La bonne – chapitre 2
Virginie et Solange donnent le bain à Madame. Solange reçoit le martinet, Madame jouit, Virginie aussi, mais elle ne le sait pas.
Proposée le 8/06/2017 par Donatien Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
26 juillet 1960. Mon cher cahier, comme cette journée a commencé de façon étrange ! Moi qui d’habitude me lève d’un bond, je me suis réveillée toute molle et l’esprit brumeux. Il me semblait me souvenir à -demi d’un rêve ou Solange entrait dans mon lit toute nue. Ce qui est curieux c’est que moi aussi j’étais toute nue, sans même une chemise de nuit. Comme mon lit est très étroit, nous avions bien du mal à nous y tenir sans nous emmêler les membres. Je me souviens d’avoir senti les pointes dures de ses seins contre les miennes. Quand je me suis réveillée j’avais une sensation bizarre dans le bas du ventre, difficile à décrire mais pas désagréable. J’ai appuyé très fort avec ma main sur ma… – tu sais quoi, juste là où Solange avait posé ses doigts hier – pour faire passer cette drôle de sensation mais ça devenait encore plus fort. J’ai enfilé mon peignoir pour aller aux cabinets et juste au moment où je passais devant la chambre de Solange, sa porte s’est ouverte. On aurait dit qu’elle m’attendait.
— Viens vite ! m’a-t-elle chuchoté, j’ai besoin de ton aide !
Je suis entrée dans sa chambre. Elle était déjà habillée et pimpante. Elle tenait ses mains levées en les secouant.
— Comme une idiote j’ai mis mon vernis à ongles avant d’aller faire pipi. Maintenant il faut que j’attende qu’il sèche.
Je l’ai regardée sans comprendre. Elle s’est tortillée un peu et ses yeux se sont dirigés vers le bas.
— Oh, tu voudrais que je…
— S’il te plaît… ça presse !
— Bon, allons-y.
— Oh, non, pas là -bas. On pourrait rencontrer quelqu’un. Regarde, j’ai… Enfin, tu sais, la nuit, j’ai peur d’aller dans le couloir.
J’ai suivi son regard et j’ai découvert près de son lit un vase de nuit comme nous en avons à la campagne et comme je ne croyais pas en revoir en ville. Je suis restée un instant interdite. D’autant que l’objet était posé devant un grand miroir fixé au mur. Solange s’est tortillée de plus belle. Elle a pris un air suppliant.
— Virginie ! Vite !
Je me suis donc agenouillée devant elle. J’ai remonté sa jupe noire jusqu’à sa taille. Elle portait une culotte de soie couleur chair, très ajustée car on devinait le sillon au bas de son ventre. Bien sûr j’ai dû défaire ses jarretières, puis j’ai fait descendre la culotte jusqu’à ses chevilles. C’était drôle de voir de si près son intimité. Il y avait un petit pli de chair qui apparaissait entre les lèvres lisses et renflées, comme si sa bouche d’en bas me tirait la langue. Je suis restée ainsi un instant. Solange ne se trémoussait plus. Puis elle s’est souvenue de son envie pressante et elle est passée derrière son lit en marchant à petits pas, entravée aux chevilles par sa culotte. Je l’ai suivie sans savoir ce que je faisais et ce n’est qu’en entendant le bruit de cascade contre l’émail que je me suis enfin retournée vers le mur. Quand elle a terminé elle est revenue vers moi en me tendant le rouleau de papier sans rien dire. Je l’ai essuyée, d’abord les cuisses parce que le pipi avait coulé de travers, puis sa pissette. Je sentais la chaleur et l’humidité de cette partie d’elle cachée entre ses cuisses à travers le mince papier. Elle a voulu que je recommence trois fois. Elle me disait : «Allez, n’aie pas peur de frotter !» Elle respirait fort. La chaleur trouble dans mon ventre était encore plus forte. Mais plus je frottais et moins le papier était sec. Enfin, elle m’a tenu ma main très fort et elle a dit « Arrête, je vais devenir folle ! » J’ai remonté sa culotte, rajusté ses bas et sa jupe. Elle m’a dit :
— À toi maintenant.
J’ai pensé que j’avais bien le temps d’aller aux cabinets, mais il m’a semblé que c’était bien, de ne pas me montrer plus honteuse qu’elle. Je n’avais pas fait cela depuis des années devant une autre personne, mais j’ai soulevé ma chemise, j’ai fait descendre ma culotte de coton et je me suis accroupie. Solange m’a regardée jusqu’au bout à genoux devant moi et ses yeux braqués entre mes cuisses que je n’osais pas serrer. Il me semblait entendre les battements de mon cœur par-dessus le glouglou dans le vase. Quand j’ai fini, Solange ma fit lever et regarder dans le vase.
