Il m’a déboussolé partie 2
15 jours à peine après le début des vacances un de mes anciens élèves sonne à ma porte…
Proposée le 27/08/2017 par Pakedublabla Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: HHLieu: InclassableType: Histoire vraie
Avant de quitter la salle de bain je me regardais sottement dans le miroir… Encore abasourdi par ce qui venait de s’y passer, le cœur battant à tout rompre. Valentin était sorti entièrement nu laissant sur le sol ses empreintes de pas humides, et son dos musclé que soutenait un magnifique petit cul avait disparût dans le couloir…Cette dernière image avait remis le feu à mon entre-jambe.Appuyé au rebord du lavabo mes yeux se perdaient entre les quelques gouttes de sang qui y ruisselaient encore et mon propre reflet. Que devais-je faire ? Comment devais-je réagir ? Une petite voix intérieur me suppliait de me rhabiller et de mettre fin à cette folie, mais une autre bien plus présente et qui pulsait entre mes tempes aussi bien qu’entre mes jambes m’autorisait l’exact contraire !Mais c’est sa voix qui me réveilla !Il avait passé la tête dans l’embrasure de la porte et avec son superbe sourire il me fit signe que son doigt méritait encore un soin supplémentaire ! En effet le pansement que j’avais du lui faire quelques minutes auparavant n’avait pas supporté nos ébats sous la douche !Euh.. Oui pardon, je viens tout de suite je prends ce qu’il faut pour soigner ça correctement, lui dis-je.
Je peux te piquer une serviette ? Me demanda t’il Je lui montrait le placard d’un signe de tête et il l’ouvrir pour y plonger la main sans même me quitter du regard. La totalité de son corps nu pourtant dissimulée derrière le mur m’empêchait de me calmer, même son bras tendu vers l’étagère du placard en disait long sur la beauté de sa stature dont émanait une grâce presque féminine. Je ne m’expliquait pas cette soudaine attirance moi qui me croyait encore quelques minutes plus tôt, parfaitement hétéro !Je repris mes esprits, tout en me séchant je me demandais si je devais me rhabiller ou sortir dans le plus simple appareil mais je finis par me dire qu’un slip ferait l’affaire. Après m’être équipé comme un sauveteur pour lui refaire son pansement je refermais derrière moi la porte de la salle de bain en regardant le sol… Je n’osais pas poser les yeux sur lui et contrairement au mur de la salle de bain qui cachait son corps deux minutes plus tôt, ça n’était pas mon slip qui pourrait dissimuler la trique monumentale que je me tapais! Il était là vautré nonchalamment sur mon canapé, sa belle bite en « demi-molle » pendante sur sa cuisse. Il s’était ceint le doigt d’un morceau de sopalin qu’il avait dégoté dans la cuisine et mâchouillait une tranche de jambon de Parme.Valentin me regardait de la tête aux pieds avec insistance et surtout avec une moue qui semblait retenir un fou-rire incontrôlable. Son sourcil finit par se relever d’un air interrogateur et après avoir engloutit la tranche de jambon il me lâcha : « Je me demande ce qui va craquer en premier, ton slip ou bien mes nerfs !? » J’explosais de rire et lui aussi…. J’ignorais encore que j’allais vivre une de mes plus belles histoires d’amour…Je m’approchais enfin, m’accroupissais devant le canapé puis je m’asseyais simplement mon bras sur son ventre qui me servait d’accoudoir, j’avais posé la trousse de secours sur la table basse, et je tenais sa main… Déjà! Avec un excès de douceur je terminais enfin ce pansement pendant qu’il trifouillait mes cheveux, me caressais les épaules et la nuque de la pulpe de ses doigts. Ce fût un moment particulièrement sensuel ou pas un mot ne fût prononcé, juste ses beaux yeux verts qui me regardaient faire, son sourire, la beauté de son visage et le silence.. Il m’embrassa de nouveau puis se recula et ajouta « tu as des yeux magnifiques ».. Je souriais d’aise a ce compliment que je me hâtais de lui retourner, tu sais lui dis-je, tes yeux verts sont la première chose que j’ai remarqué chez toi.. Il souriait et nos bouches finirent par s’embrasser encore plus fougueusement. Il m’attirait à lui sur le canapé, je parcourais son corps de mes mains, pas un centimètre de sa peau n’échappait à mes caresses et cette exploration minutieuse et tactile transformait mon slip en serpillière, je perlais d’excitation ! J’avais envie de sucer sa queue mais je n’arrivais pas à me faire à cette idée, il prit l’initiative d’attirer ma bouche jusqu’à son gland.Il était énorme, et pour la première bite que je suçais j’avais peur de ne pas être à la hauteur ! Mais une fois que son gland fût avalé je salivais de plaisir ! Que c’était bon de sentir la soie de cette chaire sensible et légèrement salée, je réussissais à engloutir sans m’étrangler les trois premiers quarts de se braquemart ! Il était dur et ses couilles que je tâtais fébrilement de mes doigts étaient douces et chaudes… Je pris un pied sans pareil a sentir son gland glisser sur ma langue ! J’étais à mille lieux d’imaginer qu’on pouvait prendre un tel plaisir a