La découverte de la vie…et du sexe
J’ai écrit cette histoire à la troisième personne, elle aurait peut être du l’être à la première. J’espère que les lecteurs apprécieront et me le feront savoir
Proposée le 23/10/2016 par alain06 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: InclassableType: Histoire vraie
Gérard est heureux de revoir sa famille, sa région. Sa famille se limite en fait à sa mère et quelques oncles et tantes qu’il ne voit très rarement. Sa mère il ne s’est jamais bien entendu avec elle. Il n’a jamais su pourquoi. Pendant longtemps ça l’a tracassé, il a essayé de savoir mais sans jamais obtenir de réponse, maintenant il s’en fiche.
C’est ainsi et il n’y peut rien, en tous cas il ne voit pas ce qu’il pourrait faire pour que ça change, en plus il n’en a pas vraiment envie. Il est revenu pour un mois de vacances et il bien décidé à en profiter et ne pas se prendre la tête.
Il a deux frères, beaucoup plus âgés que lui et ils n’ont pas vraiment de points en commun. De toute façon l’un est marié-plutôt mal -et travaille de nuit, l’autre habite et travaille à Paris, autant dire qu’il ne les voit jamais.Quand à lui, il s’est engagé il y a six mois dans la marine à l’âge de seize ans et demi, il est en permission depuis ce matin. C’est la première fois qu’il revient dans son village depuis son engagement.Le temps est beau. Rien à voir avec la côte d’azur bien sur, le village ou il habite n’a rien non plus à voir avec Toulon.
Il est 15 heures, ne sachant que faire à la maison, en short, tee shirt et savates légères aux pieds, il sort et va s’assoir sur le talus herbeux qui se trouve juste en face.
Il ya peu de voitures qui circulent, les gens d’ici ne sont pas riches et circulent surtout en vélo ou Cyclomoteur, ou à pied tout simplement. Quelques personnes qu’il reconnait lui disent bonjour en passant, il répond.
Le principal travail ici dans le département du pas de Calais c’est l’extraction du charbon. Les mineurs travaillent très dur pour un salaire inadapté à la pénibilité du travail et surtout aux risques encourus.
Gérard n’avait pas du tout envie d’aller s’enterrer au fond d’une mine pendant huit heures sans être toujours sur de remonter sur ses jambes.
Il y a une dizaine d’années, un coup de grisou, un parmi tant d’autres malheureusement, s’était produit tandis que son père était au fond. On l’avait sorti, lui et quelques camarades en très mauvais état et ils étaient tous morts quelques jours ou quelques semaines plus tard. Malgré tout sa mère aurait voulu qu’il « descende » à la mine, d’où leur profond désaccord sans doute.
C’est la vie. Ici les hommes n’ont pas trop le choix car à part ça, pas grand-chose comme boulot et surtout pas cher payé.Gérard a toujours eu envie de voyage, de découvrir des horizons lointains et exotiques, c’est la principale raison de son départ dans la marine nationale.
Quand il est parti il était un peu gringalet mais ces six derniers mois l’ont muri et la pratique du sport a haute dose forgé son corps.
Il a appris à vivre en communauté, lui qui était assez réservé pour ne pas dire timide s’est épanoui au contact de jeunes de son âge qui viennent de toute la France et même d’outre mer.Il repense à Miquette. Tous les marins de Toulon et d’ailleurs connaissent Miquette. A la base il en avait beaucoup entendu parler par les anciens qui pour beaucoup d’entre eux avaient abandonné leur pucelage avec elle.
Petite, un bagout du tonnerre, un beau corps qui a beaucoup servi mais qui n’est pas encore déformé par la vie, une bonne humeur incroyable.
Mais surtout, une professionnelle unique, qui s’occupe du client comme si c’était un amoureux.
Vicieuse en diable, elle aime son travail et là ou les autres putes expédient vite fait le client, elle elle prend le temps de s’occuper du client et de le satisfaire au mieux.
Voilà ce qu’il avait entendu de la bouche de ceux qui étaient « montés« avec elle.
Gérard avait donc naturellement choisi d’abandonner son pucelage avec Miquette.Ce jour là, jour de sa première sortie de la base, il se dirige vers le Petit Chicago à la recherche du Riviera bar, là ou Miquette travaille depuis de nombreuses années restant sourd aux appels des filles qui le hèlent au passage.
Il aperçoit enfin l’enseigne et entre dans le bar, le corps battant. Il n’y a que quelques marins en train de boire en compagnie de filles au décolleté généreux.
Il commande une bière à la barmaid un peu sur le retour mais souriante. Quand elle vient poser la boisson en face de lui, il lui demande si Miquette est là. Avec un sourire elle lui annonce qu’elle est montée. Devant son air déçu elle lui assure que ce ne sera pas trop long. Elle lui propose quand même une autre fille. Il répond qu’il préfère attendre.
Gérard est nerveux et ça se sent. La fille en vieille habituée, devine qu’il est puceau. A seize ans et demi on ne sait pas cacher ça. Elle demande :
-Tu me paies un verre en attendant mon chou ?
Il n’ose pas refuser et la fille se sert une mixture colorée. Elle revient vers lui, trinque et ils boivent.
La fille, agréable lui demande :
-C’est la première fois ?
Le rouge des joues augmente. Il ne sait que répondre. Elle le rassure :
-T’en fais pas, on est tous passés par là. Tchin !