— Tu as vu tout ce qu’on a fait ?
En effet nos deux pipis du matin avaient rempli le vase presque jusqu’au bord. J’ai tendu la main vers le rouleau de papier, Solange m’a fait signe que non et c’est elle qui a remonté ma culotte, sans se soucier de son vernis à ongles qui avait séché apparemment. Elle m’a dit :
— Un peu d’humidité va bien aux blondes comme toi. Ce soir l’odeur sera parfaite. Va t’habiller. Nous allons prendre le petit déjeuner et donner son bain à Madame.La salle de bains de Madame ressemble à un temple. La baignoire est en marbre noir, posée sur une estrade, en marbre elle aussi mais rose, comme le sol. Les murs sont en bois sombre, ornés de sculptures. Un grand miroir occupe tout un mur. Solange a rempli la baignoire et versé des sels de bain, puis elle est allée prévenir Madame que tout était prêt. Madame est entrée, vêtue d’un peignoir de soie et d’une chemise de nuit toute en dentelles.
— Ôtez vos robes, je ne veux pas que vous les mouilliez, a-t-elle ordonné.
Nous avons obéi, et Solange a aussi ôté son soutien-gorge, peut-être par solidarité avec moi qui n’en porte pas. Je pouvais comparer dans le miroir mes petits seins à peine esquissés avec leurs pointes rose pâle avec ceux de Solange, mais quand nous avons déshabillé Madame, il m’a semblé qu’auprès d’elle, nous étions deux fillettes. Madame a la majesté d’une statue. Ses seins sont très gros mais ils se tiennent hauts et fiers comme une figure de proue. Nue, elle est plus rousse que blonde. Les pointes de ses seins sont pâles comme les miennes mais longues et dressées malgré la chaleur de la pièce. Sa peau est d’une blancheur de lait, à peine marquée de quelques taches de rousseur aux épaules et à la poitrine. Elle est restée un moment à ranger çà et là des pots de crèmes ou des flacons, peut-être pour nous laisser admirer son corps sous toutes les coutures, ses fesses rebondies que sa taille fine met en valeur, la toison de son ventre, à peine un toupet de poils d’un roux pâle, et qui ne cache rien.
Puis elle est entrée dans le bain brûlant en poussant un soupir d’aise. Elle s’est relevée ruisselante face au miroir et nous a ordonnées de la savonner. Nous sommes montées sur l’estrade de chaque côté de la baignoire. J’ai cherché des yeux un gant ou une éponge, il n’y en avait pas. Solange a pris une savonnette et a commencé à savonner Madame avec ses mains nues. Elle m’a fait signe en silence de faire de même. J’ai tâché d’imiter ses gestes. D’abord les épaules et les bras, les aisselles bien épilées, le dos, puis les seins. J’ai eu du plaisir à sentir glisser mes mains savonneuses sur ces globes élastiques que ma main est bien loin de contenir. J’ai senti dans ma paume leur pointe se durcir encore et s’allonger. Puis Madame a dit « Assez ! » et nous avons continué notre savonnage. Les cuisses et les fesses, et c’est la main de Solange qui est entrée dans le sillon profond, car je n’osais pas. Elle y est restée longtemps, allant et venant lentement et il m’a semblé que Madame accompagnait ses gestes par des mouvements du bassin. Virginie m’a commandé des yeux de m’occuper de l’autre côté. J’ai savonné le ventre plat, la toison, mais Madame m’a arrêtée d’une tape sèche sur la main. « Pas de savon ici. Prenez la crème dans le pot vert. »
J’ai pris le pot de porcelaine qu’elle me montrait. J’y ai plongé ma main. La crème était riche et onctueuse. J’ai hésité un instant mais le regard de Madame m’a effrayée. J’ai glissé ma main entre ses cuisses et j’ai commencé à imiter les gestes que Solange faisait par derrière. Madame n’est pas faite comme moi. Tout chez elle est plus grand. Bien sûr, je sais comment sont faites les femmes. J’ai visité ma propre intimité pour me laver, bien que je passe vite à cause du savon qui pique. Chez moi le bouton au-dessus du trou qui fait pipi est tout petit, celui de Madame est gros et dur, il dépasse largement entre ses lèvres du bas, et c’est la même chose pour les replis qui entourent l’autre trou, celui par où viennent les bébés, d’après Léa – ce que je ne peux pas croire, le mien ne laissant passer qu’un de mes doigts. Et j’ai senti sous mes doigts l’entrée de l’intimité de Madame, et il m’a bien semblé que le lieu était déjà enduit de crème avant que j’arrive, et cette grotte humide semblait attirer mes doigts ; Madame a saisi mon poignet et elle a guidé ma main pour que mes doigts parcourent lentement, puis de plus en plus vite, toute la longueur de sa vallée. Elle soufflait comme Solange dans son lit, ce doit être une habitude de cette maison. Puis elle a ordonné à Solange :
— Donnez-moi l’olisbos !
