Je sais bien qu’aujourd’hui il y a des jeunes très précoces dans leur vie sexuelle. Je n’ai pas eu personnellement cette chance, mais je crois m’être repris depuis.J’ai même le goût de commencer à vous raconter, sous forme d’épisodes à suivre, quelques unes des expériences qui ont contribué à mes diverses initiations et à mes nombreux apprentissages en matière de sexe.En y repensant, c’est à l’été de mes 15 ans que j’ai vraiment commencé à découvrir tout l’attrait de la vie sexuelle. Jusque-là, j’avais bien, un peu en secret, ressenti et stimulé les premiers émois de mon corps. Un ami me refilait quelques photos de femmes aux seins nus qui m’aidaient à fantasmer, à bander et à me masturber. ?a m’a en quelque sorte suffit pendant un certain temps, de fait jusqu’à ce fameux été 95 passé à la campagne.Je m’étais en effet rendu pour 4 semaines à la ferme de mon oncle. Je passais au départ l’essentiel de mon temps à l’aider dans les différents travaux de la ferme, principalement le matin. Comme j’étais un gars de la ville, il était bien fin pour moi et me laisssait libre en après-midi jusqu’à ce que nous retournions traire les vaches.C’est à ces temps libres que je dois mes premières expériences de vie sexuelle interactive, à titre de voyeur au départ. Cette fois, je ne devais pas me contenter de photos. C’est du vrai que la vie me réservait en la personne de Samantha.Samantha était une femme dans la trentaine que mon oncle avait également engagé pour s’occuper des repas de tout le monde. Elle travaillait fort, mais se retrouvait elle aussi libre de son temps entre deux heures et quatre heures de l’après-midi.Au début, je ne m’étais pas spécialement intéressé à cette femme. Comment d’ailleurs aurais-je pu être attiré? Mon manque d’expérience et son âge suffisaient pour que nous restions distants l’un de l’autre.C’est donc par pur hasard que mes aventures de cet été mémorable me sont arrivées.Par une journée chaude de juillet, j’avais décidé d’aller me baigner à un petit lac situé à 20 minutes de marche de chez mon oncle dans un petit boisé discret. Tout le monde étant retourné au travail, j’étais certain de m’y retrouver tout fin seul. J’étais tellement sûr de mon coup que je n’avais pas emporté mon maillot de bain.Quelle ne fut pas ma surprise, à une centaine de pieds du lac, au dernier détour du sentier, d’entendre une voix qui chantonnait! Je me demandais bien qui pouvait être là en plein après-midi. J’avançai prudemment en cherchant à entrevoir la personne. J’ai fini par découvrir que c’était simplement notre Samantha. Je me préparais à me découvrir, quand soudainemnet je pris conscience de ce qu’elle faisait. Je figeai littéralement sur place. Sans doute certaine d’être seule, Samantha de toute évidence commençait à se déshabiller. C’était trop beau pour être vrai. Moi, pour qui la femme n’était que photo, voici peut-être que je la verrais en chair et en os.Dans le temps de le dire, je suis devenu tout excité du spectacle qui m’attendait et je ne savais plus trop ce que je devais faire. J’avais automatiquement bandé et ma queue frétillait de plus belle dans mes jeans déjà trop serrés. Et dire qu’à ce moment je m’imaginais simplement qu’elle se préparait à enfiler son maillot.Même si j’étais encore un peu loin à mon goût, je n’osais plus bouger. Je ne pouvais que fixer mon regard sur ce qui se déroulait devant moi.Au moment où j’avais pris conscience qu’elle se préparait à se dévêtir, Samantha détachait les premiers boutons de son chemisier. Dans ma naiveté, je ne sais trop pourquoi, je m’attendais à la voir en soutien-gorge. Ce fut mon premier choc brutal.À peine avait-elle retiré son chemisier de sa jupe et entr’ouvert les bras pout l’ôter complètement que je découvrais alors ce qui m’apparaissait de loin la plus belle paire de seins dont la nature avait pu gratifier la jeune femme. Ses mouvements faisaient ballotter ces belles rondeurs que je n’avais pas remarqués jusqu’à maintenant à la maison ou sur la galerie le soir.J’aurais aimé que le temps s’arrête pour me permettre de me remplir de ce cadeau du ciel. Samantha ne me permit pas ce plaisir. En continuant de chantonner, elle s’attaqua rapidement à la jupe, qui tout aussi rapidement, sans presque que je m’en rende compte, se retrouva à ses pieds, découvrant toute sa nudité. Et voici que sans plus, ma nouvelle Samantha s’avance vers le lac et pénètre dans l’eau, disparaissant de ma vue.Vous imaginez sans doute l’état dans lequel je me retrouvais. Que devais-je faire? M’enfuir discrètement? Impossible. Attendre qu’elle revienne pour que je puisse à nouveau m’imprégner de son corps nu au moment où elle reviendrait se rhabiller? Impossible également. Si je ne bougeais pas, c’était certain qu’elle ne pourrait pas éviter de me découvrir tôt ou tard.C’est alors que je remarquai qu’il y avait un buisson assez fourni à quelques pieds de l’endroit où elle avait déposé ses vêtements. Si je réussissais à m’y rendre pendant qu’elle se baignait, j’y serais vraiment à l’abri. C’est ce que je réussis à faire avec mille précautions et le coeur battant. Je ne perdais rien pour attendre, croyez-moi.