Résumé des épisodes précédents : Sébastien, jeune parisien amateur d’objets anciens, continue ses explorations et ses confessions. Ce dimanche d’hiver, il a décidé d’aller visiter un salon d’antiquités en banlieue : peu d’achats, mais une belle rencontre…Je pense que l’on s’en est rendu compte, maintenant, au fil des textes : je suis doux et assez tactile.Que ce soit avec les femmes ou les hommes, j’apprécie le contact, je brise facilement la glace, je suis très vite bavard – voire trop – et amical, beaucoup.De fait, je ne suis pas contrariant et j’essaye de donner, le plus souvent possible, aux gens, ce qu’ils attendent de moi. C’est comme ça dans ma vie personnelle, comme dans ma vie professionnelle.Voilà , rien de grave ! Je suis tactile et j’ai l’impression d’envoyer le message permanent d’être un peu toujours OK pour tout et n’importe quoi : écouter jusqu’à pas d’heure les gens me raconter leur vie, se confesser, danser, rire, ou finir à genoux silencieux, la verge d’un homme, encore inconnu quelque minutes avant, plantée dans la bouche, enfoncée à plein, dans les toilettes d’un bar. C’est comme ça.Je dois préciser aussi que j’ai un faible pour les personnes plus âgées que moi, des deux sexes. J’aime bien les plus âgés. Cinquante, soixante, soixante-dix ans, sont des âges qui ne m’effraient pas. J’ai toujours apprécié les gens plus âgés, bien plus âgés que moi. J’aime les histoires qu’ils ont à raconter et le temps qu’ils n’hésitent plus à perdre. Je me suis toujours senti plus à l’aise avec eux qu’avec les gens de mon âge, les jeunes. Les gens âgés sont moins dans la compétition, plus dans la transmission avec moi.J’ai parlé de mes expériences dans les brocantes ou chez les antiquaires, dans les épisodes précédents. Et c’est vraiment lié à ça. C’est vraiment au cœur de ma vie.Clairement, j’aime ce qui a vécu et ceux qui ont vécu. C’est valable chez moi, pour les objets, comme pour les gens.Et puis j’adore les personnes passionnées : les amateurs, les collectionneurs, discuter avec eux d’anecdotes ou d’événements historiques liés aux objets qu’ils ont chez eux. Les gens qui ont un cabinet de curiosités, une collection, sont toujours très intéressants.C’est comme ça. Sans que je l’aie spécifiquement recherché. La plupart du temps ces gens, ils ont dépassé la vingtaine depuis un bout de temps.En plus, les seniors savent recevoir. Et puis ils ont souvent des chambres vides. Des pièces vidées de leurs enfants devenus grands et partis, des chambres d’adolescents devenues des chambres d’amis. Ils sont alors seuls, mais ils savent encore cajoler. Et ils sont moins guindés, plus francs, plus joyeux. Les vieux sont les nouveaux jeunes ! Je vous le dis.Enfin bref, c’est d’un épisode assez chaud de cet ordre, le « bel accueil d’une vieille dame », arrivé lors d’une livraison inopinée en province que j’aimerais évoquer aujourd’hui.De fait, je venais de vendre sur eBay une grande lithographie de Foujita, assez triste, un cadre pas du tout à mon goût, mais signé, et j’étais énervé. C’était une belle pièce que j’avais achetée sur un vide-grenier du Val-d’Oise pas très cher. Je pensais l’apprécier, mais finalement non, elle me déprimait. Alors j’avais mis l’œuvre en vente sur eBay, sans grand espoir, vu le papier passé, à un prix de départ modique : cinquante euros.Comme elle était grande, dans un cadre en bois massif ancien bien fait, mais fragile, j’avais bien précisé dans l’annonce que j’acceptais exclusivement les remises en main propre, ou les livraisons, mais en France seulement et avec les frais à la charge de l’acheteur.Et évidemment, comme j’avais bien précisé « ventes pour la France uniquement » c’est un homme italien qui avait remporté les enchères…J’avais donc enragé un peu, et puis, après un échange très sympathique, l’homme m’avait donné l’adresse d’une de ses amies, une infirmière libérale en retraite installée près de Beaugency, Mireille, qui acceptait de réceptionner pour lui le cadre. Il payait d’avance la course. J’acceptais dès lors de me rendre à Beaugency.Rendez-vous fut pris, avec son amie des bords de Loire, pour le week-end suivant.Je me souviens qu’au téléphone cette dame était enjouée et assez curieuse de ma personne. Elle était ravie que j’eusse moins de 30 ans. Elle préparerait un goûter et serait « ravie de m’accueillir », précisa-t-elle. Avais-je une « sorte de thé préférée » ? « Heu… de l’Earl Grey serait parfait », précisai-je. Si elle avait « autre chose de plus rare, pourquoi pas ! mais un thé basique m’irait ». Demander cette précision m’intriguait et me charmait. Je quittai Paris vers onze heures du matin ravi et ne déjeunais pas en route – je déjeune rarement le midi, ça m’endort –, je préférais l’opportunité d’une pause en bord de Loire.Je me souviens que le ciel était très bleu, à peine ponctué par quelques nuages cotonneux d’été. J’avais vite passé un jean moulant sur mes jambes blanches, un t-shirt en coton de danseuse, au large col bâillant, comme je les