Jennifer contre-attaque
Jennifer me propose d’enfin terminer ce que nous avons commencé et interrompu quelques jours plus tôt. Sur fond de stupre, c’est aussi l’occasion pour moi d’en apprendre plus sur cette jeune femme décidément pleine de surprises.
Proposée le 1/10/2019 par Korn Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Lundi matin. Je profitais enfin de ma première journée de vacances depuis que j’avais commencé à travailler. Deux semaines de repos, loin de l’hôpital et du cabinet, loin du stress et patients. Samedi matin, je partais pour une semaine de camping avec Florence et ses amis, sept jours à baiser sous la tente comme des bonobos. Le tourisme, les baignades, la découverte ? Rien à fiche, j’étais beaucoup plus intéressé par l’idée de pilonner le vagin de ma maîtresse, de sucer ses énormes seins, de visiter le petit trou dissimulé par ses magnifiques fesses rondes, de la couvrir de foutre, encore et encore. Mais pour l’instant, j’avais encore cinq jours pour m’amuser avec les amies de Cécile. Restait à savoir par qui commencer parmi celles qui avaient répondu positivement à la proposition de ma future ex. Sabrina fut bien entendu la première à me venir à l’esprit. La sublime rousse au corps de pin-up était une véritable chaudière lorsqu’elle s’y mettait. Sans compter que lors de ma fête d’anniversaire, alors que ma queue tapait au fond de son con, elle m’avait promis sodomie et cravate de notaire. Ne pas l’appeler immédiatement constituait la plus pure folie, mais d’un autre côté ne valait-il mieux pas garder le meilleur pour la fin ?Deuxième option : Laura. Une petite brune au corps de rêve, joliment musclé et hâlé avec pile ce qu’il fallait de fesses et de poitrine. La fois où nous avions fait l’amour, deux ans plus tôt, me laissait un souvenir impérissable et je n’aurais été que trop heureux de remettre le couvert. Elle avait cependant été claire : un plan à trois avec Cécile ou rien. Mais finalement, qui ne tente rien n’a rien, n’est-ce pas ?Dernière possibilité : Jennifer, la moins canon des trois. Toute petite et enrobée, un peu flasque, mais un joli minois rond, un cul large et bombé… et surtout la plus grosse paire de seins que j’aie vu de ma vie, des pastèques d’une taille colossale, si massives que même la gravité ne pouvait leur enlever totalement leur forme de poire, si énormes qu’elles étaient parvenues à avaler complètement ma queue. Seul bémol : le programme avec Jen’ était réglé, fellation et branlette espagnole, point final. Rien de comparable avec le brûlant fourreau et la rosette (que j’imaginais délicieusement étroite) de Sabrina. Finalement, je pris la décision de tenter ma chance avec la sublime Laura. Si elle déclinait mon offre, je pourrais toujours avancer mon calendrier et les festivités avec la sulfureuse rouquine. Je me dirigeais donc vers mon téléphone, pour découvrir que j’avais un SMS d’un numéro inconnu :« Coucou, c Jen. Jai eu ton num par Hélène. Ca va ? »Je souris intérieurement, me disant que parfois le destin a décidé de chambouler nos plans. Dans ces cas-là, ne faut-il pas le saisir à pleines mains ?« Ça va très bien, merci, et toi ?
Jen : Ca va 🙂 »Je laissais passer une minute ou deux, scrutant l’écran dans l’attente d’une réponse. Finalement je craquai et envoyai un nouveau message. « Alors, quoi de neuf ?
J : Bah rien, c les vacances je glande rien
Moi : Ha ha, t’as bien raison de profiter !
J : En vrai je mennuie 🙁
M : T’as pas des potes à voir ?
J : Nn ils sont partis. T dispo ajd ?
M : Ajd ?
J : Aujourdui
M : Ah ! Oui, je suis en vacances pour la semaine et j’ai rien de prévu. Tu veux faire un truc ?
J : Ui !!!
M : Tu proposes quoi ?
J : J m pas rester sur un échec 😉
M : C’est à dire ?
