Je m’appelle Sexyelfes voici l’histoire de ma vie 6
Une descente totale dans la dĂ©chĂ©ance et le dĂ©sĹ“uvrement, offerte pendant des mois, nuits et jours Ă tous ces hommes qui souhaitaient me rencontrer, la porte ouverte, nue en permanence j’Ă©tais Ă leur totale disposition, le sperme dĂ©gorgeant de tous mes orifices, c’Ă©tait une Ă©poque oĂą l’on ne parlait pas encore de certaines maladies.
Proposée le 11/01/2021 par sexyelfes Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: InclassableType: Histoire vraie
Je restais chez mes parents pendant quelques semaines, mais je ne supportais plus l’ambiance. Pour profiter de ma libertĂ©, je dĂ©cidai de dĂ©mĂ©nager dans une grande ville du sud oĂą je vivotais. Je cherchais du travail en passant d’un stage Ă l’autre sans pouvoir dĂ©crocher d’emploi fixe. Les longues pĂ©riodes d’inactivitĂ© pesaient sur le moral. Pour tuer le temps et pour le goĂ»t de l’aventure, je traĂ®nais frĂ©quemment dans certains bars oĂą je rencontrais des hommes de passage qui m’offraient gentiment un cafĂ© en espĂ©rant toujours plus. Toujours habillĂ©e sexy, sans rien sous mes vĂŞtements, je sortais court vĂŞtue. J’avais toujours eu une solide rĂ©putation de salope. Cela plaisait beaucoup Ă ces messieurs. AppâtĂ©s par mes cuisses que j’exhibais et mes seins en libertĂ©, j’en ramenais frĂ©quemment dans mon petit appartement situĂ© dans une rue passante du centre-ville. On me traitait de pute. Cela m’Ă©tait Ă©gal, j’avais l’habitude. Pourtant, je ne me suis jamais fait payer. Pour moi, le dĂ©sir des rencontres multiples prime sur tout. J’adore le contact charnel.
L’ennui et le plaisir aidant, je recevais de plus en plus souvent des hommes qui me dĂ©siraient. Sympathiques, ils apportaient des bières, des chips, et de l’alcool qui a le pouvoir de me dĂ©sinhiber. Ils le savaient. Je revoyais souvent les mĂŞmes mecs qui, parlant entre eux, me prĂ©sentaient Ă d’autres. J’Ă©tais de moins en moins seule. J’estimais beaucoup leur prĂ©sence qui me faisait chaud au cĹ“ur.
Ă€ la demande de ces hommes, ma porte n’Ă©tait plus verrouillĂ©e : de toute manière, il n’y avait plus de serrure. Ces invitĂ©s permanents ou occasionnels entraient chez moi Ă toute heure du jour ou de la nuit. Ils savaient que j’Ă©tais toujours disponible pour eux. Je vibrais de surprise et d’apprĂ©hension quand j’entendais un ou des hommes entrer dans le petit couloir menant Ă l’unique pièce de mon logement. Ă€ leur arrivĂ©e, ils me trouvaient nue et ne se gĂŞnaient pas pour me peloter et me coucher, bien souvent sans prononcer un mot, sur mon lit toujours dĂ©fait. Certaines heures Ă©taient plus propices aux visites. Le matin Ă©tait gĂ©nĂ©ralement tranquille. J’Ă©tais rarement rĂ©veillĂ©e. Je dormais très tard pour me reposer des folies de la nuit.