affectionne, et des lunettes de soleil. J’hésitais à prendre un chapeau de paille pour appuyer encore plus mon androgynie et puis je me ravisais, et montai dans ma petite Citroën Saxo bleue, direction la Loire. L’autoroute était dégagée. Je roulais – vitres ouvertes – mes cheveux longs et roux dansaient dans le vent.M’arrêtant sur une aire pour prendre un café et fumer une cigarette, je remarquai que mon air de rouquin/rouquine juvénile plaisait assez à un père de famille. Je décidai d’en jouer et m’achetai une petite bouteille d’eau à la boutique de l’aire, bonne excuse pour s’approcher de lui. Je me postai ensuite, bouteille à la bouche, près de la carte du réseau autoroutier de France suspendue dans le hall carrelé de la station. Sur la carte une cigarette avait brûlé l’emplacement de l’endroit où nous étions. Bizarre. Je continuais mes rêveries tout en soutenant délicatement le regard du père de famille qui déambulait, cherchant régulièrement mon regard.Je me suis déjà décrit, je suis un garçon, en témoigne mon petit pénis, mais assez féminin. Je suis un rouquin mais je suis presque une rousse : cheveux longs, un corps un peu potelé, une peau qui marque, un nez retroussé, et des taches de rousseur un peu partout…En fait, je ressemble à Björn Johan Andresen, l’Antinoüs du Mort à Venise de Visconti.Je suis un garçon, oui, mais dans la rue par exemple, on me prend régulièrement pour une fille. Et j’aime cela. Ma peau pâle, mon petit ventre rond et doux, mes fesses en poire, délicates, et toujours prêtes à s’écarter, à s’offrir. Mon torse peu musclé. Travesti, la confusion est totale.Bref, je me mis à boire lentement mon eau fraîche en fixant des yeux ce père qui n’en perdait pas une miette. Je voyais ses yeux me détailler, son regard glissant sur mes bras blancs, sur mes hanches dessinées que l’on devait percevoir aisément sous mon t-shirt léger…Je commençais à divaguer, j’avais envie de sentir ses mains sur moi. Il était beau, si sage en jeans et polo. Il commençait à franchement m’exciter. Alors je le dévisageais d’un air plus effronté. Nonchalamment, je m’approchai doucement des toilettes des hommes en me retournant, le regardant avec insistance, l’invitation était claire et je savais qu’elle était comprise, ses regards appuyés, sa main droite, au fur et à mesure, venue presque imperceptiblement se rapprocher de sa poche et finalement se poser sur l’orée de la bosse faite dans son jeans par son sexe ne me laissaient plus aucun doute : il me voulait.Balayant du regard la station, sans doute avait-il peur d’être surpris, il marcha soudain enfin vers moi ! Mon cœur bondit dans sa cage. J’étais prêt à lui donner tout ce qu’il réclamerait, mes mains, ma bouche, mon cul ! Il aurait tout dans le temps record du plein de leur monospace par sa femme ! Et encore plus s’il le voulait. Je les suivrai en cachette dans le camping où il irait et il pourrait la nuit venir couler en moi, après avoir coulé dans sa femme.Mais mon rêve s’envola quand, alors qu’il n’était plus qu’à quelques mètres de moi, l’un de ses ravissants enfants vint se blottir dans ses jambes, lui expliquant que leur « maman » le cherchait « pour partir ».Ainsi, en quelques secondes, tous mes plans s’effondraient, et mon bel amant rêvé repartit vers sa voiture, escorté par sa magnifique femme et ses quatre jolis enfants. Quand même, arrivé à son véhicule familial garé devant la station, je le vis me chercher du regard à travers la vitre du hall. Je sentis dans son regard l’expression de remords profonds. Je plantai alors mes yeux dans les siens et lui adressai une moue boudeuse sans équivoque, avant qu’il ne disparaisse dans son véhicule. Sa femme, elle, me dévisagea. Avait-elle vraiment été dupe de tout notre manège ?C’est donc la tête pleine de songes, déçu, que je repris la route. La bosse dans son jean qu’il caressait doucement m’avait fait bigrement envie. Tant pis, le voyage continuait, il me réserverait peut-être d’autres aventures.La Loire était belle, je fus vite garé au bord du fleuve. De fait, j’étais en avance. J’allais donc me promener au bord de l’eau, m’organisant un petit bain de soleil inopiné. M’étant trouvé un petit banc de sable et de galets mêlés à l’abri des buissons, abrité par d’étranges dunes mamelonnées de terre couverte d’herbes et touchant l’eau, j’allongeai mon corps blanc au soleil après m’être enduit de crème solaire. Allongé sur ma serviette, chairs offertes aux caresses du soleil et d’un vent léger, je retirai bientôt la culotte en coton que j’avais tantôt gardée pour libérer mon petit pénis, frêle et menu, et l’offrir avec le reste de mon corps avide aux UV. Je regardais mon corps : mon ventre si féminin, mon doux pubis blanc et renflé… dessous… mon petit sexe mâle, blanc et carmin, me sembla bien incongru, une petite décoration, une broche mal accrochée à un corps trop femelle.Le soleil réchauffait mon corps nu et, allongé sur la couverture que j’avais disposée au sol, une couverture à carreaux écossais