J : Grr
M : Mais encore ?
J : C plus clair si je dis que g envie de te sucer ?
M : Oui 🙂 Autre chose ?
J : J m pas dire c truc par sms…
M : Allez, ça va pas te tuer.
J : Ben g envie que tu jouisse dans ma bouche…
M : C’est super tentant ! Mais tu aimes le sperme ?
J : Tu va me prendre pour une salope si je dis oui
M : Non, juste pour une femme qui sait ce qu’elle veut.
J : Ben alors oui j m le sperme
M : Et du coup, je veux bien jouir dans ta bouche 🙂
J : Pk tu comptai jouir ailleurs ?
M : Ben si t’aimais pas le sperme, j’imagine que j’aurais du finir ailleurs, genre sur ton visage ou tes seins.
J : Je préfère la bouche
M : Ça me va très bien.
J : Ok. Je peux venir qd ?
M : Quand tu veux, je fais rien aujourd’hui.
J : Je peux venir tt de suite ?
M : Oui :)Je donnai mon adresse à Jennifer et fis un rapide brin de toilette en l’attendant. Elle sonna à ma porte une grosse demi-heure plus tard, vêtue d’un débardeur de fait très décolleté et d’un mini-short en jean. Nous nous fîmes un peu gauchement la bise et je l’invitai à rentrer, seulement pour découvrir que son short était si court qu’il laissait voir l’échancrure de ses fesses. – Fais comme chez toi, proposai-je en désignant le canapé du salon. Tu veux un café ?- Je veux bien !Je revins deux minutes plus tard avec autant de tasses remplies de liquide fumant que je posai sur la table basse. – Merci, dit Jennifer.Elle se mordit la lèvre et ajouta :- Et toi, tu veux pas une pipe ?Elle éclata d’un rire gêné, comme surprise par sa propre audace. Je l’imitai en posant une main sur son épaule.- Rien ne presse, on a toute la matinée.Elle grimpa à genoux sur le canapé, tournée face à moi. – Mais moi, je veux te sucer, insista-t-elle. Je suis venue pour ça.- T’es en chaleur ou quoi ? me moquai-je.Ses joues rondes s’empourprèrent.- Ben… Tu me promets de pas rire ?- Promis.- J’ai rêvé que tu me prenais en levrette comme t’as pris Cécile l’autre soir. Je crois que c’est la première fois que j’ai un orgasme en rêvant et je suis surexcitée depuis.Je lui caressai affectueusement les cheveux.- C’est pas marrant comme histoire, c’est mignon, affirmai-je.- Tu trouves ?Je m’approchai un peu d’elle.- Mais oui, t’en fais pas.Je me penchai vers Jennifer, qui tendit les lèvres en retour. Ce fut un premier baiser doux, voluptueux. Son regard brillait lorsque nous nous séparâmes. – C’est quand même mieux de commencer par les bases, non ?Elle acquiesça, m’embrassa de nouveau. Sa bouche s’ouvrit, nos langues s’emmêlèrent. Quelques instants plus tard, sans trop savoir comment, je me trouvai allongé sur le canapé. Jen’ me roulait une pelle furieuse en caressant mes cheveux, je pouvais sentir son énorme poitrine pressée contre la mienne. En un rien de temps, je sentis mon sexe gonfler, pousser sur mon bermuda, et appuyer contre le corps brûlant de la jeune femme. – Je crois que tu bandes, dit-elle en riant.- Et toi, tu mouilles ? Répliquai-je.- Je mouille depuis que j’ai rêvé de toi cette nuit.- Fais-voir !Nous revînmes à la position assise sans cesser de nous embrasser. Je défis facilement le bouton de son short et glissai la main dedans. Je découvris une épaisse jungle humide, au milieu de laquelle trônait fièrement la montagne des plaisirs, haute et dure. Au-dessous, la caverne interdite d’où suintait le nectar des dieux. En bon explorateur, je glissai deux, puis immédiatement trois doigts dans sa grotte, Jen’ en soupira d’aise tout en caressant mon mat à travers l’étoffe de mon bermuda. Puis elle m’imita, défit la braguette, sortit ma hampe au grand air pour la branler voluptueusement. A chaque baiser, elle me mordillait les lèvres.