Jenna retrouve David
Je retrouve mon amant pour une soirée ou cette fois les relations sont prévues.
Proposée le 28/01/2017 par Jenna bottes Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: HôtelType: Histoire vraie
Bonjour voici mon quatrième rĂ©cit.Quelques semaines après la nuit torride passĂ©e avec David, nous allions nous revoir pour une autre confĂ©rence. Nous avions discutĂ© de notre relation avec une attirance et un respect de chacun quand-mĂŞme par email et au tĂ©lĂ©phone. Nos consciences d’adultes mariĂ©s nous gĂŞnaient un peu. Nous devions rester discrets l’un comme l’autre et avions tenu nos conversations Ă un minimum.Lorsque je me suis prĂ©parĂ©e pour partir Ă Chicago j’Ă©tais un peu nerveuse. La soirĂ©e passĂ©e avec David avait Ă©tĂ© une expĂ©rience nouvelle mais c’était plus quelque chose qui s’était passĂ© sans avoir Ă©tĂ© prĂ©vu. Maintenant nous avions prĂ©vu de nous revoir et je savais ce que cela voulait dire. Son membre massif avait sĂ©rieusement dĂ©truit ma pauvre petite chatte bien Ă©troite de femme bourgeoise blanche.J’allais porter une tenue qui me mettrait en confiance. Une tenue qui allait l’exciter et lui donner envie d’assouvir ses dĂ©sirs fous. J’avais pris un gout Ă sa dominance virile et musclĂ©e. Je pense que je ne m’habituerai jamais au gabarit de son membre mais bien que la douleur soit prĂ©sente, avoir Ă©tĂ© si remplie me donnait des sueurs froides.Bref, je me suis assurĂ©e de prendre avec moi des vĂŞtements bons pour une rĂ©union d’affaires avec ma lingerie habituelle. Quoique cette fois ci j’ai pris une guĂŞpière noire plus sexy.
Deux jours avant mon dĂ©part j’ai pu faire quelques courses et j’ai profitĂ© des soldes de fin de saison pour acheter une nouvelle paire de bottes. Contrairement Ă mes autres bottes, celles-ci avaient des talons fins, presque aiguilles. Je n’avais jamais achetĂ© ce genre de bottes avant car elles font un peu trop salope dans mon esprit. Celles-ci restent classes tout en Ă©tant sexy et cela vient en grand partie du matĂ©riel et de la main d’œuvre. Le cuir est lisse mais pas brillant, elles montent juste en dessous du genou et sont sans fermeture Ă©clair galbant parfaitement mes mollets. Classiques, Ă©lĂ©gantes, chères et sexy, tout ce que j’aime mais plus pour sortir que pour le travail comme mes bottes noires un peu plus basses.
Je suis arrivĂ©e Ă Chicago ou il faisait encore froid, heureusement, et je me suis mise au travail de suite. Je savais que je ne pourrais pas avoir de temps libre avec David avant la deuxième soirĂ©e. Le soir arrivant et ayant finalise notre emploi du temps, j’ai dĂ®nĂ© avec mes collègues puis suis montĂ©e me changer.Je me suis habillĂ©e de la façon suivante, tout d’abord ma guĂŞpière noire avec des bas de mĂŞme couleur et un tanga assorti. Ensuite, un pull lĂ©ger rouge fermĂ© devant par des petits boutons et une jupe grise un peu serrĂ©e mais finissant Ă©largie arrivant aux genoux. Une ceinture noire large pour cintrer le tout Ă la taille. Bien-sĂ»r je glissais mes jambes dans mes nouvelles bottes. Le tout fut complĂ©tĂ© par une veste noire et un sac a mains assorti. Je prĂ©fĂ©rais ne pas ĂŞtre vue dans cette tenue par des collègues donc je me suis glissĂ©e le plus discrètement possible vers les taxis par une porte latĂ©rale.J’ai retrouvĂ© David a une boite de nuit a environ trois kilomètres de notre hĂ´tel s’appelant Dandys. Il s’agit d’une boite de jazz qu’il connait bien. Nous nous sommes embrassĂ©s puis avons pris un verre. Le groupe Ă©tait sympa mĂŞme si le jazz n’est pas mon style prĂ©fère. David me donnait des compliments sur ma tenue, mon look. Il caressait lentement mon dos ou ma croupe. J’ai remarquĂ© plusieurs personnes nous regardant un peu fixement. Je me demandais s’ils pensaient que je faisais un peu salope avec cette tenue et accrochĂ©e au bras de ce grand homme noir. Après deux boissons je m’en moquais et commençais Ă apprĂ©cier les regards. J’ai entraĂ®nĂ© David vers la petite piste de danse ou nous avons commencĂ© Ă nous frotter l’un contre l’autre. Je devenais de plus en plus audacieuse et provocante en frottant mes fesses contre l’avant de son pantalon. Il me dit « Si tu continues je vais avoir une grosse bosse sur mon pantalon ». Cela me fit rire et je continuais de plus belle en caressant mes cuisses ou mes cheveux et mĂŞme mes fesses. Je sais que en me tenant avec chaque main il sentit mes jarretelles. J’ai entendu un gros « Mmmm ». Je me suis retournĂ©e pour lui sourire et dire « Si tu savais… ».
J’ai vu dans son regard un Ă©clair de dĂ©sir sauvage passer. Je me doutais que j’allais passer une bonne nuit et je sentais une certaine humiditĂ© se dĂ©velopper. Devrais-je me calmer pour ne pas trop l’exciter et Ă©viter qu’il me dĂ©truise sauvagement ?
J’Ă©tais lancĂ©e et la sensation d’ĂŞtre dĂ©sirĂ©e par mon amant mais aussi par les gens nous regardant Ă©tait enivrante. Je continuais donc de danser contre David tout en regardant les autres clients du bar droit dans les yeux. Je voulais me sentir dĂ©sirĂ©e et excitante. Une attitude qui n’est pas habituelle pour moi ou du moins pas de façon si flagrante.David m’a demandĂ© de m’asseoir pour boire un verre. Je me suis assise sur un des tabourets du bar en me tenant droite et en croisant les jambes. D’une main j’ai caresse le cuir de mes bottes. J’ai vu plusieurs regards se porter de suite sur elles.
– Tu aimes mes nouvelles bottes ?
Il les a regardées et a dit :
-J’adore te voir en bottes. Tu en porte souvent et je sais que beaucoup de nos collègues les remarquent. Les hommes en sont excitĂ©s et les femmes sont plutĂ´t Ă©nervĂ©es.
J’ai vu David poser quelques billets sur le bar et parler au barman en revenant avec nos verres
Nous avions presque fini nos verres lorsqu’il m’a dit :
-Nous allons prendre un taxi dans quelques minutes.
Son ton autoritaire m’a plu et j’ai agi comme une faible femme pour une fois et j’ai dit d’accord.
– Ma belle, tu es la plus excitante des femmes. J’ai envie de toi maintenant.
J’avais moi aussi envie de le sentir me tenir et me possĂ©der mais le faire languir serait amusant.
Lorsque j’ai bu un verre avant de partir je sentais que tous les regards Ă©taient portĂ©s sur moi. Mes hanches roulant sous ma jupe serrĂ©e et mes bottes claquant sur le sol du bar lorsque nous sommes sortis Ă©taient surs d’attirer l’attention. Nous sommes montes dans le taxi pour retourner Ă l’hĂ´tel. Nous n’avons cessĂ© de nous caresser et de nous blottir l’un contre l’autre. Nous sommes entrĂ©s sĂ©parĂ©ment dans l’hĂ´tel presque dĂ©sert Ă cette heure. David m’a rejoint dans ma chambre.
Nous nous sommes enlaces et il m’a remise un peu plus dans une humeur sensuelle. Il a enlevĂ© mon haut puis fait tomber ma jupe. Il m’a regardĂ©e avec ma guĂŞpière avec une lueur dans les yeux qui en disait long :
– Tout ça pour moi ? mon Dieu, tu veux me rendre fou ?Ses mains ont parcouru mon corps comme si j’étais une proie qu’il venait de capturer. J’aimais me sentir si dĂ©sirable. Je le laissais me caresser, palper mes fesses, mes seins. Je dois dire qu’à nouveau je me sentais mouiller dans les bras de cet homme puissant.
