardeur trempĂ©e de sueur.
Je parcours l’espace qui nous sĂ©parait en quelques enjambĂ©es, l’attrape par l’Ă©paule et lui envoie mon poing dans la gueule.
Le gaillard, quoiqu’un peu sonnĂ©, rĂ©plique en m’envoyant une de ses grosses paluches dans la tempe. Merde, c’est vrai qu’il est plutĂ´t costaud le type, et vĂ©loce avec ça. Changement de tactique. Je l’attrape par le col et l’envoie dans le couloir en tendant la jambe.
L’homme s’Ă©tale de tout son long par terre, et avant qu’il ait eu le temps de se relever, je me jette sur lui pour l’immobiliser.-Je crois qu’on s’est pas bien compris, tout les deux. Maintenant Ă©coute moi bien : quand une demoiselle te dit qu’elle n’est pas intĂ©ressĂ©e par tes services, n’insiste pas et tire-toi. Tip top ma biche ?L’homme acquiesce pĂ©niblement. Je me relève et le regarde dĂ©taller comme un lapin. Je me retourne alors vers la jeune femme.
Elle Ă©tait appuyĂ©e contre le mur, le regard dans le vide.-Vous ĂŞtes blessĂ©e mademoiselle ? Lui demandais-je.Pas de rĂ©ponse. Choc post-traumatique, me dis-je. Je m’approche d’elle et pose la main sur son Ă©paule. Le contact lui fit l’effet d’une dĂ©charge Ă©lectrique et elle s’Ă©carta brusquement en me regardant, terrifiĂ©e.-N’ayez pas peur, je ne vous veux aucun mal, et l’autre imbĂ©cile est parti, lui dis-je sur un ton rassurant.-Je…Je… euh….Et elle fondit en larmes. Allons-bon, voilĂ que ça pleure. Aller, fais ta B.A.du jour mon petit JĂ©rĂ´me.-LĂ , calmez-vous, c’est fini, il est parti, vous n’avez plus rien Ă craindre.Elle lève ses yeux pleins de larmes, me fixe de son regard noisette et se jette contre moi. Je la prends doucement dans mes bras et la berce doucement, jusqu’Ă ce qu’elle se calme.
Au bout d’un moment, elle rĂ©ussit Ă se reprendre et s’Ă©carte de moi.-Excusez-moi, dit-elle en s’essuyant les yeux, je sais pas ce qu’il m’a pris.-C’est normal, vous avez Ă©tĂ© agressĂ©e. Une absence de rĂ©action serait plus inquiĂ©tante, lui rĂ©pondis-je avec un petit sourire.-Merci… Vraiment, merci.-Vous en faites pas. Maintenant, une bonne douche vous ferait beaucoup de bien… tant pour vous dĂ©tendre que pour l’odeur, parce que, sans vouloir vous vexer, mĂŞme si vous ĂŞtes plutĂ´t sexy dans cette tenue, ça sent comme dans une salle de fitness ici, lui lançais-je moqueur.Elle me regarde, sans vraiment comprendre lĂ oĂą je veux en venir, puis, rĂ©alisant qu’elle est toujours en tenue de sport, me fait un sourire timide.
