La Manoir de la Luxure (part 2 : Sophie, Juliette et Nathalie)
Deuxième Ă©pisode des aventures libriques de Matthieu au manoir… Qui lui donne un avant goĂ»t de la teneur du lieu, avant que ne commence sa veritable mission. Au boulot : il y a de la demoiselle Ă satisfaire !
Proposée le 2/01/2018 par Bob Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: Forêt, campagne, natureType: Roman
Je me rĂ©veillai le lendemain matin dans les draps de Clarisse, encore chauds de nos Ă©bats nocturnes. Après notre première etreinte et la conclusion du fameux marchĂ©, nous avions dĂ©jeunĂ© chez elle comme si de rien n’Ă©tait, discutant comme deux amis (le sexe rend plus loquace). Puis j’Ă©tais passĂ© chez moi pour l’après-midi afin de prĂ©parer mes bagages et avais Ă nouveau traversĂ© le pallier pour dĂ®ner avec ma chère voisine, qui avait glissĂ© dans nos verres de champagne et les mets de luxe qu’elle avait cuisinĂ©s quelques grammes d’Ambroisy. GavĂ©s d’aphrodisiaques, nous avions donc niquĂ© comme des porcs durant trois heures de suite (lui permettant de me montrer, en femme expĂ©rimentĂ©e, des positions sexuelles absolument grandioses) et ce n’Ă©tait que vers une heure du matin, les bourses vidĂ©es et l’utĂ©rus plein, que nous nous Ă©tions endormis l’un Ă cĂ´tĂ© de l’autre.
C’est donc encore tout Ă©tourdi par nos galipettes que je m’Ă©veillai complètement nu dans le lit de Clarisse, pas plus habillĂ©e, qui dormait encore la tĂŞte nichĂ©e dans ses cheveux blonds, ses grosses miches Ă©crasĂ©es sur le matelas.
Nous petit-dĂ©jeunâmes ensembles, moi en caleçon et t-shirt, elle en chemise blanche de la veille et culotte de dentelle blanche, puis nous nous habillâmes plus dĂ©cemment : moi d’un jean et d’une chemise a carreaux par dessus un t-shirt, elle d’une veste en cuir sur une petite robe noire -un peu trop au dessus des genoux pour ne pas attirer le regard.
Près d’une heure plus tard, nous filions sur l’autoroute dans une superbe dĂ©capotable, droit vers une semaine de pure plaisir sius toutes ses formes. Au volant, ma compagne ne faisait pas ses quarante balais, les cheveux lâchĂ©s au vent, lunettes de soleil et blouson de cuir avec AC/DC a fond la caisse.
Highway to Hell… droit vers le manoir de la Luxure.
Nous avions fait une petite pause vers midi pour pique niquer dans une aire dĂ©serte. Voyant qu’il n’y avait vraiment personne, ma grosse cochonne m’avait nonchalamment lançé « baise-moi » comme on dit « passe-moi le sel ». Et Bien qu’un peu stressĂ© d’etre surpris en plein Ă©bat par le père la mère la fille le fils et le saint esprit venus deguster leurs sandwichs triangles, j’avais donc une fois de plus dĂ©boĂ®tĂ© ma charmante compagne Ă mĂŞme le capot de la voiture (les suspensions s’en souviennent). Et mĂŞme sans ambroisy, force Ă©tait de constater que je n’etais pas si mauvais que ça !
Ce ne fut que vers dix-neuf heures, après in long trajet entrecoupé de nombreuses « pauses baise » (afin de délasser Mme Nympho de sa conduite) que nous atteignîmes le tant attendu manoir de la luxure.
PlanquĂ© au fin fond d’une gigantesque propriĂ©tĂ© coupĂ©e de tout, c’etait un immense chateau renaissance, symetrique, entourĂ© de douves miroitantes. Tout autour s’etendait un complexe cerclĂ© par une Ă©paisse foret : piscine extĂ©rieure (il en existait apparemment une interieure), courts de tennis, terrain de golf… le tout jalonnĂ© de distributeurs de capottes pour les clients.