que je garde toujours dans ma voiture, mes pieds pâles étaient serrés l’un contre l’autre, presque roses. J’alternais poses côté pile et poses côté face, un délice.Personne ne semblait peupler les parages. Seul me provenait de mon environnement le bruit des oiseaux des alentours et le bruissement des roseaux qui ployaient parfois sous l’effet du vent. Doucement, je commençais à me toucher un peu.Allongé, je passais furtivement ma main sur ma cuisse puis sur ma petite verge qui gonfla lentement au soleil. Mon index et mon majeur glissaient doucement sur ma hampe courte, doucement. Je ne cherchais rien de plus qu’une petite détente, une exhibition au soleil. Détendu, entouré par l’eau, je me mis à imaginer alors qu’un homme passant par là me surprendrait et viendrait s’asseoir près de moi.Au début, je l’imaginais qui sympathisait sans arrière-pensée, discutant avec moi de tout et de rien, de la Loire et du soleil au-dessus de nous. Puis j’imaginai des éclats de rire, une blague dite, une sympathie communicative. Je me voyais alors lui proposer de me rejoindre dans mon bain de soleil. Je lui offrirai une cigarette, et clope à la bouche, il se retrouverait bientôt lui aussi en tenue d’Adam, prenant le soleil à mes côtés.Tout en discutant j’imaginais son regard venir s’appesantir sur certaines zones de mon corps, chercher à circonscrire mon triangle, mes fesses. Ma main commençant alors à caresser son dos, comme un assentiment. Puis dans mon rêve nos mains se frôlaient, puis se touchaient. Alors je partais à la découverte de son corps, de son dos, puis de ses cuisses fermes et enfin de son sexe. J’imaginais le branler, doucement, et sa main droite chercher ma petite verge pressée. Une branlette mutuelle nous arrachait des soupirs étouffés qui se perdaient sur le fleuve, dans le vent. Nos doigts habiles faisant monter et descendre les peaux radieuses de nos prépuces avides. Sa verge était charnue. Son sexe, épais, avide et bronzé, appelait ma bouche. Je descendais alors doucement pour offrir mes lèvres en baisers et après, derrière, l’abri de ma bouche à sa verge charnue qui même molle l’emplissait.J’embrassais, sa belle queue, la gobais, essayant d’éteindre le feu intense envahissant sa verge gonflée au creux de ma gorge humide et avide d’être comblée. Je l’engamais jusqu’à un début de nausée, acceptée, pour que son plaisir et le mien soient complets. Lui pendant ce temps caressait mes boucles rousses, ma nuque, puis enfin mon sexe pour le presser, le malaxer, le traire et tâter mes deux cerises avides de tendresse.Avide de le sentir en moi, je m’imaginais les yeux embués, me tortiller, me cambrer, vaincu, prêt à être pris comme une bonne petite chienne. L’appel de mon corps serait compris et je m’offrirais alors sur le ventre, le dos bien cambré, bonne femelle, sûr d’assurer au creux de mes fesses dessinées en cœur l’asile attendu.Dans ma rêverie, alors que mon amant fourrageait en rêve de sa hampe épaisse mon étroit couloir amoureux, sa main droite venait encore saisir mon petit bijou de garçon. Il jouait avec ma verge, il tassait mon sexe, bulle, boule de chair mi-rentrée. Je ne supportai alors pas plus de stimulation et mes petites couilles, mes deux petites mirabelles roses se vidaient alors dans ses doigts. Ma petite verge, tenue fermement par sa main, se répandait en giclées lourdes et grasses, écrasées et ravies, bulles éclatées. Mon cul empli sentait en lui monter une chaleur plus profonde encore. Rassasié, mon inconnu explosait dans le secret de mon corps, vidant sa longue couleuvre au fond de mon doux couloir en spasmes successifs. Je me cambrai alors pour en cueillir le maximum.Seul en bord de Loire, absorbé par mes rêveries, je me masturbais maintenant frénétiquement sans plus m’occuper du tout de ce qui m’entourait. Mon sexe était tendu, au diapason de mes rêves assourdissants. J’avais envie de jouir. J’avais envie de couler et d’être pris. Mais j’annulai bientôt ma montée vers l’orgasme. J’ouvris les yeux. Je voulais deviner une silhouette masculine quelque part, pour me contempler, me rejoindre et jouir en moi. Mais autour, personne. Seulement le soleil, le vent, l’eau, les roseaux, les saules et le vol d’un héron. Alors finalement, j’offrais ma jouissance au paysage nu. De petites giclées serrées coulèrent sur les foins.Je regardai mon téléphone : 15 h 30. Il était temps d’y aller, je me rhabillai.J’arrivai un quart d’heure plus tard à l’adresse indiquée, près de Beaugency. Mon hôtesse, Mireille, m’attendait devant sa maison, debout, les pieds joints, vêtue d’une jupe crayon noir, et d’un chemisier blanc, sur son allée de gravillons pour m’ouvrir la grille de sa jolie propriété. C’était une dame d’une soixantaine d’années, très élégante. Elle était blonde, les cheveux teintés avec justesse, et bien maquillée. Je sortais tout de suite de ma voiture la lithographie que j’étais venue livrer pour son ami italien. Elle alla rapidement déposer celle-ci dans une pièce qui devait lui servir