- Attends, dit-elle au bout d’un moment.- Quoi ?- Laisse-moi me déshabiller, ça sera plus pratique.Elle se leva, se dandina pour retirer short et dessous. Je l’imitai, mais alors qu’elle allait se rasseoir, je pressai des deux mains sur ses hanches larges. – Tourne-toi, ça sera plus pratique pour moi.- Mais, et toi ?- Tu auras tout le temps de t’occuper de moi après, la rassurai-je.Elle se positionna dos à moi et je me blottis contre elle. Ma queue raide trouva naturellement sa place entre ses fesses imposantes et ma main la sienne entre ses cuisses. Je fouillai son abricot, récoltai son jus, et entrepris de frotter son bouton ainsi lubrifié. Mes doigts libres remontèrent sur son ventre, sous son débardeur, sur son sein. Elle comprit le message, retira haut et soutien-gorge en un mouvement élégant. Entièrement nue, elle se colla à moi, leva la tête. J’embrassais son cou, pétrissais sa poitrine, elle mordillait et suçotait mon oreille, embrassait et léchait ma joue. – Je… voyais vraiment pas… han ! Les choses comme ça… haleta-t-elle.- Et tu les voyais comment ?- Huuum, plutôt l’inverse. Je suis venue te donner du plaisir, pas… oh ! Pas en prendre.- Et si ça me fait plaisir de t’en donner ?- Alors continue.- Je vais même faire mieux que ça.Je nous fis basculer sur le canapé, elle sur moi, la masturbai de plus belle. Mon sexe frottait contre sa vulve à chaque déhanchement de la jeune femme ; je n’avais qu’une envie : la pénétrer ! Son jus épais coulait le long de ma verge, imbibait mes poils, elle mouillait tant que je sentais mes doigts se friper clitoris, comme après un trop long bain. Au bout d’un moment, sans que je comprenne trop comment, mon gland força l’entrée de ses lèvres ; par réflexe, je donnai un coup de reins et me trouvai à empaler à moitié Jennifer. – Arrête, gémit-elle.- Désolé, j’ai pas fait exprès, m’excusai-je en me retirant aussitôt.Mais cette très brève incursion m’avait atrocement excité, je sentais mon sexe pulser, couvert de l’épaisse cyprine de Jen’. Elle enleva ma main de son intimité et se retourna pour me faire face, toujours allongée sur moi. – T’as vraiment pas fait exprès ?- Je te jure. Quand j’ai sentis que je commençai à te pénétrer, j’ai eu le réflexe d’aller plus loin, mais c’était pas voulu du tout.- Tu sais qu’à cause de toi, je suis plus vierge ?Je grimaçai. – T’en fais pas, une demi-pénétration ça compte pas, t’es toujours vierge.- T’es sûr ?- Certain.Elle eut un petit sourire.- Dommage pour toi, je crois bien que j’ai aimé ça.Je déglutis. Il n’y avait probablement qu’une seule bonne réponse à cette phrase, restait à ne pas me tromper. – Si tu changes d’avis sur ton pucelage, on pourra toujours le faire une autre fois.- Ok, je te dirai. En attendant, je peux te demander un truc ?- Ce que tu veux.- Tu crois que tu peux mettre la bouche ?- Bien sûr !Jen’ se leva et s’assit sur le canapé, les jambes généreusement écartées. Je la rejoignis, plongeai immédiatement ma langue de son intimité. Son jus était visqueux, abondant, très musqué. Je remontai rapidement jusqu’à son bouton, autour duquel j’entrepris de faire valser ma langue tandis que la jeune femme me caressait les cheveux. Très vite, ses gémissements gagnèrent en force, ses hanches ondulèrent pour accompagner mes coups de langue. Majeur, index et annulaire pénétrèrent sa fente, je la doigtais frénétiquement tout en léchant son clitoris gonflé et dur comme rarement je n’en avais goûté. Moins de trois minutes plus tard, Jennifer jouissait violemment, cramponnée des deux mains à ma tête. J’embrassai passionnément ses cuisses, son ventre, ses seins, sa bouche. Ma queue frottait à nouveau contre sa chatte, je fis un grand effort pour ne pas l’avancer. – Tu as aimé ? M’enquis-je ?