La bourgeoise et le chef de chantier

La bourgeoise et le chef de chantier
Anne Sophie a été chargé par son mari, retenu à son travail de faire visiter le chantier à K., la visite dérape …
Proposée le 10/02/2015 par hydre75 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme

Aujourd’hui ,le couple a rendez-vous avec le chef de chantier pour discuter du projet d’aménagement de la vieille construction du fond de jardin en pavillon de lecture.
Karim est à l’heure au rdv ,c’est Anne Sophie qui le reçoit et l’installe dans le salon autour de boissons .elle est vêtue d’une robe légère et ne porte pas de sous vêtement .Tout à coup le téléphone sonne ,son mari l’avertit qu’il ne peut pas assister à la réunion de travail et la charge de s’en occuper …Elle en informe K. et ils décident d’aller faire le point sur place .
En premier lieu ,inspection de la toiture, K. installe l’échelle et va évaluer l’état de la toiture, puis ,c’est au tour d’Anne Sophie de monter pendant que le chef de chantier en bas de l’échelle découvre le haut des cuisses de la belle et s’aperçoit qu’elle ne porte pas de culotte . Il lui en fait la remarque et prenant un air coquin ,elle lui répond de bien en profiter. Quand tout à coup, un barreau casse ,la belle, pétrifiée, s’accroche comme elle peut .K. lui conseille de poser ses pieds près des montants ,ce faisant elle écarte les cuisses et lui dévoile un peu plus son jardin défendu .
K. monte la secourir. Lentement ,il forme avec ses bras un cercle protecteur autour des siens, le bassin collé à ses fesses écartées .Ils entament le mouvement de descente. Anne Sophie s’aperçoit ,tout à coup, que K ,bien que bridée par son short ,est en érection .La situation , la position inconfortable l’émoustille .Elle accentue ,alors , Le frottement en se cambrant ce qui ne passe pas inaperçue au bel étalon qui relève sa robe au dessus de ses fesses .Arrivés sur le plancher des vaches, il est toujours contre elle .la bourgeoise le lui fait remarquer et se retournant flatte d’une caresse, son sexe en lui disant je te fais de l’effet .Surpris de sa réaction ,il rétorque ,sur le ton de la plaisanterie, » j’aurais préféré sans mon short ».
Avec un applond qui le déstabilise La belle répond , »que cela ne tienne ,çà n’est pas trop tard », et joignant le geste à la parole ,en se collant à lui ,elle défait ,un à un, les boutons de sa chemise, dénudant son buste musclé. puis tout en embrassant et caressant la partie mise à nue ,elle amorce une descente vers sa virilité .Elle s’agenouille ,entreprend de lui retirer le short près a craquer ,Impressionnée par le monstre qu »elle découvre sous le tissu ,elle le en fait le contour avec deux doigt .Puis passant ses pouces sous l’élastique baisse d’un coup sec le slip donnant toute liberté au baton de chair de se dresser vers le ciel. Avec un petit sourire coquin , toujours à genoux ,elle fixe, le superbe bambou et s’attache à le décalotter en lui avouant qu’elle le préfère comme çà et que ,désormais ,ce sera sa tenue de travail quand il seront tous les deux.
Surpris par la tournure que prennent les évènements ,K. bredouille.
Alors,La bourgeoise examine du regard sa virilité tendu et se saisissant du mètre de chantier, entreprend de la mesurer .Elle en griffonne les dimensions sur un papier.
Ebahi ,K. se laisse faire et tombe des nues quand elle lui demande d’être son boy toy . Interloqué, Il demande en quoi çà consiste, elle répond laconiquement qu’il devra satisfaire tous ses désirs .Pus le tirant par le lingam, la bourgeoise entraine le chef de chantier dans la bâtisse en savourant cet instant avec un secret plaisir de dominatrice …Il pénètrent dans la grande pièce voutée, meublée d’un unique divan et évalue empiriquement les travaux . Au fil du temps le lingam de K. devient flacide , elle s’en amuse en le masturbant avec douceur pour lui redonner de la vigueur .Le but atteint, elle se retourne et vient coller ses fesses ouvertes contre, écarte les jambes, se cambre, lui demande de glisser son organe entre et de le frotter contre son coquillage. Ravie de la demande ,il soulève la robe de la bourgeoise et commence une longue série de frottements de son bambou entre les pétales de sa fleur sans en négliger le pistil , pendant que la main de la belle accompagne le mouvement en pressant le gland sur ses parties sensibles. Pris d’une frénésie soudaine ,K. essaie d’enlever la robe de la belle qui résiste .Alors il la plaque contre le mur et tente de la pénétrer mais en vain. La belle calme son hardeur et reprend les choses en main.
Elle le conduit sur le canapé,le fait s’allonger, l’enjambe et vient le chevaucher à califourchon .D’une main elle se saisit de son pénis et le dirige vers l’entrée de sa grotte à plaisirs .Le gland de la taille d’une mandarine peine à franchir le vestibule. K. agacé donne un coup de rein et il le projette à l’intérieur ,accentuant la poussée, il glisse lentement en elle jusqu’à la butée . là son pénis s’installe dans son fourreau qui progressivement se dilate et c’est la belle qui prend le relais .Remplie en avoir mal ,elle ondule du bassin ,gémit ,se tortille.
Dans un état second ,pendant que les mains de K s’attarde sur ses seins et titille ses têtons dressés qui se dessine sous le tissu de sa robe, la bourgeoise frissonnante, se cabre de plaisir et entame de longs et réguliers va et vient sur son membre dressé goutant chaque centimètre de ce gland, qui lui parcourt les entrailles avec délice.Anne Sophie ne peut s’empêcher de regarder ce sexe qui envahit son bas ventre. Elle s’empalle vigoureusement sur ce membre qu’elle sent si bien au plus profond d’elle même.Elle varie la cadence en effectuant de longs et puissant aller et retours, son bouton d’amour palpite.Anne Sophie gémit sans retenue. k suit le rythme et soudain se crispe ,elle sent son lingam vibrer et son sperme jaillir, il se vide en elle en long jets la faisant exploser à son tour dans un tourbillon de jouissance . Tout à coup toute l’excitation qu’elle avait en elle s’évacue,Son corps frémit une dernière fois et c’est dégoulinante de sperme qu’elle se retire et gagne sa douche.
Son mari ,le soir venu, interroge son épouse qui sans la moindre gêne, lui raconte tout, dans le moindre détail. Alors il lui demande de s’allonger sur le canapé ,sort son pénis et la pénètre d’une traite …© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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