sucer une queue, je comprenais enfin l’avide et gourmande affection que certaines de mes anciennes conquêtes avaient a me sauter à la braguette !En même temps que je le suçais j’essayais de l’imiter, il n’avait pas quitter mes yeux du regard en me suçant dans la salle de bain et je mettais un point d’honneur a égaler sa performance, mais ma bite n’avait pas les proportions de la sienne, même si elle n’avait pas a rougir ! Aussi j’aurais eu bien du mal à plaquer mon nez contre son pubis avec son dard au delà des amygdales tout en gardant les yeux plantés dans les siens ! Je n’eus d’ailleurs pas le loisir de m’y exercer d’avantage, le beau Valentin me reprit la tête entre les mains pour l’attirer vers sa bouche.. dans un murmure il me priait de le prendre !Il m’enleva mon slip, j’avais l’impression d’être minuscule entre ses bras, ses abdominaux étaient tendus et saillants comme des canyons, les muscles de ses cuisses tremblaient de plaisir et tout son corps semblait me réclamer… Il émanait de lui une puissance contenue et je n’avais pas imaginé une seule seconde qu’il me demanderait de le pénétrer… Tellement tétanisé à l’idée de l’inverse ! Mon excitation n’avait pas baissée la garde ! Je bandais comme un taureau en rut ! Il tendit alors son index vers son sweet suspendu dans l’entrée avec un petit sourire, je compris illico ! Du gel, des préservatifs… Décidément il avait pensé à tout, lui ! Je revins vers lui presque en courant pour me jeter à nouveau dans ses bras.. je vous fait grâce des « préparatifs » qu’il m’enseignat (comme c’était curieux et nouveau pour moi) avec une infinie douceur en me guidant dans mes maladroites tentatives.Lorsqu’il fût prêt et moi aussi il guida ma queue lui même jusqu’à n’entrée de son fondement aussi lisse qu’un nombril de fille ! Puis il empoigna mes fesses et m’attira à lui. Ma tête vint d’abord se loger dans son cou, je m’effondrais sur lui en même temps que ma queue entrait dans son fourreau brûlant. Je reniflais son odeur, son parfum ! J’avais peur de tout ! J’avais peur d’aimer « ça » ! J’avais peur de lui faire mal, d’aller trop vite ou pas assez, j’avais peur de déchirer ma capote, ou de jouir trop vite ou trop tard ! J’avais peur et pourtant je ne pouvais plus me retirer de son corps, j’avais envie de lui comme je n’avais jamais eu envie de quiconque ! Il se mit à respirer plus fort puis à gémir doucement, mes reins basculaient d’avant en arrière tandis que je cramponnais fermement les bords du canapé. Fatigué de cette inconfortable posture, je finis par plonger mes bras sous ses aisselles et a le tenir contre moi de toute mes forces, il gémissait de plus en plus fort à présent ! De temps à autre je regardais ma bite disparaître en lui pour être bien sûr que je ne rêvais pas ! Je voyais sa queue tendue à mort, baver à souhait de grosses gouttes de liqueur claire comme du cristal. Il se cambrait de plus en plus et finit par hurler mon prénom au moment où, sans qu’il se soit touché, des giclées d’un sperme blanc et épais sortirent de son gland pour se répandre sur son ventre. Cette vision me fît l’effet d’une décharge électrique qui parcourue mon dos trempé de sueur.. Je jouissais en lui en râlant à mon tour ! Je venais de faire l’amour à un garçon pour la première fois de ma vie.. Un mec magnifique, beau comme un soleil ! Putain mais quel bonheur !On avaient passés l’après midi blotti l’un contre l’autre, à peine rassasiés de nos sexes et de nos corps, à la fin de la journée nous avions enfin décidés de manger un morceau, épuisés mais ravis ! Tout nus l’un comme l’autre, il avait vaincu ma timidité, mes complexes, et mon cœur ! Nous sommes restés ensemble tout l’été, il a prit l’avion avec moi et ce furent mes plus belles vacances. Il suscitait en moi ce qu’il y avait de meilleur, m’incitait au dépassement. J’étais totalement amoureux, sans conditions, sans plus aucune barrières !Les filles sur les plages nous regardaient, il était plus beau chaque jour.Ses cheveux avaient blondis plus encore à la fin de cet été 2009 et son bronzage ajoutait encore plus de charme à mon beau Valentin, ses yeux vert semblaient plus clairs et son sourire atteignait sa perfection. Impossible, pour lui comme pour moi d’envisager une séparation même de quelques heures, nous faisions tout ensemble! Enfin presque…J’ai fait ma rentrée sans lui! C’était d’une tristesse absolue, mais je savais qu’il m’attendait chaque soirs à la maison. Il avait trouvé un bon travail qui lui plaisait et s’était installé définitivement chez moi juste avant Noël. Une histoire d’amour une vraie…Valentin est mort 18 mois plus tard dans un accident de la route, un connard qui roulait bourré à défoncer sa voiture en arrivant sur lui en sens inverse à plus de 130km/h. C’était il y a 5 ans et je ne m’en remets toujours pas, j’ai peur de ne jamais m’en remettre, il me manque atrocement.Valentin, je t’aime toujours… © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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