La bonne sœur et le garçon de ferme.10 Leçon. Dépucelage par « Le défricheur ».
Le Maître défricheur dépucelle l’une après l’autre les futures courtisanes mais elles s’aperçoivent vite que la différence est énorme entre lui et les six manants des jours précédents. L’organe du Maître est impressionnant mais l’une d’elle se dévoue pour passer la première.
Proposée le 2/09/2018 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: GroupesLieu: InclassableType: Fantasme
Leçon. Dépucelage par « Le défricheur ».Le Maître soupire. Il bande dur. Il est couché sur le dos, sa queue repose sur son ventre!
La Maîtresse donne ses ordres à Armelle :-Monte sur le lit, passe une jambe de chaque coté de son corps, met-toi à genoux maintenant et pose tes fesses sur ses cuisses, bieeennn… !
– Maintenant, frotte ton coquillage sur son rostre, appuie plus, écrase ta vulve sur sa verge, je veux voir tes grandes lèvres s’écarter sur son manche et glisser sur toute sa longueur, làààà ! C’est beaucoup mieux. Tu mouilles tellement que sa verge luit de cyprine.
– Bien, maintenant redresse-toi sur tes genoux, je vais tenir son bélier à la verticale et garder la main à sa base pour que tu ne te déchires-pas la matrice en allant accidentellement trop loin ! Martine, pendant ce temps, tu vas prendre la même position que ta camarade, mais au lieu de son sexe, c’est sa bouche que ton abricot va épouser ! Le maître va te préparer pour la suite.Récit d’Armelle.
Je tremble de tous mes membres, rien que de frotter mon sexe contre cette énormité me panique, mais je ne veux rien laisser paraître devant les yeux des autres filles. Il est hors de question que je me dégonfle.
Je me rends bien compte que le sexe du Maître n’a rien à voir avec le commun des mortels.
Je le regarde et lui sourit, plein du désir et de la fierté d’être la première à me dépuceler sur cette imposante virilité. -Bon, maintenant, finit de jouer, passons aux choses sérieuses, annonce Madame Clerc, Armelle, redresse-toi sur tes genoux, écarte ta chatte avec tes doigts et approche-toi de son pal !
Martine a pris place, son sexe s’écrase sur la bouche du Maître dont la langue s’active aussitôt. Elle me fait face.
Sans un mot, j’enfonce délicatement mes doigts dans ma chatte, en dilate l’ouverture du mieux que je peux, et me rapproche jambes écartées, la Maîtresse dirige le gland mafflu vers ma fleur ouverte. Elle en frotte le pistil avec la tête chercheuse qu’elle positionne à l’entrée de ma grotte trempée.
De son autre main, elle appuie sur mon épaule, la pression devient plus forte sur son épi qui franchit le premier obstacle, m’arrachant un petit cri quand je vois ce long serpent m’envahir lentement avant de buter sur mon hymen.
Madame Clerc me murmure à l’oreille :-A toi maintenant !
J’hésite, essaie plusieurs fois mais n’arrive pas à sauter le pas.
Voyant mon indécision, il donne un petit coup de rein pour déchirer mon hymen, je pousse un petit gémissement mais me laisse emporter par cette sensation unique, sentant le plaisir prendre le dessus.
Je plie les genoux, enfonçant de plus en plus loin en moi sa flamberge qui repousse les limites de mon fourreau, je continue vaillamment jusqu’à aller en butée.
J’essaie d’enfoncer le plus de longueur qu’il m’est permis mais ma vulve rencontre la main de la Maîtresse en même temps que le gland du Maître bute au fond de ma grotte dilatée.
J’ai la bouche grande ouverte, la tête renversée en arrière mon corps tremble.
J’entame de faibles mouvements de hanches pour permettre à cette colonne de chair de bien prendre possession de mon temple d’amour si étroit dont il prend toute la mesure, l’enduisant au passage copieusement de mes sécrétions vaginales, lubrifiant généreusement nos deux sexes.
La douleur ressentie du début est vite submergée par le plaisir de sentir en moi remuer ce plantoir disproportionné.
Je vois que la langue et la bouche du Maître déclenchent chez Martine des sensations tout aussi fortes, elle gémit encore plus fort que moi.
Je plonge mes yeux dans les siens. Après quelques doux allers-retours, le passage est devenu plus praticable. Je deviens comme une folle me défonçant littéralement sur son rostre, mes cris montent à l’unisson de ceux de Martine, je suis une amazone chevauchant ce bel étalon.
Il ne me faut que peu de temps pour atteindre l’orgasme. Je m’écroule dans les bras de Martine et nous nous embrassons comme deux gouines.
Je reviens enfin sur terre quand la Maîtresse me dit de céder ma place. Je me désaccouple avec regret de cette cheville toujours aussi raide, légèrement teintée de mon sang.Récit de Martine
La langue du Maître m’a fait monter au 7ème ciel, il est beaucoup plus doué que les garçons. Par 2 fois je n’ai pu me retenir et j’ai ouvert les vannes, noyant mon tourmenteur sous une cataracte de mouille.