La classe…
Clarisse gara la voiture sur le gravier, Ă cĂ´tĂ© d’une fontaine ornĂ©e d’une sirène en plein orgasme. Puis nous entrâmes dans l’imposant château, traversant le petit pont qui enjambait les douves.
De l’autre cĂ´tĂ© e la porte nous attendait une splendide crĂ©ature, d’une vingtaine d’annĂ©es ,vĂŞtue d’un costume ultra sexy de soubrette. Classique… mais efficace ! Le noir et la dentelle mettaient en valeur sa poitrine moyenne et rebondie, ses hanches Ă©vasĂ©es, ses cuisses attrayantes et surtout son petit cul Ă croquer. Tout cela malgrĂ© l’air sĂ©vère et hautain qu’elle me jettait de ses yeux verts par dessus ses petites lunettes. Ses cheveux blonds ondulĂ©s encadraient joliment son visage, retenus par un noeud très choupi.
« Voici Sophie ! » DĂ©clara Clarisse en me la prĂ©sentant « Elle sera ta servante attitrĂ©e, tout comme Juliette qui n’est pas lĂ pour l’instant. Les deux seront souvent amenĂ©es Ă se trouver dans ta chambre, et ru y dispose d’une sonnette pour les appeler Ă tout moment, donc n’hĂ©site pas si tu as envie de te vider les bourses ! »
La dĂ©nommĂ© Sophie, pas plus froissĂ©e que ça d’ĂŞtre rĂ©duite au statut de vide-boules, fit une rĂ©vĂ©rence sans pour autant se dĂ©partir de son air indiffĂ©rent.
« Ne t’inquiète pas : » me glissa Clarisse alors que nous nous Ă©loignions vers la grande table oĂą le dĂ®ner Ă©tait servi « malgrĂ© les apparences, c’est loin d’ĂŞtre une frigide ! Mais Juliette est plus pĂ©tillante de toute façon … tu auras dans ton lit le feu et la glace ! »
« Quoique non… » se rectifia-t-elle d’un air songeur « Le Feu, ce serait plutĂ´t Victoire… enfin tu en jugeras par toi meme quand tu la rencontreras  »
Nous nous regalames de mets succulents, servis par un ballet de splendides créatures aux tenues de soubrettes et aux regards aguicheurs. À la fin du repas, Clarisse poussa un petit soupir en se laissant aller dans sa grande chaise ornmentée.
« Je me sens encore excitée, moi ! » Dit-elle.
« Doit-on apporter un preservatif pour monsieur ? » Demanda poliment une grande soubrette Ă la peau mat, avant d’ajouter avec un sourire mutin en se lĂ©chant les lèvres « je me ferais une plaisir de prendre ses mensurations… »
Je frĂ©mis, intimidĂ©. Clarisse rĂ©pondit juste d’une voix dĂ©daigneuse : « Non, j’ai eu assez de sa bite pour la journĂ©e ! Apporte moi plutot un plateau de desserts… »
« Bien madame »
La soubretz s’eclipsa, et mon hĂ´te me lança brièvement : « Sophie va te montrer tes appartements. S’il t’en prend l’envie, pas trop de galipettes : petit-dĂ©jeuner demain matin Ă neuf heures tapantes pour explication du programme du sĂ©jour ! Tu seras entièrement libre la plupart du temps, sauf lorsque je te requisitionnerai. Tu peux disposer. »
J’acquiesçai en silence, et pris la suite de la froide Sophie dans les grands escaliers d’Ă©bène. Jetant un regard par dessus mon Ă©paule, je vis Clarisse choisir avec gourmandise parmi son « plateau de desserts » : un assortiment de sextoys divers et variĂ©s, prĂ©sentĂ©s sur un plateau d’argent. Une vraie nympho, cette Clarisse ! Et Ă l’en croire, tout le monde dans ce manoir Ă©tait comme elle…Ma chambre Ă©tait une grand pièce, très haute de plafond. Au milieu des dorures et des boiseries superbes, on y trouvait une cheminĂ©e de marbre avec un grand miroir au dessus, un immense lit double aux draps immaculĂ©s, un petit bureau et un lavabo, cachĂ© derrière un paravent. D’immenses fenĂŞtres bordaient la pièce, Ă demi masquĂ©es pas des rideaux de velours qui laissaient filtrer un peu de lumière lunaire.
