Le matin, Emilie fut réveillée par des petits coups frappés à la porte. Elle tourna la tête vers la fenêtre et vit que le jour n’était pas encore levé. Comme elle tardait à sortir du lit, la personne qui l’avait sorti du sommeil entra dans la pièce.« Debout là-dedans, dit-elle en guise de bonjour. Je suis Sœur Florence, j’ai 26 ans. C’est l’heure du petit déjeuner. Habille-toi vite ! »Elle lui jeta son uniforme puis s’en alla, sans plus de précisions. Emilie chercha ses habits, mais apparemment, on les avait récupérés. L’idée de se retrouver nue sous ce simple vêtement la gênait beaucoup. Mais après tout, les autres semblaient être vêtues de la même façon, elle se résigna donc.Au petit déjeuner, elle fit connaissance avec le reste des pensionnaires. Elles étaient une trentaine, autour d’une grande table en bois. Emilie remarqua qu’elles étaient toutes jeunes et que la plus âgée, hormis Mère Elisabeth, devait à peine avoir trente ans. Malgré le nombre de jeunes filles, un silence absolu régnait dans la grade salle. Emilie essayait de croiser un regard, de saisir un sourire, mais toutes avaient le nez plongé dans leur repas et pas un son ne venait troubler le calme très matinal. Une cloche sonna tout à coup et toutes les nonnes se levèrent et sortirent en trottinant. Emilie, qui avait à peine touché à son repas, les rejoignit au pas de course et suivit le mouvement.« Où va-t-on, demanda-t-elle ? »Le regard réprobateur de sa voisine lui fit comprendre qu’il était de rigueur de se taire dans les rangs. Le groupe marchait à vive allure et arriva bientôt à l’extérieur, dans une grande cour. La température était glaciale, mais les filles se mirent en rang et ne bougèrent plus d’un pouce, toujours silencieuses. Emilie contemplait le bâtiment en levant la tête. Une des filles lui donna un coup de coude dans les côtes pour lui signaler la présence de Mère Elisabeth. La directrice de l’établissement venait de faire son apparition, au milieu de la cour. Elle était assise sur un cheval noir et elle avait adopté une attitude hautaine et méprisante vis-à-vis des jeunes filles. Elle les observa quelques secondes puis elle leur parla :« Bonjour mesdemoiselles. Comme vous le savez, il y a une nouvelle parmi nous. Mademoiselle Emilie, je vous demande de sortir des rangs et de venir près de moi afin que tout le monde puisse faire votre connaissance. »Apeurée par la solennité de l’événement, Emilie s’approcha à petits pas, effectua un demi-tour pour faire face à l’assistance et tenta de leur sourire.« La cérémonie officielle de bienvenue aura lieu ce soir. En attendant, mademoiselle, vous êtes tenue de rester dans votre chambre jusqu’à ce que l’on vienne vous chercher. Votre repas vous sera apporté, ainsi que de la lecture. Mes sœurs, veuillez reprendre vos activités ! »Mère Elisabeth se retira et les jeunes filles s’éparpillèrent calmement. Emilie resta seule avec Sœur Lucie qui l’invita à la suivre.« Je te ramène à ta chambre. Repose toi et sois bien détendue pour ce soir. Tu verras, c’est quelque chose de grandiose et on en sort changées.— En quoi ça consiste, demanda Emilie, qui s’inquiétait de savoir ce qui lui était réservée.— Je n’ai pas le droit de le dire, mais je serais là si ça peut te rassurer, répondit-elle en souriant »Elles étaient arrivées devant sa chambre. Sœur Lucie sortit sa clé, dévoilant à nouveau ses cuisses à sa nouvelle amie. Elle lui déposa une bise sur la joue et lui souhaita une bonne journée.Emilie se retrouva à nouveau seule. On lui avait apporté de la lecture, mais s’agissant d’un exemplaire de la Bible, Emilie n’y toucha pas. Elle n’était pas croyante et la religion ne l’avait jamais intéressée.Le soir tomba rapidement car c’était l’hiver et la chambre ne possédait pas l’électricité. On lui avait apporté deux cierges qu’elle alluma. Quelques heures plus tard, Sœur Lucie refit son apparition.« C’est l’heure. Suis-moi. »Elle l’emmena jusqu’à une salle immense, d’une blancheur éclatante. Le sol et les murs étaient carrelés ce qui donnait une impression de grande propreté. Il y avait une dizaine de jeunes filles qu’Emilie avait déjà rencontré le matin même. Toutes se tenaient debout, en cercle, nues. Mère Elisabeth était assise dans un fauteuil, sur une estrade qui dominait l’assemblée. Mais elle avait gardé ses habits. Sœur Lucie s’était déjà déshabillée et avait rejoint les autres.« Enlevez votre combinaison mademoiselle Emilie ! »Obéissante, elle défit lentement son vêtement et se retrouva nue sous les yeux observateurs de l’assemblée.