- Ouiiiii ! C’est la première fois qu’on me lèche la chatte, c’est trop bien !- Tu déconnes ?- Non, mes copains ont toujours trouvé ça dégueulasse…- Ouais… par contre pour se faire sucer, là c’était pas dégueulasse.Elle émit un grognement d’approbation. – En parlant de sucer… fit-elle. Je te dois pas un truc ?- Comme tu veux.Nous échangeâmes les places et Jennifer, à quatre pattes, engloutit mon sabre. Elle devait être encore très excitée car elle me dévorait avec une incroyable voracité tout en gémissant de satisfaction. Au bout d’un très long moment, elle se redressa. – Je commence à avoir mal à la mâchoire, rit-elle. T’as vraiment une bite énorme.- On peut arrêter si tu veux.- Non ! Je veux te faire jouir.Elle retourna à ses œuvres en me branlant entre ses lèvres plus qu’elle ne me suçait. Mais malgré le plaisir immense, l’orgasme ne venait pas et elle finit par demander grâce.- J’abdique, j’en peux plus. Tu veux finir entre mes seins ?- Allez !Jennifer s’allongea sur le dos, je pris place sur son ventre, la queue bien calée dans son immense poitrine. Je donnais de grands coups de reins, qu’elle accompagnait en faisant valser ses obus. C’était merveilleux ! Ses seins étaient si doux, si gros, son décolleté si serré lorsqu’elle le pressait autour de mon membre viril. Il ne me fallut que deux ou trois minutes pour sentir l’extase arriver. Je projetai un jet de foutre colossal qui stria la face de Jen’, éclaboussa l’accoudoir derrière elle, macula ses cils et ses cheveux. Puis un deuxième presque aussi puissant frappa l’arrête de son nez, coula sur ses joues. Un troisième explosa sur ses lèvres. Elle darda la langue pour récupérer mon jus, tandis que le dernier jet éclaboussait son menton et sa gorge. Je continuais de me branler entre ses seins, finissant de décharger et de remplir son décolleté de laitance. La jeune femme éclata de rire sitôt la fontaine tarie.- Mon dieu ! C’est la première fois que je prends une éjac pareille.Son hilarité augmenta encore lorsqu’elle posa les yeux sur ses énormes seins remplis de mon jus. Elle s’amusa à les presser pour les faire dégorger, rit de plus belle. – Regarde-moi ça, je suis couverte de sperme !- Et encore, renchéris-je, t’as pas vu ton visage.- T’en fais pas, je le sens que j’en ai partout.Nous nous rassîmes tranquillement.- Je te demande pas si c’est allé, fit Jennifer en rigolant toujours. – Effectivement, c’était super. Et toi ? Désolé, j’ai pas fini dans ta bouche.Elle haussa les épaules. – C’est pas grave, je me suis bien marrée. Et puis je sais pas si j’aurais réussi à avaler autant de sperme de toute façon. Par contre, tu aurais pas des mouchoirs ? Ça commence à coller là.- Oui, pardon.Je me précipitai à la cuisine et revint avec un rouleau de sopalin. Il fallut une dizaine de feuilles pour essuyer complètement Jennifer, puis nous renfilâmes nos sous-vêtements.- N’empêche, dis-je lorsque nous fûmes à nouveau installés confortablement, je comprends pas.- Quoi ?- Toi. Apparemment, t’as sucé plein de mecs, t’avales, t’as pris des faciales… Mais t’es toujours pucelle.- Et c’est mal ?- Non, tu fais ce que tu veux. C’est juste que c’est pas courant et que je comprends pas, c’est tout. En général, c’est un peu l’inverse, les filles perdent leur virginité avant de se faire gicler dessus.