à la fois de salon et de bureau puis elle m’entraîna jusqu’à la salle à manger sans plus de question.Là , sur la table, tout avait été préparé pour le thé promis. Mireille était adorable, très accueillante. Elle était « ravie de voir une nouvelle tête », et selon elle, j’étais « charmant », « tout comme elle m’avait imaginé ». Tout de suite, je remarquai le décolleté généreux de mon hôtesse. Son chemisier blanc largement ouvert et la fine bordure de dentelle qui le terminait initiaient un soutien-gorge d’un blanc éclatant très raffiné, et bien rempli. Quelque chose comme un 100 D ou E qui aiguillait ma jalousie. Quelle belle poitrine et quel beau corps de femme mûre s’offraient à mon regard !La maison aussi était ravissante. Plafond assez bas aux poutres apparentes serrées, assiettes anciennes aux murs, des ustensiles de cuisine anciens en cuivre un peu partout… Je remarquai aussi quelques jolis étains anciens, sans doute du XVIIIe siècle. Devant mon intérêt, mon hôtesse m’expliqua qu’elle avait chiné la plupart des objets. Elle vivait seule dans cette maison rustique, au sol recouvert de tomettes huilées. Elle avait appuyé sur le « seule ».Elle continua, affable. Mireille était « vraiment ravie » d’accueillir un hôte « si souriant », « si joli garçon » et en plus amateur, comme elle, d’objets anciens. J’étais « une chose bien mignonne », « un petit livreur très séduisant ». Pour elle, je ressemblais avec mes cheveux fous et roux « à un petit pâtre ». Je comprenais bien à ses expressions attendries qu’elle ne m’élevait pas dans les hauteurs de la virilité mais que je ne lui en semblais pas pour autant complètement à jeter. Elle devait me voir comme un genre de friandise sucrée venue égayer sa journée.Il me sembla également que plusieurs fois au cours de ce début de discussion sa main vint effleurer ma main à dessein, cherchant un contact. Pour tout dire, à moi aussi, elle aussi semblait être une belle chose sucrée, mais plutôt une pâtisserie, un gâteau charpenté et riche en sucre et en alcool, quelque chose qui marquait votre bouche, comme un baba au rhum. Elle me sembla tout de suite avoir un caractère ouvert et savoir séduire. Elle était si polie, tout en rire et exagération, mais derrière un côté « mamie-gâteau » je sentais pointer autre chose, un côté polisson, sensuel et coquin.Tout au long de la discussion, je m’empressais de retourner ses compliments et d’entrer dans son jeu, par politesse d’abord, et puis parce que petit à petit ces titillages m’excitaient et éveillaient en moi des idées lubriques. Jusqu’où irait-elle ? me demandai-je. Je déclarai que j’avais moi aussi de la chance d’être « tombé » sur une « hôtesse aussi charmante » et aussi « séduisante », et qui savait « si bien recevoir ». Je plissai les yeux et lui souris. Je fis honneur au thé et aux gâteaux, ravi de donner le change.Soudain, alors que la discussion battait son plein, nous parlions du Paris des années 1960 qu’elle avait bien connu, je sentis sa main, au poignet alourdi par plusieurs gros bracelets d’ivoire, se poser sur ma cuisse et la presser, restant là plusieurs secondes, semblant y prendre un certain plaisir.Depuis le début de notre entrevue, je l’avais trouvée très sympathique et de fait assez attirante. J’imaginais qu’elle devait avoir beaucoup plu et qu’elle devait encore plaire aux hommes.Je l’imaginais, retraitée, douce et sensuelle, se donnant encore aux hommes qui franchissaient la grille dans sa retraite de Beaugency, un livreur de colis, un jeune jardinier venu tailler une haie et évidemment son ami italien qui devait sans doute la lutiner lui aussi. J’en avais maintenant la certitude, par son attitude elle aussi si tactile, Mireille était une petite cochonne, comme moi.Tout cela me donna envie de pousser le jeu. J’avais un peu honte, soudain, d’avoir ce genre de pensées un peu incestueuses avec cette femme qui aurait pu être ma grand-mère mais tant pis, elle m’amusait et m’excitait follement. Alors je m’enfonçais dans son jeu, aussi incertain qu’il fût.Après tout, rien ne m’interdisait de tenter quelque chose avec elle. Je nous imaginais alors nus, découvrant son corps dans son lit, un lit qui comme elle devait forcément être accueillant.Alors, soudain plein d’arrière-pensées, pour lui demander une troisième tasse de thé, je posai ma main sur son épaule. Elle ne la chassa pas et me servit.Puis nous passâmes au Vouvray, très frais. Je l’aidai alors à aller chercher des verres en cuisine et je posai une main sur ses hanches. Elle rit, mais, comme électrisée et attentive, elle se cambra un peu et se redressa tout en marchant, heureuse du contact, ralentissant quand elle sentait ma peau la quitter pour mieux revenir à la pression de ma main qui l’accompagnait.Dans la cuisine, nous ne cessions de nous frôler, de nous attraper par la taille pour nous décaler, pour nous chahuter. Je la gênais pour accéder à un placard ? Elle me saisissait par les hanches pour me pousser doucement. Elle me gênait pour