« Je vois que vous vous êtes conformée aux règles. J’apprécie. »Sa nudité et celles des autres filles la rassurait un peu, car, même si elle n’osait pas se l’avouer, cela l’excitait plus que ne l’effrayait. Bien sur, l’ambiance solennelle lui fichait une frousse terrible ainsi que le fait de ne pas savoir ce qui allait lui arriver, mais elle sentait une chaleur venir au fond de son ventre et ses sens s’échauffaient. Pourtant, elle n’avait jamais rien ressenti pour une autre fille, mais elle était sûre que personne ne lui ferait de mal. Elle décida alors d’obéir à tout ce qu’elle lui demanderait et de se laisser faire, tant que ça ne lui fait pas mal.Deux filles l’encadrèrent et la firent s’asseoir sur un fauteuil au milieu de la pièce. Puis, Sœur Lucie s’approcha d’elle en lui souriant. Elle se mit à genoux en face d’Emilie et lui fit écarter les jambes. Emilie était mise en confiance car elle connaissait Sœur Lucie et elle ne lui faisait pas peur. Elle approcha son visage de son sexe et le regarda attentivement de longues secondes. Puis, sans prévenir, alors que Emilie tremblait en sentant la respiration rapide de la nonne sur son sexe, Sœur Lucie l’embrassa. Ses lèvres se posèrent partout sur son sexe, déposant de petits bisous, qui faisaient à chaque fois l’impression de décharge électrique. Ses bises se firent de plus en plus appuyées. Elle posa sa bouche sur le clitoris de la jeune fille qui, sans s’en rendre compte, avait encore davantage écarté ses jambes. Elle ouvrit sa bouche et sortit une langue pointue qui s’acharna sur le clitoris, donnant des coups de bas en haut. Elle l’attrapa entre ses lèvres et l’aspira.Emilie se sentait fondre dans cette bouche qui la suçait et lui procurait d’immenses frissons. La succion ne s’arrêtait pas et elle finit par jouir, mais elle se retint de crier. Sœur Lucie se releva, lui fit un grand sourire et s’éloigna. Alors, les Sœurs Bérénice et Sandra s’approchèrent à leur tour. Pendant que Sœur Sandra reprenait là où Sœur Lucie s’était arrêtée, Sœur Bérénice se mit en devoir de lécher les seins d’Emilie. Les tétons dressés roulaient sous la langue experte de la nonne. Sœur Sandra pénétrait la chatte avec sa langue et Sœur Bérénice joua avec son doigt sur le clitoris. Sœur Sandra enleva sa tête pour permettre à sa consœur de glisser son majeur dans le vagin trempé d’Emilie. Elle imprima aussitôt un mouvement de va-et-vient très rapide qui fit jouir Emilie en deux allers-retours.Elle s’éloignèrent à leur tour et, tandis que Emilie cherchait à reprendre son souffle, trois nouvelles filles s’avancèrent. Epuisée, mais ravie, Emilie leur sourit. Sœur Mélanie la fit se mettre à quatre pattes, au-dessus de Sœur Floriane. Sans attendre la permission, Emilie se rua sur cette chatte et goûta pour la première un sexe féminin. Elle trouva facilement les zones qui procuraient le plus de plaisir à Sœur Floriane et mit un point d’honneur à la faire jouir. Pendant ce temps, Sœur Mélanie lui léchait la chatte et sa langue passait de son sexe à la raie de son cul. La troisième, Sœur Angélique, tenait un cierge dans la main et regardait le spectacle en se masturbant. Emilie sentait la langue sur sa chatte s’occupait de son cul. Elle avait du mal à se concentrer sur la chatte de Sœur Floriane. Elle sentit qu’on lui écartait les fesses et qu’on lui introduisait deux doigts dedans. Sœur Angélique suçait la bougie tandis que Sœur Mélanie lubrifiait l’anus d’Emilie avec sa mouille.Puis, Sœur Angélique s’approcha et posa le bout du cierge contre l’anneau brun d’Emilie. Celle-ci se contracta involontairement, mais Sœur Angélique lui glisse un doigt dans la chatte pour la détendre. La bougie s’enfonça de plus en plus dans son cul et Emilie, qui n’en peut plus mais en redemande, balançait ses fesses en arrière pour venir s’empaler sur ce gode en cire. Sœur Angélique commença à le faire bouger et à lui défoncer le cul. Incapable de se concentrer sur le plaisir de Sœur Floriane, Emilie décida de profiter du sien à fond. Alors, délaissée, Sœur Floriane passa sous elle et lui lécha la chatte, rejointe très vite par Sœur Mélanie. Les deux nonnes s’embrassaient, s’échangeant la mouille d’Emilie, puis retournant la lécher. La chatte de la jeune fille n’était plus qu’une fontaine, son cul est dilaté. Sœur Angélique sortit la bougie et la présenta devant le sexe encore vierge d’Emilie. Celle-ci, dans son état normal aurait refusé, mais là elle écarta les cuisses et la supplia de la pénétrer. Le cierge rentra très facilement dans ce sexe trempé.Emilie bougeait en même temps que la bougie. Elle cria qu’elle voulait se faire défoncer, les autres lui dirent qu’elle était une vraie salope. Tout cela se passait dans un concert de gémissements et de cris de plaisir. Emilie jouit dans un dernier élan, la bougie bien enfoncée en elle. Les deux nonnes burent sa mouille, puis l’embrassèrent et retournèrent avec les autres. Sœur Angélique retira la bougie et la lécha pour ne rien laisser de la mouille. Alors, Emilie se releva et regarda l’assemblée. Mère Elisabeth prit la parole :« Dorénavant, vous vous présenterez sous le nom de Sœur Emilie. Bienvenue parmi nous.— Bienvenue parmi nous, reprirent en chœur les nonnes »Sœur Lucie lui donna une bougie de grande taille, alluma la mèche et la raccompagna à sa chambre où elle dormit d’un sommeil profond, plein de rêves, où se côtoyaient jeunes filles et cierges. Au matin, elle se réveilla trempée et dut se masturber. Sa première journée de nonne commençait.