« Voici votre chambre, monsieur. » DĂ©clara sobrement Sophie en me montrant la salle « le cordon d’appel se trouve juste Ă cĂ´tĂ© de votre lit. Surtout n’hĂ©sitez pas. »
Et sur ces mots elle fit mine de partir.
« Attends ! » La retins-je. Elle marqua une pause, et me decocha un regard venimeux.
« Pourquoi tu ne m’aimes pas ? »
« Ce n’est pas que je ne vous aime pas : je doute de vous, de vos capacitĂ©s sexuelles. Moi, et toutes les autres filles du manoir de la Luxure, nous sommes devenues ce qu’on pourrait appeler des gourmets du sexe. Ă€ force de baiser avec une quantitĂ© astronomique de personnes, nous avons dĂ©veloppĂ© un sens critique aiguisĂ© en matière d’hommes. Nous avons couchĂ© avec les plus grand, les plus riches… certains Ă©taient des manches comme d’autres des portes vers le 7e ciel… Mais toujours est-il que je reste sceptique quant aux talents charnels d’un gamin de 17 ans presque puceau… »
« Demande Ă ta patronne : » rĂ©torquai-je, un peu vexĂ© « elle a l’air de bien kiffer ma manière de baiser, au point de vouloir se servir de moi commme cobaye »
« Bah… elle a du coucher avec toi une fois ou deux, se dire que t’Ă©tais pas si mal et t’embaucher… »
« On a baisé 9 fois en moins de deux jours. »
Sophie pâlit, et je sentis une Ă©tincelle de curiositĂ© s’allumer dans son regard.
« Tu me crois pas ? » Lui dis-je avec assurance, excitĂ© par le dĂ©fi et confiant en mes capacitĂ©s i, en dĂ©faisant ma ceinture « dĂ©shabille-toi et viens dans le lit : je vais te montrer ce dont ta maitresse raffole depuis quelques jours… »
Bien que prĂ©venu, ce fut non sans une certaine surprise que je vis la froide Sophie retirer d’une main experte son uniforme de soubrette et ses sous vĂŞtements, monter sur le lit et s’y allonger en Ă©cartant les cuisses.
La vue de sa petite fente entre ses jolies jambes et de ses deux seins qui, mĂŞme s’ils Ă©taient bien moins imposants que ceux de la maitresse des lieux, avaient de quoi attirer le regard suffit Ă donner instantanĂ©ment naissance Ă une bosse dans mon pantalon.
Émoustillé, je retirai vivement mes vêtements pour me retrrouver nu, la queue fièrement dressée, et rejoignis ma servante sur le lit.
« J’avoue… que tu n’es pas mal dotĂ©. » ConcĂ©da Sophie en rosissant d’excitation Ă la vue de mon brakmar raide, qui avait visiblement passĂ© un cap de dĂ©veloppement après mes Ă©bats avec Clarisse gavĂ© d’Ambroisy.
« Tu prends la pilule ou il y a des capotes quelque part ? » Demandai-je, courbĂ© au dessus d’elle
« T’occupes pas de ça, enfourne ! » glapit-elle en louchant sur ma lance gonflĂ©e de veines derrière ses lunettes, de plus en plus rouge. Soudainement, la nympho qu’on m’avait promise ressurgissait de sous la soubrette stoĂŻque.
Alors sans plus attendre, j’empoignai ma bite, arc-boutĂ© au dessus de ma charmante servante, et enfonçai mon bazar dans son abricot aux coins duquel commençait Ă perler une rosĂ©e luisante.
Sophie lacha un petit cri de plaisir. J’entrepris alors de la dĂ©foncer comme il se devait, Ă coups de mouvements de bassin chaloupĂ©s et rythmĂ©s. PrivĂ© d’ambroisy, j’ètais sans filet : tout pouvait partir Ă la moindre fautz d’inattention. Mais visiblement mes galipettes Ă rĂ©pĂ©tition de ces deux derniers jours m’avaient permis d’acquĂ©rir une certaine endurance et un certain contrĂ´le.