mettre une tasse dans le lave-vaisselle ? Je l’orientais sur la droite, une main posée sur le haut de sa fesse gauche. Nos jeux étaient de moins en moins innocents.Nous étions presque à nous peloter et la discussion continuait. J’étais étonné par sa jeunesse d’esprit, sa culture aussi, elle connaissait très bien Foujita, les peintres de Montparnasse et leurs vies dissolues. L’alcool aidant, nous nous mîmes à nous tutoyer. Elle se mit carrément à m’appeler « mon chéri », et « bichon ».Nous partîmes explorer la maison. Elle voulait me montrer ses barbotines et tous les bibelots sympathiques qu’elle avait amassés au fil des ans.Moi, j’étais maintenant en roue libre, décidé à rebondir sur toutes ses phrases à double sens et à la tripoter sans vergogne, pour jouer, pour l’amuser, autant qu’elle l’accepterait. Je devenais une gamine lubrique, obscène. Je me laissais porter, plein de défis. Elle-même se lâchait maintenant complètement côté grivois dans le secret de l’étage où nous étions montés.Nous jouions toutes les deux. Le vin, les mains baladeuses et nos rires m’avaient désinhibé.Sur un guéridon, j’appréciais un lot de petites tabatières anciennes, j’en commentai les pièces en la tenant par la taille. Elle avait posé ses mains sur les miennes quand j’attrapai un petit brûle-parfum en bronze. Passant devant des photos d’elle datant des années 1960 où elle était resplendissante, elle se désola de ce que devenait sa poitrine qu’elle trouvait trop ridée et trop pendante désormais. Je lui répondis, j’avais clairement un coup dans le nez que « non » et que ses seins étaient magnifiques et, effronté, je joignis le geste à la parole en saisissant à pleines mains les deux lourds globes de ses seins !Mes paumes doublaient maintenant le large panier à demi-ouvert de son chemisier très fin et d’un blanc éclatant. Je sentais les reliefs de la dentelle de son soutien-gorge de très bonne qualité. Ses seins étaient lourds et pesants mais je les sentais pourtant frissonner dans mes mains. Mireille ferma les yeux et se pencha légèrement en avant, acquiesçant par là à mon geste fou. Elle déposait ainsi dans mes mains sa poitrine triomphante dont j’appréciais maintenant tous les reliefs.J’hésitai, recueilli face à son offrande, puis j’ouvris finalement son chemisier pour libérer et embrasser ses seins lourds et finalement assez peu ridés. J’étais persuadé de découvrir sous la dentelle deux globes ridés, affaissés. Et de fait, il n’en était rien.Mon hôte, toujours en jupe crayon noire mais maintenant au chemisier béant, laissa s’échapper un souffle épais, quasiment un rugissement étouffé qui m’impressionna tout en m’imposant de continuer mes manœuvres. Aussi je m’empressais alors de libérer les deux globes ronds de leur prison de tissu en ouvrant complètement son chemisier et en dégrafant son soutien-gorge.Je reprenais un temps pour contempler encore ses seins, veinés, aux aréoles larges et aux tétons minces, deux gros globes de fromage frais, deux lourdes mottes de mozzarella. Je les contemplais puis les embrassais goulûment en les soutenant de mes mains qui disparaissaient allègrement sous la chair. Mireille avait maintenant rejeté en arrière son collier de perles pour me dégager son insolent buste dénudé de matrone.Sa jupe noire et son collant eux étaient toujours en place. Son souffle était encore plus alourdi. Ses mains descendirent vers ma braguette. Elle détacha les premiers boutons de mon pantalon pour atteindre ma culotte qui l’amusa beaucoup.— Oh ! Les jolis dessous que voilà , dit-elle. Je rougis. Elle renchérit : — Et que cache alors cette jolie petite culotte ? Elle descendit mon pantalon et ma culotte pour libérer ma petite verge qu’elle salua d’un « Oh ! La jolie chose ! » rieur, puis elle me branla un peu doucement et me dirigea vers le lit. Nous nous installâmes face à face, nues, debout sur nos genoux pliés dans le grand soleil qui inondait la pièce. Nous nous observâmes, puis nous frottâmes nos poitrines et nos cuisses l’une contre l’autre en nous embrassant généreusement. Je me noyais délicieusement dans son parfum empâté, un peu lourd et ses chairs volumineuses. J’aimais le son de nos pelles bruyantes. Elle comme moi étions affamés d’embrasser, goulus. Ma main descendit jusqu’à son pubis renflé, couvert de poils soyeux. Je descendis encore et sentis se dessiner sa fente, déjà humide. J’y enfonçai bientôt un doigt. Je traitais sa vulve comme j’aimais que l’on traite mon anus, avec une délicatesse toute marquée. Son sexe, qu’elle avait relevé vers moi, avala un, puis deux, puis trois de mes doigts explorateurs. Ils disparaissaient englués, humides, dans son vagin trempé qui semblait les avaler toujours plus loin à chaque fois. Elle s’était maintenant couchée sur le dos, torse mi-relevé. Je prenais un plaisir fou à fouiller l’intérieur de ses chairs. Nettement, maintenant, je distinguais la partie charnue de son utérus, plus dur, qui faisait comme un petit œuf au fond de son vagin et qu’elle venait