Il s’est rapproché du bord du lit et pose ses deux pieds au sol. Je m’assieds sur ses cuisses dos à lui en mettant mes jambes de chaque coté. La Maîtresse me fait mettre mes pieds sur les genoux du Maître et mes mains sur sa poitrine, mon corps fait un petit pont. Je n’ai qu’à plier les jambes pour que ma foufoune entre en contact avec le vit maintenu à la verticale par la main de Madame Clerc.
Je sens cette énorme force virile à l’orée de ma cramouille. Je bloque ma respiration et d’un seul coup abaisse mes fesses. C’est comme si un sabre me transperçait.
La moitié de l’épieu a disparu en moi. Sous la douleur, je me relève brusquement en hurlant.
La verge est maculé de sang, beaucoup plus qu’avec Annabelle. Je n’ose plus recommencer.
La Maîtresse m’encourage :-Quand on tombe d’un cheval, il faut tout de suite remonter en selle !
Elle appuie doucement mais fermement sur mon bassin et dirige mon vagin sur sa belle pine.
Elle pousse doucement et je sens à nouveau le gland trigonocéphale repousser mes chairs intimes.
J’arrive à rentrer la moitié de cette verge. Malgré la douleur, je commence à faire un ou deux va et vient.
Je commence à m’habituer doucement. Je ressors bien pour le sentir rentrer à chaque fois un peu plus loin mais comme Annabelle, je dois abdiquer devant un tel pal.
Son sceptre me donne du plaisir tout le long de ma paroi écartelée aux limites de sa souplesse.
Le plaisir est devenu intense.
Son jonc vigoureux coulisse maintenant librement dans mon conduit élargi et bien lubrifié. Mais le Maître a décidé après quelques minutes de reprendre les rennes. Il redresse son torse, passe ses mains sous mes cuisses et se relève, m’emportant avec lui comme une plume et va se mettre devant le miroir.
Je suis à sa merci, son engin toujours en moi, mon dos collé contre son torse.
Il me besogne consciencieusement, prenant garde à ne pas me blesser en me laissant m’empaler trop loin, il me taraude de plus belle, m’arrachant des cris de plaisirs et de douleur quand il va trop profond. Il est endurant, inépuisable…La scène qui se déroule sous les yeux des 9 filles est obscène et surréaliste, mais elles ne peuvent détacher leurs yeux de la vitre. Le sexe démesuré est d’une largeur énorme, presque monstrueuse à sa base. Quelques centimètres supplémentaires disparaissent encore et Madame Clerc doit y mettre un terme avant l’accident en glissant la main entre les deux corps pour se saisir de la base de la hampe.
Les filles sont ébahies de la puissance qui se dégage de cet organe et forcées d’admettre qu’il est réellement hors normes. Elles voient les grimaces de leur camarade à chaque fois qu’elle endure la formidable pénétration.
Le maître a reposé Martine sur le lit et continue de la prendre en levrette. Avec elle, pas de soucis pour savoir quand elle jouit, elle en fait profiter tout le monde.
Mais Madame Clerc veille et lui dit qu’il faut aussi qu’il s’occupe de Jeanne.
A regret, il quitte ce trou bien chaud mais sait que ce n’est que partie remise.Récit de Jeanne.
Pendant que le Maître s’occupait de Martine, Madame Clerc avait donné comme mission à Paul de me tenir prête. Ses mains et sa bouche peuvent témoigner qu’il a bien fait son labeur, elles sont poisseuses de ma mouille.
L’exercice qu’à vécue Martine m’a impressionnée, que va-t-il me faire subir ?
Il me demande s’il peut diriger les opérations.-Je vous en prie Maître, mais allez-y doucement !
Il me couche sur le dos, relève mes jambes qu’il pose sur ses épaules, il se penche sur moi, se saisit de mes cuisses, pointe son monstre devant mon coquillage et… pousse un grand coup !
D’un seul coup il enfonce un tiers de sa verge dans ma minette trempée.
J’hurle mais ne peux rien y faire.-Dieu qu’elle est étroite, lâche-t-il en stoppant sa pénétration.
Madame Clerc lui dit de se retirer et passe tour-à tour de ma chatte endolorie au dard ensanglanté pour les enduire de sa salive. Elle plaque sa bouche sur mon pubis pour l’oindre copieusement avant de se retourner et de s’occuper du cierge du Maître.
Le Maître revient à la charge et je me fais prendre sans pouvoir bouger, il décide du rythme, de la puissance de ses coups, de la profondeur de ses poussées, je sens sa force viril qui s’écrase au fond de moi.
Je me fais prendre avec force et j’aime de plus en plus çà ! Mais la douleur persiste encore, il est vraiment trop gros pour moi.
Malgré-tout, je n’ai jamais ressenti un tel plaisir et je gémis de plaisir à chaque coup de boutoir de son énorme trique.
Je perds la notion du temps. Soudain, je ressens comme un grand vide.
Il s’est retiré, toujours dur, il n’a toujours pas jouit depuis qu’il nous tronche l’une après l’autre et prend la parole :
-Bien mesdemoiselles, vous êtes devenues de vraies femmes…. Enfin, pas tout-a-fait. Il y a encore un trou que je n’ai pas défloré. Mais là, je vais demander à Paul de me précéder et la Maîtresse va vous préparer à l’épreuve !A suivre… © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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