Julie à la Bibliothèque
Julie est une belle étudiante de 22 ans. Elle rêve d’assouvir un fantasme : se faire prendre à la B.U. Un après-midi de révision, un nouveau gars apparaît entre les rayons de livres.
Proposée le 18/05/2016 par go123 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Hier, j’ai assouvi un de mes plus anciens fantasmes et je crois bien avoir eu mon premier véritable orgasme. Rien à voir en comparaison des parties de jambes en l’air avec mon copain du moment ! Il faut dire que je ne m’y attendais vraiment pas. Comme toutes les semaines avant les partiels, je dois me taper des heures à lire et relire mes cours à la B.U. Cela fait parti des moments les plus ennuyeux de ma vie d’étudiante. A 22 ans, j’ai presque tout pour moi, comme me disent les filles. Je suis châtain avec des reflets roux, des petites tâche de rousseur sur les joues et des yeux verts rieurs. Je ne suis pas très grande et mes formes sont agréables. Mon copain est une tuerie ! Le beau gosse sportif avec un corps de rêve, musclé et des fesses bien fermes. On s’éclate bien tout les deux mais bon, niveau fantasme on est pas vraiment sur la même longueur d’onde.Par exemple, je rêve de me faire prendre par surprise dans différents lieux insolites. A la Fac, en numéro un. En première année, je me suis même faite dépuceler le cul dans les toilettes de l’UFR de langues. Je suis pas prêt de l’oublier. Mais ce qui me fait vraiment envie à chaque fois que j’y pense, c’est à la B.U. surtout qu’entre tous ces rayonnages de livres et le côté silencieux, ça m’excite ! Mon copain est vraiment pas le style livre ou lecture. Du coup, pour lui, c’est loin d’être bandant. Je lui ai pourtant demandé de nombreuses fois mais rien n’y fait. Du coup, je continue à rêver à ce que je pourrais faire dans la B.U.
Et puis, hier, j’ai remarqué un nouveau parmi le personnel de la bibliothèque. Il doit être un peu plus âgé que moi mais pas beaucoup plus. Le genre intello mignon avec un sourire à faire craquer n’importe qui. Je le suivais un peu des yeux pendant l’après-midi. A un moment, il s’est approché avec son chariot pour ranger des livres pas loin de ma table de travail. Quand il s’est penché, j’ai pu voir son petit cul moulé dans son jean, hmm, ça donnait envie. Mais bon, tout le monde à le droit de rêver !
Au fur et à mesure que passaient les heures, je le vis de plus en plus tourner autour de mon secteur. Je me rendis même compte que par instant, il me matais légèrement du coin de l’oeil. Je dois dire que son regard me faisait un peu d’effet. Intéressée, je décidais de le suivre entre les rayonnages en me cachant de lui. Alors que je jouais à ce petit jeu, je ne pus l’éviter à l’angle d’un rayonnage de dictionnaires. Nos regards se croisèrent et nous échangeâmes des sourires déjà complices. Il passa devant moi et ne se gêna plus du tout pour me reluquer de haut en bas. Arrivé à ma hauteur, sans réfléchir, je lui donnais une légère claque sur les fesses. Ma main rebondit sur son cul bien ferme. Je sentis aussitôt des démangeaisons dans ma chatte. Déjà que l’endroit m’excitait naturellement, il n’en fallait pas beaucoup pour que je mouille.
Je crois qu’il le comprit très vite car il s’arrêta à mon niveau et se pencha pour me chuchoter :
“- Alors, on est une vilaine coquine qui ne révise pas ?”
J’acquiesçais d’un signe de tête. Son souffle chaud avait glissé sur ma nuque. Il allait repartir mais je le retins en passant mon bras autour de sa taille. Nos yeux ne se lâchaient plus. Mon souffle se mêla au sien et je sentais ma chatte brûler en moi. A cet instant, je me foutais de mon copain et d’où nous étions, je voulais juste que ce gars canon me prenne sauvagement. Il m’embrassa et glissa ses mains sous mon chemisier et caressa mon ventre, ma cambrure de reins, puis passa sous mon leggins. Mes fesses rondes l’attendaient sous mon string humide, rentré dans mon cul serré. Je sentais une bosse se former sous son jean. Je glissais alors ma main dans son boxer. Saisissant d’un coup sa bite qui durcissait, je la serrais bien fort. Il sursauta et me serra contre lui, me rendant ma claque sur mon cul.
