La meuf de ma nana
Une visite un soir de juillet de l’amie de ma Nana… et me voici spectateur puis acteur d’un voyage torride tous les trois.
Proposée le 13/01/2021 par Porcorosso Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Partie I : toutes les deux…’ Mon cĹ“ur, ta meuf est la ! ‘
‘ Pourquoi tu dis que c’est ma meuf ? ‘, me rĂ©pondit-elle avec ce petit sourire.
‘ En tout cas tu aimerais bien qu’elle le devienne… non ? ‘. Je n’obtins aucune rĂ©ponse, seulement le petit dĂ©cochement d’un regard complice.Il arrive que mĂŞme après un de ces gros orages d’étĂ©, la chaleur de la journĂ©e ne se dissipe pas, laissant une atmosphère lourde chargĂ©e d’humiditĂ©. Les peaux luisent de la moiteur qui ruisselle et imprime les tissus lĂ©gers des formes et des reliefs du corps…Le parĂ©o de ma nana laissait transparaitre sa nuditĂ© et ses formes charnelles. NouĂ© au-dessus de sa poitrine, il comprimait lĂ©gèrement le haut de ses seins, relevant ainsi des tĂ©tons pointants sous l’étoffe si mince. Elle s’avança, avec la chaleur le tissu se collait a ses jambes, moulant ainsi ses cuisses. Je cru un instant deviner le fin relief de son sexe. Je me retournai sur son passage pour mater son cul. Ses fesses, sa raie apparaissaient par transparence. Elle ouvrit la porte. A l’instar de ma chĂ©rie, son amie Ă©tait pulpeuse et bien que ses formes soient un peu moins gĂ©nĂ©reuses, elle savait se mettre en valeur. Un soutiens-gorge trop petit masquait seulement ses tĂ©tons, on pouvait savourer la vision du galbe de ses petits seins ronds. Un short Ă©limĂ© comprimait le bas de son bassin. Le Jean dessinait son cul, sa cambrure et laissait entrevoir sa peau blanche a travers les trous d’usure. Les deux premiers boutons n’étaient pas fermĂ©s, a cause de la justesse du vĂŞtement et offraient une vue sur le bas de son ventre, a quelques centimètres de son sexe. Une paire de rangers dĂ©lacĂ©s venait complĂ©ter la tenue rock de la jeune fille.Je les regardai, observai leur complicitĂ©, les corps l’un contre l’autre alors qu’elles se dirigeaient vers la terrasse en bois, ou se trouvait le salon d’étĂ©. Tout baignait dans la lumière rougeâtre d’un soleil qui se couchait, rayonnant encore a travers l’orage et donnant une couleur chaude aux corps en partie dĂ©nudĂ©s. Du canapĂ© jaillirent alors des rires, des gloussements… elles folâtraient et par le jeu, les mains exploraient innocemment le corps de l’autre. Ma chĂ©rie se retrouva allongĂ©e sur le dos dans le canapĂ© en rotin aux coussins moelleux. Sa copine Ă©taient assise a califourchon sur elle, au niveau de son ventre. Elles se turent, laissant place a un silence un peu gĂŞnĂ©. Les regards se croisèrent un bref instant, ce qui les fit sourire et ma nana se mordit la lèvre infĂ©rieure, lui donnant un air très malicieux. L’autre, très sensuellement fit remonter ses mains sur le tissu, passant sur le ventre de ma belle puis entre ses seins pour atteindre le nĹ“ud du parĂ©o. Elle marqua une halte et regarda celle qui Ă©tait allongĂ©e sous elle, comme pour demander une approbation qui Ă©tait depuis trop longtemps accordĂ©e. Elle dĂ©fit lentement le parĂ©o et l’ouvrit dĂ©licatement.. un cĂ´tĂ© puis l’autre, telle une gourmandise que l’on savoure avant mĂŞme de l’avoir dĂ©ballĂ©e. Ma chĂ©rie se laissait faire et acceptait les doigts qui effleuraient sa peau satinĂ©e dans de langoureux va et viens, sur ses cotes, sur ses seins, jusqu’au bas de son ventre. Elle releva ses jambes dans le dos de son amie et Ă©carta lĂ©gèrement ses cuisses, rĂ©vĂ©lant sa chatte. Les souffles Ă©taient Ă©courtĂ©s par les frissons qui se dĂ©gageaient des deux filles, l’une offerte laissant l’autre passer une main dans son dos, pour atteindre sa fente dĂ©jĂ humide. A peine les doigts eurent-ils touchĂ©s les lèvres gonflĂ©es de dĂ©sir, que le corps s’arque-bouta sensiblement. Le majeur glissait dans le sillon, le corps entier frissonnait…Ma chĂ©rie, jusque la passive, commença a caresser timidement les cuisses de sa partenaire, remontant toujours plus haut a chaque passage. HĂ©sitante, excitĂ©e, elle continua son ascension jusqu’Ă la poitrine qui la surplombait. Elle se saisit des deux seins a pleines mains… le corps de son amante se raidit sous l’effet de la pression exquise… le petit haut vola rĂ©vĂ©lant des seins ronds et fermes. Une fois le haut libĂ©rĂ©, les doigts s’attaquèrent aux boutons restants du short. La copine tendit les jambes et souleva les fesses pour permettre au Jean de glisser. Elle se laissa retomber doucement sur ce corps qui perlait de sueur… seins contre seins, ventre contre ventre, sexe contre sexe, elles Ă©changèrent un baiser autant passionnĂ© que langoureux. A prĂ©sent, chacune avait sa main entre les cuisses de l’autre, les caresses devinrent plus insistantes, les corps se trĂ©moussaient dans leur moiteur de façon plus frĂ©nĂ©tique. Des petits gĂ©missements dĂ©licieux tĂ©moignaient des plaisirs partagĂ©s.Je me levai de mon poste d’observation et sortis sur la terrasse. Je pris place sur le fauteuil, celui en face du canapĂ©. Les derniers rayons de soleil enflammaient les peaux des deux nymphes d’une teinte rouge-orange, ajoutant a la sensualitĂ© de la scène, une dose d’érotisme. Je les contemplais, glisser l’une sur l’autre. Je regardais les doigts fouiller dans les fentes lisses, tantĂ´t massants, tantĂ´t pĂ©nĂ©trants. Ma queue pulsait dans mon sarouel. Je n’osai y toucher, de peur qu’elle n’explose. Chaque gĂ©missement me faisait frissonner, chaque râle augmentait mon dĂ©sir de les rejoindre… j’allais patienter encore un peu et ne pas perdre une miette du spectacle enivrant auquel j’assistais. La posture changea, L’amie se redressa sur ses bras, surplombant ma chĂ©rie, Elle posa ses lèvres sur un tĂ©ton, puis sur le deuxième et de baiser en baiser, elle glissa sur le ventre, prenant son temps. Elle taquina un instant le piercing de nombril de sa camarade de jeu, faisant monter le dĂ©sir et termina sur la fente ouverte et luisante. Elle l’observa et dĂ©licatement posa sa langue entre les deux lèvres… Le corps rĂ©agit directement a l’impulsion en se tortillant. Elle plaqua alors sa bouche et commença a sucer le bonbon enflĂ© de passion et scintillant de nectar.Je ne tenais plus… ma dĂ©licieuse chĂ©rie les yeux mi-clos, fixai mon regard du sien, embrumĂ© de plaisir et de passion. Elle esquissa un sourire au coin de sa bouche, haletante, grisĂ©e par l’action de la langue de sa complice.Partie II : tous les trois…Le jeu prit fin, les filles se redressèrent et se rassirent… les corps Ă©taient luisants de sueur et les souffles courts, les sourires satisfaits et les regards hagards. Ma nana se leva pour boire… je la contemplais. Elle prit une pose naturellement dĂ©sinvolte, porta le verre a ses lèvres, ses cheveux humides tombaient sur son Ă©paule, cachant un peu son cou. Sous le bras levĂ©, j’apercevais son sein irrĂ©sistible et son flanc, parsemĂ©s de grains de beautĂ© qui ajoutaient a sa suavitĂ©. Les lignes de son corps, fines et fluides, dĂ©crivaient une sĂ©rie d’ondulations harmonieuses… la courbure de son dos, la cambrure de ses reins, le galbe de son cul. J’admirais son allure si pleine de grâce. Elle me fit face, toujours en sirotant son mojito glacĂ©, sa beautĂ© resplendissait… l’incurvation du cou et de la clavicule, l’arrondi de ses seins, l’arcure de ses hanches, la concavitĂ© de son petit bassin se finissant par la rectitude de sa fente, comme autant de lignes idĂ©ales, sinueuses