Ils boivent un coup, ce qui dispense Gérard d’une réponse, d’ailleurs bien inutile.
Le bar se remplit peu à peu, Gérard est de plus en plus nerveux. D’autant qu’il a entendu un autre marin demander Miquette.
Il commande une deuxième bière, et il ronge son frein lorsqu’une porte s’ouvre au fond du bar. Une fille apparaît en compagnie d’un marin qui lui dit au revoir et s’en va. D’après les explications qu’on lui a donné c’est elle.
Aussitôt des exclamations fusent, le nom de Miquette est prononcé. Tout le monde veut lui payer un verre et surtout être en sa compagnie.
Elle va de l’un à l’autre, embrasse tout le monde, souriante, se fait passer les mains aux fesses, peloter les nichons qui débordent presque du corsage largement échancré.
Elle passe derrière le comptoir. La barmaid lui glisse quelques mots à l’oreille tout en le désignant discrètement d’un signe de tête.
Miquette se dirige vers Gérard qui ne sait plus ou se mettre, rouge de confusion.
-Bonjour mon chéri ! Tu me paies un verre ?
Il acquiesce de la tête, incapable de prononcer un mot.
La barmaid apporte une boisson à Miquette, la même mixture colorée que sa copine et trinque avec Gérard.
-A la tienne mon chéri !
Ils reposent leurs verres, se regardent. Les autres marins ne s’occupent plus d’eux, comprenant que la fille est en main. Souriante, elle demande :
-C’est la première fois que tu viens ? Je ne t’ai jamais vu ici.
-Oui.
La barmaid bien sur a prévenu Miquette que le garçon était puceau et voulait monter avec elle. Elle finit son verre, demande :
-Tu veux monter ?
Gérard se lève et suit la fille qui ouvre une porte derrière laquelle se trouve un escalier étroit et très raide. Ils montent, Miquette ouvre la marche et Gérard admire le fessier bien rebondi de la fille qui remue les fesses tant qu’elle peut à ce qu’il lui semble. Sa jupe lui arrive au ras des fesses.
Elle ouvre une porte, une chambre minuscule faiblement éclairée par une petite fenêtre avec un grand lit qui occupe quasiment toute la place, un petit fauteuil très bas, un lavabo et c’est tout.
Elle referme derrière lui, lui sourit et l’invite à s’asseoir sur l’unique siège.
Il s’exécute et se retrouve pratiquement assis sur le sol, tellement le fauteuil est bas et avachi.
Lui faisant face elle le regarde de ses yeux gentiment moqueurs et, passant les mains derrière le dos elle descend la fermeture éclair qui ferme sa robe.
Il voit le devant du vêtement s’affaisser.
Les seins lui paraissent très beaux, pas très volumineux mais bien ronds avec des tétons très développés et entourés de quelques poils longs.
Gérard est sidéré devant cette découverte. La bouche ouverte il reste en admiration devant le spectacle. Miquette le laisse admirer, souriante mais pas moqueuse, émue.
-T’as jamais vu une femme à poil ?
C’est non, Gérard n’a jamais vu une femme nue autrement que sur les revues spécialisées qui se négocient sous le manteau comme on dit.
-Non.
La fille a l’habitude de monter la plupart du temps avec des marins complètement imbibés de bière et ce garçon, beau, timide, gentil et puceau par-dessus tout, la touche beaucoup. Elle prend les mains du jeune homme et vient les poser sur sa poitrine. Il malaxe plus qu’il ne caresse les beaux seins.
Miquette le laisse faire, elle se penche en avant et pose ses paumes ouvertes sur les cuisses du jeune homme et sur la bosse qui déforme le bas du pantalon. Ses doigts viennent effleurer le sexe emprisonné. Gérard écarte les jambes le plus qu’il peut mais les côtés du fauteuil ne lui permettent pas les ouvrir beaucoup.
Elle se redresse et, lui tendant les mains auxquelles il s’accroche, elle le tire vers elle.
– Déshabille-toi maintenant.
Gérard est comme tétanisé. Elle prend le bas de sa vareuse et la tire vers le haut. Enfin il réagit, il se débarrasse du vêtement en le passant par-dessus la tête. Le tricot rayé est lui aussi très vite enlevé.
Miquette admire le torse du jeune homme. Elle demande :
-T’as quel âge ?
-Seize ans et demi.
Durant ce temps Miquette se débat avec la ceinture du pantalon, impatiente de découvrir ce qui déforme à ce point le vêtement.
Le pantalon tombe sur les chevilles, une bite hors du commun se dresse, ayant franchi sans encombre la frontière du slip.
Miquette est émerveillée. Elle a rarement vu une pareille queue, surtout chez un puceau de cet age. Elle se mord la lèvre inférieure sous le coup de la découverte.
-Quel bracquemart tu as !
Et le prenant dans sa main droite elle le serre, il est dur comme du bois et ne parvient pas à en faire le tour avec ses doigts. Reportant son regard sur celui de Gérard elle dit :
-Ben dis donc !
Miquette fait coulisser sa main de bas en haut, entamant une douce branlette.
Reportant son regard sur le sexe érigé, elle constate que les couilles sont du même calibre, très grosses et sans doute bien pleines pense t’elle.Miquette, nous l’avons vu est une fille très sympa. Malgré sa position de pute, elle a acquis auprès de tout le personnel de la marine nationale-toute la flotte de Toulon lui est passée dessus parait-il-un aura de reine. De reine des putes, sans doute mais personne n’est revenu déçu d’une séance de cul avec elle et tout le monde l’aime bien et la respecte. Sa mère, une vietnamienne engrossée par un militaire français à Saigon n’avait eu d’autre choix que de faire la pute pour élever sa fille.