Sophie, s’agrippant au sommier par dessus sa tete, poussait des petits hoquets de plaisir. Gardant une main appuyĂ©e sur le sommmier, j’entrepris de malaxer un de ses seins, qui si ils Ă©taient loin d’egaler la divine poitrine de Clarisse avaient de bons arguments : fermes, doux, rebondis malgrĂ© leur taille assez moyenne.
Sa chatte était plutôt agréable à visiter, elle aussi : étroite mais confortable, elle était assez humide pour pouvoir aller et venir avec aisance et plaisir.
Sentant d’aillleurs le plaisir monter un peu trop tot, je retirai ma queue de l’antre de ma partenaire et basculai en avant pour effleurer de la langue ses lèvres intimes, exhalant un souffle chaud. Sophie, parcourue d’un spasme, poussa un gĂ©missement en serrant les cuisses autour de ma tete et passant ses mains dans mes cheveux avec passion.
« En…encore ! » Fit-elle alors que son clitoris roulait sous ma langue comme un bonbon de chair « encore ta bite ! »
ObĂ©issant, je la pris par la taille et la retournai sur le ventre. Elle se mit a quatre pattes, levant son arrière train vers moi. A mon tour, je me dressai et, Ă genoux, j’agrippai sa croupe rebondie et ferme pour violemment l’empaler en levrette, cueillant son abricot juvĂ©nile de ma queue brĂ»lante. Sophie poussa un cri et serra les draps de toutes ses forces. Alors, j’entamai mon mouvement de balancier, arrachant Ă chaque aller un hoquet de plaisir Ă ma servante.
Pilonnant comme un fauve à un rythme soutenu, je malaxai le petit cul ferme de ma partenaire qui remuait sous mon nez, secoué par les chocs au fond de la cavité adjacente. Mon regard remonta le long du dos souple et delicieusment cambré de Sophie, ses cheveux dorés étalés sur ses omoplates et ses delicates epaules. Je devinais son visage, crispé de plaisir, la bouche entrouverte, ses lunettes de travers et tressautant sur son nez comme ses seins au rythme de mon etreinte fougueuse.
Alors, sentant la sève monter dans ma queue, je dĂ©cidai de finir en beautĂ©. Remontant mes mains jusqu’Ă ses seins, je les empoignai fermement et doublai la cadence. Ses cris redoublèrent d’intensitĂ© et de rythme, alors que je pilonnais de toutes me forces.
« Allez ! » Pensai-je les dents serrées « allez! »
Enfin, le coup partit. Sophie poussa un ultime cri, puis s’effondra en avant. Je retirai ma queue de sa vulve avec un petit bruit visqueux, un filet de sperme reliant nos organes respectifs, et me laissai tomber Ă cĂ´tĂ© d’elle avec un soupir de bien ĂŞtre.
Une ou deux minutes s’ecoulerent en silence, jusqu’Ă ce que Sophie ne se redresse, le visage fermĂ©, et ne redresse ses lunettes avec sĂ©rieux.
« Alors ? Ça t’a plu ? » Demandai-je, les bras croisĂ©s derriere la tete et le soldat toujours Ă moitiĂ© au garde Ă vous.
La servante ne repondit pas, redevenue froide en un instant. Elle se contenta de decalotter mon gland d’une main experte, de le nettoyer de sa semence visqueuse d’un coup de langue, puis d’eponger sa chatte avec un mouchoir de soie avant de sauter du lir et de renfiler ni une ni deux son uniforme sans un mot.
Alors qu’elle allait partir, je lançai : « en tout cas pour moi, c’Ă©tait bon ! »
Je crus la voir rosir, avant qu’elle ne claque la porte d’un air excĂ©dĂ©.