Non mais elle me fait quoi lĂ ? Avec un sourire pareil, on se jette sur vous ma jolie !-DĂ©solĂ©, j’ai pas eu le temps de me changer. Merci beaucoup d’ĂŞtre intervenu… Vraiment. Je ne sais pas ce qu’il se serait passĂ© si vous n’Ă©tiez pas arrivĂ©. Malheureusement, il va falloir que je patiente un peu pour la douche, je viens tout juste d’arriver et j’ai pas encore eu le temps de dĂ©baller le moindre carton.-Ça va aller ? Vous voulez un coup de main peut ĂŞtre ?-Non, merci, ça ira. Je vous ai fait perdre suffisamment de temps ce soir.Elle se redresse et fait un pas en direction de sa porte, chancelle et manque de s’Ă©taler. Je la rattrape au vol par les Ă©paules, passe un bras autour de sa taille pour la maintenir sur ses pieds.-Écoutez, lui dis-je, vous ĂŞtes pas franchement en Ă©tat de dĂ©baller quoi que ce soit. Je vous emmène chez moi. Vous pourrez vous doucher, je vous prĂŞterais des fringues pour vous changer. Et comme ça, vous pourrez vous reposer un peu avant d’attaquer les cartons.-Je ne veux pas vous embĂŞter, dit-elle, gĂŞnĂ©e.-Si c’est moi qui vous le propose.-Et bien, dans ce cas, je veux bien. Merci. Au fait, je m’appelle Laurie.-Et moi Edouard.On descend donc Ă l’Ă©tage de mon logement. J’ouvre et la fait entrer. Mouais, pas une si bonne idĂ©e que ça en fin de compte. L’appartement est en bordel : des fringues sur un siège, la bouteille de whisky qui est sur la table basse, un emballage de pizza Ă cĂ´tĂ©…
Je me retourne vers mon invitĂ© de fortune et lui dit avec un sourire gĂŞnĂ© :-DĂ©solĂ©, j’avais pas prĂ©vu de recevoir ce soir.-Vous en faites pas. Je serais quand mĂŞme une sacrĂ©e garce si j’osais critiquer l’appartement de mon sauveur, alors que moi-mĂŞme ne suis pas une as du rangement.Ouf !-Bon, je vous apporte de quoi vous laver et de quoi vous changer.-Merci.Le temps que j’aille chercher tout ça, lorsque je reviens, je la trouve au mĂŞme endroit oĂą je l’ai laissĂ©e.-Vous ĂŞtes tĂ©traplĂ©gique ?-Non, pourquoi ?-Rien, laissez tomber, c’est une mauvaise blague. Tenez, voilĂ quelques affaires qui devraient vous suffire en attendant le dĂ©ballage des cartons.-Merci. Ça ne vous ennuie pas si je bois un verre d’abord ?-Pas de soucis. Eau, jus de fruit, sirop ?-En règle gĂ©nĂ©rale je ne bois pas trop, mais je vois votre bouteille de whisky, et j’avoue qu’avec les Ă©motions fortes de ce soir, ça me ferait pas de mal.-Alors je vous accompagne. Installez-vous, lui dis-je en dĂ©barrassant le canapĂ© des affaires qui traĂ®ne.Je vais dans la cuisine nous chercher deux verres. Lorsque je reviens, je la vois en train de feuilleter un magazine d’Ă©quipements mĂ©dicaux. En m’entendant approcher, elle se retourne et me demande :-Vous ĂŞtes mĂ©decin ?-Masseur-kinĂ©sithĂ©rapeute.-Formidable ! OĂą est votre cabinet ?-En centre ville, pourquoi ?-J’ai fait une mauvaise chute (Aha ! J’avais raison!!), et je pensais prendre un rendez-vous…-Je vous arrĂŞte tout de suite, je ne prends pas les personnes qui font partie de mon entourage dans ma salle. Je tiens vraiment Ă sĂ©parer le boulot de ma vie sociale.-Mais on se connaĂ®t Ă peine !-Qui vous dit que je ne vous ai pas amenĂ© ici pour faire mieux connaissance ? Lui dis-je en lui faisant un clin d’œil. Je vous sers ?-Volontiers…On se met Ă parler de tout et de rien en vidant peu Ă peu la bouteille de whisky. Elle me raconte qu’elle est monitrice d’Ă©quitation, qu’elle a trouvĂ© un boulot dans le coin, d’oĂą le dĂ©mĂ©nagement. Au bout d’un moment, elle se lève, un peu hĂ©sitante Ă cause de l’alcool.-Je vais aller prendre ma douche, avant de ne plus pouvoir me lever, me dit-elle en me sortant Ă nouveau son sourire timide.-Vous savez que quand vous faites ça, vous vous mettez en danger ?-Quand je fais quoi ?-Votre sourire. Lorsque vous le faites, on a qu’une envie, c’est de venir goĂ»ter vos lèvres pour voir si elles ont aussi bon goĂ»t qu’elles sont belle Ă regarder.Oula, on se calme JĂ©jĂ©. Tiens, je pensais pas que c’Ă©tait possible de rougir aussi vite.-Euh… merci… enfin, je crois.-Aller prendre votre douche avant de tomber Ă la renverse.Sur ce je, me lève (c’est vrai qu’on a pas mal bu quand mĂŞme) et lui indique la salle de bain.