La pause de midi Ă©tait gĂ©nĂ©ralement animĂ©e. Certains hommes m’apportaient des sandwiches pour venir me voir. Ils ne me laissaient pas le temps de manger. Sans Ă©tat d’âme, ils venaient rapidement se vider avant de repartir bosser. C’Ă©tait une Ă©poque oĂą l’on ne parlait pas encore du sida. Les sexes masculins passaient d’un orifice Ă l’autre pour mon plus grand contentement. Mes trous dĂ©gorgeaient de sperme. Les hommes, connus ou inconnus, me trouvaient souvent couchĂ©e sur le lit Ă leur arrivĂ©e. J’avais l’entrecuisse poisseux, le visage le ventre et les jambes couverts de jus dessĂ©chĂ©. J’ai souvent Ă©tĂ© traĂ®nĂ©e sous la douche sous les rires moqueurs, pour ĂŞtre lavĂ©e Ă grande eau ! D’autres arrivaient Ă plusieurs pour me faire boire sous prĂ©texte que j’Ă©tais alors plus docile. Nous trinquions Ă mĂŞme la bouteille. Quand j’Ă©tais bien ivre, ils s’amusaient avec moi. J’Ă©tais toujours prĂŞte Ă faire toutes les folies sexuelles imaginables. Un soir, ils Ă©taient venus Ă quatre. L’un d’eux, qui me connaissait, avait emmenĂ© trois de ses connaissances du Maghreb. Ils me saluèrent sympathiquement, leurs mains suivant les courbes de mon corps. Quelques gorgĂ©es de Scotch plus tard, j’Ă©tais bien. Je passais de l’un Ă l’autre avec plaisir. Ils Ă©taient virils et bien membrĂ©s. Après s’ĂŞtre bien vidĂ©s, peu avant minuit, ils dĂ©cidèrent de m’emmener finir la soirĂ©e dans le bar d’un de leurs amis. Ils choisirent pour moi une petite robe que je passais sur mon corps couvert de sperme parfumĂ©. Elle moulait mes seins et mes fesses. Je n’avais plus l’habitude de m’habiller après avoir vĂ©cu nue durant des semaines. Parvenus Ă l’autre bout de la ville, ils arrĂŞtèrent le vĂ©hicule devant un petit bar de quartier peu reluisant. Heureusement, je connaissais bien l’un de mes partenaires, sinon je n’aurais pas Ă©tĂ© tranquille. Ils continuaient de me faire boire de l’alcool au goulot d’une bouteille qu’ils avaient emportĂ©e avec eux. J’Ă©tais littĂ©ralement anesthĂ©siĂ©e. Je tenais tout juste sur mes jambes. Ils me soutinrent d’une main sous les fesses, les doigts enfoncĂ©s dans le cul, pour faire les quelques mètres qui nous sĂ©paraient de la porte d’entrĂ©e. Une fois Ă l’intĂ©rieur, je trouvai l’atmosphère enfumĂ©e presque irrespirable. Trois individus basanĂ©s discutaient affalĂ©s contre le comptoir. Le patron, imposant, la cinquantaine bien passĂ©e, une serviette d’un blanc douteux sur l’Ă©paule nous avait saluĂ©s. En me dĂ©taillant de plus près, il leur avait demandĂ© en riant d’oĂą sortait cette salope. Ils s’expliquèrent rapidement pendant que nous prenions place dans un coin du bar. Des clients attablĂ©s ne perdaient pas une miette de l’histoire. Quelques verres de plus et je fus complètement ivre. L’un des acolytes se mit derrière moi pour me soutenir, une main fourrĂ©e dans ma chatte liquide. Tout en me pinçant les seins, il descendit ma robe sur les hanches. Je vibrais de plaisir. J’adore ce moment oĂą je parais nue au milieu du monde ! Avec un bel ensemble, toutes les personnes prĂ©sentes se sont approchĂ©es. Quelqu’un que je ne voyais pas tant ma vue Ă©tait troublĂ©e par l’alcool, arracha ma robe. J’ai alors Ă©tĂ© allongĂ©e sur la toile cirĂ©e et collante d’une table. Le ballet des bites a commencĂ© pour mon plus grand plaisir. Tous ces hommes me baisaient, m’enculaient, me donnaient leurs nĹ“uds Ă sucer, et tous m’aspergeaient de leur foutre. Cinq, dix ? Je ne comptais pas. Je jouissais en permanence. C’est ivre de sperme et d’alcool, qu’ils m’ont emmenĂ©e sur ma demande aux toilettes. J’avais une envie folle de me vider. La chasse est cassĂ©e, avait dit le patron qui nous suivait pour profiter du spectacle.
Ils m’ont assise sur la lunette Ă la propretĂ© discutable. Il y avait partout de l’urine et du papier froissĂ©. C’Ă©tait dĂ©goutant. Le ventre sous pression, je me laissais aller et me soulageais devant eux. En me voyant dans cette position, l’un des compères s’Ă©tait emparĂ© de la brosse Ă w.c.. Tout en me traitant de grosse pute, de traĂ®nĂ©e, de salope et en me lançant d’autres insultes auxquelles je ne prĂŞtais pas attention, il avait plongĂ© l’instrument dans le liquide nausĂ©abond de la cuvette et l’avait passĂ© le long de mon corps, sur mes seins, dans le cou et sur les cuisses. Je dĂ©goulinais de liquide rĂ©pugnant et du papier hygiĂ©nique souillĂ© collait Ă ma peau. Il avait replongĂ© rapidement la brosse dans le cloaque infect et l’avait plaquĂ©e violemment contre ma chatte aux lèvres grandes ouvertes pour me branler. Sur le coup, je hurlai de douleur. La brosse brĂ»lait mon sexe dĂ©jĂ malmenĂ©. Tout d’un coup, j’ai ressenti monter la jouissance en moi. J’avais un tel plaisir qui Ă©clatait dans tout mon corps avec une telle force que j’avais perdu connaissance. Je ne sais pas ce qui s’est passĂ© durant mon Ă©vanouissement. J’ai repris mes esprits quelques minutes plus tard. J’Ă©tais allongĂ©e nue sur le sol poisseux, complètement vannĂ©e et dĂ©faite. J’Ă©tais couverte d’urine. Trois d’entre eux qui Ă©taient encore lĂ , m’essuyèrent sommairement et me reconduisirent Ă mon appartement. OĂą je m’effondrai totalement extĂ©nuĂ©e.