désormais goulûment écraser contre mes doigts enchâssés en elle.Ses mains avaient lâché mon sexe pour venir reposer sur les draps. Elle gémissait de bruyants ahanements passionnés. — Hann ! C’est bon ! cria-t-elle presque. Puis elle se retourna, se mit à quatre pattes, pour me présenter son beau fessier, large et pâle, complètement trempé. Elle ahana encore :— Vas-y, continue. Entre plus de doigts, rentre tout ce que tu peux, mon chéri. Je rentrais de nouveau dans sa hauteur béante deux doigts, puis trois, poussant, tournant, cherchant à enfouir ma main entière dans sa grotte puissante et humide, qui m’intimidait un peu. Sa vulve résistait. Mon pouce, pourtant replié, gênait l’introduction. Son corps se contractait par vagues. Elle me sembla comme possédée. Je sentis qu’elle luttait, qu’elle cherchait à appuyer de tout son poids pour essayer de rentrer l’entièreté de ma petite main blanche en elle. Elle avait saisi les barres en cuivre de sa tête de lit. Ses soupirs étaient forts, décidés.Soudain, ses chairs cédèrent à son envie trop forte et ma main entière disparut en elle. Mireille poussa alors un long cri de satisfaction. Elle avait gagné. Ma main entière avait disparu en elle. Son sexe triomphant avait accepté ma main. Nous étions tous les deux en sueur, prisonniers d’une position un peu étrange, ma main avalée dans son sexe avide.De mon autre main je caressais ses hanches, le bord de ses seins lourds écrasés contre le lit, l’intérieur de ses cuisses. Excité, je commençais alors à me branler, doucement. De mon autre main, je continuais mon travail de sape, branlant Mirielle toujours goulue de mon petit poing sérieux. Quand je me mis à bander suffisamment, je sollicitai l’autorisation de la pénétrer. Je l’entendis me dire dans un sourire :— Oui, vas-y, mon petit prince… Viens en moi ! Viens me mettre ta petite bite bien dure.Je retirai alors ma main de son sexe et y enfilai ma verge petite et brûlante, dure, en une seule fois. Oui je plantai, avide, brûlant, mon petit sexe fin d’à peine quatorze centimètres au creux de sa vulve béante sans quasi aucune résistance. Son sexe ferme épousa parfaitement la courbe de ma petite queue et en quelques coups rapides je jouis assez vite, comme un petit caniche ridicule. J’avais oublié de mettre une capote et je coulai en elle, comme un homme dans une femme. Redevenu mou, je me reculai. Je vis alors ruisseler mon sperme mêlé au sirop de son sexe le long de sa fente donc les lèvres pulsaient. C’était beau dans la lumière. Je revins un peu en elle, le temps d’y redevenir entièrement petit.Quand son sexe eut fini de se rétracter et d’expulser de lui ma tige redevenue molle et très modeste, nous partîmes en nous tenant par la taille prendre une douche commune. Elle me félicita, ses lourds globes ruisselaient d’eau et venaient parfois frotter contre moi. Elle me savonna partout, en profitant pour me rebranler tendrement un peu. Comme c’était bon !Puis l’après-midi avançant, elle me proposa d’aller prendre un bain de soleil dans un petit jardin clos aux murs couverts de lierre qui était derrière sa maison. J’acceptai. Sans nous rhabiller, nous nous disposâmes côte à côte sur deux chaises longues en plastique qui nous attendaient déjà . Sur un plateau, près des chaises, Mireille disposa un broc de citronnade plein de glaçons et deux verres qu’elle avait été chercher à la cuisine. Nous nous fîmes des confidences. Nous parlâmes de nos vies, de nos aventures. Elle me parla de ses hommes.Je lui parlais de mes rares amantes et surtout de mes amants, de mon attrait pour les corps virils et actifs. Racontant quelques anecdotes sensuelles, je concluais en ajoutant que son jardin était sans doute un enclos merveilleux pour se faire baiser. Elle rit, concluant que oui, c’était un endroit parfait pour la « chose ». De fil en aiguille, elle me proposa alors d’appeler une de ses connaissances, un homme d’une cinquantaine d’années adorant les culs de garçons. Elle me le vendit alors comme « un amant adorable, et bien équipé ». Évidemment, j’acceptai. Était-il beau comme le père de famille toisé sur l’autoroute ?Nous rentrâmes au salon. Elle appela son ami depuis un téléphone fixe à touches blanc des années 1980, un gros modèle de type Socotel. Je me tins derrière elle au cours de son appel. Oui, il serait ravi de me rencontrer. Elle resterait peut-être aider, oui.Mireille était vraiment une personnalité incroyable. Après avoir fait l’amour avec moi, elle organisait l’offrande de mes fesses à un homme plus âgé.L’homme riait au bout du fil. Moi je bâillais déjà du cul.L’attente ponctuée de rires et de sous-entendus me sembla interminable, j’allais deux fois aux toilettes, préparant mon corps, mais de fait les graviers de la cour crissèrent assez rapidement sous les roues d’un nouveau véhicule qui se gara près du mien. L’homme qui descendit d’une C4 noire me fit bon effet. Grand, moustache poivre et sel, de beaux yeux bleus, affable, assez musclé. Il était beau. Les présentations