Me retrouvant seul et nu dans la pĂ©nombre, la lumière opaline de la lune tombant sur mon sexe, je laissai echapper un soupir de satisfaction. Deux jours, deux meufs, dix baises. La semaine ne faisait que commencer, et j’avais un manoir entier Ă niquer.J’ouvris les yeux le lendemain matin, rĂ©veillĂ© par la lumiere du jour et un bruit de succion. Je baissai les yeux : une jolie bouche aux lèvres pulpeuses engloutissait goulĂ»ment ma bite.
Je sursautai, et la jeune fille releva la tete avec un petit miaulement de satisfaction.
« Ah ! J’ai cru que tu t’reveillerai jamais ! » DĂ©clara-t-elle.
Mon interlocuteice etait voutee au dessus de moi, et arborait un large sourire espiegle. Son visage tres enfantin me faisait penser a une noisette, avec ses cheveux brun-roux assez courts et sa peau legerement cuivree. Elle etait vetue du meme uniforme de soubrette que le reste du personnel, soulignant ses formes d’une maniere plus aguicheuse encore que chez sophie. Bien qu’assez petite, son corps parĂ© de noir et de dentelle semblait bouillonner d’Ă©nergie, et ses yeux verts mutins aisni que son serre tete a oreilles de chat donnaient a cette vitalitĂ© quelque chose de pervers et de provocant . Jambes fines, petit cul delicieusement rebondi, et poitrine plus consistante que celle de ma partenaire de la veille.
Une force vivr, qui promettait des parties de jambes en l’air sportives.
« Pour te dire : j’ai failli passer a l’espagnole ! » Ajouta-t-elleavec un clin d’oeil sensuel en baissant d’un doigt le dĂ©colletĂ© de son uniforme, dĂ©voilant l’echancrure de ses seins mĂ©diums, serrĂ©s et rebondis comme deux pommes appĂ©tissantes « reveiller un client doit se faire en douceur, alors on profite de l’Ă©rection matinale »
« Juliette, je presume ? » Repondis-je.
« Yup patron ! » S’exclama-t-elle en se mettant au garde a vous au dessus de mon cors nu « a vot’service ! Je suis la pour pimenter un peu vot’ sejour dans vos appartements, histoire de compenser un pu la froideur de Sophie ! mais pas de bol : on pourra pas niquer avant ce soir ! »
« Rhabillez-vous ! » Me lanca-t-elle en meme temps que mes habits « M’dame Clarisse veut vous voir »Je retrouvai ma dĂ©licieuse hĂ´tesse attablĂ©e dans la salle Ă manger. VĂŞtue d’une robe de chzmbre en soie noire qui laissait entrevoir ses seins, elle etait une fois de plus irrĂ©sistible. Une tasse de cafĂ© Ă la main et une paire de lunettes sur le nez, elle examinait d’un air preoccupĂ© des registres de compte. Puis elle leva les yeux et son regard s’illumina.
« Ah ! VoilĂ notre Ă©talon ! Alors, sophie t’a plu ? »
« Comment sais-tu que…? »
« J’ai des camĂ©ras dans toutes les chambres. » Repondit-elle en avalant une gorgee de cafĂ© « Comme ça, je profite des ebats de mes protĂ©gĂ©es… et j’avoue que je me suis masturbĂ©e hier en vous regardant ! Quelle aisance, quel sens du sexe ! La suite promet ! »
« C’est justement Ă ce propos que je voulaais te parler » poursuivit-elle « la suite des festivitĂ©s. »
« Vois-tu, j’ai crĂ©Ă© ce manoir de la Luxure d’abord comme un refuge pour les mordues de sexe comme moi. Les vraies nymhomanes qui ont besoin de baiser. J’ai donc recrutĂ© nombre de filles souffrant de nymphomanie chronique (belles et bien dotĂ©es de prĂ©fĂ©rence) pour leur offrir un travail, un toit et de la bite Ă profusion. Mes filles sont devenues des betes de sexe… mais parmi elles, quatre sortent du lot. Quatre filles si bonnes au lit qu’elles ont le loisir de refuser un client qu’elles ne jugent pas apte a les satisfaires. On les nomme les Quatre Duchesses, les quatre DĂ©esses, les Quatre Nymphes de la Nature ou encore les Quatre Saisons, et elles règnent chacune sur une partie du château : Ophelie sur les bains, Nathalie sur les ecuries et le domaine, Lucie sur l’observatoire et Victoire sur les chambres. »
« Ta tâche, mon cher Mathieu, » fit elle en croisant les bras, faisant ressortir a poitrine imposante « va etre de les baiser avec de l’Ambroisy, et de les satisfaire de ton mieux. Cette epreuve s’etalera sur deux jours, dans un ordre precis : Nathalie puis Ophelie aujourd’hui, Lucie puis Victoire demain. »
Je hochai la tĂŞte, un peu perdu, et Clarisse me fit signe de commencer Ă manger. »J’arrive pas a croire que M’dame Clarisse te permette de baiser les Quatre Nymphes ! » s’exclama Juliette qui avait vite abandonnĂ© le vouvoiement « Tu dois etre vraiment un sacre coup au lit… j’ai hâte d’ĂŞtre a ce soir pour que tu me prennes comme il se doit : la mise en bouche de ce matin m’a toute Ă©moustillĂ©e !