A cet instant, le haut-parleur s’alluma et une voix dit : “La bibliothèque ferme ses portes…”
Excitée au maximum, je n’attendais plus et déboutonnais son jean d’un coup. Je sortis son gros chibre de son boxer et me mettais à genoux. Excité à son tour, il attrapa ma queue de cheval fermement et me plongea sa grosse bite bien dure dans la gorge. Il commença à baiser ma bouche violemment et je pouvais à peine respirer : j’adorai !
La peur d’être surprise fit monter encore la chaleur dans mon corps et je me doigtais la chatte pendant qu’il enfonçait sa bite, étouffant mes râles.
Je sortis son chibre de ma bouche gourmande et lui lançais, avec un regard de braise :
“Baise-moi vite ! J’en peux plus, là ! Et il faut qu’on se dépêche !
– T’en fais pas, j’ai la clef de la porte de secours…”
Sans dire rien d’autre, il me releva brutalement. J’adorais sa façon violente de me traiter. Il me plaqua le visage contre les lourds dictionnaires, mon cul offert à lui. Il m’enleva mon leggins et enfonça sa langue experte entre mes cuisses ruisselantes, sous mon string. A la première sensation, je lâchais un petit cris tant j’attendais ce moment. Il me léchait le clito qui ne cessait de gonfler. En moi, mon vagin brûlait de plus en plus et ma cyprine dégoulinait sur son visage.
“haaa, hmmm, oui vas-y, mange-moi, c’est troooop bon !”
Il fourragea sa langue dans ma chatte qui était au supplice.
“Ouiiiiiiiiiiiiii !”
Le cris que je poussais résonna dans la salle vide. Il se leva aussitôt et me plaqua la main sur la bouche. A ce moment, les lumières s’éteignirent. Je sentais son odeur et la force de ses bras. Je ne pouvais m’accrocher qu’au montant des étagères, la tête entre les livres. Il me maintenait fermement et je sentis sa bite entrer dans mon con en glissant d’un coup. J’étouffais un grand cris et mordais un doigt de sa main qui me tenait la bouche. Il ne me lâcha pas et commença à me baiser de plus en plus vite, son autre main appuyée sur mes hanches. Sa bite entrait et sortait de ma chatte à grands coups. Je subissais cet assaut dévastateur qui me procurait un plaisir fou. Des vagues de joie envahissaient tout mon corps qui se cambrait et tremblait de tous ses membres. J’haletais tandis qu’il laissait ma bouche pour attraper ma queue de cheval et me dominer comme une chienne. Quelle bonne idée j’avais eu d’attacher mes cheveux aujourd’hui !
– Tu es tellement bonne, ma petite chienne, me glissa-t-il à l’oreille. Accroche-toi et surtout tais-toi !
Je secouais la tête pour dire oui. Il avait raison de prévenir. Ses assauts redoublèrent et il me maltraita comme une salope. Ses deux mains agrippées à mes hanches, il me baisait de toutes ses forces, nos cuisses claquant les unes contre les autres.
Je lâchais un petit râle jusqu’au moment où cette extase encore inconnue me prit de nulle part ! Je lâchais prise avec la réalité et une déflagration me traversa le corps. Des étoiles jaillirent devant mes yeux et je hurlais, à bouts :
Ahhhhhhhhhh Ouiiiiiiii ! Oh ah ah, ah, ahhhhhhhhh!
Mon dernier cris se mêla à son râle puissant. Il sortit de ma chatte et me fit accroupir. J’étais comme shootée et je me laissais complètement faire, tentant de reprendre mon souffle et mes esprits. Il ouvrit ma bouche et je voyais qu’il enserrait son sexe pour retenir sa semence. Il me le plongea une nouvelle fois dans le bouche et déchargea tout son foutre. La première giclée frappa contre ma glotte. Je repris les commandes et déglutit lentement, pour pouvoir tout avaler et ne laisser aucune trace.
Il réussit à jouir en silence mais son visage était déformé par le plaisir énorme qu’il prenait. Une fois terminé, il m’embrassa et me glissa à l’oreille :
“Je m’appelle Nicolas. Tu sais où me trouver maintenant.”
Je souris un peu bêtement mais je me disais bien qu’on allait se revoir.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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