rĂ©sumant l’arabesque qui composait le rythme essentiel de son corps dĂ©licieux.Elle posa son verre avec grâce et me fixa… elle tendit une main en arrière pour faire venir son amante. Cette dernière accepta l’invitation, se leva et la rejoignit. Ma muse Ă©tira l’autre bras vers moi, dĂ©veloppa sa main, ses doigts… d’un signe de l’index, elle me convia a les rejoindre. Elles se tenaient l’une contre l’autre, toujours main dans la main. La meuf de ma nana avait posĂ© son avant- bras sur l’épaule de cette dernière et se pressait contre elle, leurs doigts entrelacĂ©s qui recommençaient a fouiller le sexe de celle-ci. Je me tins immobile devant les deux nymphes, mon amour tourna sa tĂŞte et chuchota a l’oreille de son amie qui acquiesça. Elle vint vers moi, me contourna… je ne bougeai pas, attendant l’exĂ©cution du plan. Je sentis qu’on me mit un bandeau de tissu sur les yeux, mon excitation monta d’un cran. Je pouvais sentir ma queue battre dans mon pantalon.Des mains commencèrent a me caresser le torse, les fesses, le ventre, a juste effleurer mon sexe dressĂ©, puis on m’ôta mon tee-shirt et mon pantalon simultanĂ©ment… je me retrouvais nu, dans le vide. J’attendis encore, guettant le moindre son, le moindre geste ou dĂ©placement, les sens en excitation. Elles me firent allonger sur le dos au sol, sur ce qui devait ĂŞtre les coussins du canapĂ© en rotin. Des doigts passèrent dĂ©licatement sur ma peau, me provoquant des risĂ©es de frissons. Les filles firent couler sur mon torse un liquide frais, plutĂ´t Ă©pais. Je compris tout de suite a l’odeur et au glissement dĂ©licieux des nombreuses mains sur mon corps, qu’il s’agissait de l’huile de massage au noyau d’abricot… quelle douceur, quelle sensualitĂ©. Mon esprit se focalisait sur la sensation, attendant, espĂ©rant que l’une d’entre elles se saisisse de ma queue. Ce fut une bouche qui vint soulager en partie cette douleur exquise, qui pulsait dans mon bout. Cette sensation merveilleuse me fit cabrer le bassin, tellement l’influence de cette bouche agissait Ă©motionnellement. En mĂŞme temps, des doigts glissaient sur mon sexe retirant la peau sous mon gland, au moment ou celui-ci retournait dans cette douce moiteur qui l’aspirait. Des genoux vinrent se placer de part et d’autre de mes flancs et je sentais des talons au niveau de mes aisselles. Une des dominatrices vint a califourchon. Je saisis les chevilles et remontai en caressant les mollets lisses et glissant d’huile, passai sur les genoux, puis les cuisses… sans attendre, j’attrapai les fesses en les pressant. J’attirai alors ce cul vers ma bouche et Ă©cartant celles-ci, j’enfouis mon visage dans la vulve glabre et fiĂ©vreuse, dĂ©goulinante de miel. La cavalière s’agita dans un mouvement vif et rĂ©gulier, faisant glisser sa fente sur ma bouche et ma langue, le souffle saccadĂ©, entrecoupĂ© de petits sons exquis et dĂ©licats. Plus bas, ce fut au tour de ma queue de servir d’axe sur lequel on vint s’empaler. Je tirais sur les hanches, comme pour me plonger plus profondĂ©ment dans le plaisir. J’étouffai, le rythme s’accĂ©lĂ©rait. Nous n’étions plus qu’une bulle de de voluptĂ©… un gĂ©missement plus fort et plus long se dĂ©tacha de l’ambiance saccadĂ©e des souffles et des sons, me fit exploser littĂ©ralement la queue dans son antre, se dĂ©chargeant de l’accumulation d’excitation durant le festin. Les corps se dĂ©sunirent ensuite et retombèrent mollement sur les coussins. J’ôtai mon bandeau, je nous admirais tous les trois allongĂ©s dans la mĂŞme douceur, avides de reprendre nos souffles respectifs… ivres de nos Ă©mois, de cette transe commune.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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