Ma servante m’accompagnait jusqu’aux Ă©curies ou m’attendait Nathalie,la premier nana de la liste. Elle trottinait d’un air enjouĂ© mes cĂ´tĂ©s sur le gravier alors que nous longions les douves, la jupe très courte de son uniforme se soubrette se soulevant lĂ©gèrement a chaque saut.
« Elles sont si bonnes que ça ? »
« Oh oui pour sur ! J’ai deja assiste Victoire pour un client qui voulait un plan a trois : elle m’en a pas laissĂ© une miette ! Le cochon Ă©tait vidĂ© en deux deux, et elle en voulait encore ! Certaines disent qu’elle est encore plus nympho que m’dame Clarisse ! »
Plus chaude que Clarisse ?! Et dire que je finissais par elle… ça promettait un final grandiose !
« Et cette Nathalie ? Elle est comment ? »
« Bien roulée  »
« Ça je m’en doute… mais dis m’en plus. »
« Oh ! Ben on l’appelle la Nymphe de la Terre, ou la Nymphe ChampĂŞtre. Il parait qu’elle a un genre de fetichisme avec la nature, et qu’elle prefere se faire sauter en pleine foret ou dans un champ de blĂ©… Elle est plutĂ´t joueuse et sympathique, assez franco. Tout le monde l’aime bien. En tout cas, elle s’occupe aussi des chevaux. Parait meme qu’elle les branle pour leur donner un coup de fouet, et qu’elle se serait deja faite enculer par l’un d’eux ! »
J’Ă©carquillai les yeux, stupĂ©fait. Si c’Ă©tait vrai, il y allait avoir su challenge, mĂŞme avec de l’ambroisy.
Nous atteignimes les ecuries, et passames l’embrasure de la porte.
A l’interieur, a demi dans la penombre, se tenait ladite Nathalie.
En effet, elle etait bien roulee.
Son teint mat, cuivrĂ© par le soleil champĂŞtre, m’Ă©voquait un doux caramel sucrĂ© que j’avais hâte de croquer. Ses cheveux brun chocolat, mi longs, Ă©taient retenus en une queue de cheval Ă©lĂ©gante. Elle tourna son visage vers moi et m’adressa un sourire resplendissant, une sorte de franchise rayonnant de ses prunelles ambrĂ©es. Pour le reste du corps, c’etait bandant.
Poitrine haute et ronde, sublimement moulĂ©e dans une chemise a carreaux aux deux boutons dĂ©crochĂ©s laissant appercevoir un soutif sportif et une raie aguicheuse entre ses miches (pour vous donner une idee de la taille, c’etait la deuxième plus grosse poitrine que j’avais vue jusqu’ici. Derrière Clarisse et juste devant Juliette). Son ventre, sculptĂ© par le sport, Ă©tait mis a nu par les pans retroussĂ©s et nouĂ©s de sa chemise, de mĂŞmes que pour ses bras. Un short en jean trouĂ© dĂ©voilait de longues jambes fines et sveltes de coureuse et moulait ses formes Ă la perfection.