Il s’est assis sur une chaise et a ouvert son pantalon. Son monstre en est sorti presque raide dĂ©jĂ avec un peu de mal car il est tellement long.
– Tu as attendu et je t’ai attendu mais je ne peux plus attendre plus longtemps, dit-il. J’Ă©tais un peu hĂ©sitante car je trouve cette position rabaissant et humiliante. Il me tira par la main gentiment et je savais que je devais le calmer. Avec difficultĂ©s, je me suis mise Ă genoux (pas facile avec des bottes aux talons aiguilles). Son membre massif trĂ´nait devant moi. Je dois avouer qu’à ce moment j’ai eu vraiment envie de le satisfaire. J’ai commencĂ© Ă lĂ©cher puis sucer son gros gland et branler sa bite. Je lĂ©chais les veines qui sortaient sur sa verge et allait de plus en plus vite sur sa queue bien raide. Mes doigts fins et blancs paraissaient incongrus sur ce gros concombre noir. Je n’aime pas sucer un homme a moins d’être vraiment excitĂ©e moi-mĂŞme. Il grognait et m’encourageait de paroles un peu vulgaires mais je me sentais au pouvoir en suçant sa bite bien qu’étant Ă genoux devant lui et en bottes et guĂŞpière.
Je sentais que j’allais trop loin et je me suis levée (tant bien que mal)
Nous nous sommes assis sur le canapĂ© et il a commencĂ© Ă m’embrasser dans le cou puis sur les seins. Il descendit plus bas et Ă©carta mes jambes :
– Tu es si sexy en bottes mmmmm.
Il s’est mis Ă genoux devant moi
– A mon tour.Ses doigts et sa langue ont eu vite fait de me faire oublier le moment humiliant qui avait prĂ©cĂ©dĂ©. Sa langue coulissait le long de mon sillon puis sur mon clito. Un de ses doigts Ă©carta les lèvres et glissa dans mon intimitĂ© bien mouillĂ©e. Il passa plusieurs minutes Ă me doigter et activer mon clito si sensible.
Mon intimité dégoulinait et était prêt à le recevoir.
Il m’a prise et m’a soulevĂ©e dans ses bras musclĂ©s comme si je ne pesais que quelques grammes. Il s’est assis sur le canapĂ© et m’a lentement laisse descendre sur son membre.
– Tu es au contrĂ´le maintenant.Je me suis empalĂ©e sur sa bite massive. Lentement, je suis descendue. Mon sexe Ă©tait trempĂ© mais cela restait quand mĂŞme difficile. Prenant appui sur mes talons hauts de bottes Il caressait mes seins et mes hanches. Ses doigts suivaient les jarretelles. J’ai commencĂ© Ă monter et descendre lentement. On entendait le bruit de ma chatte s’Ă©cartant pour accepter son membre. Je sais que je grognais et couinais mais je ne pouvais faire bien plus que prendre un peu plus de la moitiĂ© de sa queue en moi.Il me prit par les hanches et me fit monter et redescendre plus vite. Cette position n’est pas ma prĂ©fĂ©rĂ©e mais j’apprĂ©ciais le fait que je pouvais contrĂ´ler sa pĂ©nĂ©tration et limiter la quantitĂ© qui rentrait en moi. Le cuir de mes bottes couinait autant que moi. Lorsque les deux tiers de sa bite Ă©taient en moi et que son gland poussait contre le fond de mon sexe il devint de plus en plus rapide et brutal. Je commençais Ă sentir un orgasme arriver et je gĂ©missais bruyamment.