Elles étaient ensuite venues en France en même temps que l’armée française qui quittait l’Indochine et avaient atterri à Toulon. Lorsque la petite fille eut treize ans, sa mère a vendu son pucelage très cher à un riche client qui raffolait de chair fraiche. Mais celle qui finit par se faire appeler Miquette ne fut jamais aigrie de sa situation.
Contrairement à la plupart de ses consoeurs, elle aimait son métier. Elle se disait que c’était un métier comme un autre, qu’il y avait des bons et des mauvais moments.
Et les bons moments, c’était des instants comme celui là, le dépucelage d’un garçon.
En fait elle aimait le sexe et surtout les très gros sexes, et il lui arrivait de jouir quand elle avait la chance de rencontrer un client très bien monté.
Bien sur cela n’arrivait pas tous les jours, la plupart des gens étaient membrés normalement ou même sous membrés comme elle disait parfois.
Et la elle sentait qu’elle allait passer un bon moment.
-Allonge toi sur le lit mon chéri. A propos comment tu t’appelles ?
Gérard lui dit son nom tout en s’allongeant sur la couche. Les jambes légèrement écartées, il attend la suite.
Miquette qui a le haut découvert, les nichons arrogants a toujours le bas caché. Tout en admirant le chibre tendu magnifiquement, elle descend sa robe sous le regard du garçon qui la regarde, les yeux exorbités.
Lentement elle tire sur le vêtement qui a du mal à passer le cap des belles fesses. Au moment ou son mont de vénus apparaît, elle se tourne et se débarrasse de la robe en levant une jambe après l’autre.
Miquette ne porte jamais de slip, cela évite que les clients la pincent pendant qu’ils cherchent à la caresser lorsqu’elle est au bar. Et puis elle savait surtout que cela rendait les hommes fous, faisait monter le chiffre d’affaires du bar et arrondissait son pécule à elle.
Gérard découvre et admire ce à quoi ressemble une paire de fesses féminine.
Tranquillement, elle pose le vêtement sur le fauteuil est se retourne.
Gérard, subjugué ne peut quitter son regard du mont de vénus. Les poils, très noirs sont bien taillés et ne cachent rien des grandes lèvres d’un sexe qui parait énorme, gonflé, avec des grandes lèvres protubérantes d’une couleur plus sombre que le reste du corps.
Enfin elle bouge, s’approche et, arrivée contre le lit, pose un genou sur celui-ci. Elle pose le deuxième genou, puis les deux mains sur la couche.
Sans un mot, elle lui écarte largement les jambes et vient se placer entre elles.
Prenant le sexe dans une main, elle demande doucement :
-Tu te branles souvent ?
Ebahi par la question il répond :
-Oui.
-Tous les jours ?
Comme hypnotisé il répond de même.
-Je m’en doutais, quand on a la chance d’avoir une bite comme la tienne on doit aimer se branler.
Miquette savoure cet instant. Elle décide de continuer le jeu avec le jeu des questions-réponses.
-Mais est-ce que quelqu’un t’a déjà branlé ?
Il répond par la négative. Miquette commence alors une douce branlette, tout en surveillant le visage du garçon.
Celui-ci se régale, la bouche ouverte, les yeux mi clos il reporte son regard du corps de la fille à son sexe et ce qu’elle est en train de faire.
Des gémissements de bonheur sortent de la gorge de Gérard. Miquette se penche, sa bouche vient happer la queue. A grand peine, elle s’introduit le membre le plus profond qu’elle peut, jusqu’à toucher sa glotte. Une grande partie de la hampe est encore visible.
Gérard est aux anges. Cette caresse qu’il connaissait par oui dire est vraiment merveilleuse. Il sent la langue de la fille qui s’enroule autour de sa bite.
Des gémissements sortent de ses lèvres ouvertes en grand Il découvre quelque chose de fabuleux, une chose dont il rêvait depuis longtemps.
Miquette fait coulisser doucement le membre, l’abandonnant presque, jusqu’à apercevoir le beau gland gonflé et violacé sous l’intensité du plaisir, puis sa bouche s’abaisse à nouveau.
Au bout d’un moment elle relâche le chibre, sa bouche lui fait mal à force d’être distendue.
Continuant à le branler doucement elle s’approche et, le regardant dans les yeux :
-Maintenant on va faire de toi un homme mon chéri !
Gérard ne dit rien mais sa poitrine qui se soulève à toute allure indique son émoi. Par des mouvements de reptation sur les genoux, elle s’approche, soulève sa jambe gauche, s’avance encore jusqu’à ce que le membre qu’elle tient toujours dans sa main vienne au contact de sa chatte. Les yeux rivés sur les sexes qui se rejoignent, se touchent, Gérard halète.
Miquette le regarde intensément, le trouve vraiment beau, beau et touchant.
-Regarde ! Regarde bien ! Je vais me la mettre dans le con.
Précautionneusement elle s’empale sur le membre puissant. Celui-ci est tellement gros qu’il a du mal à rentrer dans un sexe qui en a pourtant absorbé des milliers d’autres.