- Tu veux la version courte ou longue ?- Longue si ça te dérange pas, j’suis pas pressé. – Alors mon premier copain, j’avais 15 ans et lui 19. Te marre pas, c’est fréquent.- J’ai rien dit…- Mouais… Bref, il était super insistant pour qu’on couche ensemble, mais moi j’étais trop jeune. Au bout de trois semaines, il a réussi à me convaincre de lui tailler une pipe. Et j’ai continué à le sucer deux ou trois fois par semaine pendant deux mois, après il m’a larguée pour une fille qui couchait.- Un vrai bon connard, quoi.Elle haussa les épaules.- Un gamin, c’pas la mort non plus. ‘fin bref, un peu plus tard je me suis mise avec un garçon de mon lycée, et c’était un peu la même chose. Et comme il insistait de fou pour qu’on couche, je l’ai sucé et ça l’a calmé. Et puis j’ai fini par le larguer quand je lui ai fait une pipe dans les chiottes du lycée et qu’il a fait exprès de me jouir sur le visage. – Tu t’es fait choper ?- Non, j’avais des mouchoirs… Mais ça se fait pas, alors je l’ai jeté.- Remarque, je viens aussi de te jouir sur le visage…- Oui, mais toi t’as pas fait exprès… Enfin, après ça pas mal de mecs du lycée ont commencé à me tourner autour, je pense que l’autre con avait dû leur raconter que je suçais…- Sympa…- Comme tu dis. Et en début de terminale un mec de ma classe à qui je demandais de l’aide pour la philo m’a proposé de faire mon devoir contre une pipe. A la quatrième fois, il a rajouté la faciale. Et vers décembre et une quinzaine de pipes plus tard, il a exigé qu’on couche ensemble pour continuer à m’aider. Du coup, je me suis débrouillée toute seule…- T’as rencontré que des cons en fait…- Et c’est pas fini, sauf si t’es lassé.- Non, non, je t’en prie, continue.- Bon, j’ai eu trois copains sur le reste de l’année, à chaque fois je les ai virés parce qu’ils devenaient trop insistants… Ensuite il y a eu la soirée du bac. J’avais picolé et il y avait ce mec mignon qui me tournait autour. On a commencé à s’embrasser et à se chauffer, je lui ai proposé de s’isoler un peu. C’est le premier mec qui m’a touchée, il m’a même faite jouir. Et là, je suis à poil sur le lit, avec sa bite dans la bouche, et y a ses quatre copains qui rentrent. Je te passe les détails, mais je les ai tous sucés, j’étais couverte de foutre. Sauf qu’ils en redemandent et insistent pour me baiser…- Et tu t’en es sortie comment ?- J’ai réussi à mes convaincre de se branler avec mes seins. Tu parles, c’était nouveau pour eux et une aussi grosse paire t’en vois pas tous les jours. Du coup ils se sont relayés entre mes seins, j’ai pris onze éjacs en tout. Et ils sont sortis en me laissant couverte de sperme et en me traitant de salope et de traînée.- Ok…- Première année de fac, j’ai enchaîné pas mal de soirées. Chaque fois le même topo : gars qui me plait, insiste pour coucher, pipe ou espagnole pour compenser. Certains ont mis la main, aucun la bouche. Du coup tu comprends maintenant ?- Ouais, en gros t’es toujours vierge parce que t’es tombée que sur des connards qui insistaient à mort pour coucher en pensant qu’à leur gueule et que t’as pas voulu leur donner raison.- Voilà, t’as tout compris.Je ne pouvais que plaindre Jennifer après un pareil récit. Mais je comprenais mieux à présent…Je la pris par l’épaule et l’attirai vers moi pour lui faire un câlin. Elle rit tout en posant la tête contre ma poitrine.- Ça va tu sais ? J’ai pas été violée ou quoi, je suis juste tombée sur des cons égoïstes.- Mouais…- Allez, on change de sujet, ça te gêne.