« Matthieu, c’est ça ? » Me demanda-t-elle en me serrant la main, un sourire radieux sur le visage « Nathalie. Je t’attendais avec impatience. »
Juliette s’eclipsa immĂ©diatement, nous laissant seuls avant que je ne puisse faire quoi que ce soit.
« On va partir en ballade Ă cheval. » Annonça-t-elle en sortant deux betes de leur boxe respectif « Je connais un bon spot de baise dans la forĂŞt. Prends ton produit et on y va ! »Dix minutes plus tard, nous Ă©tions en selle et pĂ©nĂ©trions au trot dans la splendide et immense forĂŞt qui emmurait le manoir. Nous avions chacun avalĂ© une poignĂ©e de pilules d’Ambroisy, et j’avais personnellement du mal contenir mon excitation.
« Dis, c’est pas trop loin , au moins ? » Dis-je le visage en feu et la bite au bord de l’explosion dans mon pantalon « Parce que j’ai besoin de jouir lĂ ! »
« Environ trois kilomètres. » Repliqua-t-elle, m’arrachant un hoquet incrĂ©dule « Je vais partir au galop et tu vas essayer de me rattraper. Sinon, pas de baise ! On va voir combien de temps l’excitation peut rester insatisfaite avec ce produit. »
Puis, le rose au joues, elle ajouta : « Essaie de tenir la distance : je sens que je vais pas tenir longtemps sans quelque chose dans la chatte, et le cheval aime pas trop que je me doigte sur son dos ! »
Et sur ces mots, elle Ă©peronna sa monture qui s’Ă©lança au galop. EffarĂ©, je m’empressai de me lancer a sa suite.
La demi heure qui suivit fut un calvaire. ExcitĂ©, en nage, la queue gonflĂ©e a bloc mais nĂ©anmoins insatisfaite, je poursuivais en vain Nathalie qui semblait inaccessible, filant devant moi entre les branchages verdoyants, les troncs fins et les rais de lumière qui filtraient entre les cimes des arbres, telle une nymphe illusoire, un mirage Ă©rotique pour le pitoyable mort de faim que j’Ă©tais. La sadique, elle semait mĂŞme ses sous-vĂŞtements dans les fougères en pleine course pour me narguer.
Elle disparut finalement devant moi dans la lumière d’une clairière, qui m’engloutit aussitot a mon tour en m’aveuglant dans ma folie sexuelle.
Je repris mes esprits une fractuon de seconde, et decouvris l’oasis de Nathalie. C’etait une sorte de cuvette ombragĂ©e au pied d’une falaise et ou se dĂ©versait une cascade grondante, pour former en contrebas d’un promontoire rocheux baignĂ© de soleil un bassin d’eau claire bordĂ© de galets.
J’eus juste le temps de voir Nathaliee sauter de son cheval, puis sauter du haut du promontoire toute habillĂ©e dans l’eau en contrebas.
Tombant de ma monture et m’elancant comme un dĂ©ratĂ© vers le plongeoir, agrippant mes boules au bord de l’explosion a travers mon pantalon, une lueur de devient sexuel dans le regard a cause de l’ambroisy, je sautai a mon tour.
Le choc dans l’eau me degrisa un instant, me faisant reprndre les esprits pour me ruer en quelques brassees sur Nathalie, Ă©chouĂ©e lassivement sur le rivage comme une nymphe, rouge de dĂ©sir.
M’affalant sur son corps brĂ»lant, je cueillis sa bouche avec fougue tout en aggrippant ses seins a travers sa chemise mouillre qui moulait ses formes oniriques. J’etais fou.
D’un mouvement brutal, je dechirai sa chemise Ă carreaux, devoilant sa poitrine ronde et cuivree depourvue de soutien gorge (qui devait traĂ®ner quelque part dans l foret…), et lui arrachai son short en jean pour mettre nu ses cuisses sveltes et sa chatte pulpeuse et moite.