Heureusement qu’ils ne sont pas tous comme ça se dit elle.
Doucement la belle tige disparaît dans le sexe de la fille sous le regard rivé dessus de Gérard.
Avec un ouf de soulagement, Miquette s’arrête. La bite est abutée au fond de sa chatte.
Une bonne longueur est toujours apparente. Prenant appui de ses bras sur le lit, elle commence un lent mouvement de va et vient qui ne tarde pas à s’accélérer.
Gérard pousse de petits cris de bonheur qui s’amplifient tandis que ses mains pétrissent les seins à sa portée.
Miquette s’est d’abord mise à serrer les dents, pas habituée à un tel calibre puis, sa bouche s’ouvre, ses yeux semblent noyés de brume et elle aussi pousse des gémissements de bonheur.
La bite la remplit comme jamais elle n’a été remplie et elle sent une jouissance incroyable monter dans ses reins.
Les cris augmentent dans la pièce, ceux de Gérard se mêlant à ceux, plus aigus de Miquette.
Le garçon, pour qui c’est la première fois ne s’occupe que de son plaisir, ne se rend pas compte de l’état de la fille.
Soudain il se met à jouir, sa bite se vide et il se met à crier presque.
-Oui ! Ah oui ! Ahhhh !
Il se vide à grandes saccades dans la chatte et un grand bonheur habite le garçon.
-Ah bon dieu ! Ah que c’était bon !
Et son regard voit enfin le visage de Miquette. Celle-ci est méconnaissable, le visage déformé, la bouche ouverte, elle jouit à son tour.
-Ah !!!! Ah mon chéri ! Ah comme c’est bon ! Ahhhh !
Et il sent nettement les contractions du vagin autour de sa bite qui commence à ramollir.
Eberlué il regarde Miquette qui termine sa jouissance tout en reprenant sa respiration. Il lui semble bien que la fille a pris son pied. Bien qu’inexpérimenté, il a toujours entendu dire que les putes ne jouissent pas, du moins pas avec leurs clients. Il ne bouge pas, attendant la suite.
Miquette s’écroule sur le torse de Gérard, reste inerte quelques secondes, puis, relevant la tête avec un grand sourire, le visage ravagé par la jouissance lui dit :
-Ah ben dis donc ! Toi alors !
Gérard ne sait que faire, regarde les fesses cambrées bien formées. S’enhardissant, il pose ses mains dessus et les caresse maladroitement. Elle se laisse faire et à son tour lui caresse les tétons qu’elle pince entre ses doigts.
Gérard apprécie la caresse et ronronne de plaisir. Le jeune homme sent sur sa bite des contractions. Miquette est en train de lui faire un massage avec son vagin. Elle regarde en souriant d’un air vicieux, demande :
-Tu aimes ?
Gérard adore, sa bite est en train de reprendre doucement mais surement une consistance dure. Tout en continuant son massage, elle recommence un doux mouvement de va et vient, tout en observant sur le visage du jeune homme la montée du désir.
Gérard est en train de bander à nouveau de façon magnifique, et Miquette ne peut pas ne pas s’apercevoir. Elle lui dit :
-Je vais te faire jouir une deuxième fois mon chéri.
Gérard a toujours entendu aussi qu’une pute ne fait jamais jouir deux fois un client, a moins qu’il paye une deuxième fois bien sur. Etonné, il se laisse faire.
Cette fois tout en sentant la montée du désir, il observe la fille. Il s’aperçoit que de nouveau le visage se transforme, il est clair qu’elle aussi prend du plaisir.
Gonflé de fierté, il caresse de plus belle le cul de Miquette qui semble apprécier.
Les soupirs de plaisir montent chez le garçon comme chez Miquette.
Gérard n’y tient plus, il demande :
-C’est bon aussi pour toi ?
Elle ne répond pas de suite, puis, les yeux à demi fermés fixés sur ceux de Gérard, elle répond d’une voix mourante :
-Oui ! Oui mon chéri ! Oui je vais jouir aussi ! Ah quelle queue ! Quelle queue ! Ah oui ! Ah comme je la sens bien ! Ahhhh
A la vue de cette jouissance, Gérard ne se contient plus, il donne de grands coups de reins, venant à la rencontre de la chatte qui s’empale à présent à toute vitesse sur son chibre qui se vide à nouveau.
-Tiens ! Tiens ! Ahhhh !
Miquette se met à jouir elle aussi.
-Oui ! Oui ! Oui moi aussi ! Oui ! Ahhhh ! Ahhhh !
Et elle reste inerte sur le corps du jeune homme jeune homme qui continue à ressentir les contractions du vagin.
Ils restent comme ça quelques secondes puis elle se relève péniblement. Elle lève les fesses, le chibre de Gérard retombe, flasque sur son bas ventre, souillé de sperme et de mouille.
Elle sort du lit, remplit une bassine d’eau qu’elle pose par terre. Mettant les pieds de chaque côté de celle-ci, elle s’accroupit et sa chatte vient se positionner au dessus.
Gérard est sidéré devant le spectacle. De longs filets de sperme sortent du sexe béant et atterrissent dans l’eau. Elle lève les yeux rieurs vers Gérard, lui dit :
-Qu’est ce tu m’as mis !
Quand plus rien ne sort elle prend un gant de toilette à sa portée et se lave le con brièvement, enfin elle se sèche avec une petite serviette.
-Viens mon chéri, je vais te nettoyer la queue.
