Juste avant la douche
Elle s’entraĂ®ne pour courir des marathons, mais pratique aussi un autre sport des plus charmants…
Proposée le 26/12/2016 par calpurnia Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Cécile, la femme que j’adore, court au moins une heure par jour. Elle court quand il gèle. Elle court quand il pleut à verse. Elle court par temps de canicule, sur l’heure du midi. À quarante-deux ans, elle participe à deux à trois marathons par an, et finit souvent mieux classées que des jeunettes de vingt ans. Car courir est sa passion. Parfois, j’ai tenté de l’accompagner, mais je ne tiens pas un quart d’heure à son rythme. Quand, en été, elle rentre de son entrainement quotidien alors que la température frise les quarante degrés à l’ombre, tout son corps ruissèle de sueur. Peu son capable de courir aussi longtemps par une telle température. C’est aussi comme cela que je l’adore : l’interceptant avant qu’elle aille se rafraîchir sous la douche, je la dépouille de son maillot et de son short. Sa petite culotte blanche est un butin précieux, humectée comme jamais de ses humeurs féminines. Ses chaussettes aussi. À présent complètement nue, elle exhale de merveilleuses fragrances que l’effort intense, dans des conditions de forte chaleur, a provoquées. Et qui provoquent mon désir en retour. Elle le sait, s’en amuse et m’encourage dans mes façons de satyre. Déjà , les endorphines permettant de lutter contre la douleur liée à la course entrent en action. Mon projet est d’amplifier son bien-être d’après sport, pour la conduire jusqu’à la béatitude.
Ma main parcourt son Ă©piderme oĂą perlent d’innombrables petites gouttes de rosĂ©e sudatoire. Je fourre mon nez un peu partout avec une gourmandise extrĂŞme. De ses petits gestes câlins, elle m’encourage Ă ĂŞtre intrusif et tĂ©mĂ©raire dans mon exploration. DĂ©jĂ un index furète Ă l’intĂ©rieur de la raie fessière, et j’écarte lĂ©gèrement les deux beaux globes roses. — Vas-y, soupire-t-elle. Fouille, va aussi loin que tu peux. J’en ai rĂŞvĂ© sur au moins dix kilomètres. Le premier contact de ma langue sur sa rosette anale lui est Ă©lectrique : comme souvent, elle a un lĂ©ger sursaut causĂ© par la voluptĂ© soudaine, au dĂ©but du parcours du muscle buccal sur la petite muqueuse, Ă´ combien sensible Ă cet attouchement ! Une brève Ă©manation de gaz m’oblige Ă m’interrompre, incident involontaire qu’un « pardon » murmurĂ© absout immĂ©diatement. Avec moi, elle sait qu’elle peut tout se permettre, et n’a pas besoin de contraindre ces petites manifestations intempestives de son corps. Je pousse en avant ma pointe rose, explorant plus avant le conduit intime, sur toute la longueur permise par mon anatomie. CĂ©cile se penche en avant, jambes Ă©cartĂ©es, afin de me faciliter le travail. Une flaque de sueur de forme au-dessous d’elle. Les senteurs de sous-bois se mĂŞlent Ă celles de la transpiration et ce mĂ©lange me ravit. Je suis Ă genoux ; ce n’est pas très confortable, mais qu’importe : je suis lĂ pour elle. Dans mon pantalon, ma verge dressĂ©e attend son heure avec la plus grande impatience. Elle patientera que mon annulinctus ait produit la lubrification attendue. Mes mains de restent pas inactives et pelotent d’abord les seins. D’un geste, celle que j’aime m’indique la meilleure façon d’augmenter son plaisir : agacer le clitoris d’un doigt, et pĂ©nĂ©trer le vagin de deux autres, qu’il me faut d’abord mouiller de salive. Un « ha ! » joyeux salue cette intrusion digitale. Vais-je la faire jouir ainsi ? C’est arrivĂ©, mais ma CĂ©cile chĂ©rie me dĂ©sire autrement et veut que je l’honore de mon sceptre viril. Voici donc que je me relève et aussitĂ´t la sodomise, d’un coup de rein bien net. Son petit Ĺ“illet, habituĂ©, m’accueille sans difficultĂ©. Elle a toujours prĂ©fĂ©rĂ© ĂŞtre pĂ©nĂ©trĂ©e ainsi, depuis notre rencontre ; elle dit que cela lui procure de meilleures sensations. D’ailleurs, pour cette raison, nous n’avons pas besoin de contraception. En mĂŞme temps, je griffe son dos, assez fermement, le long de la colonne vertĂ©brale, en longs mouvement rĂ©guliers de la nuque au point