Je retourne au salon, me vautre sur le canapĂ©. J’ai la tĂŞte qui tourne un peu. Je ferme les yeux. La journĂ©e aura Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©ment bien longue…Des bruits bizarres provenant de la salle de bain me font rouvrir les yeux. On dirait des gĂ©missements. Je me lève et me dirige vers la salle de bain. La porte est entrouverte. De lĂ oĂą je suis, je peux la voir dans la baignoire.
Elle est nue, allongĂ©e et elle… Putain, j’y crois pas ! Elle est en train de se soulager Ă l’aide du jet du pommeau de douche. Bon ben tant qu’Ă ĂŞtre lĂ , autant profiter du spectacle.
Elle a les yeux fermĂ©s, sa bouche entrouverte laisse Ă©chapper des petits gĂ©missements, sa main gauche qui s’active sur ses seins… Attend un peu, ils Ă©taient pas aussi gros tout Ă l’heure. La brassière. Ouaip. Ça maintient en place, c’est vrai, mais ça prive les autres d’une belle vue. Quelle Ă©goĂŻste celle-lĂ alors.
Sa main droite tient le pommeau au niveau de son entrejambe. Elle le descend au niveau de l’entrĂ©e de son vagin. La sensation procurĂ©e par le jet lui fait cambrer le bassin en direction du pommeau.
Elle ouvre les yeux, regarde dans le miroir. Je me recule prĂ©cipitamment. Merde, j’espère qu’elle m’a pas grillĂ©. J’attends un peu, puis risque un regard par l’ouverture. Elle est toujours lĂ . C’est bon, elle a rien remarquĂ©. Elle cherche Ă faire varier la pression du jet en tournant le pommeau. Vu ses mouvements de bassin, on dirait bien qu’elle a trouvĂ©.
Je commence Ă me sentir Ă l’Ă©troit dans mon jean. J’ai une chaudasse, que je connais Ă peine, qui se roule la bille dans ma salle de bain, et moi je suis en train de la mater avec une trique d’un autre monde.
Elle se met alors Ă gĂ©mir de plus en plus fort. Attend, si tu crois que tu vas pouvoir te faire mousser dans ma baignoire ce soir, alors que moi, j’ai rien eu Ă me mettre sous la dent depuis des semaines, tu te mets le doigt dans la… dans l’œil ma petite.
Je retourne dans le salon et lui demande d’une voie forte :-Tout va bien, Laurie ?Bruits d’Ă©claboussures.-Euh, oui oui, ça baigne (tu m’Ă©tonnes, salope) j’ai bientĂ´t fini.Ça non plus, ça m’Ă©tonne pas. Je m’installe Ă nouveau sur le canapĂ© et me ressers un verre pour essayer de me dĂ©tendre en attendant qu’elle arrive. Ça faisait un bail que j’avais pas eu l’occasion de mater en douce une nana en train de se faire du bien. Je souris en pensant Ă ce que je viens de faire. Interrompre une nana alors qu’elle est en plein Ă©lan pour se faire jouir, voilĂ qui me paraĂ®t ĂŞtre une bonne dĂ©finition pour « salopard ».
Moins de quinze minutes plus tard, la voilĂ qui arrive dans le salon, l’air quelque peu renfrognĂ©e (hĂ©hĂ©!!), habillĂ©e avec le t-shirt et le pantalon survet que je lui ai passĂ©.-Ça va mieux? Lui demandais-je avec un grand sourire.-Un peu, oui. Dis-moi, je pourrais squatter votre canapĂ© pour ce soir ? C’est juste pour une nuit après, je rentre chez moi.-Bon d’accord, je vais vous chercher un drap et une couverture.Au moment oĂą je me lève, elle me retient par le bras. Je me retourne pour la regarder. Elle a ce petit sourire timide et les joues lĂ©gèrement roses. Ses yeux noisettes me fixent intensĂ©ment.-Vous savez que vous vous mettez en danger quand vous faites ça ? Me demande-t-elle, toujours en souriant.-De quoi ?-De mater une fille sous la douche…Merde, elle m’a vu !-Et, qui plus est, de l’interrompre au moment oĂą elle atteint l’orgasme.-Euh…LĂ , je crois que c’est moi qui doit ĂŞtre rouge comme un pivoine.-Vous me devez un orgasme, Edouard, et je le veux maintenant ! Exige-t-elle.Sans dĂ©conner ? Elle veut que je la fasse jouir ? LĂ ? Maintenant ? Bon, ben…-Ce que femme veut!Je m’approche d’elle et tend les mains pour l’attraper et pouvoir l’embrasser. Elle me repousse en me disant :-Non, non, j’ai pas dit que je voulais un câlin, j’ai dit un orgasme. Alors on oublie les entrĂ©es et on passe directement au plat principal.-Eh ben…-J’ai un volcan prĂŞt Ă entrer en Ă©ruption entre les jambes, donc vous vous y mettez tout de suite !Je m’agenouille devant elle et lui retire son (mon) survet. Je regarde un peu de quoi elle Ă l’air. Elle a de belles jambes, musclĂ©es et Ă©pilĂ©es.