Gérard se lève et vient se mettre à genoux devant la bassine comme lui explique Miquette. Tendrement celle-ci lui prends la queue, la nettoie avec le gant de toilette et l’essuie ensuite.
Puis ils se quittent, Miquette doit continuer son travail. Elle l’embrasse en lui demandant :
-Tu reviendras me voir mon chéri ?
Gérard lui assure que oui et il s’en va.
Durant ces six mois, Gérard est retourné à chaque permission, tous les quinze jours en moyenne, voir Miquette qui lui faisait à chaque fois découvrir l’extase.Il en est là de ses pensées lorsqu’il aperçoit Annie, qui sort de sa maison, un cabas à la main elle se dirige vers la gauche sans voir Gérard.
Annie est la voisine de Gérard, elle est un peu plus âgée que lui, 19 ans et elle vit avec ses parents dans la maison attenante à la sienne. Son père est mineur et sa mère ne travaille pas, une famille typique d’ici. Elle a également un frère plus âgé d’elle d’un an ou deux.
Il a beaucoup fantasmé sur elle avant de s’engager dans la marine. Il se souvient qu’elle changeait souvent de compagnon. Il se souvient aussi que ceux-ci étaient plus âgés qu’elle. A cette époque elle ne s’intéressait pas du tout à lui, se contentant d’un bonjour accompagné d’un sourire, tandis que lui ne manquait pas une occasion de mater ses fesses et sa poitrine.
Il l’appelle, elle se retourne. Etonnée, la bouche ouverte, un grand sourire aux lèvres, elle fait demi-tour et se dirige vers lui. Ils s’embrassent sur les joues, heureux de se revoir.
-Comme ça fait longtemps !
Puis tout en le dévisageant des pieds à la tête :
-Tu as changé dis donc !
En effet Gérard a beaucoup changé. Depuis son départ, il a grandi et il s’est beaucoup étoffé.
Tout en discutant il admire la silhouette d’Annie, une poitrine avenante, un beau corps bien dessiné. En fait elle n’a pas beaucoup changé mais ses formes ont encore embelli pense t’il.
Elle lui apprend que sa mère est morte il y a trois mois, victime d’un cancer fulgurant et que son frère André a été appelé sous les drapeaux, il se trouve actuellement en Algérie. Elle lui dit qu’elle et son père sont inquiets car la situation là bas empire parait-il.
Gérard se dit que sa situation à lui est bien meilleure mais il n’en laisse rien paraitre.
Elle ne travaille plus, elle s’occupe de la maison, remplaçant en quelque sorte sa mère.
-Il faut que j’aille faire mes courses maintenant.
Puis, après une légère hésitation :
-On se voit après ? Si tu veux tu peux venir manger avec nous ? Il y aura aussi Liliane mon amie tu te rappelles d’elle ? Il avoue que non. Elle lui explique et il se souvient en effet.
Gérard est d’accord pour venir manger, il le lui dit.
Ils se donnent rendez vous pour l’heure du souper et elle s’en va. Gérard est aux anges, Annie semblait heureuse et impressionné par lui, alors qu’avant elle l’ignorait presque et il a hâte de la revoir.
Il retourne chez lui, tourne en rond pendant quelque temps, avertit sa mère de ne pas l’attendre pour le dîner et s’en.Il frappe, une fille qu’il ne reconnaît pas vient lui ouvrir. Il devine qu’il s’agit de Liliane. Elle lui sourit.
-Bonjour Gérard !
Elle par contre a beaucoup changé. Alors qu’il se souvient vaguement d’une fille quelconque, sans charme, elle est devenue une belle fille avec des formes, aussi jolie que sa copine, brune également. Ils s’embrassent sur les joues et s’observent, un sourire sur le visage et dans les yeux.
Son regard ne peut s’empêcher de s’attarder sur le renflement du soutien gorge. Amusée et flattée, Liliane le rappelle à l’ordre :
-Ils te plaisent ?
Gérard reporte ses yeux dans les siens.
-Quoi ?
Elle éclate de rire, puis :
-Mes seins ! Tu les regarde comme si tu n’avais jamais vu de poitrine.
Gérard sourit. Il se rappelle de l’ironie toujours directe et plutôt provocatrice de la fille. Il décide de jouer le jeu, si la fille l’attaque sur ce terrain, c’est plutôt bien parti.
-Ben si, mais il faut dire que l’on n’en voit pas de si beaux tous les jours.
Et il ajoute, flatteur :
-T’as beaucoup changé tu sais !
La fille qui l’examine sans aucune gêne rétorque aussitôt :
-Toi aussi !
Puis, tout en reculant elle l’invite à entrer et va aider Annie qui est en train de mettre les couverts. Celle ci accueille Gérard avec un grand sourire et l’invite à s’assoir.
Il salue le père d’Annie et ils se mettent à parler de l’armée.
Puis Annie apporte l’apéritif, sauf pour son père qui lui, travaillant de nuit n’y a pas droit.
Liliane tout en sirotant sa boisson ne quitte pas des yeux Gérard. Il ne peut pas ne pas le remarquer car la fille n’est pas discrète.
Toujours aussi effrontée pense t’il, mais cela ne le gêne pas, bien au contraire.
Enfin ils s’installent autour de la table ronde. Gérard fait face au père d’Annie, les deux filles de chaque côté.