d’entrĂ©e du phallus, toujours dans le mĂŞme sens. De longues stries rouges se dessinent sur sa peau blanche. Son gĂ©missement et son souffle rapide annoncent que l’orgasme est proche. Je suis si excitĂ© que le mien l’est Ă©galement. Allons-nous venir ensemble ? Non, car je suis un peu plus lent qu’elle. Sentir sa respiration profonde au moment de la jouissance est pour moi un bonheur inĂ©galable. Elle a un frĂ©missement de la tĂŞte aux pieds que je connais bien – non, jamais elle ne simule. Puis elle se dĂ©cule elle-mĂŞme, essuie mon membre avec un mouchoir pour l’emboucher avec dĂ©licatesse, jusqu’à la garde, en chatouillant mes bourses du bout de sa langue râpeuse comme celle d’une petite chatte. C’est irrĂ©sistible : nous avons beau en ĂŞtre au troisième rapport sexuel de la journĂ©e, je me vois dĂ©lestĂ© d’un long jet de semence au creux de sa bouche, qu’elle avale avec gourmandise. Mais elle n’a en pas encore reçu suffisamment. Pourtant, elle a vingt ou trente kilomètres dans les jambes. D’un geste furtif, elle appuie d’une main sur ma tĂŞte. Sans avoir besoin de parler, elle exprime ainsi son dĂ©sir d’un cunnilinctus. Hors de question de refuser. Me voici Ă nouveau Ă genoux devant mon adorĂ©e, mais cette fois-ci de face, prĂŞt Ă lui prodiguer l’acte de tendre vĂ©nĂ©ration que tout homme doit Ă son aimĂ©e, aussi souvent que celle-ci le dĂ©sire. L’odeur de son sexe abondamment poilu, après le sport, est un dĂ©lice absolu dont je ne pourrai jamais me passer. Le fait que ses longs poils – elle ne se rase jamais – entrent dans ma bouche n’est absolument pas un problème. Je pourrais passer ma vie Ă sucer continuellement des femmes, qui sont toutes uniques dans cette activitĂ©, sans jamais me lasser – il est vrai que je ne suis pas très fidèle et que, pas plus tard qu’aujourd’hui, j’ai pratiquĂ© ce geste sur notre charmante voisine, mais chut, ne provoquons pas de crise par quelque rĂ©vĂ©lation imprudente ! Je bois ses glaires abondantes, dont la consistance me signale que la chĂ©rie vient d’ovuler, et que pour cette raison, elle me rĂ©clamera du sexe encore et encore, jusqu’à mon Ă©puisement. Je l’aime ainsi : hypersexuelle, avide de câlins constants et de mes soins lubriques. La petite colline du plaisir, balayĂ©e avec insistance, d’abord grossie par ma stimulation, finit par retourner se cacher dans son fourreau, signe qu’arrive l’orgasme clitoridien. Celui-ci est puissant. Dans son long feulement de joie, CĂ©cile serre les jambes Ă me broyer la mâchoire, et empĂŞche ma tĂŞte de la quitter, d’une main fermement plaquĂ©e sur ma nuque, au cas oĂą j’aurais eu des vellĂ©itĂ©s de fuite au moment crucial. Cette fois, je n’aurais pas eu besoin de glisser deux doigts dans son vagin et dans son anus, en mĂŞme temps, comme je le fais parfois.
Épuisée, incapable de tenir encore sur ses jambes après de tels efforts, elle se jette à terre et se roule dans sa sueur. Je l’accompagne, l’enlaçant tendrement, posant ma tête sur sa poitrine. J’entends battre son cœur, à un rythme qui ne doit pas dépasser cent – un muscle cardiaque de spécialiste de l’endurance, dans le domaine sexuel aussi.
Je sais que Muriel, notre voisine, nous épie par la fenêtre. J’aime bien lui exhiber nos ébats. Elle est un peu jalouse de ce que ma compagne et moi partageons, même si je lui offre souvent de ma tendresse charnelle pour adoucir sa solitude. Soudain, Cécile tourne la tête de son côté. Elle l’a vue ! D’un coup, je comprends qu’elle n’ignore rien de nos jeux en son absence, pendant son entrainement. Et loin de se mettre en colère et de manifester sa jalousie, elle lui fait un signe de la main, pour qu’elle vienne nous rejoindre. — Que dirais-tu d’une petite partie à trois, me propose-t-elle ? J’espère que tu es en forme, aujourd’hui. Parce que Muriel et moi, nous avons très faim, et n’avons pas l’intention de t’épargner… Heureusement, ma verge répond fidèlement présente à l’appel, au garde-à -vous. Ce dimanche après-midi s’annonce plus torride que jamais… © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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