— Lequel, Madame ?
— Le blanc.
— Oh ! Madame va se faire mal !
— Non, petite sotte, la main de cette petite est si douce ! Elle m’a bien préparée.
Solange a ouvert un tiroir, en a sorti un objet étrange qui semblait être en porcelaine, de la taille du bras d’un petit enfant, avec un bout arrondi et l’autre muni d’une ventouse en caoutchouc. Solange a plongé la chose dans la baignoire, je pense qu’elle l’a fixée au fond par la ventouse. Je me suis demandée si Madame allait introduire cette chose en elle, je me suis dit que c’était impossible. Pourtant elle s’est agenouillée, a semblé chercher un instant, puis elle est descendue lentement en poussant un râle profond.
Solange s’est agenouillée près de la baignoire, elle a rincé rapidement les seins de Madame, puis elle a pris dans sa bouche le bout qui était de son côté, m’intimant des yeux l’ordre de prendre l’autre. Je l’ai fait, ce qui m’a semblé bien étrange. Le téton était dur dans ma bouche, je l’ai tété et sucé aussi fort que je pouvais pour faire comme Solange. Madame nous a saisies toutes les deux par les cheveux. Elle s’agitait de plus en plus vite et criait tout à fait maintenant, d’une voix de gorge qui semblait sortir d’un animal, mais je ne crois pas que c’était de la douleur. Soudain elle a repoussé Solange avec colère.
— Ma fille vous n’êtes pas à votre tâche. Virginie, punissez-là !
Je suis restée interdite, me demandant quoi faire, mais Solange, la tête baissée, est allée fouiller dans un autre tiroir et en a sorti un martinet. Oui, c’était bien un martinet comme on en trouvait chez nous, prétendument pour fouetter les chiens, mais dont ma grand-mère usait sur nos mollets à la moindre peccadille. Solange me l’a mis dans la main, puis elle a fait descendre sa culotte à mi-cuisses et s’est mise en position au bord de la baignoire, les fesses tendues en arrière face au miroir. Je suis restée sans bouger, le martinet dans ma main encore enduite de crème. Je n’avais pas du tout envie de fesser Solange que j’aimais déjà si fort. Mais Madame a crié :
— Allez-y ! Sinon, vous devrez prendre sa place.
Je me suis mise à pleurer, mais Solange s’est tournée vers moi et m’a fait un sourire pour m’encourager. J’ai alors donné un petit coup, à peine une caresse. Cette fois c’est Solange qui a semblé se fâcher.
— Un peu de courage, allons !
La deuxième fois j’ai cru avoir frappé trop fort, car Solange s’est cambrée sous le coup, ses fesses se sont écartées, révélant son trou de derrière et sa fente imberbe. La peau a rougi.
Madame a recommencé à se trémousser sur l’olisbos et à râler en disant d’une voix entrecoupée : « Plus fort sur cette garce ! Allons, fais crier cette putain ! » Je me suis mis à fouetter ma pauvre Solange sans trop savoir ce que je faisais, de plus en plus vite, sur les fesses et sur les cuisses, cherchant à atteindre les parties les plus sensibles. Solange criait et pleurait, ses fesses étaient zébrées de traces rouges et boursoufflées, mais il me semblait que mon bras ne m’appartenait plus. Il y avait une vague énorme de plaisir qui montait dans mon ventre. Puis Madame a poussé un dernier cri, plus fort et plus long, et c’est elle qui a arrêté mon bras.
J’ai repris mes esprits. Madame s’est relevée, elle riait. Elle a dit à Solange qui essuyait ses larmes :
— Vous voilà bien arrangée. Venez dans ma chambre, je vais vous soigner. Et vous, Virginie, rangez cette pièce et allez vous changer.
J’ai alors vu la flaque à mes pieds. J’avais fait pipi dans ma culotte. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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