furent rapides et Mireille lui proposa directement de passer au jardin d’un air entendu. Un verre avait été ajouté sur le plateau, une chaise longue également. Nous ôtâmes rapidement les vêtements remis pour accueillir « Francis », et le bain de soleil reprit.La discussion introductive fut agréable. Nous parlâmes de la pluie et du beau temps, de la région, de ses vins. Alors qu’il parlait, mon regard parcourut son corps bronzé sans marque. Il devait lui aussi être adepte de bains de soleil réguliers, bien plus que moi ou que Mireille. Allait-il en bord de Loire ?Entre ses cuisses, au bas de son ventre légèrement bombé mais ferme et poilu, une belle verge s’épanouissait : bronzée, large. Au bout d’un moment, Mireille, qui avait suivi avec attention mon manège et mes regards vers l’objet de mon désir, lâcha dans un rire, ayant empoigné le plateau à boissons et se relevant : — Je vais un peu à la cuisine, j’ai trop chaud ! Amusez-vous bien les garçons ! Francis lui sourit, sûr qu’il allait bien s’amuser. Je lui lançai qu’elle serait « évidemment, toujours la bienvenue, elle était chez elle » en suivant sa silhouette nue, ondulante, qui repartait plateau en mains vers la maison, ses fesses larges qui balançaient, si séduisantes et joyeuses.Dès qu’elle eut refermé la porte du jardin derrière elle, je posai sans bruit ma main sur le sexe de Francis. Il était lourd dans ma main, chaud et déjà un peu dur à cœur. Francis ne se défendit pas. Sans bruit, je commençais à caresser son sexe, mon esprit s’embrumait, je sentais que sa verge, après deux caresses, grossissait déjà . Francis respira plus bruyamment. Il lâcha un « huuuuummm » de satisfaction sonore et gourmand. Il écarta les cuisses pour me permettre de donner plus d’ampleur à mon geste. Quelle belle queue charnue ! Un peu plate, elle me ravissait. Je n’en pouvais plus et quittai rapidement ma chaise pour me mettre à genoux à ses pieds, portant ma bouche jusqu’à son sexe offert qui mouillait déjà au niveau de son méat. Sa verge demi-molle encore me rappelait par sa forme ample, un gros cornichon, un concombre de mer. Je lapais son méat au goût salé puis j’avalai entièrement son gros sexe trapu, couilles comprises, dans ma bouche avec envie. Dans ma bouche, je le sentas, tassé de plus en plus par ma langue, grossir en moi. Au bas de mon dos, c’était le mouvement inverse. Je sentis mon cul se dilater, je lâchai malgré moi quelques pets silencieux, heureusement imperceptibles. Mon corps se préparait à l’accueil. Je sentis mon cul s’assouplir lentement, se préparer à accueillir la verge de Francis. Bientôt, sa bite trop grosse ne put plus tenir entre mes joues. Alors je changeai de technique : je léchais sa hampe avec avidité, j’absorbais son gros gland aplati. Je le branlais un peu, aussi. Il écartait maintenant largement les jambes : l’une d’un côté de la chaise, près de l’accoudoir, pendait vers le sol, l’autre était posée et légèrement fléchie sur le plastique de l’allonge du siège, le pied ramené sous lui, le torse tourné vers moi. Dans cette position, sa verge était parfaitement accessible à ma bouche. Je la gobais toujours plus loin.Son sexe était désormais entièrement dur. Il me demanda alors de lécher ses couilles et son anus. Je m’exécutai. Je flattais son sillon de ma langue. Tout occupé à lécher sa peau salée, je me cambrais encore plus. Cherchant à lui faire deviner que je le voulais maintenant qu’il s’occupe de moi.Il annonça un doigt lubrifié de salive à mon entrée, je gémis de plaisir.Il tourna un puis deux doigts en moi. Je glapissais presque. Les chairs assouplies, je gémissais, entrecoupant mes mots de gémissements :— Elle est grosse ta queue… Elle est belle… Hum… c’est bon de la sucer… Han.— Ah oui ? T’aimes ma grosse queue ? me répondit-il.— Huuum, oui ! Elle me défonce bien la bouche. J’ai grave envie que tu me prennes. Je veux la sentir en moi ? Tu veux mon cul ? lui lançai-je, effronté.— OK, mais suce-moi encore un peu. T’as vraiment une bouche attentive. J’adore. Huuum. Tu suces très bien mon chaton et tu vas bien loin.Ses deux mains étaient bien posées sur le fauteuil maintenant. Il profitait de ma bouche comme un seigneur de son trône.Je m’exécutais en rêvant qu’il m’empale enfin. Je voulais le sentir en moi. Son sexe était épais, dur, une vraie belle bite. Une belle bite entourée de poils bruns légèrement taillés. Je le suçais avec ardeur tout en espérant qu’il ne m’éclate pas en bouche. Je me défonçais la gorge, m’explosant le larynx sur sa tige presque osseuse. Mon cerveau était complètement perdu, mes jambes ? Du coton. Je perdais la tête à le sucer si goulûment. Je n’avais plus conscience de rien, ni du cadre, ni de l’heure, ni de Mirielle que j’avais oubliée. Parfois, j’entendais une hirondelle. Parfois revenait du fond de mes entrailles l’envie de le sentir en moi, de me faire empaler une fois pour toutes et j’oubliais tout, offert aux signes de l’attente. Enfin, il passa sa main sur mes fesses et m’inséra de