- On peut mater un film, si tu veux ? proposai-je à court d’idées de sujets non-sexuels. – Ouais, pourquoi pas ?Elle passa en revue mes DVD, arrêta son choix sur « Sleepy Hollow ». – Je l’ai déjà vu vingt fois, précisa-t-elle, mais je m’en lasse pas.Jennifer s’installa à côté de moi, cala sa tête au creux de mon épaule tandis que le film commençait. Ses énormes seins appuyaient contre mon bras et je fus obligé de le passer autour de sa taille nue pour ne pas me mettre à bander comme un âne à ce seul contact. Après une demi-heure, la jeune femme changea de position, s’installa directement sur ma poitrine. Petit à petit, à mesure que je m’avachissais, elle descendit, jusqu’à reposer sur mon ventre, à quelques centimètres à peine de mon pubis. Bien malgré moi, je sentis le sang affluer dans mon entrejambe, mon souffle devenir saccadé. Mon sexe était si proche des lèvres de Jennifer et je l’imaginais déjà coulisser dans sa bouche. Impossible de me calmer, je devinai le tissu de mon boxer se tendre, chapiteau dressé à la gloire du stupre dont le mât de chair palpitait au rythme de mon cœur battant la chamade. – Tu sais que je vois plus la télé ? rigola soudain Jennifer.- Désolé, j’arrive pas à m’en empêcher…- Bah, t’excuses pas, c’est une réaction naturelle. Du bout du doigt, elle vint titiller mon gland, une décharge remonta le long de ma colonne vertébrale. – Tu veux une pipe ?- Pourquoi pas ?- Ok, mais à une condition : tu me lèches la chatte.- Volontiers !- C’est de te faire sucer la bite qui te rend si enthousiaste ?- Non, j’aime faire des cunnis moi, c’est tout. – Ah bon ?- Ben oui… Déjà j’aime les sensations, et puis j’aime donner du plaisir. C’est pas fun d’être toujours celui qui reçoit. Du coup, je te lèche avant ou après ? – Et pourquoi pas pendant ?- Si tu veux.- Attends, bouge pas, j’ai une idée.Elle se dandina pour retirer sa culotte avec mon aide, puis fit de même avec mon boxer. – Hum, elle est déjà bien grosse, commenta-t-elle avec gourmandise.- Et toi, bien mouillée, ajoutai-je en passant une main entre ses fesses pour caresser sa vulve.- Allez, go. Je vais pas trop pouvoir parler, mais je compte sur toi pour te lâcher.- Comment ça ?- Tu verras.Elle bascula tête en bas, passa une jambe au-dessus de moi, en appui avec les coudes sur l’assise du canapé, avec les cuisses sur le dossier, son petit minou humide à trois centimètres de mon visage. Je gobai son bouton et elle ma branche, je la tenais fermement par la taille pour l’aider à tenir cette position particulièrement acrobatique. Très vite, elle m’attrapa une cuisse par en-dessous, appuya brièvement à plusieurs reprises. Que voulait-elle ? Que je donne des coups de reins ?Je tentai timidement, elle répondit par un grognement satisfait. Qu’avait-elle dit déjà ? « Je compte sur toi pour te lâcher. » Elle ne voulait quand même pas que je lui baise la bouche ? Et pourtant si, c’était ça. Très vite, je me trouvai à pilonner sa glotte au son de bruits de gorge écœurants mêlés de gémissements excitants. Sa bave ruisselait le long de ma hampe, de mes bourses, de mes fesses. Elle jouit brusquement, c’en était trop pour moi, je me vidai au fond de son gosier. – C’était trop bien ! exulta-t-elle en reprenant une position conforme aux lois de la gravité.- Content que ça t’ai plu.Après ça, on resta de très longues minutes à s’embrasser et se cajoler, échangeant le goût de nos extases. Puis vers midi, Jennifer prit congé en me faisant promettre de remettre le couvert après mes vacances. Je ne la revis jamais. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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