Je pose alors mes mains sur ses genoux, lui Ă©carte les cuisses et dĂ©couvre sa petite caverne aux plaisirs. Lèvres Ă©pilĂ©es, petit ticket de mĂ©tro bien taillĂ©. Et effectivement, je constate qu’elle est encore bien excitĂ©e.Elle me regarde.-Qu’est-ce qu’il y a ? Y a un problème ?-Absolument pas.-Alors, au boulot.Elle m’attrape la tĂŞte avec ses mains et me la plaque directement sur son mont de VĂ©nus. Je suis un peu abasourdi, mais bon, comme elle l’a dit, au boulot.
Je commence par lui embrasser doucement sa toison, puis descend entre ses jambes. Je dépose quelques baisers sur ses cuisses, en alternant entre la droite et la gauche, tout en me rapprochant de la terre promise. Enfin, quand je dis terre, je devrais plutôt parler de marécage !
Lorsque mes lèvres rencontrent enfin les siennes, je la sens se raidir un peu et l’entend pousser un râle. Je sors ma langue et fais tout le tour pour finir par trouver son petit bouton. Je m’applique alors Ă le titiller du bout de la langue en alternant caresses appuyĂ©es, effleurages, en faire le tour avec des mouvements circulaires.
Je fais remonter une de mes mains jusqu’Ă l’entrĂ©e de sa grotte et commence Ă tâter l’entrĂ©e du bout d’un doigt. Tout en continuant ma danse buccale, j’insère mon index, qui rentre sans aucun problème. J’entame un va et vient, lent au dĂ©but, puis de plus en plus vite. Elle ondule du bassin contre mon visage. Visiblement, je suis sur la bonne voie. Aller, c’est pas le moment d’ĂŞtre radin, pour un doigt insĂ©rĂ©, le suivant est offert par la maison.
J’introduis mon majeur qui vient prĂŞter doigt fort Ă l’autre. Je caresse la paroi supĂ©rieure avec la pulpe de mes doigts les repliant. RĂ©sultat, elle se met Ă gĂ©mir. Comme elle est mignonne.
Avec mon autre main, je lui caresse le haut de la cuisse, puis la fait remonter jusqu’Ă son ventre. Elle m’attrape alors par l’avant bras.-Tut tut, pas touche au matos, me dit-elle avec un grand sourire.-Mais…-T’occupe pas d’eux, continue ce que tu faisais, tu t’en sors plutĂ´t pas mal pour un mec.-On se tutoie maintenant ?-Tagueule et lèche ! J’y suis presque.Je retourne Ă la tâche. Cette fois-ci, j’y met trois doigts et m’applique Ă la pĂ©nĂ©trer consciencieusement. Ma langue, quant Ă elle, retourne s’occuper de son petit bourgeon.
J’augmente alors le rythme de mon va et vient. Elle se cambre soudain, attrape ma tĂŞte et me plaque fort contre elle au moment oĂą elle jouit, puis s’affale sur le canapĂ©.
Je me redresse et la regarde en souriant.-Ça va mieux ?-Oui, beaucoup mieux maintenant, dit-elle avec un regard langoureux. Et toi ?-Ma foi, ça va.-Pas trop Ă l’Ă©troit dans ton jean ?-Un peu quand mĂŞme, rĂ©pondis-je, le regard plein d’espoir.-Aller, viens, on va faire un peu de place.Je me lève et, ni une ni deux, elle me dĂ©fait la ceinture. Sans perdre de temps, elle attrape mon jean sur les cĂ´tĂ©s et me le descend aux chevilles, entraĂ®nant mon caleçon au passage. Elle marque un temps d’arrĂŞt devant mon membre en Ă©rection. Elle lève les yeux et croise mon regard.