Je l’embrassai e nouveau en empoignant un des ses dĂ©licieux seins, mais dlle me repoussa, me fit basculer sur le dos et m’enfourcha, completement nue, un sourire coquin sur le visage. Elle passa ses mains sous mon t-Shirt, puis me l’arracha a son tour en m’embrassant et en roulant sa langue autour de la mienne avec passion, puis entreprit de me delester de mon futal ainsi que de mon caleçon, laissant ma bite furieuse se deployer, gonflee par l’excitation trop longtemps rĂ©frĂ©nĂ©e .
Nathalie s’empara de l’objet bouillonnant et se l’enfonça profondĂ©ment dans la chatte avec un brut de succion. Un torrent de bien etre m’envahit lorsque mon gland coulissa contre ses parois intimes relâchant quelque peu la pression accumulĂ©e, et la jeune femme poussa un veritable hurlement dz plaisir, s’empoignant un sein d’une main et les cheveux de l’autre, Son visage tordu en une moue torride.
Faisant jouer ses cuisses fermes, elle tressauta furieusement, s’empalant a repetition sur mon mât de chair en poussant des cris de folle. Ses seins globuleux et delicieusement fermes dansaient au dessus de moi, et je ne tardai pas a les agripper, faisant pousser un gĂ©missement a ma partenaire. cette dernière faisait onduler son bassin sur ma bite, se prenant les cheveux et tordant sa bouche a demi entrouverte, ou bien mordant sa lèvre infĂ©rieure, les yeux fermĂ©s, poussant des glapissements haletants entrecoupes de « oui ! », de »aaah !! » et de « oooh c’est bon ! »
Puis subitement, alors que je nous sentais s tous deux au bord de l’orgasme synchronisĂ© , Nathalie arracha ma bite de sa fente et s’enfut en gloussant. Surpris mais excite, je me jetai sur elle et parvins a l’arrĂŞter alors qu’elle atteignait le promontoire. Nous nous ecroulames tous deux sur les galets, mais Nathalie continua de ramper vers le roc malgrĂ© mes efforts. Finalement, alors que nous nous trainions sur le promontoire, je parvins Ă l’agripper fermement par la croupe et Ă la prendre violemment en levrette, lui arrachant un hoquet surpris.
« Tu vas te tenir tranquille, oui ?! » eructai-je. M’etalant sur son corps brĂ»lant, j’entrepris de lui marteler la chatte Ă coups de hanches frĂ©nĂ©tiques. Ses hurlements torrides reprirent pour mon plus grand plaisir.
Son corps cuivrĂ© ondulait sous moi, se tordant de plaisir ; ses seins pulpeux roulaient sur la pierre chaude comme des ballons ; ses mains grattaient dĂ©sespĂ©rĂ©ment la roche comme cherchant des draps auxquels se cramponner ; embrassant son cou, j’entendais son souffle court entrecoupĂ© de hoquets brĂ»lants de dĂ©lectation, et la voyais bouche entrouverte et yeux fermĂ©s, aux portes de l’orgasme.
Elle semblait vouloir finir en apothéose : me faisant rouler sur le côté, elle se redressa sur moi et, dans une ultime ondulation sensuelle et un ressaut de ses seins sublimes, atteignit le septième ciel en poussant un cri de jubilation. Alors, je lâchai mon flux de semence avec un soupir rauque et bestial.
Nathalie resta empalée sur ma bite fremissante pendant quelques instants, son visage béat levé vers le ciel, profitant des derniers lnstants de jouissance fusionnelle avec la nature que lui conferaient ses sens, avant de finalement se laisser rouler sur le côté en libérant mon épieu avec un « plop ».
Haletante, sa poitrine ronde et cuivrĂ©e se soulevant doucement, elle s’etala Ă cĂ´tĂ© de moi sur la pierre brĂ»lante, avant de tourner la tĂŞte et de me sourire, une meche de ses cheveux auburn coincĂ©e au bord de sa lèvre durant nos ebats, le regard petillant.
« Felicitations, bel etalon ! » Souffla-t-elle dans mon oreille en me caressant sensuellement l’abdomen, un sourire beat sur le visage « La Duchesse de la Terre valide l’expĂ©rience Ă 100% !! »***© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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