nouveau un doigt. Je chancelais, gémis alors, à mon tour, avide d’être visité par en bas, cambré, frissonnant :— Huuum, vas-y, prépare-moi. Je veux que tu me baises. Je veux que tu me prennes maintenant.Il recula légèrement et sortit de la poche de son jean, qui reposait sur le sol, un petit sachet de gel qu’il déchira pour déposer une noisette de liquide froid sur l’orée plissée de mon anus, au creux de mon fessier ouvert en cœur, attentif, suppliant. Je fis un petit mouvement pour réclamer son doigt ou plus. Il enfonça sans peine un, puis deux doigts, je prononçai alors avec peine entre deux absorptions de quelques phrases mal articulées :— Huuuuuum… Oui… Touille-moi bien ! Mmmmh. Joue bien avec mon trou. Comme ça. Pas trop loin, ho ! Doucement, tourne encore, oui. Oh ! Oui ! Comme ça !Je sentais mes barrières lâcher une à une, ma tête me tournait :— Han, vas-y, va plus loin, touille bien mon cul, haaaan ! Tu sens comme je m’ouvre ? Comme je m’écarte pour toi ?Il répondit d’une voix posée, assurée :— Oui. Oui. Je sens que je vais être bien en toi ! T’as un joli petit cul, mon chat ! Je vais bien te baiser mon petit chat roux, t’inquiète ! répondit-il, un peu redressé sur le siège, haletant légèrement.Je couinai, excité, un peu plaintif :— Je suis pas un petit chat, je suis ta petite chatte, ta petite chatte bien docile, bien accueillante. Tu vas bien lui baiser le cul à ta petite chatte, hein ?Il répondit à ma question attentive par un « oh, oui » gourmand, alors que je continuais à le sucer, il se pencha de nouveau vers son pantalon posé au sol pour attraper cette fois une capote qu’il enfila prestement. J’en profitai pour m’installer à genoux, à demi replié sur la chaise longue installée en vis-à -vis de la sienne. Je lui tournais le dos, fesses offertes. Je voulais être pris en levrette, à genoux, offerte et cambrée. Francis ne se fit pas presser.Sans un mot, il vint se placer derrière moi. Très vite, je sentis son gros gland ganté de latex appuyer contre mon œillet. Son gland était gros et pesant, mais mon désir me poussait à fléchir les jambes et à me dilater pour l’accepter le plus vite possible. Je me sentis écarter lentement mais fermement. Centimètre après centimètre, sa tige s’enfonçait en moi, me remplissait et je l’accompagnais, les jambes écartées. Francis me souleva alors pour m’installer mieux sur la chaise longue, sur le côté, une jambe relevée pour dégager mon trou, l’autre étendue. Quand je fus bien installé dans ma nouvelle position, il reprit son assaut et je cédai complètement. Ma petite bite s’était parfaitement tassée et j’offrais entièrement mon cul dilaté et ouvert comme un cœur à Francis. J’étais une femelle possédée par son mâle. Dès lors, Francis me fouilla, joua en moi sans difficulté. De temps à autre, il venait chercher pour l’agacer ma petite verge et le plaisir redoublait. Qu’il était bon de se faire fouiller au soleil, de se faire féconder par un mâle dominateur et plus âgé ! Je commençais à gémir et à me perdre dans le plaisir quand j’entendis la porte s’entrebâiller. Mireille revenait, portant un peignoir entre-ouvert, très intéressée à nos jeux.Sa voix sonnait mate dans le jardin clos écrasé de soleil :— Vous êtes beaux, mes deux hommes. Mmmmh. J’aime tant vous regarder. Alors ? Tu aimes, ma petite chatte ? Tu aimes te faire baiser ?Je voyais d’un œil mi-clos qu’elle caressait ses seins tout en parlant.J’articulai un oui inaudible puis je tendis la main vers elle pour qu’elle se rapproche de nous. Quand elle se fut approchée, je tirais doucement sur sa main pour qu’elle s’assoie près de moi sur le fauteuil, et je posais ma tête en feu sur ses genoux. Ses seins généreux touchaient mon visage enfoui dans ses cuisses. Pendant ce temps, Francis parcourait mes chairs enfin emplies. Je pouvais en moi percevoir tout le détail de son sexe dur comme de l’os, tout son dessin veiné que je gainais. Tous ses reliefs me labouraient avec délice.Mon cul était en feu et en comparaison les cuisses de Mireille me paraissaient fraîches. Je sentis monter en elle l’excitation. Ses tétons durcirent et ses cuisses se fermèrent. C’est comme ça qu’elle se donna du plaisir, en enserrant son sexe de ses belles cuisses puissantes. Ma tête écrasée contre son ventre.Puis elle me branla et je lâchai mon jus par petites perles, s’étirant sur mon ventre, couché sur le dos. Francis vint en moi dans un halètement crispé puis se retira aussitôt pour s’étendre sur un siège, satisfait. Je restais la tête sur les cuisses de Mireille, replié en chien de fusil autour de ses jambes, elle-même maintenant assise, le dos étendu sur le dossier, son corps rayonnait, elle me caressait maintenant la tête, me couvant comme une mère.Francis avait étendu la main pour me caresser tendrement les pieds. Il souriait. Tout le monde souriait, tous heureux du plaisir donné ou reçu. La lumière emplissait le jardin, nous irradiants.Je ne repartis finalement que le lendemain et après une autre nuit d’amour à trois.