Le repas se passe de façon agréable, les deux filles et le père posant sans cesse des questions sur la côte d’azur qui les fait rêver, eux qui n’ont jamais quitté le village.
Puis le père se lève et va se préparer. Au bout d’un moment il revient, habillé pour le travail. Liliane se lève elle aussi, le trajet du père pour aller à la mine passe par là ou elle habite, elle va donc l’accompagner.
Le père embrasse sa fille, Liliane embrasse Annie et Gérard et ils s’en vont.
Les deux jeunes gens, restés sur le pas de la porte les regardent s’éloigner. Quand ils ont disparus au coin de la rue, ils se regardent puis :
-Tu rentres chez toi tout de suite ?
Gérard répond que personne ne l’attend.
Avec un grand sourire, elle l’invite à rentrer, le précédent dans le couloir. Dès qu’Alain a franchi le seuil à son tour, elle referme la porte et donne un tour de clef.
Se retournant elle se heurte à Gérard qui est resté derrière elle. Sans savoir trop comment, ils se retrouvent enlacés, leurs bouches soudées l’une à l’autre.
Il fait presque noir dans ce couloir, les mains du garçon caressent le dos d’Annie, il sent à travers le très léger pull les attaches du soutien gorge. Doucement ses mains descendent, passent sans difficulté sous le léger vêtement puis remontent tout en continuant de caresser la peau chaude et souple.
Au bout d’un petit moment ses doigts défont l’attache, les bretelles tombent. Annie elle aussi enlace Gérard. Il sent que la fille est de plus en plus excitée, ses mains serrent le cou et la tête de Gérard et l’embrasse de façon frénétique. Elle embrasse de façon merveilleuse, pas une débutante se dit ‘il.
Gérard abandonne le dos, ses mains viennent doucement se poser sur les beaux seins. Il découvre une poitrine ferme et élastique à la fois. Il s’attarde un moment sur les tétons, la belle gémit de plaisir tout en lui emplissant la bouche d’une langue experte.
Gérard bande comme jamais, son sexe emprisonné lui fait mal et la belle ne peut pas ignorer la bosse surtout qu’elle plaque de plus en plus fort son pubis contre le sien. Le léger pull est complètement remonté, les seins apparaissent, bien dressés.
La fille halète, elle lui caresse la tête. Dans un murmure elle lui murmure à l’oreille :
-Viens, on va dans ma chambre.
Gérard relève la tête, abandonnant la poitrine fièrement exposée à sa vue malgré la pénombre. Lui prenant la main, Annie le guide dans la maison.
Ils arrivent dans la chambre ou il fait assez sombre, seule la clarté du jour passant par la fenêtre éclaire la pièce.
Elle se débarrasse du gilet prestement en le passant par-dessus la tête, retire son soutien gorge. Le buste entièrement dénudé et fièrement exposé au regard admiratif du garçon, elle passe les mains dans les dos, et dégrafe la robe, celle-ci tombe par terre.
Elle s’approche du garçon et commence à déboucler la ceinture. Ses mouvements sont saccadés, brusques, révélant un grand émoi.
Gérard réagit, se débarrasse de son tee shirt qu’il jette au loin.
Le pantalon tombe sur ses chevilles, Annie découvre le sexe de Gérard qui dépasse du slip. Celui-ci est enlevé prestement par les mains fébriles d’Annie qui découvre entièrement la queue tendue, gonflée de désir.
-Mon dieu ! T’es pas vrai ! Elle se trouve à genoux tandis qu’elle abaisse complètement le slip sur les chevilles. Gérard soulevant un pied après l’autre s’en débarrasse prestement.
Il se retrouve entièrement nu, Annie prend dans ses mains la bite fièrement dressée.
Ses yeux fous de désir ne peuvent se détacher devant la chose qui se trouve au niveau de ses lèvres.
Elle répète :
-Quelle bite mon dieu !
Elle la tâte, la découvre, la branle puis enfin ouvre sa bouche, l’engin a du mal à franchir ses lèvres.
Ils restent ainsi quelques instants puis elle se relève, enlève sa culotte et se jette sur le lit en lui tendant les bras. D’une voix sourde elle luit jette :
-Viens ! Viens vite ! Je la veux en moi !
Gérard ne se fait pas prier. Tout en admirant le sexe velu offert à sa vue, il vient se positionner entre les jambes fortement écartées de la fille, il prend son bracquemart dans une main tandis que l’autre vient se poser sur le con offert. Celui-ci est trempé et une odeur de femelle en chaleur vient flatter ses narines. Sans hésiter, il pose son gland turgescent sur le con et s’enfonce doucement. Il a du mal à le pénétrer, la fille crie en faisant la grimace.
-Oui ! Aie !! Doucement ! Oui ! Ah mon dieu qu’elle est grosse ! Oui ! Ah Ouiii, Ouiiii, Ahhhhhi.
La queue bute enfin au fond du con trempé et une bonne longueur est encore visible.
Il attend un peu malgré son désir de la pistonner. Annie a une respiration haletante. Elle croise ses jambes dans le dos de Gérard.
-Bon dieu que t’es gros ! Vas-y ! Baise-moi ! Baise-moi fort !
Gérard commence de longs mouvements de va et vient, Annie crie comme une folle, ses bras battent l’air, sa tête se tourne de droite à gauche sous une jouissance inconnue jusqu’alors. Les cris de la belle montent en intensité.
-Oui ! Oui ! Je viens !! Je vais jouirrrrr !!! Ahhhhhh !