Une quinzaine de jours plus tard, j’Ă©tais allongĂ©e sur la table en train de me faire dĂ©foncer par des hommes que je ne connaissais pas. L’un deux profondĂ©ment enfoncĂ© dans ma gorge a vidĂ© ses couilles dans ma bouche et sur mon visage. Quelques instants plus tard, alors que je savourais encore le jus que j’avais sur les lèvres, les trois MaghrĂ©bins de l’autre soir que je reconnaissais, ouvrirent la porte, une bouteille d’alcool Ă la main. Courtois, ils saluèrent les mecs qui venaient de finir de me baiser et se proposèrent de prendre la suite. En me levant pour les accueillir, encore en transe, je frissonnais. Du sperme brĂ»lant coulait sur mon visage. L’un d’eux essuya le jus avec ses doigts rugueux et me les donna Ă lĂ©cher. Je me rĂ©galai en suçant docilement la main tandis que les deux autres gars me lançaient des quolibets moqueurs. L’un d’eux me tendant la bouteille de gin, me demanda de boire. Il l’a fermement insĂ©rĂ©e entre mes lèvres. J’avalais plusieurs gorgĂ©es pendant que les deux autres visitaient mes orifices avec leurs doigts inquisiteurs. L’alcool faisait son effet. Ma tĂŞte commençait Ă tourner. Ils me forcèrent Ă me lever et m’obligèrent Ă sortir dans la rue dĂ©serte. J’Ă©tais complètement nue. Leur voiture Ă©tait stationnĂ©e en face de la porte. Ils me chargèrent Ă son bord. Sur la banquette arrière, calĂ©e sur les genoux des deux compères, j’avais les jambes largement Ă©cartĂ©es. Je sentais le sperme qui s’Ă©coulait doucement de ma fente largement dilatĂ©e sur le tissu du siège. Un homme me pinça sans douceur les seins tandis que l’autre me tripotait sauvagement le clito. Je hurlais de douleur et de plaisir. Je finissais de vider la bouteille d’alcool lorsque l’auto s’arrĂŞta devant le mĂŞme bar que l’autre fois. Je protestais faiblement et sans conviction lorsqu’ils me poussèrent sans mĂ©nagement hors du vĂ©hicule. La fraicheur de la nuit et l’apprĂ©hension de ce qui allait m’arriver me firent frissonner. Mes tĂ©tons se durcirent. Cela n’Ă©chappa pas au regard du chauffeur qui le fit remarquer Ă ses copains en disant qu’ils allaient me faire baiser Ă mort et que cela allait me calmer et me rĂ©chauffer ! En me poussant vers la porte, j’entrevoyais de nombreuses silhouettes Ă travers les rideaux de tissus Ă moitiĂ© fermĂ©s. Je percevais un brouhaha de voix et de rires qui provenait de la foule entassĂ©e dans le bar qui m’inquiĂ©tait, bien que je sois Ă demi inconsciente. Une fois Ă l’intĂ©rieur dans la chaleur suffocante, mon entrĂ©e fit impression. Toutes les tĂŞtes se tournèrent vers moi en me dĂ©visageant comme si j’Ă©tais une extra-terrestre. Le silence s’instaura. Il y avait lĂ des immigrĂ©s de tous âges. Les trois individus qui m’avaient emmenĂ©e me collèrent au bar. J’entendis le patron leur dire qu’ils avaient mis du temps pour arriver et qu’il s’impatientait. Ă€ partir de ce moment, je n’ai pas eu un moment de rĂ©pit. Je suis passĂ©e de main en main.
On continuait de me faire boire Ă plus soif. Ivre morte, je rampais sur le sol couvert de sciure et de cendres de cigarettes. J’allais d’un sexe Ă l’autre, douchĂ©e de bière et de sperme, totalement soumise aux envies de ces hommes. Leurs mains pĂ©trissaient et pinçaient sans douceur toutes les parties de mon corps. Je jouissais de plaisir. On me ramena au petit matin dans mon studio. Plus tard, je me rĂ©veillai couchĂ©e sur le parquet de l’entrĂ©e. J’Ă©tais tellement endolorie et irritĂ©e que je me traĂ®nais jusqu’Ă mon lit.
Cette débauche de sexe, ces plaisirs déments et jouissifs ont duré du mois de juin à la mi-août.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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