La vache ! Je crois que j’ai dĂ©jĂ vu le mĂŞme regard dans les yeux d’un chien affamĂ© qui a un steak sous le nez.
Sans me lâcher du regard, elle s’avance, sors la langue et effleure mon gland. DĂ©charge Ă©lectrique. Elle attrape alors ma queue entre son pouce et son index et le redresse presque Ă la verticale. Sa langue revient trouver le sommet de ma verge et descend le long de ma hampe jusqu’Ă mes bourses.
Je tressaille lorsqu’elle gobe une de mes boules. Elle m’empoigne alors, et entame un va et vient assez rapide. Toujours sans me quitter des yeux, elle joint l’action de sa bouche Ă celle de sa main en englobant le sommet de ses lèvres. Je sens sa langue qui fait des cercles.
Je ferme les yeux pour savourer les sensations. Quand je les ouvre, elle me fixe toujours de son regard affamĂ©. Elle me lâche de sa main et s’applique alors Ă me pomper goulĂ»ment. Qu’est-ce que c’est bon! Je sens la sève qui monte.-Fais gaffe, je vais pas tarder…Elle continue nĂ©anmoins son action. Je ferme les yeux. Je sens que ça monte, ça monte, ça monte… Puis plus rien. J’ouvre les yeux. Elle est toujours lĂ , Ă me regarder, avec un grand sourire narquois, fière de m’avoir coupĂ© dans mon Ă©lan.-C’est frustrant, non ? Dit-elle innocemment. VoilĂ ce que tu m’as fait tout Ă l’heure.-Alors toi, ma salope, tu perds rien pour attendre !Je me jette sur elle mais elle m’avait vu venir et m’esquive en roulant sur le cĂ´tĂ©.-J’attends juste un peu que la pression redescende et ensuite… Let’s play, shall we ?Je la poursuis autour du canapĂ©, le pantalon toujours sur les chevilles. Enfin, elle finit par s’arrĂŞter et se met Ă quatre pattes sur le tapis.-Viens ici, et pas de pitiĂ© !J’Ă©ructe de bonheur. Je me dĂ©barrasse de mes fringues en les envoyant valser dans la pièce. Je m’agenouille derrière elle et contemple son cul. M-A-G-N-I-F-I-Q-U-E !! Sans perdre de temps, je l’empale d’un coup sur mon membre.
Je m’applique alors Ă aller et venir en elle, variant entre rapiditĂ© et profondeur. Elle tourne alors la tĂŞte vers moi.-C’est tout ? Tu sais, je connais des nanas qui seraient capable de faire mi…CLAC !!!Je viens de lui administrer une fessĂ©e tellement forte qu’on pourrait relever mes empreintes digitales sur son cul. Je m’emploie alors Ă la dĂ©foncer mĂ©ticuleusement.-Beau-coup—mi-euu-euuuux !
Je me retire d’elle, me relève, la mets sur ses pieds et l’entraĂ®ne vers la porte d’entrĂ©e. LĂ , je la soulève par le cul et la plaque contre la porte. Elle m’entoure la taille de ses jambes au moment oĂą je m’enfonce de nouveau en elle et entreprends de la labourer comme elle le mĂ©rite.-Je-sa-vaiiiis b-b-b-bien que-que tu ca-a-a-chais un fo-o-ond de dou-u-u-u-u-u-c-eur en toi-i-i-i…
Je la perfore de plus en plus vite, de plus en plus fort, si bien qu’un de mes pieds glisse sur le carrelage et nous fais chuter. Et merde !!J’ouvre les yeux. Je suis au bas de mon canapĂ©, toujours habillĂ©. Est-ce que je viens de rĂŞver ? Et merde, je me suis endormi et c’est en tombant que je me suis rĂ©veillĂ©.
C’est alors que j’entends des bruits bizarres provenant de la salle de bain. On dirait des gĂ©missements. Je souris.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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