Gérard ressent fortement les contractions de plaisir d’Annie qui jouit de façon bruyante. Son plaisir dure longtemps. Enfin elle s’apaise, Gérard continue à la baiser très lentement pour la laisser récupérer.
Les yeux fermés, les lèvres pincées, la respiration s’apaise doucement.
Elle ouvre enfin les yeux, émerveillée encore par l’intensité du plaisir ressenti.
Elle entoure le corps de son amant, l’embrasse fougueusement sur la bouche. Elle demande enfin :
-T’as joui ?
Il répond que non, elle ajoute :
-C’était bon, énorme ! J’ai jamais autant joui !
Puis
-J’ai crié ?
-Oui, pas mal.
-J’ai jamais ressenti un tel plaisir je te jure. Mais je dois dire que mon con n’a jamais connu une telle queue.
Gérard est flatté. Ce n’est pas la première fois qu’on lui dit mais il ressent toujours la même fierté quand il l’entend.
Pendant ce temps Gérard continue de la baiser en douceur et Annie sent le plaisir l’envahir à nouveau. Gérard le remarque et accélère doucement la cadence. Annie crispe ses mains, ses ongles s’enfoncent dans le dos du garçon. Sa respiration s’accélère et sa tête commence à s’agiter et roule de droite à gauche.
-Ah oui ! Oui vas-y ! Bais moi encore ! Ah mon dieu que c’est bon ! Ahhhhh !!!!
Les cris augmentent, le rythme de Gérard aussi. Il admire le visage de la belle, il aime bien voir une femme jouir, ça l’excite.
A présent il la pistonne frénétiquement, il sent chez lui aussi le plaisir monter et il veut la faire jouir à tout prix avant de se libérer.
Elle aussi se rend compte de la montée en jouissance de Gérard. Elle demande n haletant.
-Tu vas …jouir … bientôt?
-Oui, ça vient je vais me vider les couilles, j’en peux plus.
Tout ça dit avec une voix hachée, au bord de la délivrance.
– Oui, oui, vide toi en moi, remplis moi la chatte ! Ahhhh!!!!!!
Elle jouit une fois de plus en hurlant presque. Gérard n’attendait que ça pour se libérer.
-Tiens ! Tiens salope ! Tiens ! Ahhhh !!!
Et il se vide dans le con accueillant et trempé. A chaque coup de reins le trop plein de mouille et de sperme se répand au dehors en giclant, arrosant les cuisses des deux amants tout en produisant des bruits obscènes. Il continue encore quelques secondes puis s’arrête enfin et se couche sur la fille offerte qui l’étreint dans ses bras.
Ils restent ainsi un bon moment, la respiration haletante, savourant la plénitude des sens qui vient après le plaisir intense qu’ils ont tous deux ressenti.
Annie, lui met les mains sur la nuque, leurs lèvres se soudent en un long baiser.
Leurs bouches se séparent, ils se regardent, heureux, repus.
Annie est la première à réagir. Elle lui dit en pouffant :
-Je sens que ça coule, il faut que je me lève.
Gérard soulève son bassin. Sa queue flasque et souillée sort du sexe trempé. Tout le bas ventre d’Annie est recouvert de mouille et de sperme, il baisse les yeux et découvre que c’est pareil pour lui.
Elle se lève, une main en conque sur son sexe, allume la lampe de chevet et se dirige vers un coin de la chambre ou se trouve le pot de chambre. Elle se courbe tout en lui tournant le dos pour retirer le couvercle et le poser par terre, ce qui met en valeur son beau cul bien galbé qu’elle cambre de façon ostentatoire. La fille prend son temps et Gérard n’en perd pas une miette. Quelle salope se dit-il. Puis Annie se retourne à nouveau et pose délicatement ses fesses sur le pot tout en regardant Gérard de son air le plus vicieux.
Il s’approche d’elle et, se mettant à genoux devant la belle, il écarte ses jambes, Annie se laisse faire sans opposer de résistance. Il regarde le sexe d’Annie, le sperme qui sort en filets atterrit au fond du seau ou se trouve un peu d’eau. La scène est d’un érotisme rare, Annie lui caresse la tête, elle dit dans un murmure :
-Tu aimes voir ça mon cochon ?
Il ne sait que répondre, savourant cet instant. Elle continue :
-Qu’est ce tu m’as mis !
Au bout d’un moment plus rien ne sort de la chatte béante.
Annie dit
-J’ai envie de pisser.
-Vas-y.
-Comme ça ? Devant toi ?
Il la regarde, fait oui de la tête.
-T’es vraiment vicieux tu sais.
Il lui répond que oui.
Aussitôt il entend un jet dru de pisse qui gicle sur la paroi du seau et Annie y va de sa miction. Gérard vient se coller contre le seau, prends sa bite en main, la pose sur la bordure du seau et se met à pisser à son tour.
Annie se penche comme elle peut et tous les deux admirent la scène en riant, très excités.
Leur miction terminée, ils s’étreignent et s’embrassent de façon frénétique. Ils restent ainsi de longues minutes. La situation, ce qu’ils viennent de vivre, l’odeur forte qui se dégage du seau les excite tous les deux.
Enfin ils se détachent, il se relève, Annie fait de même, remet le couvercle en place, tous deux se dirigent vers le lit.