Me prenant par les hanches, il m’a soulevĂ©e comme si de rien n’Ă©tait et a Ă©cartĂ© mes cuisses en me posant sur le dos sur le canapĂ©. Il poussait mes jambes contre mon torse. Tout en mordillant mes tĂŞtons, il me pĂ©nĂ©trait rapidement et violemment en retirant presque toute sa queue avant de plonger en moi et de frapper au fond. Mes bottes Ă©taient au-dessus de ma tĂŞte. Mes jarretelles Ă©taient tirĂ©es au maximum. Lorsque j’ai senti ses couilles claquer contre mes fesses, j’ai senti qu’il Ă©tait entièrement en moi. Je pouvais voir en bas son membre dĂ©chirer les lèvres de ma chatte. Mes tendres chairs Ă©taient Ă©cartĂ©es et dĂ©foncĂ©es Ă chaque coup de reins qu’il me donnait en grognant. Je sentais l’orgasme monter maintenant que j’Ă©tais dans une position plus dominĂ©e. J’ai joui en criant et en me mordant les lèvres. Mes mains Ă©taient crispĂ©es sur ses fesses, mes tentons douloureux car il continuait de les mordiller. Plusieurs vagues sont passĂ©es sur moi. Il ne pouvait sortir de moi car mes contractions le retenaient. Sortant enfin, Il me porta vers le rebord du lit. Il me mit Ă genoux sur le lit restant debout derrière. Il me prit par les hanches et s’enfonça en moi brutalement. Après un orgasme pareil j’Ă©tais sensible et cela me donna l’impression d’ĂŞtre dĂ©chirĂ©e. Il me pilonnait par derrière, debout, trĂ´nant au-dessus de moi en râlant.
– Ah Jenna, salope, tu es si bonne, allumeuse, tu vois ce que tu mĂ©rites.Ses coups de bĂ©lier faisaient valser mes gros seins sous moi. Les talons de mes bottes frottaient contre lui. Je sais que je criais comme une folle. Il se pencha en avant et dit :
– Tu aimes ça hein ? Tu aimes que je te dĂ©chire la chatte hein ? Dis que tu m’appartiens.
Je ne pouvais pas vraiment rĂ©pondre alors qu’il pulvĂ©risait ma chatte sans mĂ©nagements. Il me tira les cheveux pour me faire lever la tĂŞte en arrière et me cambrer. Il poussa en moi de façon diffĂ©rente.
-Dis la salope !
Entre deux cris j’ai pu mĂ©nager de dire :
Oooouiiiii Raaahhh !
Il me baisa de plus belle et soudain je sentis son sperme gicler au fond de moi. Il me tenait toujours par les cheveux et s’enfonçait furieusement en moi. Il gicla encore et encore puis s’effondra. J’Ă©tais Ă plat ventre sur le lit alors qu’il caressait mes fesses. Je me suis levĂ©e pour me rafraĂ®chir et finir de me dĂ©shabiller. J’ai mis une nuisette en soie blanche et me suis couchĂ©e contre lui.Je me suis rĂ©veillĂ©e quelques heures plus tard avec une envie folle. Je me suis laissĂ©e descendre le long de son corps. Ma bouche l’a rapidement ranimĂ©. Après quelques caresses il m’a retournĂ©e Ă plat ventre sur le lit puis s’est couchĂ© sur moi. Il a glissĂ© son long sexe en moi lentement tout en gardant mes cuisses serrĂ©es. Cela donnait l’impression qu’il Ă©tait encore plus gros. Il plongeait rapidement en moi en me donnant des grands coups de hanches et en grognant. Son bassin claquait contre mes fesses. Quel bruit et quel rythme d’enfer entre ces fessĂ©es, ses grognements et mes couinements. Ses mains pĂ©trissaient mes seins au travers de la nuisette si douce. J’ai joui rapidement et a de multiples reprises avant qu’il n’explose lui-mĂŞme profondĂ©ment enfoncĂ© dans ma chatte. Ma pauvre intimitĂ© Ă©tait vraiment sensible après nos premiers Ă©bats et maintenant elle Ă©tait vraiment douloureuse après avoir Ă©tĂ© Ă©tirĂ©e ainsi. Je ne sais pas pourquoi je l’ai rĂ©veillĂ© sachant que son gros membre allait me dĂ©truire.J’espère que vous avez aimĂ© lire cette histoire comme moi j’ai apprĂ©ciĂ© de la vivre. Jenna.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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