Bonjour la communauté,
Je m’appelle Fabrice, j’ai aujourd’hui 28 ans et je suis un fidèle lecteur de ce blog. Je voudrais partager avec vous une histoire taboue qui s’est déroulée il y a à peu près une dizaine d’années. Mes parents sont divorcés et je vivais seul avec ma mère jusqu’à ce qu’elle trouve un autre homme. Vous savez ce que c’est lorsqu’on est jeune, on accepte mal ce genre de choses et cela crée des conflits. Mon beau-père finit par s’installer à la maison et au bout de deux ans, il a mis ma mère enceinte.
J’avais donc 19 ans à ce moment-là je vivais très mal cette situation. Un jour, je me rappelle c’était un mardi, je suis rentré à la maison vers 11 heures. Mon beau-père ne rentrait que vers 12 h et je me suis trouvé seul avec ma mère. Lorsque je suis passé devant sa chambre, je l’ai vu devant la glace toute nue en train de se caresser les seins et le ventre. Elle m’a regardé dans le miroir et n’a eu aucun geste de pudeur. Elle a même souri !
Je dois avouer que j’ai vu rouge à ce moment-là ! Je lui ai fait une scène en lui demandant si elle était fière d’être enceinte d’un autre homme que mon père, et qu’elle était en train de se caresser et de se donner du plaisir en sachant très bien que je venais de rentrer à la maison. Pour la punir et pensant que c’est ce qu’elle voulait, je l’ai emmenée vers le lit et je l’ai baisée. Oui, je l’ai baisée. Elle n’a pas eu le choix. Mais ce n’est pas un viol puisqu’elle ne s’est pas débattue et que je pense même qu’elle a pris beaucoup de plaisir.
Elle est allongée sur le dos en travers du lit. Je me suis mis à côté d’elle à genoux, je lui ai mis une main sur la bouche et je lui ai caressé les seins. Je lui ai tiré sur les tétons et je lui ai mis des petites claques sur ses grosses mamelles qui étaient opulentes. Je lui ai écarté les cuisses, mais elle m’a grandement facilité la tâche. J’ai attrapé à pleine main sa touffe de poils et j’ai tiré dessus très fort ! Elle a commencé à gémir sous ma main qui était toujours sur sa bouche. J’ai passé ensuite mon majeur entre ses lèvres qui étaient détrempées de mouille. Ses lèvres étaient gonflées par la grossesse et par l’excitation. Je lui ai glissé le majeur dans la fente et c’est rentré comme dans du beurre. J’ai donc mis un second puis un troisième puis un quatrième doigt. C’est la paume de la main qui m’a empêché de lui fister le vagin.
Elle avait fait une énorme trace de mouille sur le lit ce qui m’a conforté que ma mère était une salope. Je me suis essuyé la main sur son visage et je me suis mis au bord du lit entre ses cuisses. J’ai baissé mon pantalon, mon caleçon et j’ai sorti mon sexe tendu. Elle a tenté de se relever, mais je l’ai poussée en arrière. J’ai frotté ma queue entre ses lèvres plus qu’humides et j’ai poussé d’un coup de reins.
Je me suis enfoncé dans la chatte de ma mère qui était enceinte de ma petite sœur. Je l’ai attrapée par les cuisses et je l’ai attirée vers moi pour mieux la sentir. Elle m’a aidé et a replié les cuisses sur son ventre pour que j’aille plus loin en elle. Cela a été bref, mais intense. Je n’ai pas dû durer plus de deux minutes. Je la baisais vigoureusement et je lui tirais les tétons pour me faire revenir en elle. Je lui ai percuté le vagin pendant un bon moment avant de me retirer et de vider 15 jours d’abstinence sur son gros ventre de femme enceinte.
Je me suis essuyé la dernière goutte sur sa touffe avant de relever mon pantalon et de filer sous la douche. Lorsque je suis sorti de la salle de bain, je me suis trouvé face à face avec mon beau-père. Je m’attendais à ce qu’il y ait une bagarre ou à me prendre un coup de poing en pleine gueule. Il m’a simplement demandé si ma matinée s’était bien passée et que je pouvais venir à table, car ma mère et lui m’attendaient. Ma mère était tout sourire et a fait comme si de rien n’était.
Cela ne s’est jamais reproduit et aujourd’hui, j’ai 28 ans, et nous n’en parlons toujours pas. Ma petite sœur se porte bien et je l’adore !
Voilà ma contribution à vos histoires taboues en espérant que vous la publierez, car cela m’a fait énormément de bien de le dire à quelqu’un.
Fabrice 28 ans Colmar