Gérard est en feu après cette séance de seau, il bande à nouveau, pas complètement mais suffisamment pour exciter Annie. Elle branle doucement la bite qu’elle sent durcir de plus en plus tout en se regardant les yeux dans les yeux.
-T’as aimé ?
Gérard demande de quoi elle parle.
-C’est la première fois que j’ai presque du plaisir en pissant, et toi tu aimes voir ça ? Voir pisser je veux dire.
-Oui, c’est la première fois que ça m’arrive de voir une fille pisser et j’aime bien oui.
Annie continue à le branler, la tige est à présent à son maximum. Ils sont allongés côte à côte, chacun appuyé sur un bras. Gérard se relève et se rallonge à nouveau mais tête bêche.
Elle comprend ce qu’il désire et vient s’allonger sur le corps de son amant. Il la guide pour que sa chatte vienne à portée de ses lèvres.
Les jambes écartées, le con ouvert au maximum. L’odeur du sexe et du mélange de mouille, de pisse et de sperme, tout cela libère une fragrance qui le rend fou de désir.
Pour l’instant, savourant cet instant rare il se contente de caresser le cul de la belle salope qui ronronne de plaisir. Il l’entend dire d’une voix rauque :
-Incroyable comme elle est grosse. Et en plus elle est belle, jamais j’aurais cru qu’une telle bite puisse entrer dans mon con.
Gérard se prête au jeu et demande :
-Et toi t’as un con merveilleux, je vais te le bouffer, le nettoyer il en a besoin.
Annie répond :
-Moi aussi je vais te nettoyer la bite.
Et ils entament tous les deux un 69 de folie, chacun s’affairant à donner du plaisir à l’autre
Les doigts de Gérard écartent les grandes lèvres, sa langue tourne autour du clitoris bandé. Il caresse, suce, lèche, aspire, le con libère une mouille de plus en plus abondante et il se régale.
Soudain Annie relâche la bite, elle halète.
-J’en peux plus ! J’en peux plus ! Je vais jouir ! Ahhhh oui, continue, Ahhhh mon dieu que c’est bond !!!!! Ahhhhhh
Gérard accélère le mouvement, Annie se libère. De véritables petites décharges de mouilles sortent du con, lui atterrissent sur le visage et dans la bouche.
Les cris s’atténuent puis s’arrêtent enfin. Elle dit dans un murmure:
-Arrête, arrête, c’est trop sensible maintenant.
Il stoppe sa caresse et reste à admirer la chatte dont les lèvres continuent de palpiter doucement . Il lui caresse doucement le cul rebondi.
Durant plusieurs minutes on n’entend plus rien, la respiration d’Annie se calme. Elle pivote sur elle-même, se retrouve allongée à côté de Gérard.
Celui-ci se relève, vient se mettre à genoux d’abord, puis enfin s’assoit sur ses talons tout près du corps d’Annie qui le regarde, les yeux brillants.
Elle reporte son regard sur la bite tendue qui lui semble encore plus imposante au vu de la position braquée vers le plafond, avec les belles couilles gonflées Elle demande :
-T’étais loin ? De jouir je veux dire.
Non il répond, pas très loin. Disant cela il empoigne sa bite de ses deux mains et commence une belle branlette sous les yeux fixes de la fille.
Il demande :
-Tu aimes ma bite ?
Elle acquiesce, les yeux fixant toujours le beau chibre.
-Dis le !
-Oui j’aime ta bite, je l’adore.
Elle lui caresse les couilles. La respiration de Gérard s’accélère, elle s’en aperçoit et demande :
-Tu vas jouir ?
D’une voix mourante il répond que ça vient.
-Oui ! Oui c’est bon, je vais me vider les couilles, regarde bien, je sens que ça vient.
La fille se redresse, se met à genoux. Sa figure se trouve légèrement au dessus du beau gland turgescent.
Gérard accélère le mouvement, d’une vois rauque il crie :
-Oui ! Oui, tiens ! Tiens ! Prends ça salope ! Tiens ! Prends ça ! Ahhhh
Des jets de sperme impressionnants éclaboussent le visage et le cou d’Annie. Les dernières gouttes tombent sur les beaux nichons de la fille.
Annie n’a pas bronché tout le temps que son corps recevait le jus de Gérard, le regard rivé sur le gland imposant. Elle reste admirative devant la jouissance et la quantité de sperme qui sort du méat. Elle lui dit.
-T’es incroyable, tu as déjà joui et là il y en avait un paquet !
Gérard apprécie le compliment. Il continue de se caresser lentement, sa bite ramollit à vue d’œil sous le regard de la salope qui continue de s’extasier.
Il lui demande :
-T’as déjà gouté ? Le sperme je veux dire.
Elle ne répond pas, passe plusieurs doigts sur son visage souillé, les porte à sa bouche ouverte, referme les lèvres puis les ressort. Sous le regard lubrique de Gérard elle déglutit, un sourire vicieux aux lèvres.
Bluffé, Gérard se penche et vient lécher le sperme sur les joues, les seins.
Quand tout le sperme est disparu, il embrasse Annie sur la bouche et ils s’étreignent dans un baiser passionné comme des amants qui ont bien joui, repus, heureux.
Ils se mettent sous les draps, collés et continuent de se cajoler. Puis les yeux d’Annie se ferment peu à peu, épuisée par ce qu’elle a vécu. Gérard se relève et s’habille. Un dernier baiser et il s’en va, heureux et détendu.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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